Histoires de sexe arabes Histoires de sexe soeur Histoires de sexe travesti

Un mâle ça jute énormément – Chapitre 1




Avant toute chose, je me dois de vous remercier pour tous vos messages et commentaires. Jai essayé de répondre à tout le monde, car ce me fut fort agréable dapprendre que mon histoire avait réussi son petit effet. Du coup, jen suis encore excité au moment den écrire la suite.

Bref, rappel de la situation où nous sommes restés : prisonnier entre mes deux fesses, la queue de Driss navait pu résister à se répandre en plusieurs jets de sperme, alors même que nous étions encore habillés. Cest dire combien mon déhanché est magique mais, comme je viens de lavouer à ce lascar, seule la danse que jai longtemps pratiqué en est responsable, puisque mon expérience sexuelle est proche de zéro. Malgré mes 25 ans, jétais encore vierge de tous contacts à deux et je ne savais que mamuser en solo.

Je suis quécho, mec. Mais leçon numéro 1 : il ne faut pas gâcher une goutte du jus de ton mâle ; car maintenant tu es mien, tu mappartiens.

Je ne suis pas le genre de gars, qui garde sa langue dans la poche. En clair, je suis incapable de la fermer. Mon esprit est porté à la rébellion, alors si on me dit oui, je dis non ou si on me dit noir, je dis blanc. Je ne le fais pas exprès, ça me vient le plus naturellement du monde. Comme dirait Egard Allan Poe, je suis possédé par le « Démon de la Perversité ». Je ne supporte aucune forme dautorité, alors si quelquun essaye de menchaîner, je me débats comme un véritable animal sauvage. Pourtant, à peine ai-je composé mon visage de gamin effronté quil marrête en disant : « Cest mort, tu as perdu le droit de louvrir. Tu men dois une maintenant. » Ce nest pas tant que ces paroles me font peur, que jai vraiment envie de goûter à son essence dhomme. Je me tais et le laisse faire comme il souhaite gérer la situation.

Alors que je suis encore sur ses genoux, il me repousse afin de me laisser tomber sur le sol. Il se lève face à moi. Je me sens tellement petit à côté de lui que, pour la première fois, je comprends Jack ou le Petit Poucet devant leurs géants. Imposant est un euphémisme à côté de cette bête qui me domine par sa simple hauteur. Il retire dabord ses sneakers, avant de faire tomber son jogging gris. En terme de vocabulaire sexuel, jai appris un nouveau mot « bulge » que je vais me faire un plaisir dutiliser. En loccurrence, son bulge me donne des envies voraces, auxquelles jai du mal à résister. Mes yeux doivent briller dune lueur particulière, car Driss me dit :

A te voir dans cet état, jimagine que tu dois avoir faim. Le genre gourmand qui mange de tout et parfois même nimporte quoi. Tu vas déguster keum. Par contre, je veux uniquement voir ta langue pointer pour bien nettoyer ma queue ; pas question douvrir ta bouche et de téter. Comme tu es un petit puceau, je vais tapprendre à me satisfaire, mais avant je vais te rendre accro.

Oui, bien sur. Tu ne veux pas aussi me la mettre à sec et te répandre à lintérieur. (Quand je me mets en mode vénére, je deviens vulgaire.) Je ne sais pas où tu as foutu ta queue, alors je men approche pas.

Zarma, comment tu te la joues ? Ecoute ptit gars, jai fais des examens médicaux pour mon sport, il y a 15 jours. Si tu veux vérifier, les résultats sont dans mon keuss. Depuis, je nai pas eu de plans baises et presque pas de branles, comme tu vas le voir par la quantité que tu mas fais juté.

Avec mépris, je me lève, ouvre son sac de sport, fouille allégrement jusquà trouver le papier en question et constate quil nest pas du genre mytho. Autant vous dire que sur ceux, je suis conquis à ses paroles et je nai aucune velléité de révolte. Malgré son discours un peu brut, je remarque que ma virginité ne lui pose pas de problème. Dhabitude, ce genre dannonces à tendance à provoquer de lincrédulité chez lautre, qui pense quil sagit uniquement dattiser le désir. Ce nest pas non plus quil voulait y croire par une sorte de fierté mal placée à vouloir minitier, car jai pu lire dans ses yeux, quil avait confiance. En fait, jai appris plus tard quil était très fort pour sonder les âmes et savoir où se cache la vérité ; ainsi il savait déjà lire en moi.

Aussitôt que jai acquiescé dun vague hochement de tête, il fait descendre son boxer le long de ses jambes, afin de me faire découvrir sa queue. Pour être en parfaite adéquation avec lémotion que jai ressentis, je ne vous donnerais que peu de détail sur son morceau de viande. De toute façon, je discernais uniquement la belle proportion que son sexe entretenait avec ses cuisses. Dailleurs, sans vraie comparaison, mon objectivité était nulle et non avenue, dautant plus que sous le choc, je suis comme emporté dans un tourbillon de passions qui menlève toute réflexion. Jai du mal à sentir mon cur à tel point il bat vite. Je me sens limite partir dans les vapes. Heureusement que la musique continue de jouer, créant comme un hypnotique qui mempêche de succomber.

Lui, ne dit rien, ne bouge pas. Il ma dit ce que javais à faire ; je nai plus quà mexécuter. Naïvement, je pense à toutes ses sucettes que jai lapées, à toutes ses glaces que jai léchouillées, sauf que lextase est loin dêtre la même. Lorsque ma langue touche la peau de son zob, mon corps se met à frissonner doucement. Comme dans un manège à sensation, je refuse de fermer les yeux, afin de vivre pleinement lexpérience. Dabord laborieusement, je commence mon travail, mais très vite, je me prends à le faire avec rigueur. Pas une goutte de son jus ne méchappe, tellement que son pénis se retrouve luisant de salive. Driss a lair content de moi avec son sourire de pervers.

Jai dis que tu ne devais laisser aucune goutte, me rappelle-il en me tendant son sous-vêtement.

Au lieu de me le donner, il me létale sur la gueule, essuyant lintégralité de son boxer sur mon visage. Je nen perds pas moins ma volonté, en aspirant la moindre surface mouillée pour récupérer sa semence. Contrairement à ce quon pourrait croire, je ne voulais pas lui prouver ma parfaite soumission, puisque ce nest pas dans mon caractère comme je vous lai déjà dit. Son sperme avait juste un goût délicieux, qui ressemblait étrangement à lodeur qui émanait de son sexe. Quelque chose de iodée que jidentifiais à la transpiration, avec des accords légèrement sucrés et doux, créant une association animale et miellée. Je me suis régalé aussi bien à renifler quà avaler ses émanations corporelles.

Lorsque Monsieur est satisfait, il reprend son boxer pour se rhabiller malgré la moiteur que ma salive a laissé sur le tissu. Jai comme une boule au ventre, lorsque la peur me saisit les entrailles de le voir partir. Je veux quil reste prêt de moi, à croire que laddiction commence à faire son effet. Contre toutes attentes, il sécroule une nouvelle fois sur le canapé, en me demandant daller lui chercher une nouvelle bière. Pour accompagner ses paroles, Driss se permet de me donner une tape sur les fesses, ce qui me fait sursauter. Revenant avec deux bouteilles, mon lascar mattire à lui comme une vulgaire poupée de chiffon, en minstallant dans la courbe de ses bras.

Jai remarqué un truc de ouf. Quand jai claqué ma main sur ton ptit cul, tu as eu une réaction chelou. Est-ce que tu flippes ta race devant moi ?

Non, lui répliquais-je du tac au tac, je ne my attendais pas en fait. Ce nest pas comme si javais lhabitude que le monde pose ses mains sur mon corps. Tu peux faire trois fois ma taille et me regarder avec tes yeux féroces, je men fous.

Gars, tu nas pas ta langue dans la poche, ce qui nest fait que confirmer mon premier avis. Dès que je tai capté, jai su que tu étais façonné pour moi. Dhabitude, tout le monde préfère baisser les yeux sur mon chemin ou me jeter des regards de chiennes en chaleur. Toi, tu nas pas hésité à me dévisager droit dans les yeux, comme un félin. Direct, tu mas foutu le barreau. Je suis rentré chez moi pour me soulager à tel point ma teub me faisait mal. Et depuis, jai envie de tavoir à moi.

Ouais, ouais, tu peux garder tes discours de lovers pour dautres, dis-je avec désinvolture car, même si mon cur se réjouit dentendre ses mots, ma tête ne pouvait croire à ce discours. Après tout, les mecs sont prêt à tout pour se taper ce quils ont sous les yeux, surtout lorsque la proie est fraîche et pure.

Putain, tu es toujours sur la défensive ou cest juste pour me casser les couilles. Ecoutes, je ne vais pas chercher à te prouver ma sincérité. Ah ouais, ça me zehef de trop.

Jai beau faire le malin, à lintérieur, je me ne sens pas des plus à laise. Quand ce mec commence à sénerve, il est difficile de ne pas « flipper sa race » comme il le dit. Sa peau tannée prend une carnation plus chaude, presque volcanique, et son corps se gonfle, comme sil allait exploser sous la trop forte pression de ses muscles. Il me jette un regard daigle en chasse, prêt à fondre sur moi pour méventrer dun coup de serres. Dans ses bras, mon corps commence à étouffer sous sa force herculéenne. Cependant, si un léger cri séchappe dentre mes dents, il est suivi dun rire incontrôlable, qui a le mérite de le calmer dun coup.

Dire pourquoi jai réagis ainsi mest impossible. Jai toujours eu des réactions différentes de celles qui sont prévues par le commun des mortels. La plupart du temps, les gens ont du mal à me faire face, parce que je suis constamment dans limprévisible, toujours où je ne suis pas attendu. Pourtant, Driss se jette sur mes lèvres pour arrêter mon rire par un de ses baisers, qui me font encore vaciller rien que dy penser. Alliant la puissance et la profondeur, sa langue se déchaîne contre la mienne, comme un lion dans sa cage. Lorsquil se détache de mon visage, il mattrape la mâchoire de ses mains puissantes et me dit :

Est-ce que tu te rends compte que personne na jamais osé le quart de ce que tu te permets ?

Je ne peux pas men empêcher, jai toujours été un petit con. Le pire reste que ça me fait mourir de rire

Jai vu ça et je dois avouer que tu en deviens encore plus bandant.

Comment ne pas men rendre compte alors que dans notre étreinte, mon cul sest encore positionné dans le parfait alignement de sa queue. A peine nos bières sont terminées que Driss me semble déjà prêt à repartir à lattaque, prêt à conquérir cette terre sauvage et virginale qui est mon corps. De mon côté, je ne pense quà revoir son loup, car je suis incapable de men souvenir tellement jétais concentré sur la tâche de son nettoyage. Je me promets que cette fois, mes yeux ne cilleront pas afin de capturer une image détaillée de son sexe. Contrairement à mon envie, le caïd a dautres projets en tête quil ne tarde pas à me faire partager.

Rien que ton visage suffit à me faire oublier ton audace, mais tu ne vas pas ten sortir comme ça. A chaque fois quun keumé de la téci a essayé de se la jouer avec moi, je peux te dire quil se souvient des conséquences.

Quoi ? Tu vas me défoncer la gueule à coup de poings ?

Wesh, je ne veux pas tabîmer, mec. Je te rappelle que tu mappartiens alors je vais bien moccuper de toi, mais tu vas devoir te faire pardonner. Je ne vois quune chose à faire : tu vas te mettre à oilpé. Je veux que tu sois nu devant moi, comme au jour de ta naissance.

Je deviens immédiatement rouge de honte. Le beau et sculptural Driss veut me voir en tenue dAdam ou Eve, alors que mon corps est loin de pouvoir rivaliser avec le sien. Je me sens gêner face à ce colosse dont la confiance transpire par tous les pores de la peau. Je fais le grand devant le monde, mais lorsquil sagit de rentrer dans mon intimité, je nai quune envie : menfoncer sous terre. Dune parole, il vient de briser mon armure de verre. Cependant, mon esprit reprend le dessus. Je refuse de laisser voir mon appréhension et en un clignement dil, je lui fais front avec détermination et effronterie. Je me lève, les deux pieds fixées au sol, et commence à retirer mon tee-shirt, avant que ma caillera ne claque de la langue sur son palais :

Attends, je crois que tu nas pas compris. Tu as dansé sur ma queue comme une petite pute, alors tu vas continuer, en mexécutant un strip-tease bien och. Tu as eu le droit de voir la queue de ton mâle, maintenant je veux voir le corps dans son intégralité de ma femelle. Je veux te voir en mode lopsa affamée, comme si tu voulais me rendre ouf. Compris ?

Le deuxième épisode de mes aventures prend fin ici, car il me reste encore beaucoup de choses à vous raconter, qui ne peuvent tenir en quelques lignes. Comme je lai déjà dis, envoyez moi des messages et des commentaires sur mon uvre, surtout que je me fais un devoir dassurer le service après lecture. Dailleurs avant que je vous confesse mes imperfections physiques, jaimerais vous poser une question histoire de donner plus dinteractivité à ce forum : quelles sont les vôtres ?

A bientôt les gars, pour la suite de mes aventures.

Related posts

Comment je me suis fait sucer pour la première fois – Chapitre 1

historiesexe

Gentils Médors – Chapitre 2

historiesexe

Où il est question de se faire tirer… le portrait – Chapitre 4

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .