C’était durant l’été 2007. A l’occasion des 50 ans de mariage de mes grands-parents, tout le monde s’était cotisé pour leur faire une surprise de taille : passer 3 jours dans un camp de vacances, avec toute la famille au complet (ou presque). C’est ainsi que nous partîmes, plus de 20, pour 3 jours de folie !

Nous avions réservés plusieurs bungalows, mais arrivés sur place nous étions obligés de constater que la direction avait mal organisé la répartition. Mes deux grands-parents eurent, heureusement comme prévu, un bungalow pour eux seuls. Nous avions demandé 4 bungalow pour 5 personnes, et nous nous sommes retrouvés avec 3 bungalows pour 4 personnes, 1 pour 5 personnes et 1 pour 3 personnes.

A la base, nous avions prévu d’être répartis chacun dans sa famille : un bungalow pour chacun des 3 enfants de mes grands-parents (mon père, son frère et sa soeur), chacun étant avec ses trois enfants respectifs et son conjoint. Et le dernier bungalow les "grands-enfants" (des cousins) qui ne vivaient plus chez les parents : deux jeunes couples, dont un avec déjà une petite fille de 3 ans.

Profitant de l’occasion, le jeune couple avec la fille de 3 ans, pris le bungalow de 3 personnes. L’autre jeune couple s’en fichait un peu de savoir où ils seraient, puisque quoiqu’il arrive, ils devraient partager le bungalow. Et donc, bien entendu, une petite dispute éclata entre les parents, chacun voulant avoir le bungalow pour 5…

Finalement, après plusieurs minutes d’un débat houleux, ils ont trouvé un accord à l’amiable, qui au final pénalisait tout le monde, et ne faisait aucun jaloux. Les 3 plus grands enfants des trois familles iraient dans le bungalow à 5, avec le jeune couple. Les parents resteraient donc dans les 3 bungalows à 4 avec les plus jeunes.

Alors je sais, vous vous demandez sans doute pourquoi je vous raconte tous ces détails ? Et bien tout simplement pour expliquer comment je me suis retrouvé, à 19 ans, dans un bungalow avec mon cousin Maxime, 26 ans et sa copine, mon autre cousin Charles, 16 ans, et enfin ma cousine Julie, 19 ans aussi.

Et aussi pour que vous compreniez le nouveau problème qui se posait. Les bungalows à 5 étaient composée de 3 chambres : 2 avec lit double, et 1 avec lit simple.

Maxime et sa copine prirent bien entendu une des chambres avec lit double. Mais il restait Charles, Julie et moi. Je compris très vite, aux vues des circonstances, que quoiqu’il arrive, je serais dans la chambre avec lit double. Je connaissais très bien Julie et Charles, mais eux ne se connaissaient pas beaucoup, et il était inconcevable pour eux qu’ils partagent un même lit. Charles faisait son petit caprice, qu’il ne voulait pas partager son lit avec un autre mec, qu’il n’était pas un homo etc… (-_-") Quant à Julie elle se défendait qu’elle tenait à se que l’on respecte sa féminité…

Finalement, la maturité de Julie pris le dessus, afin de clore cette nouvelle dispute stérile. C’est donc Charles qui aurait le lit simple, et Julie qui partagera le lit double avec moi…

La première journée se passa donc ainsi, dans une relative tension générale. Celle-ci retomba heureusement au dîner, où chacun rigolait et plaisantait. Chacun finit par rejoindre son bungalow et sa chambre aux alentours de 22h30.

Maxime et sa copine s’enfermèrent dans leur chambre après un simple "bonne nuit". Charles, visiblement épuisé, alla se coucher également. Ni Julie ni moi n’étions fatigués. Heureusement, nous avions la chance d’avoir la télé dans notre chambre. Nous commençâmes donc à faire notre petit zapping.

Soudain, Julie s’assit au bord du lit, retira son jean, son haut et son soutif. Elle était tournée, et je ne voyais que son dos. Elle enfila sa nuisette, et se tourna vers moi. Je pouvais alors deviner la forme de ses seins qui pointaient légèrement au travers de la nuisette.

— Et bien cousin, tu ne te mets pas à l’aise ? me demanda-t-elle.

— Euh ben…

— Ne me dis pas que tu as honte devant ta cousine ?!

Je me mis à rougir légèrement. Je me mis à mon tour sur le bord du lit pour enlever mon pantalon, et mon T-Shirt. Je me rallongeais, juste en caleçon, pour continuer de regarder la télé. Julie vint alors se blottir contre moi et posa sa tête sur mon épaule. Je sentais mon coeur battre de plus en plus vite. Il faut dire que je connais très bien Julie. C’est la cousine que je vois le plus souvent, aussi bien les week-ends qu’en vacances, et ce depuis notre naissance. Et plus nous grandissions, moins je restais indifférent devant sa personne et sa beauté. La sentir ainsi contre moi me chamboulait donc complètement.

On passa ainsi 10/15 minutes ainsi, et je ne sais pas si elle faisait cela consciemment, mais sa main me caressait très lentement le torse. Il n’y avait rien d’emballant à la télé, si bien qu’on finit par l’éteindre. Julie se releva et me dit :

— Et si on parlait de sexe ?

Et bien que troublé par cette demande, je me prêtais au jeu. Nous passâmes ainsi près de 2h à nous raconter nos divers fantasmes, nos expériences et nos divers plaisirs. Bien entendu, plus on parlait, plus ma verge durcissait, et je me suis vite redressé aussi pour cacher mon érection. Mais vers 1h du matin, Julie avait soif, et me demanda d’aller lui chercher un verre d’eau. J’étais coincé. Soit je devais trouver un motif totalement incrédible pour refuser, soit je dévoilais mon érection. Il m’était impossible de lui refuser, je pris donc la deuxième option.

Je sortis de la chambre dos à elle, de sorte à ce qu’elle ne voit rien. J’espérais qu’en chemin, ça se calmerait. Mais rien à faire, au contraire. Plus je cherchais à me calmer, plus cela se voyait. Ne pouvant attendre plus longtemps sans paraître suspect, je me résignais à y retourner ainsi…

A peine eus-je fait quelques pas que Julie s’exclama d’un :

— OH !

Ça y est, elle avait vu. Essayant de rester le plus naturel possible, je m’avançais jusqu’au lit et lui tendit le verre d’eau. Elle le bu et le posa sur la table de nuit. Julie revint vers moi et regarda à nouveau mon érection :

— Et bien… Qu’est-ce qui t’a donc mis dans cet état ?

Je rougis un petit peu. Julie posa ses mains sur mes hanches, et attrapa l’élastique de mon caleçon. Elle me regarda droit dans les yeux, me sourit :

— Quand mon copain a ce problème, il n’y a qu’une seule chose à faire, me dit-elle tout en baissant mon caleçon.

C’était donc fait. Elle voyait mon sexe tendu, fier et dressé. Elle me dit de m’allonger sur le lit, se plaça entre mes jambes, et pris ma verge avec ses mains.

— Et puis, il faut que je t’avoue que… j’ai toujours voulu comparer mon copain à un autre mec…

Julie avait très clairement pas mal d’expérience en la matière, car au lieu de faire des va-et-vient rapides, elle ne faisait que masser et caresser lentement ma verge et mes couilles. Elle savait et comptait bien faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Elle avait le doigté parfait. Elle s’occupa ainsi de mes parties pendant un bon quart d’heure. Elle se leva, et tout en enlevant sa culotte, elle me dit :

— Je ne suis pas un profiteuse dominatrice. On va partager ça à deux.

Puis elle retira sa nuisette, face à moi. Elle était à présent nue elle aussi, et m’offrait la vue de ses seins et de son minou. Son pubis était bien taillé, en forme de triangle. Elle revint sur le lit, et se mis sur moi de sorte à faire un 69. Elle m’offrait son sexe. Ses tétons frôlaient mon corps. Et Julie repris ma queue entre ses mains. Chacun s’occupait à présent, avec langue, bouche et doigts, du sexe de l’autre.

On resta ainsi une bonne dizaine de minutes. J’indiquais à Julie que j’étais vraiment au bout, et que si elle voulait passer à autre chose, il ne fallait plus tarder. Elle descendit de moi et me dit :

— Non, par respect pour nos partenaires, nous ne devons pas aller plus loin.

Je me redressais à mon tour, un peu frustré. Elle s’assit à l’autre bout du lit, en face de moi et dit :

— Mais… ça ne nous empêche pas d’aller au bout chacun de notre côté…

Julie commença a mettre un doigt dans son vagin. Je la regardais faire. Voyant que je n’avais pas très bien compris sa demande, elle me dit, un peu en haletant :

— Je veux que tu te branles devant moi, jusqu’à l’orgasme.

Nous étions donc ainsi, face à face, jambes écartées afin que l’autre puisse profiter d’une vue parfaite du travail de l’autre. Chacun de nous se masturbait. J’allais de plus en plus vite, afin d’en finir, mais Julie m’interrompis assez vite :

— Essaye quand même de ne pas aller trop vite, je voudrais profiter de cette vue encore un peu !

Plus facile à dire qu’à faire. Mais soit. J’ai du m’arrêter à plusieurs reprises pour satisfaire pleinement sa demande. Ma verge était littéralement en feu. Voyant que je n’en pouvais vraiment plus, que je ne pouvais plus lutter contre le désir de jouir, Julie accéléra aussi son rythme, me faisant comprendre que je pouvais aussi y aller.

Il me fallu tout juste une minute pour atteindre enfin l’orgasme libérateur. J’ai lâché plusieurs jets, au plaisir non dissimulé de Julie, qui n’en avait pas loupé une miette. Elle rejoignit à son tour le septième ciel quelques minutes plus tard. Sa main était trempée. Elle vint mélanger sa mouille à mon sperme encore un peu chaud qui était sur mon bas-ventre.

On s’est endormi comme ça, nus, l’un contre l’autre.

La deuxième journée se passa beaucoup mieux que la première. Piscine, ping-pong, promenade etc… Chacun y trouvait son compte. Le soir venu, après le dîner, tout le monde était épuisé. Julie alla prendre une douche rapide et revint dans la chambre entourée de sa serviette. J’en fis de même. A mon retour, je la trouvais allongée, nue sur le lit. Julie me retira ma serviette, et m’aida à me sécher. Je pensais qu’elle voulait recommencer, mais elle était très fatiguée et moi aussi. Elle voulait juste profiter encore d’une nuit en contact corporel avec moi. Nous nous sommes un peu caressés, mais sans plus.

Nous ne sommes d’ailleurs jamais allé plus loin. Nous avons continué depuis à nous voir régulièrement. Et à chaque fois que nous avons un peu de temps en intimité, nous nous déshabillons, nous caressons, nous masturbons l’un l’autre. L’envie ne manque pourtant pas d’aller plus loin, mais nous nous sommes toujours interdit de franchir cette barrière là. C’est juste en fin de compte le plaisir de s’exhiber, de voir, et de toucher… ;)

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