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Lise, une passion torride – Chapitre 4




J’avais commencé ce récit il y a quelques mois. A l’époque, je voulais raconter la naissance de ma relation amoureuse avec Lise.

Tout s’était passé très vite entre nous deux. Notre rencontre dans une soirée chez une amie, notre première étreinte dans une chambre puis, dès le lendemain, chez moi, l’initiation à mes jeux sexuels de Lise, jeune fille introvertie attirée par les filles.

J’avais arrêté mon récit au chapitre 3, au moment où Lise s’endort dans mes bras, épuisée, pour passer sa première nuit avec moi.

Les jours qui ont suivi, Lise s’est révélée être une amante fantastique, soumise à mes désirs, prête à assouvir mes fantasmes et mon appétit de sexe. Sans que je me l’avoue vraiment, ce que je ressentais pour elle allait au-delà du simple désir charnel.

Mais je ne voulais pas qu’une relation trop exclusive s’installe entre nous. Je suis trop attachée à ma liberté ! J’ai tout de suite été claire avec elle : je voulais continuer ma vie libertine, et ne pas renoncer à ma bisexualité.

Lise ne s’est pas installée chez moi, mais nous nous voyions régulièrement, et nous passions parfois des nuits dans le même lit.

Nous nous livrions à tous les jeux sexuels que je lui proposais. Elle ne me disait jamais non, si ce n’est pour me dire oui cinq minutes après. Elle adorait que je l’attache pour lui faire l’amour, jouir avec mes sex-toys, se comporter en esclave lorsque je l’exigeais.

Elle m’avait suivie dans mes expériences d’exhibition, chez moi, mais semblait plus réticente en dehors. Jusqu’à ce que nous allions passer quelques jours dans un appartement en bord de mer, qu’un oncle m’avait prêté.

J’ai profité de ce séjour pour la convaincre de bronzer nue sur une plage, où nous étions quasiment les seules sans maillot, et pour faire l’amour avec elle entre des rochers, devant des voyeurs.

C’est à cette période que j’ai rencontré en ville Bastien, un beau métis à la peau sombre, plus âgé que moi. Nous nous connaissions de vue, car il était étudiant dans une école d’ingénieurs, sur le même campus.

Il m’a offert un verre. Nous avons beaucoup discuté (en fait, je crois que je l’ai bien "allumé"), et nous avons fait l’amour le soir même. Il baisait comme un dieu ! Nous nous sommes revus, et une relation s’est créée avec lui, en parallèle de celle que je vivais avec Lise.

Très vite, j’ai parlé à Lise de ma liaison avec Bastien, et réciproquement. Tout allait bien pour moi : j’étais tantôt avec l’un, tantôt avec l’autre, et je passais de temps en temps une journée seule pour me reposer de mes ébats, très chauds avec les deux.

Un jour, nous nous sommes retrouvés tous les trois, pour aller au cinéma. Puis nous avons fini la soirée dans un bar. Je vis tout de suite que Lise plaisait à Bastien, mais je n’étais pas trop inquiète : "ma" Lise n’était pas attirée par les hommes.

Bastien était intrigué par ma bisexualité. Comme tous les mecs, il fantasmait sur les lesbiennes, et rêvait d’assister aux ébats de deux filles. Il me demanda si Lise accepterait que nous fassions l’amour toutes les deux devant lui, mais je lui refusai tout net. Ce qui ne l’empêcha pas d’insister.

Un soir, j’en parlai à Lise. A ma grande surprise, elle ne parut pas si scandalisée que ça, mais les choses en restèrent là. Jusqu’à ce que Bastien revienne à la charge une Xième fois, et que je raconte notre conversation à Lise.

— Ça te gênerait tant que ça, qu’il te regarde jouir avec moi ? me demanda Lise.

— Moi non. Mais c’est surtout pour toi. Je sais que tu n’aimes pas les mecs.

A vrai dire, je n’avais pas trop envie d’associer Bastien à mes jeux sexuels avec Lise. Un pressentiment. Ou un début de jalousie. Mais Lise me prit de court.

— Tu sais bien que je ferais n’importe quoi pour toi. D’ailleurs, j’ai DÉJÀ fait n’importe quoi, non ?

— Donc, tu serais partante, pour que nous fassions l’amour toutes les deux devant lui…

— Si tu me le demandes… C’est le cas ?

— Euh… oui, je te le demande.

— Alors, je te dis oui. Mais comme je fais un gros effort pour toi et pour Bastien je demanderai quelque chose en échange.

— Quoi ?

— Tu verras bien, répondit Lise, avec un air mystérieux qui aurait du m’alerter.

J’étais prise à mon propre piège.

Le lendemain, j’ai annoncé à Bastien que Lise acceptait de s’exhiber avec moi, devant lui, et il ne parvint pas à cacher sa joie et son excitation.

Deux jours plus tard, Bastien nous invita le soir toutes les deux dans un restaurant italien. Lise but plusieurs verres de chianti. Peut-être pour vaincre ses réticences et ses tabous du moins, c’est ce que je pensais.

Puis nous nous sommes retrouvés tous les trois chez moi, pour un dernier verre sur la terrasse. Vodka orange. Il faisait beau et chaud. La nuit était à peine tombée.

Lise et moi nous étions habillées très légèrement, de façon presque identique, sans nous être consultées. Une robe d’été très courte, à bretelles, sur un string. Pas de soutien-gorge. Mules à hauts talons… très sexy.

Lise était assise à côté de moi, sur un large fauteuil de jardin. Je la tenais par l’épaule, sa main était posée haut sur ma cuisse, et elle se blottissait de temps en temps contre moi pour m’embrasser. Bastien nous dévorait des yeux…

— Tu veux faire l’amour avec moi, devant lui ? ai-je demandé à Lise.

— Oui, a-t-elle répondu dans un souffle. Je veux qu’on me regarde pendant que tu me fais jouir, ma chérie.

— Tu veux que je te déshabille ?

— Mets moi nue, j’ai envie…

J’ai pris Lise par la main, pour la mettre debout, devant Bastien. Je me suis placée derrière elle, et j’ai commencé par l’embrasser dans le cou, et par la caresser, à travers sa robe.

Lise se laissait faire, et a glissé sa main sous sa robe, pour se caresser. Elle s’est mise à gémir doucement, puis elle a soulevé sa robe et écarté son string, pour accéder plus facilement à son minou tout lisse, pour le plus grand plaisir de Bastien, qui se caressait lui aussi, à travers son jean.

J’ai pris l’ourlet de sa robe entre mes doigts, et je l’ai remonté lentement. Lise a passé ses bras derrière mon cou, faisant ainsi saillir ses adorables seins, que j’ai découverts tout doucement. Sa robe enlevée, Lise est restée debout devant Bastien.

Je lui avais offert quelques strings, tout petits, retenus par des agrafes de part et d’autre du triangle de dentelle. Il suffisait de faire sauter ces agrafes, en les tenant entre le pouce et l’index, et le string tombait tout seul. Je trouvais ce geste beaucoup plus élégant et sensuel, que de baisser une petite culotte, et de se pencher pour l’ôter.

L’effet sur Bastien fut immédiat, lorsque Lise se dénuda ainsi entièrement, ne gardant que ses mules à hauts talons : il sortit sa queue dressée de son pantalon, et commença à caresser sa longue tige sombre.

Lise se retourna vers moi, et me déshabilla à mon tour. Moi aussi, j’avais envie d’exposer mon corps au regard de Bastien, même s’il le connaissait par cur.

— Venez, on rentre, dis-je, en guidant Lise à l’intérieur.

Je ne voulais pas la faire jouir sur la terrasse, car nous sommes trop bruyantes dans ces moments-là, et Bastien nous a suivies.

Lise et moi, dédaignant le canapé, nous nous sommes étendues sur le tapis du salon, face à Bastien qui s’était assis confortablement dans le canapé, pour jouir du spectacle.

Elle s’est de nouveau blottie contre moi, et ma main est descendue sur son ventre plat. Je lui ai murmuré à l’oreille :

— Montre lui ta petite chatte…

Sans protester, elle a écarté ses cuisses, et a ouvert son minou du bout des doigts. Ma main a remplacé la sienne, pour découvrir son bouton d’amour dardé. Je l’ai caressé longuement, arrachant à Lise de longs soupirs de plaisir, avant d’écarter ses petites lèvres brillantes de cyprine.

J’ai commencé à la doigter, devant un Bastien médusé. Elle gémissait, elle coulait sur mes doigts. Puis c’est elle qui m’a dit à mi-voix :

— Moi aussi, je voudrais m’occuper de ton petit abricot, devant ton copain.

Je ne demandais que ça ! Je me suis étendue à demi, en appui sur un coude, mes cuisses ouvertes aussi largement que celles de Lise. C’était à son tour de me caresser, et de fouiller ma grotte trempée de mouille.

Ma main était remontée entre ses fesses. J’ai écarté les deux globes bronzés, et Lise s’est cambrée pour mieux m’offrir son petit trou.

Elle me bouffait maintenant la chatte, et je poussais des petits cris de plaisir, tout en faisant tourner un doigt plein de mouille autour de son illet tout serré. Elle a crié, quand ma phalange a forcé l’entrée de son petit cul, et s’est enfoncée doucement.

Bastien s’était levé, pour mieux nous voir, et ne rien perdre de ce que nous nous faisions. Sa présence à côté de nous m’excitait, mais à ma grande surprise, elle excitait Lise au moins autant. Sous ses yeux, nous nous étions transformées en deux chiennes en chaleur, à la poursuite de leur plaisir, sans pudeur ni tabous.

Nous nous doigtions sans retenue, en poussant des cris de plaisir, en en réclamant toujours plus. La bouche de Lise léchant et mordillant mon clito, sa langue vrillant ma fente dégoulinante, remplacée par ses doigts, avant que ceux-ci s’agitent dans mon cul… C’était trop bon. J’avais perdu conscience de tout ce qui n’était pas mon plaisir, me souciant juste de procurer le même à ma Lise.

Nous avons eu un premier orgasme, violent, presque en même temps, sans que celui-ci nous rassasie.

— Baise moi avec un gode… S’il te plaît, me demanda Lise.

Je me suis précipitée dans ma chambre, pour y chercher un gode ceinture double, et je suis revenue en courant presque, tout en attachant le harnais autour de ma taille.

En rentrant dans le séjour, j’ai vu que Bastien se déshabillait. Nu, il était très beau, avec son corps musclé et sa peau aux reflets chauds. Son gland décalotté rose émergeait de sa longue bite sombre, et Lise la contemplait avec une expression de gourmandise étonnante chez elle. Je n’étais pas au bout de mes surprises…

— Mets-toi à genoux, petite salope, lui dis-je.

Elle s’est exécutée avec un air soumis feint. Je me suis agenouillée derrière elle, pendant qu’elle se cambrait pour recevoir le gode, et j’ai vu de longs filets de mouille couler à l’intérieur de ses cuisses.

Elle a passé sa main entre ses cuisses, pour écarter ses petites lèvres, et elle a gémi de plaisir, lorsqu’elle a senti le gland de résine s’enfoncer dans son intimité.

Lentement, je l’ai pénétrée à fond. Puis j’ai commencé à faire aller et venir le gode dans son minou. Chaque mouvement du sex-toy se répercutait à son autre extrémité dans ma propre chatte. J’ai toujours adoré les sensations que procure ce genre d’engin, et je les extériorisais bruyamment !

Bastien se branlait en nous regardant. Ses yeux s’arrondissaient, à chaque fois que nous redoublions d’efforts. A grands coups de reins, Lise s’empalait sur le gode, et lorsque nous ne criions pas, nous nous encouragions avec des mots crus.

— Baise moi plus fort !

— T’aimes ça, hein, petite pute ?

— Oui, défonce moi…

— Dis tout haut que tu es une salope !

— Oui, je suis ta salope.

Nous étions infatigables, toutes les deux. Lise a joui, pendant que je la baisais de toutes mes forces, mais j’ai continué au même rythme. Puis ce fut mon tour de venir, en criant et en giclant. Mais Lise était déjà relancée.

C’est alors qu’elle me surprit.

— Je voudrais sucer Bastien, pendant que tu pilonnes ma chatte, dit-elle.

— Tu veux ?…

— Oui, j’aimerais jouir avec une bite de mec dans ma bouche.

Je n’en revenais pas. Bastien était aux anges. Sa seule préoccupation était de ne pas décharger trop vite, tant il était excité.

Il s’agenouilla à son tour, face à Lise. J’ai regardé, sans arriver à en croire mes yeux, les mains fines de ma Lise s’emparer de l’énorme queue sombre de Bastien.

Elle a marqué un temps d’arrêt. J’imagine qu’il lui fallait un peu de temps pour réaliser qu’elle tenait entre ses doigts un tel engin.

Puis je vis les mouvements de son poignet. Elle a commencé à branler mon amant, qui fermait les yeux pour goûter cet instant magique : il était le premier homme de Lise…

Ces mouvements se sont accélérés, au fur et à mesure qu’elle apprivoisait "la bête". Je ne bougeais presque plus le gode dans sa chatte, tant j’étais hypnotisée par la scène. Puis elle posa doucement ses lèvres sur le gland. Elle l’embrassa, lui prodigua des petits coups de langue. Et elle finit par le prendre dans sa bouche.

J’étais excitée, même si j’éprouvais un petit pincement de jalousie. Alors, j’ai recommencé à baiser la chatte de Lise, tandis que Bastien empoignait ses cheveux pour guider sa fellation.

Tout s’est emballé de nouveau. Comme si elle faisait ça depuis longtemps, Lise pompait le sexe de Bastien, qui grognait de plaisir. Elle malaxait ses couilles à pleine main. Je voyais les jolies fesses de Lise tressauter à chacun de mes coups de reins, et le gode est venu frotter mon point G. Pour mon plus grand bonheur.

J’ai aperçu dans la vitre de ma porte-fenêtre le reflet du spectacle de notre trio. C’en était trop. Je me suis déchaînée. Bastien a enfoncé sa bite jusqu’au fond de la gorge de Lise, qui hoquetait mais ne cherchait pas à se dégager.

Lorsqu’elle a réussi à reprendre son souffle, ce fut pour mieux s’abandonner au désir de Bastien et au mien.

Elle a joui. Sa mouille a giclé. Ses cris étaient étouffés par le gland de Bastien, et j’ai senti que je venais aussi. L’orgasme m’a emportée, lorsque j’ai vu le visage de Bastien se crisper, et lorsqu’il a éjaculé en grognant entre les lèvres de Lise.

Elle a avalé ce premier jet de foutre, et les suivants sont venus éclabousser son visage et ses épaules. Puis elle a regardé le membre de Sébastien, longuement, comme si elle ne croyait pas elle-même être la cause de tout ça.

J’ai aidé Lise à se relever, et je l’ai prise dans mes bras. Je sentais ses jolis seins, encore tout durs, écrasés contre les miens.

— Oh Ambre, ma chérie, me dit-elle. Comme c’était bon.

Et sans me laisser le temps de lui répondre, elle m’a embrassée, à pleine bouche. Nos langues se sont retrouvées. Nos salives et la semence de Bastien se sont mêlées, comme pour sceller un nouveau pacte entre nous.

Je les ai entraînés tous les deux sur la terrasse, pour récupérer devant un verre. Lorsque je suis revenue du séjour avec les bouteilles d’alcool, j’ai trouvé Lise lovée sous le bras de Bastien, et la jalousie est revenue en moi, moi qui croyais ignorer ce sentiment.

Il y eut d’abord un moment de silence, puis la conversation est repartie, normalement. Mais je trouvais Lise… bizarre. Elle hésitait manifestement à dire quelque chose qui la gênait.

Au bout d’une dizaine de minutes, elle a pris sa respiration, et elle s’est lâchée.

— Ambre, on avait dit que, si j’acceptais de m’exhiber avec toi devant Bastien, je te demanderais quelque chose.

— Oui, je m’en souviens. Et je t’avais répondu que j’étais d’accord. Alors, c’est quoi ?

— Voilà… (elle devint toute rouge). Je n’ai jamais essayé avec un garçon, et je voudrais que Bastien me fasse l’amour.

— Quoi ? Je croyais que tu n’étais pas attirée par les mecs.

— C’est vrai. Mais c’est peut-être parce que ceux que j’ai rencontré jusqu’ici m’ont dégoûté du sexe. Avec Bastien, j’en ai envie, et le plaisir que j’ai pris en le suçant me conforte dans mon idée.

— Mais tu es libre de faire ce que tu veux, Lise. Pas besoin de me demander, dis-je en faisant contre mauvaise fortune bon cur.

— D’abord, je ne voulais pas faire ça derrière ton dos. Et j’aimerais que tu participes, pour cette première fois. Ça me rassurerait.

— D’accord Lise. Tu sais que je ne peux rien te refuser. Tu veux le faire ce soir ?

— Oui… dit-elle d’une voix de petite fille.

— Allons dans ma chambre, ce sera plus confortable.

Nous sommes rentrés tous les trois dans mon appartement. Dans ma chambre, j’ai allumé deux petites lampes pour créer une ambiance intime, mais j’ ai pris soin de ne pas fermer la fenêtre, ni les volets. Je voulais que mes voisins éventuellement éveillés profitent des vocalises de Lise en pleine action !

Avec Bastien, nous l’avons étendue sur le lit. Il a commencé par l’embrasser tendrement, par la caresser. Ses épaules, ses seins, son ventre. Il ne touchait pas encore son sexe.

J’ai pris quelques photos du couple, tant il me semblait beau, puis je me suis allongée à côté d’eux, pour caresser également Lise, qui s’est détendue petit à petit sous nos doigts experts.

Bastien a attendu que les premiers gémissements naissent au fond de sa gorge, pour caresser le petit bouton de Lise. Elle a réagi au quart de tour, et son corps s’est tendu comme un arc, ses nichons pointaient vers le plafond, et un filet de mouille a coulé de sa fente déjà entrouverte.

Je me suis mise à la caresser aussi. Quatre mains parcouraient sa peau, qui frissonnait de plaisir.

Avant de pénétrer Lise, Bastien lui a redonné sa queue à sucer, pendant que je dévorais son petit abricot juteux. Elle léchait et pompait le gland décalotté avec gourmandise, prenant régulièrement aussi toute la bite dans sa bouche.

A ce rythme, le désir a bientôt submergé Lise, qui avait oublié toute ses appréhensions, et c’est elle qui a demandé à ce que Bastien la prenne.

— Bastien… Oh Bastien, vas-y, suppliait-elle. Baise moi, fais moi jouir…

Il est venu entre ses jambes, qu’elle a écarté. Elle a pris ses mollets entre ses mains, pour offrir sa chatte, décollant ainsi ses reins du lit et montrant son petit trou blotti au creux de ses fesses.

J’ai guidé la bite de Bastien vers la fente de Lise, qui se mordait les lèvres en attendant cette première pénétration masculine de son intimité. C’est à peine si je pouvais refermer mes doigts (j’ai des petites mains) autour de ce pieu sombre.

Lise a soulevé la tête, pour regarder la superbe bite qui allait remplir sa petite chatte. Elle ne la quittait pas des yeux, elle se mordait les lèvres. Sa respiration est devenue haletante. Puis elle a poussé un long gémissement, lorsque le gland a forcé l’entrée de sa grotte.

Elle avait tellement mouillé que la pénétration se fit facilement. Bastien ne brusquait pas les choses, et progressait tout doucement en elle, par petits coups de reins. Je suivais la scène, en caressant le clito de Lise, et j’avoue que des gouttes de cyprine perlaient aux portes de mon minou…

Lorsque Bastien se fut enfoncé totalement en elle, il attendit la réaction de Lise. Qui ne se fit pas attendre longtemps. Elle commença à faire onduler son bassin, pour mieux sentir la queue qui la remplissait, et elle agrippa les hanches de Bastien.

— Vas-y, merde, vas-y, feula-t-elle. Baise moi, c’est trop bon de sentir ta queue…

Il ne se fit pas prier ! Il se retira presque complètement, puis pénétra Lise d’un seul coup de reins. Elle hurla. Et il se mit à aller et venir en elle, à un rythme d’enfer, avant de ralentir ses mouvements, puis de pilonner de nouveau sa petite chatte.

La sueur ruisselait sur le corps musclé de Bastien, mais aussi sur celui, frêle, de Lise. Le spectacle était d’un érotisme torride, et les cris inarticulés de Lise en rajoutaient. Je continuais à jouer avec son clito, à torturer les pointes dressées de ses seins, mais ce rôle de quasi spectatrice me frustrait.

N’y tenant plus, je suis venue chevaucher Lise, en m’agenouillant au-dessus de son visage. Comprenant ce que j’attendais, elle a empoigné mes fesses, et elle a commencé à dévorer ma petite chatte.

Nous voir toutes les deux ainsi a redoublé l’excitation de Bastien, qui s’est mis à baiser Lise encore plus fort. Je sentais, sous moi, tout son corps ébranlé par ses coups de boutoir. Lise gémissait et criait de plus en plus fort, tout en astiquant mon clito et en fouillant de ses doigts fiévreux ma grotte trempée.

Se faire prendre par un homme était une nouveauté pour elle, et elle a joui plus vite que d’habitude. Mais elle n’était pas rassasiée, et Bastien se contrôlait.

A notre grande surprise, elle s’est dégagée de nos étreintes, et elle a allongé brutalement Bastien sur mon lit. Puis elle s’est ruée sur lui, comme une furie.

Je suivais la scène, incrédule. Lise "ma" Lise se comportait comme une salope (en fait, comme moi) avec un mec. Je n’en revenais pas.

Enfourchant Bastien, elle a pris sa bite dressée dans sa main, et l’a guidée vers sa chatte. Elle s’est empalée, en fermant les yeux pour mieux savourer ses sensations, et le gland rose a disparu lentement entre ses petites lèvres, suivi par tout le dard, dur comme de l’acier.

Elle s’est mise à chevaucher Bastien, sauvagement. La sueur ruisselait sur son corps et sur son visage, emportant son maquillage. Ses jolis seins tressautaient en cadence, pendant qu’elle prononçait des mots crus.

— Oh putain, c’est bon une bite… Oui, baise moi, Bastien… Prends moi comme une pute. Oooooh, j’adore !!

Bastien se mordait les lèvres pour ne pas éjaculer, mais Lise en voulait encore plus, et elle s’est tournée vers moi, sans s’arrêter.

— Ambre, prends ton gode double. Je veux que tu m’encules en même temps… Dépêche toi, salope !

Cette fois, les limites de mon étonnement étaient dépassées. Lise défoncée par un mec, et voulant se faire prendre en double ! Je marquai un temps d’hésitation, mais Lise s’impatientait déjà.

J’ai pris mon gode double, j’ai enfoncé une des extrémités dans ma fente, et je suis venue m’agenouiller derrière Lise.

Elle s’est immobilisée, et elle s’est cambrée pour m’offrir son joli petit cul. Ce n’était pas la première fois que je la prenais de ce côté là, mais j’avais l’impression de redécouvrir le petit trou de Lise. Je le préparai en crachant entre ses fesses, en ouvrant sa rosette avec mon doigt plein de mouille.

Lise n’était pas décidée à attendre. Elle prit elle même dans sa main l’extrémité de mon gode, et le plaça contre son petit illet sombre.

— Vas-y, salope, cria-t-elle. Qu’est-ce que t’attends ?

Aiguillonnée par cette insulte, je poussai d’un grand coup de reins le sex-toy dans le petit trou de Lise, qui hurla. Je me suis enfoncée en elle lentement, sans lui faire grâce d’un centimètre de mon gode. Elle haletait, mais elle ne se plaignait pas.

Lorsque son petit cul a été engodé à fond, j’ai marqué un temps d’arrêt, pour qu’elle se détende, et c’est elle qui a commencé à onduler des hanches.

La voir se tortiller ainsi me rendait folle. J’ai oublié ma jalousie, pour mettre toute mon énergie et tout mon désir dans cette sodomie.

Chacun de mes coups de boutoir soulevait le corps de Lise, qui retombait ensuite lourdement sur la bite de Bastien. Elle hurlait de plaisir, elle criait des mots crus, et Bastien avait toutes les peines du monde pour se contrôler, d’autant plus qu’il sentait mon gode à travers la mince paroi qui le séparait de son sexe.

Lise était déchaînée. Bientôt, elle se mit à crier :

— Ooooh je viens !… Putain, putain, putain, je vais jouir… Oh ça y est, je jouis !

Lise hurlait, pleurait, tant son plaisir était violent. Sa mouille dégoulinait de sa fente.

Bastien a enfin laissé libre cours à son plaisir aussi, en poussant des grognements de fauve en rut. Lise continuait à le chevaucher, et un bruit de succion s’échappait de son minou, chaque fois qu’elle s’empalait sur le chibre de Bastien.

Moi aussi, je sentais l’orgasme monter. A mon tour, je me suis déchaînée, défonçant le petit trou de Lise à grands coups de reins, pour mieux éprouver la rigidité du gode dans ma chatte.

J’ai joui. Follement. Et Lise a été emportée par un dernier orgasme, somptueux.

Nous nous sommes écoulées toutes les deux sur Bastien, trempées de sueur, nos cuisses maculées de cyprine et de foutre. Nous sommes restés un long moment étendus tous les trois, peinant à reprendre nos respirations.

Puis nous nous sommes relevés, sans un mot.

Lise a plongé son regard dans le mien, et elle m’a embrassée à pleine bouche. J’ai senti sa poitrine palpiter contre mes seins, et j’ai éprouvé à quel point cette fille me plaisait.

Mais j’ai lu sur son visage une expression que je ne lui connaissais pas. Malgré les relations très libres qui s étaient installées entre nous, Lise avait gardé un fond de timidité et de retenue. Avec elle, je menais la danse, et elle s’était placée d’elle-même en situation de soumission.

Là, je me retrouvais en face d’une jeune femme épanouie et sûre d’elle. Il y avait une lueur de défi dans ses yeux. J’ai essayé de garder la maîtrise de la situation, en lui demandant, sur un ton que je voulais détaché :

— Alors, finalement, tu ne détestes pas les hommes tant que ça.

— Non, m’a-t-elle répondu. Bastien a su me faire découvrir des plaisirs nouveaux pour moi.

— Mais c’est un peu grâce à moi, dis-je sans parvenir à cacher ma jalousie.

— Je te rappelle que c’est moi qui ai insisté pour faire l’amour avec toi sous ses yeux toi, tu n’y tenais pas vraiment ! Et c’est moi qui ai voulu qu’il me baise !

Lise se tenait debout devant moi, bien décidée à ne plus me laisser la dominer. Je n’ai pas voulu envenimer les choses, au risque de la perdre, et je suis restée silencieuse.

— Viens sur la terrasse avec moi, Bastien, a-t-elle lancé d’une voix enjouée. Ambre va nous servir un cocktail, pour fêter ma première fois avec un mec.

Décontenancée, je les ai laissés sortir tous les deux sur la terrasse, et j’ai préparé trois cocktails. Je venais de sceller ma reddition, et ma soumission à Lise.

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