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Fantasme de garçon. – Chapitre 1




Fantasme de garçon.

22 ans tout frais sorti de lécole militaire de saint Cyr, je suis, jeune lieutenant tout juste promu, je ne suis pas revenu chez moi depuis 5 ans.

Fâché avec mon père et ma mère, parce que je nai pas voulu faire des études de médecine, je pense mais nen suis pas sûr, ils mont viré de chez eux et je ne sais toujours pas pourquoi.

Jai voulu devenir officier dans larmé et me suis engagé, jai passé les concours dentrée dans les écoles militaires et jai choisi St Cyr.

Pourquoi ? Me direz-vous, je vous répondrais que je ne sais pas, jaurais pu choisir une autre voie, javais de bons résultats scolaires mais non, ce fut celle là.

Sorti premier de ma promotion. Je viens de signer un engagement de 5 ans dans la Légion Etrangère, le 1er REP.

Je suis à Calvi, depuis 6 mois.

Jécris à ma petite sur toutes les semaines et nous, nous entendons très bien mais de loin, elle non plus je ne lai pas revue depuis 5 ans, elle avait 13 ans.

Jai une permission dun mois et suis dans mon appartement depuis 10 minutes, encore en uniforme de larmée quand.

Je reçois un télégramme de ma sur dont voici le texte.

Papa très malade.

Besoin de toi.

Tel : xx xx xx xx xx

Ou portable: xx xx xx xx xx

Fait vite je taime fort. Ta sur.

Je vais vous décrire ma famille avant daller plus loin.

1/ mon père, Jean. Un mec grand 1m80, 90 kg, bien bâti, pas très sportif, commercial 55 ans, bon chic bon genre mais autoritaire au possible, toujours raison et des idées sur tout mais jamais les bonnes.

2/ maman, Amandine, 39 ans, elle a épousé mon père après la mort de ma mère, elle venait davoir Mélanie avec un autre homme mort dans un accident. Belle brune bien foutue et bien conservée elle adore le sport et est prof de gym dans un lycée et bandante comme une gamine de 20 ans.

3/ ma sur, Mélanie, 18 ans, belle jeune fille, brune grande et sportive le portrait craché de sa mère et fait des études en fac de médecine.

Voilà pour le contexte.

Je compose le premier numéro sur mon fixe.

La sonnerie.., Vous êtes bien chez. Je raccroche

Je compose le numéro de portable.

« Allô! Oui »

« Cest moi, René »

« Salut frangin, je suis à lhôpital de Mr service cardiaux, papa a eu un infarctus, viens vite »

« Jarrive, tu peux venir me chercher à laéroport je te dirais plus tard lheure darrivée »

« Oui frangin, tu vas bien ? »

« Moins bien depuis 1 h, mais oui ça va »

On se dit deux ou trois banalités et je raccroche.

6 heures plus tard je suis dans le hall de laéroport de M.r et jattends ma sur depuis un quart dheure. Je nai pas pris le temps de me changer et je suis toujours en uniforme de la Légion.

Je prends ma valise et me dirige vers la sortie, quand jentends la voix de ma mère me dire, René cest toi.

Je me retourne et je suis nez à nez avec une superbe créature de 39 ans sexy en diable en tailleur jupe et talon haut. Quelle est belle maman, me dis-je.

A ce moment là, passe deux légionnaires qui me saluent et regardent ma mère, lair de dire il ne semmerde pas le lieut.

« Que se passe-t-il maman où est papa, et ma sur ?

« Ton père a eu un infarctus, il ta demandé, les médecins sont réservés, viens, ta sur est fatiguée, je suis venue te chercher »

Deux heures plus tard je suis dans la salle dattente de lhôpital, il ne va pas mieux, jai pu entrevoir ma sur, nous avons discuté avec maman tout le long du trajet mais elle et moi sommes trop émus pour avoir une véritable conversation.

Un médecin vient vers nous accompagné de ma sur et me dit, il voudrait vous voir, je vous demande de ne pas le fatiguer, pas plus de 5 minutes.

Il est là, des tubes et des appareils, il a lair de dormir.

« Viens approche » me dit-il en ouvrant les yeux.

« Te voilà lieutenant mon grand, cest bien, tu aimes ce que tu fais ? »

« Oui papa, jaime mon métier et je suis heureux mais tu me manques »

« Tu me manques aussi mon grand, je vais te laisser, promets-moi de prendre soin de ta mère et de ta sur, promets »

« Tu vas te remettre papa, tu vas voir et tout va aller bien »

« Promets-moi de prendre soin de ta mère et de ta sur, comme si tu étais moi pour ta mère, promets-le »

« Je te promets papa, pour maman et ma sur »

« Pour ta mère, comme si tu étais moi et ta sur aussi, tu me promets »

« Oui papa, promis mais ça va aller »

5 jours plus tard, en revenant du cimetière nous étions assis tous les trois dans le canapé du salon.

« Je vais partir demain matin, jai un vol pour Calvi à 10 h »

« Mais mon chéri tu es en congé pour un mois »

« Je ne veux pas vous déranger maman, ce nest pas parce quil nest plus là, que jai oublié que je ne suis pas le bien venu dans ta maison, comme tu me la dit, il y a 4 ans »

« Mon dieu, non, mon amour, si il y a cinq ans je tai dit et ai souhaité que tu partes ce nest pas que je ne taime pas mais que je taime trop. »

« Tu veux que je te cite tes paroles maman ? Pars, pars dici avant quil ne soit trop tard et que je ne puisse plus me contrôler, pars loin et que je ne te revois plus pour notre bien à tous. Voilà les dernières paroles que tu ma dites il y a 5 ans avant de me chasser de chez toi et mon père avec toi. Je nai pas oublié une seule syllabe ou un seul mot »

Ma sur nous regarde lun et lautre et me dit.

« Cest maman qui ta chassé de chez nous ? Ou papa »

« Maman ma dit de partir et papa ma mis à la porte »

« Cest horrible »

« Je men suis remis petite sur, bon je vais vous laisser, bonne nuit »

« Non tu ne pars pas, je veux te parler. Mélanie tu peux nous laisser seuls sil te plait »

« Je vais me coucher, si tu veux rester grand frère cest avec plaisir ta chambre est prête »

Une fois Mélanie sortie du salon, ma mère me propose une boisson et vient sasseoir sur le fauteuil face à moi ses jambes repliées sous elle.

« Je ne sais pas comment te dire mon amour, comment te dire pourquoi, si ce nest que je taime. »

« Maman je suis fatigué et je voudrais rentrer chez moi ; alors si tu veux me parler, je te laisse mon numéro de téléphone et si tu as un moment dans les 10 ans qui viennent appelle-moi, ok »

« Attends, ne pars pas, reste ce soir au moins et laisse moi texpliquer, donne-moi une chance mon amour. Aujourdhui tu es majeur et ton père nest plus là, alors je vais te dire la vérité. Pourquoi jai voulu que tu partes de la maison ? Tu avais 17 ans tu étais beau un apollon comme aujourdhui, jétais encore jeune je navais que 34 ans et un jour je suis entrée dans la sale de bain, tu étais nu, je fantasmais sur toi depuis quelques mois, jai eu peur de moi mon amour, jai eu envie de te violer, jen ai parlé à ton père mais il na pas comprise, alors comme cela allait de mal en pire avec lui, jai eu peur de moi »

« Vous mavez chassé, comme un mal propre, je ny étais pour rien, tu es belle et dire que je ne me suis jamais paluché en pensant à toi serait mentir mais de là, à me chasser, comment avez vous pu. »

« Ce nest pas moi, je voulais te garder ici, je me serais fait une raison mais ça ne tournait plus rond avec ton père et il y avait ta sur, alors je lai laissé me dicter ma conduite, si tu savais comme jai mal, comme tu mas manqué, je taime si tu savais, il y a 5 ans, que ton père ne ma plus touchée, je nai plus jamais voulu quil me fasse lamour. »

« Maman, je ne suis pas ton fils et moi aussi je taimais et te trouvais désirable et je navais que 17 ans, il suffisait de ne rien dire, on aurait eu notre secret à nous »

« Tu veux dire que tu aurais accepté, que tu aurais aimé, que tu maurais fait lamour, comme à une gamine de ton âge ? »

« Non, pas comme à une gamine de mon âge, comme à une femme de ton âge et en plus à lépoque jétais puceau et jaurais aimé que ce soit toi qui me dépucelles. »

« Jai tout gâché, avec mes préjugés et ma honte et je nai pas voulu te faire peur, je comprends aujourdhui que jai eu tort, je naurais jamais dûen parler à ton père, si tu savais comme je regrette, ne voudrais-tu pas me pardonner et essayer de me comprendre, reste quelques jours au moins, je taime toujours autant mon amour. »

« Il est trop tard, mon amour pour toi est parti, tu es une étrangère pour moi, tu restes ma mère adoptive mais je ne taime plus, ce que tu, vous avez fait est dégueulasse et je ne loubli pas. Je vais rester quelques jours ici pour ma sur, elle au moins ne ma jamais laissé tomber et a toujours été là, cest elle qui ma aidé depuis 5 ans à survivre, si ce nétait pas ma sur je pense que je ferais tout pour quelle maime, cest un être divin et si comme nous navons aucun lien du sang elle voulait, je lépouserais. »

Ma sur à ce moment là sortit du couloir où elle avait tout entendu, et se dirigea vers ma mère.

« Tu es vraiment une conne, tu aurais pu réaliser le rêve de tout gamin et de toute mère et tu es allée tout gâcher en le racontant à un nul, qui na jamais rien compris à rien, mais qui aurait bien voulu me baiser moi, si je lavais laissé faire. Alors non cest trop con ça, et toi dis-moi que tu nas pas envie de maman, dis-le !!!!! »

Je coupais court à cette discussion qui prenait un tour, que je navais pas envie daborder et surtout pas en présence de ma sur.

« Nous venons de nous retrouver et je ne veux pas entamer une discussion là-dessus, vous mexcuserez, je vais me coucher demain il fera jour. »

Jallais dans la chambre préparer à mon intention, me déshabillais et pris une douche, puis me glissais dans les draps frais, jéteignais la lumière et me plongeais dans mes pensés.

Un grattement à la porte.

« Je peux entrée grand frère »

« Oui entre »

Elle vint sasseoir sur le lit, elle était en robe de chambre, nous discutions depuis dix minutes, du passé, delle, de moi, quand elle eut un frisson.

« Tu as froid, viens là, à coté de moi. »

    Je lui fis la place dans le grand lit. Elle quitta sa robe de chambre pour se retrouver en nuisette transparente et nue dessous. Quelle est belle ma sur, un corps de jeune fille des seins petits et pointus, des hanches larges et des fesses rondes, des jambes fines interminables. Une bien belle sur mais cest ma sur, oui je sais, pas ma sur de sang mais ma sur de cur.

Elle se glissa dans le lit et vint se blottir contre moi, réchauffe-moi grand frère, je la prends dans mes bras et sens aussitôt sa chaleur, je lui caresse le dos pour la réchauffer, mais elle na pas froid elle est brûlante.

Sa main est sur ma hanche et me caresse délicatement, elle glisse sur ma cuisse et vient entre les deux jambes, juste au-dessus du genou, puis remonte vers mon boxer, passe délicatement sur la grosseur que forme mon sexe déjà bandé, sinsinue sous lélastique et se saisit de mon pénis.

« Non pas ça sil te plait. »

Elle ne dit rien ses lèvres cherchent les miennes, sa langue cherche la mienne, je deviens fou, je ne sais plus ce que je fais, je prends un sein le caresse, lui titille le bout à travers le tissu. Le baiser nen fini plus, sa bouche a le goût de vanille, sa langue me fouille la bouche ou la mienne la sienne, je ne sais plus. Je la parcours de mes mains, à la découverte de son corps, de ses fesses de son pubis presque imberbe, un tout petit pubis où je descends poser ma bouche, elle a quitté sa nuisette elle est nue, ma bouche cherche entre ses deux lèvres le petit bouton bien gonflé et ma langue le caresse, je cherche plus bas, elle sintroduit dans ce petit conduit, la pénètre le plus loin possible, parcours toute sa féminité et vas vers ses deux globes parfaits dans lequel je trouve sa rosette que je titille et suce pour revenir sur le petit bouton, elle vient de jouir pour la première fois et je bois son jus, cest chaud et salé un goût de miel aigre mais doux à la fois.

Elle est maintenant sur moi en position de 69 et prend mon pénis dans sa bouche, quelle sensation cest merveilleux, sa bouche est douce tendre et chaude, elle fait de longs aller et retour tout le long de la verge et vient sucer le gland turgescent, elle le pompe tout en branlant la verge tout du long dans de rapide va-et-vient. Son abricot coule de miel, je vais jouir, elle le sent mais continue à me sucer, elle jouit et je lui déverse tout mon jus dans sa bouche en de longues giclées chaudes.

Ce doit être la première fois car elle a du mal à avaler mais ne veut pas me décevoir et en me regardant dans les yeux déglutit. Je la prends dans mes bras. Je suis encore ferme comme lacier.

« Prends-moi, maintenant, fais-moi lamour, je taime, je veux être ta femme. »

Je mallonge sur elle ses cuisses sont écartées pour me laisser glisser en elle, jai du mal à la pénétrer, cest si étroit, elle passe ses jambes autour de moi et dun coup me pousse en elle et vient se plaquer contre mon pubis, elle a eu un petit cri de douleur et jai bien senti lhymen se déchirer, je viens de la dépuceler.

« Tu étais vierge, mon amour, pourquoi moi »

« Je taime, je voulais être à toi, je suis ta femme à présent, rien quà toi mon amour. »

Elle a relâché ses jambes et je lui fais lamour lentement en de longs et amoureux va-et-vient, cest si bon de faire lamour à une vierge. Pour la première fois de ma vie je suis heureux, je sens quelle va jouir alors jaccélère mais mouvement et plonge au plus profond, je bute contre son utérus et quand elle hurle son bonheur et sa jouissance, je jouis avec elle, en elle, elle est pleine de mon foutre je continue un bon moment à la pistonner et elle jouit encore et encore.

Nous sommes allongés lun contre lautre, je la caresse, lui caresse ses seins gonflés de bonheurs et de jouissances.

« Je taime, cétait bon, cest la première fois que je jouis, tu mas faite jouir comme une folle »

« Je taime aussi mon amour. »

Nous avons fait lamour toute la nuit, elle est très inventive pour une vierge et a trouvé des positions infernales de plaisir.

Cest la lumière du jour qui nous voit, nous endormir.

Je me réveille il est midi, je suis seul dans le lit, une tache de sang et de sperme mêlés me rappelle ce que nous venons de faire ma sur et moi. Que ma-t-il pris, jai perdu la tête. Je viens de faire lamour à ma sur toute la nuit et lui ai pris son pucelage, je suis fou et honteux, le remord menvahit. La porte souvre ma mère un plateau à la main vient me porter mon café. Je nose pas la regarder car je suis sûr quelle a entendu les cris de sa fille toute la nuit, elle voit la tache de sang me regarde avec un sourire et me dit,

« Tu sais, elle est heureuse, elle est allée à la pharmacie, chercher la pilule du lendemain si tu ne veux pas lépouser mais ne regrette rien de ce quil s’est passé, bien au contraire, tu las rendue femme et heureuse, ne gâche pas tout comme jai tout gâché, il y a 5 ans, aime la, elle taime damour et moi aussi. »

Elle pose le plateau sur le lit et vient sasseoir avec moi, me prend la figure entre ses mains et dépose un tendre baiser sur mes lèvres,

« Aime moi mon amour, fais-moi lamour à moi aussi, si tu savais comme jen ai envie »

Je la prends dans mes bras la dénude en regardant ce corps merveilleux de femme mûre et lembrasse la couvre de caresses, me couche sur elle et menfonce au plus profond de son ventre sans attendre, je ne peux plus attendre pour la posséder, elle est mienne, ce qui aurait dû se passer, il y a 5 ans est en train de se réaliser pour son bonheur et le mien.

Elle joui, elle hurle sa jouissance et son bonheur, je la prends longuement, je ne suis pas pressé jai tout le temps pour laimer.

Longtemps après, nous sommes allongés côte à côte sur le lit.

« Si tu savais comme je regrette tout ce temps perdu, et le mal que jai pu te faire mon amour. »

« Cest fini, ny pense plus ma chérie, je suis là et je taime »

« Tu as deux femmes maintenant mon amour » dit la voix de ma sur qui vient darriver dans la chambre.

Sa mère lui tend la main et lui dit « viens avec nous ma chérie viens »

Ma sur se dénude et nous rejoint dans le grand lit, nous avons passé la journée et une partie de la nuit à faire lamour tous les trois, entrecoupée de moment de repos et quelques heures de sommeil, quand ce nétait pas une des femmes cétait lautre mais javais en permanence le sexe entre des cuisses, ou des fesses ou dans une bouche, et pour me laisser un peu de repos les deux femmes dormaient aussi tout contre moi.

Nous vivons ainsi depuis dix ans tous les trois.

Jai quitté larmée et suis cadre dans une société de surveillance, ma sur est médecin et est aussi ma femme nous avons eu un fils et une fille. Et ma mère un fils.

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