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Excepté au chalet – Chapitre 1




Il y avait une riche campagne peinte des plus jolies fleurs où les jaunes épis tombaient sous la faucille. Un ruisseau désaltérait et fertilisait les terres des habitants du hameau.

Chaque aurore était l’occasion de profiter de l’écho de la bourgade qui définissait les champs de leur liberté. La petite propriété d’une paysanne faisait partie intégrante du paysage. Tous les matins, elle sortait du chalet pour aller s’occuper de son jardin et de ses bêtes : potagers, basse-cour, porcherie, clapiers…

La paysanne s’appelait Liễu Thị Kiều Ty. Ses compatriotes suisses, qui peinaient avec la prononciation vietnamienne, la surnommaient Ketty. C’était une petite femme habillée d’un corset brodé rouge et blanc à lacets, d’une jupe brune avec tablier, et d’un foulard.

Elle ne portait pas de chaussures. Ses pieds légers et délicats, à peine dissimulés par les plis de sa jupe, foulaient l’herbe fraîche. Les brins avaient capturé la rosée du matin.

Sa vie semblait être à l’eau de rose. Les villageois pouvaient regarder la Vietnamienne depuis leur fenêtre, leur balcon ou dans les champs. Autour de ce bout de femme régnait un tel parfum de chasteté, un tel charme de vertu ! La joie et la grâce souriaient sur ses joues.

Pourtant, elle avait des vices, comme tout le monde.

Ce simulacre qu’elle portait à l’extérieur pour se donner bonne apparence disparaissait quand elle rentrait dans son foyer. Elle n’était pas ce que les voisins pensaient et ils ne pouvaient imaginer ce qui se cachait à l’intérieur du chalet.

*

La mère veillait au chevet de son enfant. C’était un garçon qui n’avait jamais connu son père et la figure paternelle fut absente tout au long de sa jeunesse. Il avait tout de même réussi à se construire, à se développer et à se comporter comme ses camarades.

Cependant, sa mère, elle, avait cruellement ressenti le besoin d’une épaule masculine sur laquelle se reposer. Ce fut son fils qui reçut une éducation particulière pour subvenir aux besoins de sa mère.

Ketty avait pris l’habitude de réveiller son fils tôt le matin. Une fois son corset retiré et à califourchon sur son chérubin, elle lui palpait le sexe. Elle pouvait le sentir gonfler dans ses mains, à chaque fois, pour ensuite y glisser une langue chaude et humide le long de la verge. Elle se mettait toujours à cheval sur lui pour qu’il puisse ouvrir les yeux sur une belle image de sa maman. Des mains douces ; des lèvres pulpeuses ; des seins ronds et fermes…

L’enfant de vingt-deux ans s’appelait Liêm.

Liêm s’était imprégné de cette vie depuis son enfance. Il n’avait jamais connu d’autres femmes ni d’autres amours que celui de sa mère. Ketty avait toujours pu satisfaire la libido de son enfant et lui apprendre qu’il n’y avait que sa mère qui pouvait l’aimer à jamais. Lui apprendre, aussi, que les autres femmes étaient indignes et infidèles.

Ketty portait un amour inconditionnel envers son fils en qui elle voyait l’amant qu’elle n’avait jamais eu. Ne voulant pas être dans le désarroi et la solitude, elle avait éduqué son chérubin pour son propre plaisir, jusqu’à lui inculquer des valeurs basées sur ses désirs charnels.

Liêm laissa la place à Ketty qui se coucha sur le dos. Il se mit à genoux et souleva la jupe de sa mère jusqu’au-dessus du nombril. C’était une vulve adorable. Une fine toison verticale entretenue. De larges grandes lèvres et de fines petites lèvres. Le jeune homme n’eut aucune peine à offrir sa verge, comme une offrande, pour sa mère. La fente vaginale s’ouvrit et accueillit le membre dressé du chérubin.

Sa mère gémit et il sentit le vagin se crisper. Pendant la pénétration, il ne put s’empêcher d’aller cueillir un tendre baiser. Sa mère avait des lèvres de miel…

C’était un brave enfant ; et un honorable amant.

*

En début d’après-midi, Ketty était sortie se balader. Elle était en harmonie avec les champs où la brise balançait les épis. S’approchant de la rivière, les vaguelettes se brisèrent amoureusement à ses pieds. Elle se tenait debout, les doigts entrelacés derrière le dos, avec un regard sur le village à l’horizon.

Ketty, comment vas-tu ?

La Vietnamienne ne tourna pas la tête.

Bien, Alexandre. Je vais bien.

Que regardes-tu ?

La beauté du monde. C’est si beau.

Rien n’est plus beau que la bonté de ton cur.

Ketty se retourna, toujours les mains derrière le dos.

Tu es bien aimable !

Nous pourrions passer du temps, tous les deux, pour mieux nous connaître. J’aimerais tant pouvoir te parler et t’écouter. Tu es belle et charmante. Ce sont les beaux jours où Flore amène les amours.

Je suis flattée. Sache que mon amour pour toi est sincère, mais bien trop chaste. Mon cur est déjà pris.

Vraiment ? Mais tu vis seule avec ton fils ?

Se retournant à nouveau face au village voisin, elle répondit d’une voix très douce :

C’est vrai ; et c’est tout ce qui importe…

Alexandre s’approcha à pas feutrés et posa une main sur la fine épaule de la jouvencelle, et lui dit :

Pas plus tard qu’hier, nous étions très proches, et je voyais que tu étais heureuse. Nous pouvons rester ici et passer du bon temps.

Ketty mit un temps à répondre.

Peut-être que ça vaut le coup d’essayer ? sourit-elle.

L’Asiatique déposa sur la joue d’Alexandre un baiser qui s’échappa des lèvres. L’homme ne se fit pas prier. La jeune beauté fut couverte de baisers donnés, rendus, mille fois répétés.

*

De retour à la maison, elle trouva Liêm en face de la porte d’entrée, comme s’il l’avait attendue.

Pourquoi est-ce que tu ne m’aimes plus ?

Qu’est-ce que tu racontes ?

Je t’ai vu avec cet homme indigne qui ne mérite pas ton amour.

Ketty resta immobile de surprise.

Pourquoi tu as fait ça ?

Je… Je ne voulais pas…

Liêm s’approcha et répéta plus fort :

Pourquoi ?!

Je suis…

Liêm la prit par les cheveux, la força à s’agenouiller et lui souleva la nuque pour que la bouche se trouve à l’horizontale. Ketty ouvrit les mâchoires et il lui enfonça sa verge dans la bouche. Elle s’offrit sans réticence. À chaque coup de reins, Ketty sentait le sexe s’épaissir, les veines se gonfler. La rage de sexe était intense.

Au bout d’une trentaine de coups, alors qu’elle était sur le point de s’évanouir sous la violence de cette gorge profonde, elle se fit plaquer au sol, couchée sur le tapis.

Liêm, tu… (Elle tousse.) Tu me fais mal…

Je vais te donner une leçon pour que tu ne fasses plus de bêtises. C’est toi et moi. Personne d’autre !

Ketty le vit cracher dans une main pour lui lubrifier l’anus. Il allait la sodomiser sans vergogne. En vérité, Ketty n’avait pas mal ; elle aimait ça.

Le gland s’introduisit dans l’anus et glissa dans la muqueuse rectale. Longuement. Violemment. Alors qu’elle s’était attendue à passer du bon temps à la maison sans se soucier de sa petite aventure au bord de la rivière , voilà qu’elle se faisait sauvagement enculer sur le tapis.

Une douleur affreuse mêlée à un bonheur sadique lui envahit la croupe, se répandant comme un poison dans ses intestins. La queue prodigieusement longue pénétrait en elle avec une ferveur endiablée. Liêm jouait en virtuose avec les sensations de sa mère. Tout en la sodomisant, il lui frottait le clitoris gonflé comme une petite cerise, et Ketty miaulait, piaulait, roucoulait…

Maintenant qu’il en avait terminé avec cet orifice, la mère ouvrit la bouche. Elle le suça, le tétant comme un bébé affamé, fiévreusement excitée par cette baise bestiale méritée.

Ketty se plia de bon gré à tous ses caprices avec un empressement qui révélait le plaisir qu’elle prenait à être asservie de la sorte. Elle avait compris qu’elle devait revenir sur le bon chemin, celui de son amour envers son fils, et ne jamais céder à un autre homme.

Liêm continua de lui fourrer son membre dans le gosier, puis lui saisit les joues baignées de larmes entre ses deux mains pour la maintenir. Il se servit de cette bouche pulpeuse comme d’un vagin et juta longuement dans la gorge. Elle avala le sperme jusqu’à la dernière goutte, les yeux embués, et s’écroula dans un délicieux orgasme.

Il semblait clair que le bonheur était souvent un fantôme après lequel nous courrions sans cesse et qui nous échappait toujours. Souvent, le nirvana naissait d’un mal apparent.

Liêm comprit qu’elle n’allait plus s’égarer. Il lui tendit la main pour qu’elle se relève. Les jambes encore faibles, il la porta dans ses bras jusqu’au canapé, et l’installa, la tête sur l’accoudoir.

Merci…

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