Je demande à Coco de lâcher la queue de mon fils et de le positionner à genoux. Elle repositionne les coussins et demande à Jéjé de se mettre au centre. Je prends la petite Eva par les hanches et la mets à quatre pattes devant la bite de notre étalon. Coralie voit l’anus d’Eva ouvert et prêt à accueillir sa première sodomie avec un tel calibre. Elle la dirige vers la chatte détrempée pour lubrifier ce manche hors norme, puis la met au contact de la rosette. Jéjé est à l’écoute de Coralie qui lui dit d’y aller doucement, très doucement. Il s’applique et pousse en douceur. Eva souffle et pousse ses grosses fesses vers ce gland inquisiteur. Ça y est, il a passé la porte. J’embrasse Eva, Coco investit la bouche de mon fils. La cavalcade va commencer. Il y va doucement, mais une fois en butée, il reste bien au chaud. Eva apprécie cette queue énorme qu’elle sent palpiter au fond de ses intestins.

La vache, j’ai mal, mais c’est trop bon… Il me déchire… Mais c’est…

Elle n’a pas le temps de finir sa phrase que Jéjé ressort son gourdin et le lui renfonce rapidement, brutalement. Elle ne peut rien dire vu que j’ai soudé ma bouche à la sienne. La salope de Coco s’est glissée sous Eva et lui bouffe la chatte. Je délaisse la petite pour venir dévorer ma copine. Son odeur m’enivre. Je tire la tête d’Eva pour qu’elle vienne se délecter du jus abondant qui coule entre les cuisses de Coralie. On baise mon amie, parfois on s’embrasse et dès que le goût s’amenuise, on replonge vers cette huître ouverte.

Vous êtes des tarées, nous dit Jérôme, mais je vous adore, non, je vous aime… Han, Han, Han…

Au vu des coups de tête que me donne Eva, elle doit ramasser. Elle jouit non-stop. Je me touche le sexe. Il est trempé, noyé. Je me doigte le cul avec trois doigts, au fond de moi, j’espère que j’aurai le droit à la bite de mon fils. Eva ne dit rien, aucun son ne peut sortir de sa bouche grande ouverte. Elle explose dans des spasmes incroyables, elle a les yeux révulsés, elle bave, mais toujours en silence. Jéjé vient de lui remplir son petit conduit. Elle s’effondre sur Coco en disant :

Putain, ça fait mal, mais c’est terriblement bon…

Lève-toi, tu m’écrases, arrive à dire Coralie.

La petite grosse bascule sur le côté en se déboîtant de mon fils. Une coulée de sperme apparaît. Coco et moi, on lui nettoie consciencieusement les fesses, l’anus et la chatte. Il y en a de partout, il lui a mis la dose. Devant tant de dévotion, Eva nous caresse la tête. Mon fils se jette à l’eau, il sait qu’il a deux autres furies à contenter.

Coco se lève, nous resert à boire et grignote un morceau de pizza. Je reste sur mon côté en 69 avec ma future belle-fille, lui léchant le minou.

Ça va Eva, s’inquiète Coralie, tu n’as eu trop mal ?

Ça va, ça va… J’ai eu mal au début, mais par la suite, je ne sais plus. C’était entre douleur, gène et euphorie. Je ne savais plus où j’étais. Mon corps ne m’appartenait plus.

Tu as joui ? poursuit-elle.

Je crois que oui… C’est la première fois que je le fais avec un aussi gros calibre.

On explose toutes les trois de rire, rire qui s’intensifie en voyant mon fils faire la planche, évidemment, mât dressé. Quelle bête de sexe ! Quand il nous rejoint, il dit qu’il est mort. Eva le comprend, lui fait un petit bisou, il nous embrasse et s’en va dans le studio. Dommage, pensais-je, ce n’est que partie remise.

On est toutes les trois à discuter de tous et de rien. Eva nous dit qu’elle a eu son premier rapport à 15 ans, ce n’est pas un bon souvenir. Coco, déçue par le départ de mon fils, plonge dans sa piscine, on la rejoint. Dieu que c’est bon de se relaxer.

Le lendemain, on est tous installés sur la terrasse, les jeunes nous ont concocté un excellent petit-déjeuner. On a décidé d’aller à la plage de Bonne-veine, naturiste, mais cela, Jéjé l’ignore. Eva connaît très bien l’endroit, l’ayant fréquenté plus jeune avec sa mère. "TILT", bonne occasion pour mettre sa maman dans notre quatuor ? Je questionne Eva sur la possibilité de… Elle ne pense pas, sa mère s’est assagie. Avant, elle collectionnait les amants et ne s’en cachait pas. Son père faisait contre fortune, bon cur. Il l’aime et lui passait toutes ses frasques. Depuis qu’elle a passé la cinquantaine, elle a arrêté de courir et de collectionner les aventures. La ménopause, pense-t-elle.

Ta mère a 50 ans ?

51, exactement.

On ne dirait pas. Elle en fait dix de moins.

Je sais, mais elle s’entretient. D’ailleurs, je devrais faire pareil si je ne veux pas ressembler à une baudruche plus tard.

Il n’est jamais trop tard pour commencer et cela fera le plus grand bien à mon fils.

Coco qui et toujours intéressée quand on parle d’un probable futur plan cul, demande à Eva de téléphoner à sa mère et de lui laisser le choix. Eva hésite, Jéjé ne voit pas où est le problème. Le pauvre, s’il savait ce qu’il se passe là-bas. Eva part s’isoler pour appeler sa mère, et on la comprend.

On continue de se goinfrer de viennoiserie et de café. Au bout de quinze minutes, Eva m’appelle.

C’est OK pour ma mère, ça a été dur, mais elle a accepté que son Sicilien de mari était parti pour la journée à Manosque pour affaire. Il a une entreprise de maçonnerie.

Bon, alors on y va.

Une fois arrivé en haut de la plage, un klaxon, c’est la Maman d’Eva. Eva trépigne en attendant qu’elle sorte de sa Mercedes. Elle est enfin visible des pieds à la tête. Charmant petit bout de femme d’un mètre soixante environ, chevelure noire de jais, des cuisses appétissantes, des seins en poire qui se tiennent bien, et un visage de midinette de quarante ans. Bref, sa mère a tout pour se faire retourner bien des hommes. Eva fait les présentations.

Alors, Christine, future belle-maman. Coralie, l’amie et amante de Christ. Le grand dadais, tu le connais.

Enchantée, moi c’est Giovanna. Vana pour les amis… nous dit-elle en riant.

On descend les quelques marches qui nous séparent du sable. Jéjé reste bouche bée.

Mais… Mais ils sont nus, tous nus ?

Bin, oui. C’est une plage naturiste, lui répond Vana. Par là, c’est plus… Discret, intime et d’après ce que m’a dit Eva, tu as besoin de te cacher.

Eva est rouge de honte, je ne parle pas de Jéjé qui ne sait plus où se mettre. On installe nos serviettes derrière un monticule herbeux, presque à l’abri des regards indiscrets.

C’est sympa ici, tu connais l’endroit, me demande Coralie.

Non, et toi Vana ?

Oui, j’y venais souvent, cela fait un petit moment que j’y ai mis les pieds… J’y venais avec ma fille, mes amies ou mes amants.

Elle est à l’aise sur sa sexualité, ce qui contraste avec la première fois que je l’ai vue.

Les fesses, lance Coco, et la chatte…

On éclate toutes les trois de rire. On regarde Vana se déshabiller. Elle est magnifique, ronde, mais jolie et ses seins défient les lois de la pesanteur. Ils sont gros, en forme de poire et se tiennent bien haut, avec de petites aréoles et des tétons bien bandés. Que dire sur ses fesses ? Rien, elles sont parfaites, bien marquées et aucune trace de bronzage, contrairement à moi.

Jéjé et Eva sont déjà dans l’eau. Nous trois, on s’installe confortablement sur nos chaises de plage. On commence à papoter sur nos vies, nos enfants, nos maris. C’est là que l’on apprend que le mari de Vana est candauliste. Il aime voir sa femme faire l’amour à un autre que lui et qu’il rejoint le couple avant le bouquet final.

Et avec une autre femme, ou deux d’ailleurs, demande Coco.

Je ne sais pas, jamais fait.

Hummm, une bonne occasion d’essayer, lui répond ma copine en caressant la cuisse de notre nouvelle amie.

Un ange passe et c’est le moment que choisit Coralie pour déposer ses lèvres sur celles de Vana. Elle s’embrasse à pleine bouche, leur langue s’enroule et joue un concert en extérieur. J’en profite pour lui téter son sein gauche, lui malmener son sein droit et, de ma main libre, de lui caresser son abricot tout lisse. Vana gémit. Je tente un doigt, elle est trempée. Tout en continuant de lui bouffer son sein, je me laisse glisser le long du corps brûlant de notre nouvelle amante, lèche son joli petit nombril et, évidemment, atteins ses grandes lèvres. Ma langue s’insinue, viole cet antre chaud. Qu’elle sent bon ! Sa cyprine, au goût iodé, est sirupeuse. Depuis ma position, je les regarde. Elles sont en train de s’embrasser et de se triturer leurs petites fraises. Elles se regardent, m’observent. Elles me sourient, sourire que je leur rends. On continue jusqu’au retour des enfants.

Maman, dit Eva, tu exagères, tu m’avais promis de rester sage.

Ce n’est pas de sa faute, lui répondis-je, elle a un corps tellement attirant.

Oui, c’est vrai. On n’a pas pu résister, enchaîne Coco. Et pour vous, comment cela se passe ? Jéjé, pas trop choqué d’être à poil en public.

Non, pas trop… Mais vous ? Vous étiez vraiment en train de vous donner du plaisir ?

Hé, gros bêta, évidemment, lui dit Eva, vu la position qu’elles ont, elles n’étaient pas en train de tricoter… Idiot.

Vana n’a d’yeux que pour la hampe à moitié gonflée de mon fils. S’étant agenouillée, elle pend sur la moitié de sa cuisse. Elle n’en revient pas de la taille de ce sexe d’homme. Coco, en salope qu’elle est, la lui caresse et elle est bientôt en totale érection.

Eva, ça ne te gêne pas qu’une autre touche le sexe de ton futur époux ?

Non, m’man. Heureusement qu’elles sont là pour m’aider à le satisfaire. Il est capable de nous inonder toutes les trois plusieurs fois de suite.

Vana me regarde et me dit :

Tu couches avec ton fils ?

Non, ta fille s’en charge très bien. Coco et moi, on baise avec Jéjé.

Bin ça alors.

Coco le branle lentement en le décalottant à chaque descente. Une goutte, enfin, un filet de présperme coule de son méat.

Goutte maman, c’est divin.

Je ne peux pas. C’est mon futur gendre.

Allez-y, belle maman, avant que ces trois furies ne s’en chargent.

On glousse toutes les trois. Vana n’ose toujours pas, alors Jéjé s’avance jusqu’à ce que sa queue vienne soit à quelques millimètres des lèvres de sa belle-mère. Il lui prend la nuque et la tire doucement, avec délicatesse vers son manche de pioche. Elle a un mouvement de recul, vite stoppé par notre étalon.

Chut, lui dit-il doucement, je veux juste que tu me goûtes. Si tu ne veux pas la prendre en bouche, joue avec ta langue, il y en a trois autres qui n’attendent que ça.

Je ne peux pas, je ne veux pas faire ça.

Eva, qui s’exaspère, prend l’initiative de pousser son mec par les fesses et de mettre au contact la verge avec les lèvres de sa mère. Vana ferme les yeux et sa langue sort. Elle lèche ce gland qui n’attendait que ça. Elle ferme les yeux et commence une douce fellation. Eva, la petite coquine, lèche la partie que sa mère laisse libre. Une pipe à deux bouches, l’extase pour mon Jéjé. Il pousse de plus en plus fort. L’animal revient au galop. S’étant aperçue que sa fille l’aidait, elle sourit et entame une turlute réglementaire. Elle va même embrasser sa fille qui lui répond sans une once d’hésitation. Elle le pompe à deux, changeant de bouche, faisant glisser leur langue sur le phallus de mon fils. Leur salive inonde bientôt leurs seins. Qu’elles sont belles ! La bite de mon petit enserré entre les deux bouches gourmandes de sa future femme et de sa future belle-mère. Il se cambre et éjacule une bonne quantité de semence sur leur visage.

Elles ne s’arrêtent pas pour autant, et se lèchent mutuellement. Jéjé est retombé à genoux, Coco et moi on va le laver…

Hihihihi.

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