LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICK.
Christine s’occupe de son futur gendre. Suite.
Patrick, je commence à comprendre ce que te trouve Emilie, tu rends les femmes heureuses, elles ne peuvent plus se passer d’un tel pénis. Je te remercie pour la belle preuve d’amour que tu lui fais en m’accordant tes faveurs. Il faut que j’aille la remercier.
Mais Patrick me contredit aussitôt.
-Tu ne crois pas t’en tirer à si bon compte. Il faudra attendre, je n’en ai pas fini avec toi, il est temps de passer aux choses sérieuses ! Rappelle-toi tes paroles, je n’arrêterai que qu’en tu me demanderas grâce !
Je suis surprise par ses paroles- Que veut-il dire? Je n’en peux plus!
— Une autre fois, Emilie doit s’inquiéter…
— Ouais, tu oublies que tu m’as donné carte blanche.
Il m’attire contre lui, passe ses mains sous mes cuisses. Le seul contact de nos peaux m’arrache un râle. Il me soulève, je me retiens à son cou et noue mes jambes autour de son corps.
J’ai un petit cri de protestation quand il plie les genoux pour plus aisément m’embrocher, ses mains glissent et empaument ma croupe et il se redresse me clouant contre la porte de la salle de bains et me laisse descendre sur son rostre.
Il me taraude ainsi un long moment, suspendue à lui sans me laisser toucher le sol. Sans que sa queue ne quitte mon fourreau chaud et humide où il est abouté, il pirouette sur place pour s’asseoir sur le bord du lit. Mon cul est encore hyper-sensible de sa fustigation
Je suis maintenant à cheval sur ses cuisses. Mon ventre entame un mouvement de houle, montant et descendant autour de l’épieu qui me remplit, mon sexe est en feu.
Je gémis et soupire, mais il veut reprendre les commandes et me bascule sur le coté, son gland glisse dans ma chatte et sans aucun problème, il introduit la totalité de sa matraque en moi.
– Arrête, Patrick, tu ne vas pas recommencer, je suis Out ! Je te demande grâce! Tu m’as baisée comme je ne l’ai jamais été mais là, je suis complètement lessivée !
— J’obéis aux ordres de ta fille, et elle m’a dit de te baiser aussi longtemps que je le pourrai. Et comme tu peux le constater, ta chatte accueille encore une trique bien raide.
Et aussitôt, des coups de boutoir énormes d’une verge effectivement encore pleine de vigueur défoncent ma grotte enflammée, je m’emporte comme une gamine et essaie de le repousser.
Mais mon corps repart au quart de tour accompagnant ses ruades et mes protestations se transforment en gémissements, puis en râles.
Après d’interminables minutes de pilonnage, il change de méthode et me baise avec une lenteur exaspérante enfonçant son rostre jusqu’à ce que le gland s’écrase avec force au plus profond de mon fourreau d’amour. Mes muqueuses sont si sensibles que chaque frottement déclenche des ondes de plaisir.
A chaque fois qu’il touche le fond de ma grotte, je ne peux retenir des onomatopées :
-OOOOOOHOOOOOOHOuuuuiiiiiiiOOUUUUUIIIIIII. OOOOOOH ooouuuuiiii. OOOOOOH Patriiiick Mon Dieu, je vais défaillir, arrête !
Mais il est sourd à mes suppliques et accélère le rythme.
Il s’arrange à chaque pénétration pour que sa hampe frotte contre mon clitoris si sensible multipliant les sensations.
— Oooohhhh ooouuuiiiPatrick… Mais ce n’est pas une bite que t’as, ton pieu me défonce si bien! Ma matrice est pleine de ton bélier c’est incroyable comme je le sens en moi! Whaaaa que c’est booooonnnnn ! AAAHHH putain.
Je me vide de nouveau en hurlant avant de partir dans les vaps. Mes yeux se révulsent dans leur orbite et je m’affale sur le lit. Cet homme a uns science de l’amour extraordinaire.
J’ai disjoncté pendant quelques secondes et reprends doucement mes esprits, haletant comme un petit chien.
Je ne suis plus qu’orgasme, ma chatte est devenue si sensible, mes muscles intimes, pris de convulsions, se contractent si fort que sa grosse férule est presque immobilisée dans ma matrice.
— OH MON DIEU, JE JOUIIIIIIISSSS, OH MON DIEU, ça recommence, ça n’arrête plus! Ouuuiiiiiiiiiii ! Oh putain, oui, oui, OOOUUUIII! Oh Patrickputain de queutard, oui continue encore! Putain de forniqueur, tu vas me faire mouriiiiirr! Whaaaooouuu Je jouiiiiissssss encooooore!
Il essaie de retirer sa pine prisonnière de mon tabernacle mais il doit attendre que mes muscles se relâchent pour pouvoir échapper de ma chatte en feu qui retient prisonnière sa queue.
Je râle, j’ai la respiration haletante, mon corps ne me répond plus tellement je l’ai sollicité.
— Oh mon Dieu, arrête ! Ma chatte ne peut plus supporter ta bite! Oh s’il te plaît Patrick !
Mais il n’en a cure, il me tire vers le bord du lit. Il me prend dans ses bras puissants par la taille et se redresse.
Une fois mon corps collé contre le sien, il monte mon cul en l’air et progressivement renfonce son engin à la verticale jusqu’à la garde dans ma chatte béante. Je suis exsangue et râle doucement sous les coups de boutoir de Patrick. Je m’emporte.
— Oh Patrick je t’en supplie, je n’en peux plus. Arrête! Je t’en prie!
Mais ce fabuleux chibre lime toujours dans ma chatte dégoulinante de cyprine.
— Tu sauras à l’avenir qu’il ne faut pas me défier.
Mes muscles vaginaux recommencent à se tétaniser sur son rostre et le traient comme le pis d’une vache. Je hurle de nouveau :
— Oh mon Dieu ! Je jouis encore! Oh merde c’est pas Dieu possibleVas-y! Prends-moi! Ouiiiiiiiiii
Il se vide enfin de sa lave blanche dans ma matrice, je le remercie, émerveillée de ce qu’il arrive encore à produire depuis le début de nos agapes sexuelles:
– Ooouuuiii Donne-moi tout ! Remplis-moi comme une outre. OOOhhhh tu me remplis la chatte! Aaaaaaaahhhhhhh
Mon vagin continue de traire sa teub qui déverse sa semence.
— Oh mon Dieu mon gendre adoré, comment peux-tu tenir si longtemps? Ooouuuiii Continue de me donner ton foutre!
Il me soulève une fois la source tarit, je frôle de mes doigts mon clitoris dur comme du fer et ce simple attouchement sur mon bourgeon gonflé déclenche une nouvelle houle.
— Sainte marie ! C’est devenu si sensible que je jouis rien que de le toucher Oh mon Dieu, AAAAAHHHHHHH!
Les spasmes diminuent enfin et je lui jette :
— Oh Sainte Mère, plus jamais ça, bordel, je ne savais pas que je pouvais jouir comme ça, autant de fois et si fort ! Oh mon Dieu, c’est pas une bite que tu as, c’est un véritable piston de machine
J’ai les jambes en coton et doit m’asseoir sur le lit, les contractions de ma chatte encore grande ouverte s’apaisent enfin faisant ressortir sa liqueur abondante pendant que j’essaie de reprendre mon souffle.
Il caresse ma fente exacerbée et glisse un doigt dedans:
— Oooohhhh, non arrête! C’est trop sensible, rien que ton doigt me fait repartir ! Je OOOOOhhhhhhh Patrick, c’est trop bon mais je n’en peux plus ! Je comprends pourquoi Emilie n’a pas peur de te partager. Toute seule, elle ne pourrait faire face à un tel éfaune lubrique. Dis-moi que quand tu auras épousé ma fille, tu ne me priveras pas de ton talent d’amant extraordinaire, jure-le moi !!!
-Christine, il faut demander ça à ta fille, je ferai ce qu’elle me dira.
Il m’aide à me relever et m’emmène sous la douche, le jet d’eau froide fouette mon corps, je frissonne mais reprends du poil de la bête.
-Je ne te défierai plus jamais, putain ce que j’ai pris !
Il me sort de la douche mais je flageole toujours sur mes jambes et je vois horrifiée que son organe relève déjà la tête. Mais c’est Priape réincarné ce type !!!!
Son pénis retrouve en un rien de temps le chemin tant emprunté de ma chatte, il me soulève de nouveau et laisse mon corps redescendre, m’empalant entièrement sur son manche, je dois m’agripper à lui pour diminuer la pression de son rostre dans mon fourreau en feu.
Je le supplie de se retirer:
– Mais tu as une bite à la place du cerveau! Tu vas me tuer avec ton monstre! Repose-moi !
– Non, tu es si fatiguée que j’ai peur que tu t’écroules, je vais te porter comme ça et on va rejoindre Emilie. Elle pourra constater que j’ai bien rempli ma mission et c’est elle qui décidera si j’arrête ou je continue !
Il se dirige vers la cuisine, chacun de ses pas me fait peser de tout mon poids sur son vit abouté jusqu’à la garde en moi, j’essaie de tirer sur mes bras pour atténuer au maximum chaque tressautement.
— Pitié Patrick ! Je ne peux plus supporter cette incongruité en moi. Oh je repars encore! Oooaaahhh !!!
Au moment où nous entrons dans la cuisine, un dernier orgasme vrille mon corps avant que je ne reparte dans les vapes.
J’entends comme dans un rêve Emilie:
-Assieds-toi là, dans quel état tu l’as mise, tu n’es pas allé trop loin ?
Je reprends mes esprits, ma fille me regarde avec un air goguenard.
— Alors maman, que penses-tu de mon « étalon » ? Mon Dieu, tu as une mine de déterrée, il y est allé un peu fort. Patrick, donne un coup de queue pour voir si elle réagit.
Il me soulève de quelques centimètres avant de me laisser m’empaler sur sa poutre. J’arrive à peine à murmurer :
— Oooohhhh Patrick je vais mourir si tu me donnes encore un seul coup de queue, je t’en supplie, je n’en peux plus, Ohhhhhhhhhh !
Mon corps est une vraie poupée de son entre ses bras.
-Oui, je crois qu’elle a son compte, étends-la sur la table.
Je ressens dans un état second le énième coup de queue quand il se relève pour me déposer sur la table, je ne réagis plus tellement je suis épuisée.
Patrick essaie de retirer sa queue mais mes muscles intimes se contractent aussitôt et emprisonnent son dard. Ma vulve épouse et retient son braquemard comme si elle ne voulait plus jamais en être privée. Il se retire enfin et le bouchon ayant sauté, je me vide de mes derniers orgasmes sur la table de la cuisine en un dernier râle, laissant une chatte béante.
— Putain maman, je n’ai jamais vu une moule aussi enflammée, mais qu’est-ce qu’il t’a fait ?
Patrick, tu ne m’as jamais baisé comme ça, elle est complètement Out !
— Je n’ai fais que suivre tes ordres, tu m’as demandé de la faire mourir de plaisir et je crois que j’y suis arrivé, si tu veux la même chose, il suffit de me le demander, mais pas aujourd’hui, elle m’a vidé !
-Pardonne-moi maman, mais je ne peux pas résister !
Et Emilie vient entre mes cuisses pour coller sa bouche à ma chatte qu’elle lèche à grands coups de langue.
-Nooonnn, pas toi, aaarrrggghhh ! Je ne peux plus rien supporte sur la chatte !
– Laisse-moi goûter à ton suc maman, bon j’ai compris, mais comme je ne veux pas rester sur ma fin, il faut que je m’occupe de faire dégorger une dernière fois son poireau !
Je tourne la tête et vois disparaître entre ses lèvres l’énorme férule en une « gorge profonde ».
— Comment fais-tu ça, moi, je n’ai pas réussi à prendre son monstre en entier !
Emilie recrache la formidable verge et m’explique :
– Avec un peu de technique et beaucoup de pratique, tu pourras aussi y arriver. Tu veux essayer ?
– Je n’en aurais pas la force, une autre fois.
Mon bébé n’en est plus un. Comme une morte de faim, elle dévore le jonc vigoureux et ne s’interrompt pas avant d’avoir obtenu son tribu, et une fois la bouche pleine, elle vient vers moi pour me faire l’obole encore une fois du sperme salé de Patrick. Sa bouche se colle à la mienne pour me donner un peu de cette crème blanche au parfum de luxure.
Il me faut bien une demi-heure avant de reprendre complètement mes esprits. Emilie est allée chercher mes habits et nous prenons un énorme petit-déjeuner. Le sexe ça creuse
— Patrick, mon futur gendre. Je te connais depuis 2 jours mais je me damnerais pour toi ! Tu m’as comblée comme ça ne m’étais jamais arrivée. J’ai découvert avec toi des ressources dont je ne me serais jamais crue capable, j’ai jouis comme une folle tant de fois que je ne saurais les compter et tu m’as même défoncé le cul, une première pour moi, mais c’était si bon! Et je n’en reviens toujours pas que ça soit ma fille qui m’est fait ce merveilleux cadeau ! Je ne suis même pas offusquée de la voir te traire ta bite devant mes yeux et ensuite partager ton foutre avec moi ! Mon Dieu Qu’as-tu fais de moi ?????????
Emilie me rétorque :
-Et alors, fameux son jus, tu en voudrais encore une dose ?
— Je ne veux plus voir sa queue de la journée sinon je risquerais d’y succomber à nouveau et j’y laisserais ma santé. Mais Patrick, comment arrives-tu à honorer ta partenaire si longtemps ? Ca fait plus de 2h00 de copulation avec moi sans parler de ce que tu a déjà donnée avec ma fille?
Emilie me répond:
— Patrick est un cas clinique et j’ai fais des recherches sur le Net. Hormis qu’il soit doté d’un sexe d’une taille largement au dessus de la moyenne et surtout d’une épaisseur très rare, 1 chance sur 1000 ou plus de tomber sur un tel organe, il a deux particularités spécifiques. Il est frappé d’un priapisme léger qui lui permet s’il le désire de pouvoir rester en érection pratiquement aussi longtemps qu’il le veut.
Sa 2ème particularité s’appelle l’hyper spermatogénèse, une production débridée de semence qui lui permet des éjaculations très rapprochées et nombreuses avec un volume de sperme énorme.
La probabilité de tomber sur un cas comme le sien est égale à celle de gagner le gros lot au loto!
-Oui, je commence à comprendre pourquoi tu appelles Patrick Mr Etalon et l’effet qu’il produit sur les femmes, surtout prends-en soin, je ne vais plus pouvoir m’en passer!
Et effectivement, pendant de nombreuses années, j’en ai profité à chaque fois que l’occasion se présentait.
Mais si l’histoire ne s’arrêtait que là..