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Les démons de Noémie – Chapitre 1




I

Découverte

Noémie avait détranges sensations depuis quelques semaines. Un malaise léger, mais persistant. Cette belle asiatique dorigine philippine, aux grands yeux noirs hérités de son père espagnol, grande, fine et avec de longues jambes dorées comme le reste de son corps, était pourtant dhabitude plutôt sereine et sûre delle. Mais sans quelle ne sût pourquoi, un trouble lenvahissait peu à peu. Rien de gênant en soi mais elle se fit la réflexion que cela ne devait ni durer, ni samplifier. En se levant, elle consulta son portable pour voir ses rendez-vous de la journée. Son compagnon, Olivier dormait encore. Sous la douche, elle savonna avec douceur son corps, passant du temps sur ses seins assez menus. Ses fesses rebondies eurent la même attention et son intimité, minutieusement soignée, avec une très fine toison taillée en triangle attira toute la douceur de ses gestes. Sa belle peau mâte et sa longue chevelure noire faisaient des ravages chez les hommes. Bien malin qui aurait pu lui sonner un âge précis, car selon son humeur et sa moue, son visage pouvait soit se durcir soit se faire enfantin. Sa bouche pulpeuse et sombre en avait fait fondre plus d’un, de belles lèvres légèrement épaisses que fendait un large sourire. Plus jeune, au lycée, elle avait été le centre des attentions de beaucoup de ses camarades mâles.. Sans flirter à outrance, un sourire lui suffisait à faire chavirer les garçons, au grand dam de ses petites copines. Elle en avait très peu joué pourtant, ou du moins pas dans ces conditions… Olivier se retourna bruyamment. Noémie, à présent en sous-vêtements blancs, enfila un jean noir moulant et un t-shirt blanc floqué du nom de son entreprise : NODE informatique.

La jeune femme de 23 ans avait ouvert une petite boîte de dépannage informatique avec une ancienne camarade de classe, Aude. Celle-ci, blonde aux yeux bleus, un peu plus grande mais tout aussi fine, connaissait Noémie depuis leurs 15 ans. Elles étaient restées les meilleures amies du monde. Elles se connaissaient parfaitement et la petite entreprise marchait pour le mieux.

Ce matin-là, Noémie devait se déplacer chez un particulier pour la réinstallation dune webcam et de logiciels associés. "Mr Verdier, 62 ans, retraité", telles étaient les informations dont elle disposait sur son client, outre, bien sûr, ses coordonnées. Elle savait, par expérience, que ces webcams ne servaient pas quà communiquer avec la famille… Mais peu importe, elle nétait pas là pour juger.

Elle gara la petite Smart noire de société au pied dun immeuble populaire grisâtre. Son client habitait au deuxième étage. Sa sacoche au bras, elle sapprocha de linterphone :

— « Monsieur Verdier, NODE informatique. Nous avions rendez-vous. »

— « Ah oui, jvous ouvre. »

Noémie avait encore cette étrange sensation mais ne se focalisa pas dessus. Elle monta les escaliers avant de frapper à la porte de son client qui souvrit de suite. Devant elle apparut un homme trapu, brun et dégarni, arborant une moustache poivre et sel mal taillée. Il avait beaucoup dembonpoint. Un odeur forte indiquait quil ne sétait pas douché depuis au moins deux jours. Pour recevoir Noémie, il avait mis une chemisette blanche très ouverte sur son torse velu et un pantalon gris. A ses pieds, une paire de chaussons marrons. En voyant la jeune femme, il eut un bref air étonné et ravi.

— « Bonjour, mademoiselle, entrez, entrez ! »

— « Bonjour, monsieur », dit-elle, avec un large sourire. 

Noémie sentit son étrange sensation lenvahir encore peu à peu. Un trouble diffus quelle narrivait pas à identifier. Elle lui tendit une feuille imprimée recto-verso :

— « Tenez, cest un formulaire de satisfaction à remplir à la fin de lintervention. »

– «  Bien, mademoiselle, ce sera avec plaisir. Jvous offre un café ? »

Noémie hésita mais finit par accepter. Autant se montrer avenante avec un nouveau client. Monsieur Verdier disparût dans la cuisine, à la gauche de lentrée. Le salon se trouvait en face, laccès se faisant par deux portes vitrées légèrement troubles. Dans lentrebâillement, elle aperçut lordinateur sur un petit meuble, face à un fauteuil de bureau noir.

–  « Je vais pouvoir commencer, si vous voulez bien. »

–  « Très bien, daccord !, Jvous montre lengin ! »

Le salon était décoré de meubles en bois massifs clairs anciens, agrémentés de quelques bibelots. Au milieu, une table rectangulaire recouverte dune nappe rougeâtre à grosses fleurs oranges. Les murs étaient blancs mais un peu ternes. Noémie et Monsieur Verdier se dirigèrent vers lordinateur.

— « Voilà ! Je vous laisse faire ! »

Noémie sinstalla dans le siège et alluma lordinateur. Monsieur Verdier se plaça derrière elle, appuyé sur le dossier, regardant plus la jeune femme que lécran. Noémie était de plus en plus troublée, dune part, par cette présence dans son dos, ce regard qui pesait sur elle et dautre part, par une émotion grandissante en elle quelle narrivait pas à réprimer. Elle activa la webcam qui refusa de fonctionner. Elle désinstalla le programme et lança une analyse du disque.

— « Ca peut prendre un moment », dit-elle, en souriant.

Noémie ne se sentait décidément pas à lairse. Elle sentait une chaleur lenvahir et ses seins durcissaient. Une excitation ? Dans cette situation ? Comment était-ce possible ? Cela ne pouvait pas être ça, cétait ridicule. Elle sentait encore la présence de Monsieur Verdier dans son dos, ce qui accentua son trouble. Elle avait hâte que cette intervention se termine. Lanalyse sacheva et Noémie réinstalla tout le programme. La webcam fonctionna de nouveau.

— « Oh, merci, mademoiselle ! Jne voudrais pas abuser de votre temps mais pourriez-vous minstaller "Skip" ? »

Elle comprit quil parlait de Skype et le téléchargea sur le net puis linstalla. Monsieur Verdier lui dit alors que son ami René avait lui aussi le même logiciel et quil voulait communiquer avec lui. Il lui tendit un papier avec le pseudo de son ami. Noémie lenregistra.

— « Il est chez lui aujourdhui ? »

— « Je crois, oui. »

— « On va lappeler pour voir si tout fonctionne. »

— « Ok ! » 

René apparût sur lécran. Il fut surpris de voir Noémie en premier. Monsieur Verdier lui expliqua la situation rapidement.

–  « Elle est bien jolie, la dépanneuse ! »

René, dont elle ne voyait que le visage, avait les joues creusées, des cheveux noirs épars sur le crâne et son sourire montrait quelques dents manquantes. Sa peau grise était parsemé de trous dacné et de rides très prononcées. Il devait avoir le même âge environ que son client, peut-être plus vieux. Soudain, Noémie se pétrifia, clouée sur le fauteuil. Elle ne comprenait plus rien mais se sentit dun coup très excitée et il lui sembla que son corps ne répondait plus à son cerveau. Entre ses cuisses, une chaleur lenvahit et elle comprit vite quelle commençait inexplicablement à mouiller. Elle pria pour quaucun des deux ne sen aperçût. Monsieur Verdier repartit chercher le café qui avait fini de couler. René, quant à lui, avait une lueur étrange dans ses yeux noirs et fixait Noémie.

Elle ne bougeait plus du tout sur sa chaise.

— « Vous avez froid, mademoiselle ? »

— « Non… non, pou-pourquoi ? »

— « Vous pointez, je le vois à travers votre t-shirt. »

Elle rougit instantanément. Elle caressa machinalement ses seins à travers le tissu comme pour confirmer ce que René soupçonnait. Il écarquilla les yeux, sourit et savoura pleinement ce quil voyait. Il tenta le tout pour le tout :

— « Enlevez-le. »

Elle sentit un courant électrique parcourir tout son corps et sans la moindre hésitation, elle obéit et dévoila son soutien-gorge blanc. Elle était comme un automate, incapable de prendre le contrôle de son corps. Elle était consciente de ce quelle faisait mais ne pouvait sy opposer. Elle frissonna de tout son être.

— « Le soutien-gorge maintenant. »

René fit une manoeuvre sur son clavier et sourit dune manière qui glaça Noémie, à présent à moitié nue devant cet inconnu. Lhomme continua.

— « Ton pantalon et ta culotte. »

Encore une fois, elle obtempéra. Noémie se sentait surexcitée, son sexe était détrempé. Intérieurement, par contre, elle était attérée par ce quil se passait. Elle enleva ses tennis, et fit glisser le jean et la culotte sur le côté,

— « Bien ! Rassieds-toi et commence à te toucher, ma belle »…

Comme sous emprise, la belle philippine laissa ses doigts commencer à effleurer ses lèvres et elle se caressa. Elle mouillait énormément. Dune main, elle écarta délicatement les chairs et de lautre massa lentrée de son vagin avec un doigt. Ses seins étaient durs et ses tétons bruns ressortaient. Tout en touchant sa petite motte gonflée de désir, elle passa ses jambes par-dessus chaque accoudoir. Elle navait gardé que ses chaussettes noires. Son doigt senfonça un peu plus dans lorifice. René nen revenait pas, tout lui semblait aussi irréel quà la jeune femme. Monsieur Verdier fit irruption dans le salon à cet instant.

— « Putain de merde ! Quest-ce quil se passe ici ? »

Il déposa le plateau contenant le café sur la table, en manquant de le faire tomber et sapprocha rapidement du fauteuil. Ses yeux sécarquillèrent : là, dans son fauteuil, une jeune femme nue se masturbait ! Il reprit cependant vite ses esprits et commença à caresser le sein de la jeune Noémie.

— « Ben dis-donc, mon salaud, tu las trouvée où celle-là ? »

— « Jen sais rien mais elle est chaude la petite ! »

Son pantalon gonfla ostensiblement. Il saisit le bras de Noémie et linvita à poser sa main sur son entrejambe. La main droite de la jeune asiatique continuait à caresser sa chatte et elle enfonçait maintenant deux doigts dun mouvement ample et lent dans son vagin. Elle entendit le "zip" de la braguette et se retrouva bientôt avec un sexe dur dans la main gauche. Elle regarda Monsieur Verdier, avec un visage implorant de désir et ses yeux descendirent jusquà la queue qui palpitait entre ses doigts et changeait de taille. Elle vit aussi les grosses couilles poilues sortir du pantalon gris. Cette situation folle enflamma le cerveau de la jeune femme. Elle se comportait comme la pire des salopes sans pouvoir faire quoique ce soit et sans comprendre comment elle en était arrivée là.

— « Allez, branle-moi. »

— « Ouais ma belle et écarte bien tes jambes que je puissse faire ma petite affaire moi aussi ! »

Ces mots crus décuplèrent son excitation et elle accéléra la cadence de ses doigts entre ses jambes. Elle branlait lentement Monsieur Verdier qui grimaçait et souriait en même temps. Il ne quittait pas Noémie des yeux et respirait rapidement.

— « Hé ben ! On aura pas perdu notre journée, hein mon René ? »

— « Sûr, Jean-Marc ! Faudrait quelle te suce, la petite, hein ? »

–  « Ouais, tas entendu mon copain ? »

Noémie se pencha sur le côté, fit pivoter le fauteuil en posant un pied sur le bureau et étira sa langue. Monsieur Verdier sapprocha et enfonça sa queue relativement courte mais très épaisse et bien dure dans la bouche qui soffrait à lui.

— « Oh putain, ouais ! »

— « Elle va me faire gicler la petite salope ! »

— « E lle suce bien, elle aime ça ! »

Deux hommes quelle trouvait particulièrement laids profitaient de son corps sans vergogne. Comment tout cela allait-il finir ? Elle lécha la hampe sur tout le long puis titilla le gland et aspira la bite odorante.

Elle suçait Monsieur Verdier avec ardeur et ondulait du bassin sur le fauteuil pendant quelle se branlait violemment maintenant. Lodeur âcre du sexe et sa langue qui passait sur le gland violacé et humide lui faisaient perdre tous ses moyens. Sa joue se déformait sous les coups de bite de Monsieur Verdier que ce spectacle ravissait au plus haut point. Elle gémissait, son cerveau semblait éteint et elle ne se concentrait maintenant plus que sur la queue qui emplissait sa bouche et sur le voyeur qui se branlait par écran interposé. Sa belle tête brune allait et venait nerveusement au gré de la pipe quelle prodiguait. Ses yeux fixaient le visage grimaçant de Monsieur Verdier, ses moustaches remontaient sur un rictus pervers. Lui aussi la regardait. Elle mouillait tellement que son liquide intime coulait sur le tissu du fauteuil et formait une petite tâche plus sombre qui sélargissait.

— « Tu veux que je te baises, hein ? »

— « Ah ouais, génial, défonces-là ! », cria René.

Noémie arrêta de sucer et se leva. La cyprine coulait sur ses jambes; son sexe était gonflé et ses lèvres largement ouvertes. La jolie brune présenta sa croupe à Monsieur Verdier en se tenant aux accoudoirs du fauteuil. Penchée en avant, ses petits seins durs pendaient. Elle était en sueur, sa peau mâte luisait. Elle écarta les jambes et attendit que Monsieur Verdier entre en elle, en regardant en arrière. Ce dernier descendit son pantalon jusquaux chevilles. Ses jambes poilues apparurent et les couilles plus libres pendaient lourdement.

— « Tu vois bien, René ? Ou faut quon recule ? Faut que tu profites aussi ! »

— « Reculez un poil et ce sera bon, recentrez-vous un peu aussi. »

Après ces réglages, Monsieur Verdier enfonça son pieu dans le trou dégoulinant de Noémie qui poussa un gémissement plutôt sonore. Elle sentit sur ses fesses le ventre proéminent. Les mains sur les hanches de la jeune femme, il commença à la limer lentement en allant jusquau bout, faisant claquer la peau de son énorme bide sur les fesses dorées de la jeune femme. Sa hampe luisait et il y avait un bruit de clapotis à chaque coup de queue.

– « Taimes ça, hein salope, la queue du Jean-Marc  ? Elle est mouillée comme pas possible.»

— « Elle aime ça oui, écoutes-là gémir ! »

La petite philippine gémissait effectivement très fort. Elle avait les yeux clos et sa bouche, avec encore un léger filet de bave à la commissure était ouverte, un peu plus largement lorsqu’un coup de bite se faisait plus profond. Monsieur Verdier sactiva un peu plus et accéléra. Sa main droite alla caresser le sein durci de la belle et le saisit, jouant entre deux doigts avec le téton. Lautre sein bougeait en cadence avec les coups de bite intenses. Le bruit de claquement de son ventre sur la peau de la jeune femme se fit plus régulier et Noémie commença à gémir plus fortement et haleter. Monsieur Verdier avait des petit râles à chaque coup de boutoir, ainsi quun léger grincement de dents. René, de son côté, se branlait face à la caméra. Il faisait des petits bruits avec sa bouche.

— « Regarde ma bite, chérie ! »

Elle tourna la tête et fixa la queue de ses beaux yeux noirs brillants tandis que Monsieur Verdier sacharnait de plus en plus violemment dans sa chatte.

— « Je vais cracher, regarde bien ! »

A peine eût-il fini sa phrase que de longues giclées de sperme inondèrent sa main. De lautre côté, Noémie poussa un long cri de jouissance en regardant le liquide blanchâtre dégouliner entre les doigts du vieux René. Monsieur Verdier, galvanisé par cet encouragement sonore, accéléra encore et la baisa de plus en plus fort pendant quelques secondes avant de se retirer et dexploser sur les fesses de la belle asiatique. Tous avaient joui presque en même temps. A bout de souffle, les jambes tremblantes, Noémie sécroula dans le fauteuil. Ses esprits revenaient peu à peu et il sagissait maintenant de trouver une échappatoire à cette situation humiliante. Elle essuya le sperme sur ses fesses avec une serviette que lui tendit Monsieur Verdier.

— « Je… Je vais vous laisser, Monsieur, » balbutia-t-elle, en se rhabillant rapidement.

— « Oubliez pas votre formulaire, mademoiselle, lui aussi faut que je le remplisse ! » lança Verdier, hilare

— « Oui, bien sûr… Pa-parlez de nous autour de vous. Envoyez-le à notre adresse. »..

— « Oh, une telle prestation, ça se partage ! Hein, René ? »

— « Oh oui ! Je ne loublierai pas moi, crois-moi… »

Elle partit presque en courant de lappartement. Elle était morte de honte et elle se demandait, paniquée, ce qu’il avait bien pu lui arriver.

Elle rentra directement chez elle et prit une longue douche chaude puis alla se coucher pour essayer d’oublier cet épisode humiliant. La nuit venue, elle rêva de la scène et, prisonnière de ce songe, elle revécut chaque seconde et réentendit chaque mot prononcé par René et son acolyte. Elle ne pouvait encore s’échapper et elle s’agita violemment dans le lit. Pourtant, elle ressentait en même temps un plaisir intense naissant. Elle se réveilla brusquement : sa main droite était dans sa culotte. Elle s’était caressée en faisant ce cauchemar. Devenait-elle folle ?

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