Elle reste devant moi à attendre. Je déboutonne son corsage et lui enlève, elle n’a pas de soutien-gorge, sa très belle poitrine érige ses tétons durcis. Elle est déjà assez bronzée. Je défais la ceinture de son pantalon, baisse le zip, passe mes mains à plat sur le haut de ses fesses et le fait glisser vers le bas. Mes mains glissent lentement sur ses fesses et ses cuisses. Elle n’a ni culotte ni string, je tombe sur un pubis glabre et lui aussi bronzé.
Comment se fait-il que tu sois déjà bronzée comme ça à cette époque.
Je viens de passer une semaine au Cap et on a eu huit jours de soleil intense, je suis restée allongée au soleil, à poil, à me faire bronzer toute la journée, de plus, ma grand-mère maternelle était malgache, ça facilite le bronzage.
Je la regarde, elle est très belle avec sa poitrine ronde pas trop grosse, ses cheveux noirs mi-courts arrivant en boucles tout juste à ses épaules, son sexe épilé, ses lèvres intimes bien dessinées d’où émerge à peine son clitoris, ses fesses hautes et cette merveilleuse couleur de peau.
Toi aussi tu es magnifique.
Quand son pantalon est à terre, elle lève ses jambes pour que je puisse le lui enlever. Je me redresse, elle pose ses mains sur mes hanches, les fait glisser sous l’élastique de mon string et pousse vers le bas. Ses mains glissent sur ma peau jusqu’à mes chevilles, je frissonne.
Tu aimes ?
Oui.
Elle pose mon string sur un petit fauteuil de sa chambre et me pousse sur le lit. Je tombe sur le dos, les jambes entre-ouvertes, pliées au bord du lit. J’ai à peine le temps de réaliser ce qui se passe qu’une bouche se pose sur ma vulve. Je reçois une vraie décharge électrique dans tout le corps. Sa langue explore mon sexe, elle commence par le périnée, ce qui me fais bouger, remonte entre mes lèvres pour arriver vers le clitoris qu’elle effleure à peine. Elle redescend un peu pour s’enfoncer dans mon vagin, je sens que je me liquéfie sur sa langue, je mouille beaucoup quand je suis excitée, et là, je suis très excitée. Ses mains remontent vers mes seins et pincent légèrement mes tétons. Sa langue s’active sur mon sexe, mais quand elle arrive sur mon clitoris gonflé à en exploser et que ses lèvres l’aspirent, je ne résiste plus et explose dans un superbe orgasme.
OOOOOHHHHH oui, oui, oui, AAAAAHHHHH.
Elle accentue sa succion sur mon clitoris, ce qui me rends encore plus dingue. J’appuie sur sa tête comme pour la faire entrer dans mon sexe. Je fini par me détendre petit à petit sous les tendres coups de langue de Julie. Elle se redresse et me fait monter entièrement sur le lit pour caresser mon corps. Je me laisse faire, j’aime ce moment de tendresse. Je suis dans un état de plénitude que je n’ai jamais connu auparavant. Je voudrais que ce moment ne s’arrête pas.
Tu es bien ?
Merveilleusement bien.
C’est la première fois ?
Oui, et je dois te dire que je regrette de ne pas l’avoir fait plus tôt.
Je suis tellement bien, que je ferme les yeux pour savourer au maximum la plénitude dans laquelle je baigne. Sa bouche et ses mains reviennent sur moi et me parcourent le corps faisant naitre en moi des délices inconnus. Quand sa bouche arrive de nouveau sur ma vulve, je me tends en espérant qu’elle s’y attarde, c’est ce qu’elle fait. Sa langue parcoure de nouveau tout l’espace compris entre mon mont de Vénus et mon périnée, aucun millimètre carré n’est oublié. Elle va même jusqu’à s’enfoncer de quelques centimètres dans mon vagin, ressortir et lécher mes lèvres. Quand ses lèvres m’aspirent le clitoris, je me cabre une nouvelle fois et fini par exploser dans un nouvel orgasme. Ma tête m’abandonne, mon corps n’est qu’une succession de feux d’artifices m’emmenant au paradis. Je vole, je plane, je ne suis plus moi, je ne suis qu’une entité dédiée au plaisir, qu’un objet sexuel dans les mains d’une experte. Je reviens à moi lentement sous les douces caresses de Julie. Elle est allongée à côté de moi, une main parcourant mon corps.
Je ne me lasserais jamais de ta peau, je l’adore, mais ce que j’aime le plus, c’est le goût de ton nectar d’amour.
Elle se redresse un peu et se penche sur moi, je vois sa bouche approcher de la mienne. Je sens l’odeur de ma cyprine, l’idée d’embrasser une bouche encore imprégnée de mon odeur m’excite, je me laisse aller à ce baiser langoureux. Mais je ne veux pas me contenter de jouir et d’être embrassée, même par cette superbe fille, je veux goûter son sexe et lui rendre le plaisir qu’elle m’a donné. Je la retourne, l’allonge sur le dos en lui écartant légèrement les jambes. Elle se laisse faire en fermant les yeux. Je me positionne entre ses jambes et me penche pour venir poser mes lèvres sur sa vulve. Je suis d’abord attirée par une odeur enivrante, puis mes lèvres touchent ses lèvres douces et humides. Je les embrasse, les lèche, les suces. J’avance doucement dans ce monde merveilleux, humide et chaud que je ne connais pas, c’est la première fois que mes lèvres se posent sur un sexe féminin. Je me délecte du liquide qui en sort de plus en plus abondamment. Julie se tortille sous ma langue. Je remonte encore pour tomber sur son clitoris bien gonflé qui pointe entre ses lèvres. J’ai à peine posé mes lèvres dessus qu’elle se tend.
Oui, oui, oui, AAAAAHHHHH
Elle jouit en se cabrant pour m’offrir son sexe. Je me déchaîne dessus, ma langue virevolte sur son clitoris, mes mains se sont glissées sous ses fesses pour la maintenir en l’air. Je ne m’arrête pas, je continu d’exciter son clitoris, je suis folle de la chair douce de ce sexe offert. Quelques secondes plus tard, elle repart.
OOOOOOOHHHHHHH oui, oui, continu.
Je lui obéis, ma langue s’active sur tout ce qu’elle rencontre, clitoris, lèvres, vagin, périnée. Je remarque que cette zone est particulièrement sensible pour elle. J’insiste un peu plus jusqu’à ce que ma langue tombe sur son anus. Elle repli les jambes en l’air pour m’ouvrir encore plus ses fesses. Ma langue lui titille la rondelle, je suis moi-même surprise de ma hardiesse, jamais je ne m’aurais imaginer lécher un cul. Mais là, au contraire, j’aime, surtout quand je vois que Julie se tord de plaisir sous ma langue. Elle jouit encore.
AAAAAAHHHHHH
Je sens son corps se détendre, je la pose doucement sur le lit et viens m’allonger à côté d’elle. Je me penche sur elle et nos bouches se soudent dans un long baiser. Nous restons un moment comme ça, et nous finissons par émerger.
Tu as aimé me faire jouir avec ta bouche ?
J’ai adoré, j’aime ton sexe, sa douceur, son odeur, son goût, et j’adore te boire.
C’est la première fois hein ?
Oui, et encore un fois, je regrette de ne pas l’avoir fait plus tôt.
On ne s’était pas encore rencontré.
Oui, mais j’ai une belle sur magnifique, et je dois dire qu’elle ne me laisse pas indifférente.
Et pourquoi tu n’as pas essayé ?
Parce qu’elle est, à priori, très remonté contre les lesbiennes.
Tu sais, cette attitude cache souvent une envie latente que l’on refoule.
Je ne sais pas, mais je n’ose tenter quelque chose avec elle, j’ai peur qu’elle réagisse très mal.
C’est la copine de ton frère ?
Oui, mais elle ne veut pas venir le voir, elle est très fâchée après la connerie qu’il vient de faire.
Si par hasard elle vient, préviens-moi.
Ok, mais pour l’instant, j’ai juste envie de me faire plaisir et de te brouter une nouvelle fois le minou.
Et bien, je vois que tu aimes.
C’est une vraie révélation, je crois que j’aime autant le sexe des femmes que celui des hommes.
En parlant de sexe d’homme, ton frère est sacrément bien équipé, j’aimerais bien remplacer sa copine si elle ne revient pas. Il ne t’attire pas ?
C’est mon frère, j’ai déjà assez honte de ce que j’ai fait cette nuit.
Tu ne devrais pas, moi-même, j’ai couché avec mon frère, et je ne le regrette pas, c’était très fort.
Je ne sais pas, c’est vrai que nous avons des liens très forts, c’est mon jumeau, mais de là à aller jusqu’à l’inceste, c’est peut-être un peu trop.
En tout cas, d’après ce que j’ai compris, lui, il est partant.
Oui, et c’est ce qui me fait peur, je ne sais pas lui résister, il a toujours obtenu ce qu’il voulait de moi.
Je crois que je vais assister à un beau spectacle.
Julie !!!!
Et oui, n’oublie pas qu’il y a une caméra, et que je suis derrière l’écran de contrôle.
Tu ne crois tout de même pas que je vais céder ?
Tu viens toi-même de me dire que tu lui cède toujours, et puis après, ce n’est que du sexe, tu es comblée avec ton copain ?
Je réalise, après ce que je viens de vivre, qu’il est loin du compte, et que maintenant, il va falloir m’en donner plus, beaucoup plus.
Et tu crois qu’il en est capable ?
J’en doute, il est trop coincé.
Et ton frère, tu crois qu’il en est capable ?
Je ne sais pas, mais d’après ce que j’entendais quand Sophie était dans sa chambre, il doit bien assurer.
Tu vois, c’est lui qu’il te faut.
Pour l’instant, j’ai encore envie de jouir sous ta langue.
J’ai à peine finis ma phrase que Julie se jette sur moi, m’écarte les jambes et plonge sa tête dans mon entre-jambe. Sa langue va dans tous les sens, elle virevolte dans mes chairs, mon corps s’envole, je suis en apesanteur, dans un délice de plaisir. Ma peau s’irise, mes seins se dressent, mon ventre se crispe, un bouillon monte dans tout mon corps pour exploser dans une gigantesque déflagration. Je ne sais plus qui je suis, je ne sais plus où je suis, je ne sais plus ce que je fais. Je suis seulement un amas de chair subjugué par un immense bonheur qui se laisse porter par ses sens. Julie se couche sur moi, je suis en nage, sa peau colle à le mienne, nous sommes dans une fusion de nos êtres, de nos corps, de nos peaux. Un petit quart d’heure plus tard, je la fait passer à côté de moi et me glisse entre ses jambes que j’écarte un peu pour plonger sur son sexe. Je me délecte de ses odeurs, de sa moiteur, de sa chair molle que ma langue parcoure sans retenue. Je sens son corps commencer à vibrer, je m’applique à lui reproduire ce qu’elle m’a fait et elle finit par se cabrer et crier son plaisir.
AAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHH, oui, oui, encore, oui, OOOOOOOHHHHHH
Ma langue se déchaîne sur son clitoris tout en l’aspirant avec me bouche. Doucement, elle se calme malgré ma langue qui continue de la lécher partout. Elle me fait monter sur son corps pour happer ma bouche. Nous restons comme ça, sans bouger, à somnoler pendant quelques minutes. Nous nous levons pour aller prendre une douche. Nous nous lavons mutuellement, évidemment, Julie fini la bouche entre mes cuisses à me donner du bonheur, mais je ne suis pas en reste, moi aussi, je m’accroupie devant elle pour lui titiller le clitoris. Quand elle a joui, je la fais se tourner pour lui écarter les fesses et lui lécher l’anus. Elle écarte encore plus ses fesses avec ses mains pour me faciliter la tâche.
Oui, j’aime, j’aime.
Je n’arrête que quand mes jambes commencent à me faire mal. Nous sortons de la douche et nous séchons. Une fois de retour dans la chambre, Julie me pousse sur le lit et se couche sur moi en m’embrassant. Je sens ses tétons sur mes seins, son ventre sur mon ventre, son pubis sur mon pubis.
Tu aimerais essayer sexe contre sexe ?
Oui, j’aimerais bien essayer.
/