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Une mère exemplaire ! – Chapitre 7




Sabine déjeunait en tête à tête avec sa collègue et amie Cécile. Celle-ci lui signala, au cours de la conversation, qu’elle préférait oublier tout ce qui s’était passé, lors du séminaire.

Oublier ? Oublier quoi ? demanda naïvement Sabine.

Tu vois très bien ce dont je veux parler !

Attends… ta séance d’amour saphique avec ta nièce Clémence, à la plage ? Ta séance de voyeurisme, lorsque j’ai été partouzée par tous ces inconnus, sur cette même plage ? La séance de fellation, que nous avons donnée à mes garçons… ou bien ? ironisa Sabine.

Stop ! Stop ! Arrête, je t’en supplie ! Je ne veux plus entendre parler de tout ça ! Je suis de retour chez moi. J’ai un bon mari, tout ce qu’il y a de plus normal, avec une petite vie normale de secrétaire, des horaires fixes, des loisirs normaux, et un coït hebdomadaire, avec mon mari le dimanche matin ! Alors, tes jeux de perverse débauchée, tes écarts d’inceste avec tes fils, l’homosexualité féminine, l’amour à plusieurs, les relations sexuelles avec toi et notre patron ! Terminé ! Ter-mi-né ! Tu m’as bien comprise ! Ici, nous ne sommes plus en séminaire. Tout est redevenu normal !

Sabine la regarda étrangement, durant quelques minutes, en plongeant sa cuillère dans sa dame blanche. Cécile ne put se soumettre à ce regard autoritaire et directif. Elle baissa la tête, et regarda ailleurs.

Tu n’assumes pas.

Quoi, je n’assume pas ?

Tu t’es bien laissée tripoter par le boss. Et il n’a pas fallu te forcer pour te foutre à poil devant lui, me caresser, te laisser caresser… et la dernière nuit à l’hôtel à trois… tu as joui combien de fois ? Avec lui ou avec moi ? 10 fois, vingt fois ? Plus ?

Arrête !

Non je n’arrêterai pas ! Dis Sabine, avec violence. C’est trop facile ! Tu te fous de la gueule du monde. Madame participe à nos jeux, et puis se défile ! C’est quoi ton problème ? Tu es frigide ou quoi ? Pourtant, ce n’est pas ce que j’ai pu remarquer !

Sabine ne savait pas pourquoi, mais elle avait l’impression d’agir comme Franck, son aîné. Directive, autoritaire, voulant à tout prix imposer sa volonté à une personne plus vulnérable, Cécile, ici en l’occurrence… Elle avait vraiment pris son pied avec son amie. Et elle avait envie que cela continue. De plus, le fait d’être la dominatrice, la manipulatrice l’amusait beaucoup… elle comprenait enfin ce que les autres ressentaient, lorsque c’était elle, le jouet ! Et maintenant, elle avait envie de manipuler quelqu’un à son tour ! Cela lui donnait une espèce d’ivresse. Elle n’allait pas s’en empêcher !

Sous la table, elle fit du pied à Cécile. Celle-ci retira vivement le sien.

Une pauvre petite gazelle effarouchée ! dit-elle en ricanant.

Pourquoi es-tu comme cela, je ne te reconnais pas ! Tu n’as rien dit à ma nièce quand elle nous a manipulées. Et moi, j’ai suivi comme une conne ! Je suis sûre qu’elle n’aurait rien fait, si on n’avait pas voulu nous soumettre à ses caprices. Tu es aussi faible que moi, Madame la dominante, cracha Cécile avec mépris.

Parle pour toi ! Franchement, tu as pris ton pied. Tu as aimé ce qu’on a fait à trois… et avec ta nièce. Alors, pourquoi ne pas nous retrouver toutes les deux ? Nues, dans un lit par exemple ?

Ta petite vie bourgeoise te satisfait-elle ? Tu sais, ton mari n’est pas le mec bien que tu crois…

Écoute, je ne vais pas me laisser tenter comme ça. Tu vas cracher sur mon mari pour me faire tomber dans ton lit ! Ça ne marchera pas ! Mais toi, comment es-tu passée de la petite femme toute fragile, timide, timorée, effrayée par la moindre allusion au sexe, à la créature de débauche et de vice, que j’ai devant moi ? Explique-moi ça, puisque tu es si maligne.

Sabine se tut, et réfléchit deux minutes. Elle jouait aux "échecs"… la tentative de faire passer le mari de Cécile pour une ordure, ce qu’il était vraiment en définitive, ne marcherait pas. Il fallait trouver une autre approche…

" Ce sont mes fils, ou plutôt mon aîné.

Tes fils ? J’avoue que j’ai été très étonnée, voire horrifiée de te voir… avec Franck…

Ah, quand je l’ai sucé devant vous deux, à la plage ? lança Sabine, négligemment.

On dirait que c’est normal ?! Tu te rends compte ? Tu as sucé ton fils ! C’est… c’est …

Dégueulasse, vicieux, pervers, voire… excitant ? Tu veux en savoir plus ?

Heu… non… non.

Mais si, bien sûr que si ! Allez, fais-moi une place à côté de toi, il y a ici des gens qui n’ont aucune raison d’écouter ce que je vais te dire, répliqua Sabine, en lançant un mauvais regard aux deux hommes, qui tentaient une oreille attentive à la conversation des deux femmes.

De ce fait, Sabine se retrouva assise sur la banquette, à côté de Cécile, au fond du restaurant. L’ambiance était tamisée, et cette place était beaucoup moins bien éclairée que la sienne, précédemment. Elle se pencha à l’oreille de Cécile, et prenant des airs de conspirateur, lui raconta le début de cette aventure incestueuse.

Cécile ne pipait mots, était absolument absorbée par le récit incestueux de son amie, et prenait une coloration pivoine sur le visage. A un moment, elle dénoua et enleva la grande écharpe de soie, qu’elle portait autour du cou.

Saisissant son trouble et son excitation, Sabine jubilait, elle avait réussi son coup ! Plaçant sa main sur la cuisse de son amie, elle donna encore plus de détails intimes…

Mon Dieu, tu as fait tout ça ? C’est pour ça que tu t’es retrouvée nue, attachée à cette barrière… c’est Franck qui t’a amenée à cela. Mon Dieu !

Ça t’excite hein ? Tu as chaud tout à coup, dirait-on ? Tu mouilles ? Comment est l’état de ta petite culotte ? Attends, je vais vérifier !

Sans laisser à Cécile le soin de regimber, elle plaça sa main de la cuisse à l’entrejambe de son amie, et glissa un doigt contre le tissu du string. Elle en retira sa main toute moite.

" Tu devrais changer de culotte… sinon tu ne seras pas à ton aise, au bureau !

Je n’ai rien d’autre !

Et bien, balade-toi la chatte à l’air au bureau ! Personne n’en saura rien !

Tu… tu crois ?

Tu as le choix ? Ça va se voir cette culotte mouillée au travers de ta robe un peu légère… et là, t’auras pas l’air conne !?

Devant cet argument imparable, Cécile se leva et alla se changer aux toilettes. Quand elle revint, le déjeuner se termina sur un café, mais elle remarqua que Sabine faisait durer…

Elle ressentait une impression désagréable, comme le fait d’être observée. Puis, elle s’aperçut que les deux hommes, précédemment à la table à côté, s’étaient retirés à trois tables plus loin. Alors terrifiée, elle se rendit compte que les hommes la reluquaient allègrement, sous la table. Elle comprit que s’étant relâchée, elle gardait les jambes ouvertes, emportée par le feu de la conversation avec Sabine. Cette dernière ne se gênait d’ailleurs pas, pour lui caresser les cuisses et effleurer ses nymphes. Cécile, prise dans le récit hautement pornographique, se laissait faire dans un nuage érotique…

Elle serra alors brusquement les cuisses.

Que t’arrive-t-il, lui demanda sournoisement Sabine.

Les deux mecs qui nous écoutent parler, ils me matent depuis cinq minutes !

Ils nous matent, ma chérie ! Moi aussi, j’ai les cuisses entièrement ouvertes, et je leur exhibe ma chatte. Allez, laisse-toi faire, sois cool ! C’est pas sympa d’exciter des mecs ?

T’es vraiment complètement cinglée… je ne te reconnais vraiment plus !

Il faut profiter de la vie et s’épanouir ! " lui répondit Sabine, qui la gratifia d’un baiser sur les lèvres.

Cécile se laissa embrasser et répondit au baiser.

L’après-midi au bureau fut extrêmement savoureux pour Sabine. De pauvre femme manipulée par son fils aîné, puis par la nièce de sa copine, Clémence, Sabine se révéla à son tour une dominante zélée ! En un sens, Sabine avait menti à Cécile, en lui disant qu’elle seule, et par extension, Sabine elle-même seraient au courant pour l’absence du petit morceau de tissu, destiné à préserver sa pudeur. Car Sabine fit en sorte cet après-midi-là, que tous les mâles du service où elles travaillaient toutes les deux, se rendent compte de son nouvel état de femme émancipée et croqueuse d’hommes… d’aucuns auraient dit salope !

Ainsi, Sabine demanda à son amie et secrétaire de bien vouloir lui imprimer une foule de photocopies. Et comme la machine était assez large, pas vraiment ergonomique, et Cécile relativement petite, un mètre soixante-deux à tout casser, elle devait à chaque fois s’élever sur la pointe des pieds pour accéder au dispositif de mise en marche. Car comme la machine buguait souvent, Cécile devait atteindre un interrupteur fâcheusement situé contre le mur. Évidemment, à chaque fois qu’elle s’escrimait sur le dispositif, elle relevait involontairement le bas de sa robe assez courte sur ses Dim-up gris, et le bas de ses fesses, voire parfois tout son cul !

Bien entendu, certains hommes présents dans le couloir remarquèrent le petit manège involontaire de Cécile, et vinrent mater la secrétaire au cul nu ! La nouvelle fit très vite le tour du service !

Sabine donna une telle quantité de travail à sa secrétaire, que celle-ci, paniquée par le caractère urgent de sa tâche, et les dysfonctionnements continuels de la machine, ne s’apercevait même pas de l’afflux surprenant de collègues masculins, voire parfois féminins, dans le couloir, à la machine à café, non loin de l’imprimante. Cet après-midi-là, le taux de cafés consommés à la machine battit des records !

Sa performance d’exhibition non contrôlée attirait en effet nombre de collègues qui venaient se rincer l’il !

Ce vendredi soir, ce fut une Cécile épuisée qui se fit reconduire chez elle, par son amie et supérieure hiérarchique, Sabine. Elle ne repoussa même pas la main de Sabine qui, du levier de vitesse, venait prendre appui sur la cuisse, pour venir farfouiller dans l’entrejambe de la jeune femme…

Fort de son succès inespéré, Sabine décida de voir jusqu’où elle pouvait manuvrer la jeune femme.

J’aimerais beaucoup que tu me montres tes seins, Cécile ! dit-elle avec un ton impératif.

Ici ? Dans la voiture en pleine circulation ?

Oui ! N’oublie pas que depuis le séminaire, le boss a décidé que j’étais ta chef directe, alors obéis-moi, comme tu l’as si bien fait cet après-midi ! "

Alors, vidée, sans expression, ne voulant pas commencer une micro dispute dans la voiture, Cécile obéit et difficilement, extirpa un sein de son soutien-gorge.

" Le pauvre, il est tout congestionné par l’élastique du soutien-gorge. Enlève-le carrément, tu seras mieux… et exhibe-moi tes nénés, que je me rince l’il !

Tu… tu es sûre ?

Mais oui ! Allez, arrête de faire ta mijaurée ! Bécassine !

Sabine s’étonna beaucoup de l’emploi de ce mot, maudit à jamais, pour elle ! Elle comprit alors qu’elle était définitivement délivrée de toutes ses névroses ! Elle était libre à jamais !

Mais en parallèle, elle comprit alors qu’elle était devenue comme ses bourreaux : son père, sa mère, son mari, son fils… et tous les autres ! " Syndrome de Stockholm" ! A présent, elle comprenait l’essence de ce mot. De victime abusée psychologiquement, elle était devenue l’agresseuse, la dominante, qui allait s’amuser des faiblesses de son amie. C’était moche, mais c’était comme ça. Ce désir était devenu impérieux, indispensable à sa nouvelle vie de femme libérée de toute ingérence ! Et de plus, Cécile semblait la candidate parfaite pour le job de soumise ! Jolie, mais timide, un mari qui ne la faisait plus monter aux rideaux, avec une petite vie de bourgeoise, chiante à en mourir ! Sabine allait lui faire découvrir de nouvelles expériences !

Cécile s’exécuta, et farfouillant dans le dos de sa robe, trouva la fermeture du soutien-gorge, le dégrafa et le sortit de dessous. Elle baissa alors le haut élastique de sa robe pour faire apparaître ses splendides seins. Toujours conduisant, Sabine lui jeta un coup d’il évaluateur et passa sa main libre dessus, en propriétaire…

C’est bien ma belle, tu es divine ! Maintenant veux-tu faire autre chose pour moi ?

Oui… ce sera quoi ? Ne me pousse pas trop loin, Sabine…

Ta chatte, je veux la voir ! Relève ta robe jusqu’au bassin… allez !

Cette fois-ci, Cécile n’émit pas de commentaire. Et c’est donc poitrine et pubis à l’air, qu’elle reposait servilement dans la voiture, en pleine circulation, à 19h00, un soir de fin d’été.

Évidemment, il y avait quelques coups de klaxon, de types, qui avaient eu la chance de voir le physique enchanteur de la jeune femme dénudée.

Sabine était de plus en plus excitée par le tour pris par la situation. Elle en était sûre, à présent, son amie ferait tout ce qu’elle lui demanderait !

Elle avait à sa disposition une soumise, un "jouet sexuel", dont elle allait pouvoir user et abuser ! Étonnant retour de situation. La soumise née s’était transformée en dominante ! Et elle se disait qu’elle adorait ça ! Elle allait lui en faire faire des cochonneries !

Écarte les cuisses, je veux mieux voir ta vulve !

Et miracle, Cécile obéit sans broncher ! Elle allait la pousser encore plus loin !

Branle-toi en te caressant les seins !

Mais, on va me voir Sabine !

BRANLE-TOI !!

La jeune femme se plaça une main entre les cuisses, et timidement, enfonça deux doigts dans son vagin, qu’elle fit aller et venir.

Plus vite, plus profond !

Dit Sabine, d’une voix rauque déformée par le désir.

Elle avait de plus en plus de mal à se concentrer sur sa conduite, jetant des coups d’il de plus en plus fréquents sur sa conquête !

Sa voisine l’excitait vraiment à se masturber sans honte, à côté d’elle, quasi nue, dans le flot de circulation. Elle acceptait toutes ses demandes. Sabine, en plus de son excitation sexuelle, en concevait une jouissance morale fantastique, une ivresse de toute puissance. Cela la grisait !

Ses cuisses et sa robe à elle étaient empoissées de sa jouissance sexuelle.

Les seins !

Quoi ? demanda Cécile, en gémissant sous sa caresse manuelle.

Caresse tes putains de seins ! cria-t-elle, en lui souffletant celui de gauche, de sa main.

Aie ! Oui Sabine, gémit Cécile en obtempérant, et en se caressant son sein droit, de sa main encore libre.

Tu aimes quand je suis violente avec toi, Petite Pute ?!

OUI ! cria Cécile, puis en s’étranglant de honte : j’aime ça !

Dorénavant, je t’appellerai Petite Pute !

Oui Sabine…

Tiens, je vais te dire un truc qui va te faire monter au plafond ! Tu sais pourquoi je t’ai demandé de passer toute l’après-midi à la photocopieuse ?

Non… humummmm… Sabine ? répondit Cécile, à moitié étranglée par sa jouissance montante…

Tu étais si absorbée et paniquée par ta tâche insurmontable, que tu ne t’es pas rendu compte que quand tu t’élevais, pour remettre en marche cette saleté de machine, tu dévoilais le haut de tes cuisses, ton cul et même ta vulve ! Tout le service sait maintenant que tu es une petite salope sans culotte ! Attends-toi à faire des extras" auprès de tous les responsables mâles de la boîte, dès lundi matin ! Tu vas en sucer des bites… tu peux me croire !

Mon Dieuuuuuuuuuuuu ! Ahhhh ! " éructa Cécile, en proie à un bel orgasme.

Sabine regarda sa soumise jouir sans pudeur, cuisses écartées avec ses Dim-up, sa robe relevée sur son bassin, ses seins à l’air qu’elle se tordait convulsivement ! Elle manqua de rentrer dans un camion à l’arrêt devant elle… elle freina brutalement. Cécile revenue à la réalité se couvrit vite les seins du mieux qu’elle le put. Sabine prit une décision… elle avait le ventre tordu de désir et la chatte en feu !

A un moment, Sabine prit une route de traverse, quitta la circulation et s’arrêta dans un quartier d’entrepôts miteux. La coquine avait repéré un petit groupe de quatre clochards désuvrés, et elle se dit que ce serait très très excitant, de faire exhiber sa nouvelle conquête soumise… voire plus !

Cécile, qui n’avait rien vu, lui demanda pourquoi elle avait quitté le chemin habituel, et qu’elle stationnait à cet endroit… elle lui répondit :

J’en peux plus ! Faut qu’on baise !

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