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La nouvelle secrétaire – Chapitre 4




Philippe sallongea songeur, les yeux à son plafond. Cette femme était vraiment étonnante dans sa simplicité. Elle découvrait son masochisme, son envie de soumission, comme cela, et elle était prête à le suivre. Il avait plus lhabitude de femmes compliquées et cela le désarçonnait légèrement. Elle ne semblait rien y connaître, il y avait pourtant des règles et une certaine culture à acquérir. Elle lui avait dit être prête à cela.

Il réfléchit à ce quil allait lui dire dans lemail, assez précis pour quelle sache à quoi sengager, sans être non plus trop froid ou clinique.

« Marg, Ma Petite Esclave,

Beaucoup de questions, mais une seule réponse que j’attends de toi.

Prends ton temps

Lis et relis

Cherche à savoir ce que je te demande. Et à savoir non pas si tu peux, mais si tu veux. C’est à moi de t’aider à pouvoir.

Veux tu être mon esclave ?

Veux tu m’obéir, sans aucune limite à mon pouvoir sur toi ?

Veux tu me servir, être aussi bien esclave domestique qu’esclave sexuelle ?

Veux que je te dresse, t’éduque à te comporter à chaque instant comme tu le dois ?

Veux tu être utilisée de toutes les façons possible comme objet sexuel et de plaisir ?

Veux tu que je te protége et t’écoute pour te comprendre et te guider dans ta soumission, ton désir d’être femme objet ?

Veux tu être marquée de mon sceau et m’appartenir dans ta chair ?

Veux tu souffrir et m’offrir ton masochisme, quelle que soit la forme que prendront les sévices que je timposerai ?

Veux tu porter sur toi en permanence la marque ou la contrainte de ta condition de femme esclave ?

Veux tu revendiquer ton obéissance, qu’elle soit aussi bien publique que privée ?

Veux tu recevoir ma tendresse, mon affection, mon attention, qui pourront varier suivant les situations ?

Veux tu tout accepter de moi, faire de ton mieux pour te comporter comme je te le demanderai ?

Veux tu être battue quand bon me semble et porter en permanence les marques de ces coups comme preuve de ton avilissement ?

Veux tu être une esclave parmi d’autres, mais connue, reconnue, et méritant affection et intérêt ?

Veux tu être en permanence accessible, que je puisse te prendre où je veux, quand je veux, de la façon que je veux ?

Veux tu accepter les contraintes que je t’imposerai pour te former et te déformer au gré de mes envies ?

Veux tu accepter d’être en permanence lisse sans aucun poil ?

Veux tu subir les punitions que je t’imposerai pour que tu deviennes aussi lisse de corps que d’esprit à mon service ?

Veux tu m’appartenir corps et âme ?

Veux tu guetter mon souffle comme source de ton air et de ton oxygène ?

Veux tu nêtre que trois trous à ma disposition, que je pourrais utiliser et prêter comme bon me semble ?

Veux tu que plus rien ne puisse t’arriver, être protégée de tout et de tous ?

Veux tu suivre mes conseils, t’ouvrir et me laisser rentrer profondément en toi ?

Veux tu être ma chose, ma femme objet, mon objet de plaisir ?

Veux tu m’obéir à moi et à quiconque, mes autres esclaves y compris ?

Veux tu ne plus jamais prendre aucune décision et t’en remettre à moi ?

Veux tu ne jamais être la première mais pourtant toujours disponible et offerte ?

Veux tu être dilatée analement et vaginalement pour être disponible à toutes pénétrations ?

Veux tu être annelée comme se doit une esclave, pour te décorer, mais aussi t’attacher ?

Veux que je prenne le total contrôle de ta vie ?

Veux tu te mettre à ma permanente disposition, chienne dressée à servir sans autre perspectives que d’être esclave ?

Tu es aujourd’hui au moment du choix, tout ceci se fera progressivement, sensuellement et de façon fluide, mais se fera. Dis moi ce que tu as éprouvé à la lecture de ce mail, sans te protéger, brut de fonderie. Jattends ta réponse dans 30 minutes, avec impatience.

A te lire… Ton Sieur »

Elle restait une énigme pour Philippe, pas seulement à cause de sa vie maritale, mais aussi cette rapidité dans labandon le perturbait un peu. Se serait elle abandonnée au premier qui le lui aurait demandé ? Tenait elle le même discours en entretien, discours ambiguë, pour essayer de déclencher une réaction, comme celle quil avait eue ? Finalement était-ce elle qui manipulait et tenait le jeu, ou bien était elle lingénue fraîche et délicieuse quil voyait en elle ? La réponse arriva sur son mail dans les 30 minutes imparties.

« Mon Sieur, Mon Maître, Mon Seigneur,

Les mots se bousculent sur le clavier, et pourtant un seul est important. OUI, je veux tout cela, je veux tout ce que vous désirez. Je ne réalise pas ma chance de vous avoir rencontré, davoir éveillé en vous un désir, et que vous acceptiez ainsi de vous occuper de moi.

Puis je vous demander de maider lorsque cela sera trop difficile pour moi, dêtre un peu patient avec la jeune femme que je suis qui ne connait rien à cette soumission dans laquelle vous maspirez ? Je ne comprends pas tous les mots, que signifie anneler par exemple, mais je comprends le sens. Je ne sais pas tout ce que cela signifie, sinon que je dois me donner totalement à vous, et cela menchante.

Je ne pense quà vous depuis cette première rencontre, un choc profond, encore plus remuant après la nuit dhier. Je vous dois de mavoir faite femme en me donnant ce plaisir inconnu et inouï, et ne serait ce que pour cela, je vous appartiendrais, dune façon ou dune autre, toute ma vie. Faites de moi ce que bon vous semble, je vous demanderai, si je puis, simplement de respecter ma vie professionnelle, jai besoin de mon salaire pour vivre, et je regretterai de devoir me retrouver au chômage. Jespère que vous comprendrez.

Je suis à vous, Marguerite votre esclave »

Une joie profonde envahit Philippe à la lecture de ces quelques lignes. Le pouvoir qui lui était ainsi conféré le remplissait de plaisir, et il imaginait déjà ce quil allait faire delle. Alain, son DRH, allait être content, il serait moins présent à lagence, cela ne faisait pas de doutes.

*****

La nuit tombait en cette fin de dimanche. Philippe relut le très court message quil lui avait envoyé la veille :

« Demain soir, je te veux à genoux sur mon paillasson à 20h30 précises. Habillée comme tu es partie ce matin, mais avec des bas et un porte jarretelle, noirs, et je te veux intégralement épilée. »

Ils avaient longuement échangé ensuite sur MSN, après quelle ait du partir en catastrophe acheter ce quil lui demandait et quelle navait pas dans son rayon lingerie. Elle lui avait demandé mot à mot de lui expliquer ce quelle ne comprenait pas dans son engagement, ce quil entendait pas certains termes, ce quelle devrait faire, ce qui lui plaisait, comment pouvait elle faire pour le séduire et continuer à lui donner envie. Il la sentait incroyablement attentive à lui, à ce quil voulait, sans chercher elle-même à savoir ce qui lui plaisait ou pas. Tout ceci était de toutes façons si nouveau, quelle était bien incapable de simaginer. Mais elle lui faisait tellement confiance.

Lui avait il demandé de se mettre nue sur le paillasson pour attendre quil ouvre la porte ? Il était bien certain que non ! Et pourtant cest bien ainsi quelle se tenait. Elle avait bien noté quil aimait être surpris, quelle devait obéir, mais pouvait aller plus loin si elle pensait que cela lui ferait plaisir. Et dès la seconde fois elle le surprenait déjà. Ses cheveux étaient tenus en arrière par son cerceau bleu, ses mains serrées dans le dos, le buste bien droit, la tête baissée, elle était très belle. Il la fit rentrer à 4 pattes, la tenant par la nuque. Son premier cadeau serait sans doute un collier et une lourde laisse en métal. Elle avait trouvé un large serre taille noir qui marquait harmonieusement sa taille et tenait les bas demandés. Le noir affinait son corps et faisait encore plus ressortir ses fesses joufflues qui étaient un véritable appel aux marques. La soirée allait être délicieuse.

En sortant du restaurant, il lembrassa tendrement, elle se fondit contre lui. Il détacha les boutons de son corsage, mettant sa poitrine à disposition, sans quelle ne dise rien. Elle était chaude et il la sentait très excitée. Avant de partir il lui avait rempli le cul avec un plug de taille moyenne, quelle supportait étonnamment bien pour une première fois. Comme le restaurant était plein, ils avaient mangé sur des tabourets au bar. Il lavait obligé à remonter sa courte jupe écossaise, dévoilant à tout le monde ses bas, puis il sétait amusé à la caresser ainsi tout en discutant avec le barman de lautre côté du comptoir. Marguerite était rouge de honte, mais navait pas fait le moindre geste pour sy opposer. Senhardissant, Philippe lui avait glissé dans le sexe la salière quil avait prise devant lui, forçant un peu le passage serré à cause de lolisbo qui remplissait son ventre. Là encore elle navait pas bougé, sa respiration sétait faite très haletante. Comme à cet instant où elle se retrouvait sur le boulevard, les seins et le ventre à la vue de tout le monde.

Il la fit marcher un peu en direction dans un coin plus sombre. Agenouillée entre deux voitures, la jupe retroussée, elle dut se soulager dans le caniveau comme une chienne. Malgré lenvie pressante qui durait depuis déjà une longue heure, elle eut du mal à se détendre, stressée par le passage des voitures derrière elle. Puis elle lâcha toute pudeur et se vida à grosses gouttes. Elle voulu se relever, mais Philippe le lui interdit. Il vint se mettre debout près delle et sortit son sexe. Elle crut à une fellation mais il bloqua sa tête et lui demanda de ne pas bouger sa tête et de tout boire. Il se soulagea en elle, surprise, qui eut un mal terrible à ne pas sétouffer. Ce ne fut quaprès quelques instants quelle réussit à réguler sa respiration, Philippe modulant son débit, pour boire son Sieur. Elle acceptait cette situation sans un mot, sans un rejet. Dès quil était là, tout ce quil faisait était la norme et elle sy pliait, elle navait plus aucun jugement sinon celui de son plaisir à lui. Il lui demanda de terminer par une fellation, joignant lutile à lagréable. Elle nétait plus quune bouche bonne pour être son wc ou sa chienne. Cette pensée la fit frémir de plaisir. Elle était vraiment là à sa place. La relevant, Philippe décida de lemmener au Bois ce soir. Cétait beaucoup pour une première soirée, mais Marguerite semblait avoir de grandes capacités. La nuit était loin dêtre finie.

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