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Une soirée déguisée – Chapitre 2




Après mon dérapage avec Seb, nous n’avons pas repris contact, certainement pour éviter d’en parler. L’anniversaire d’un ami commun arrive sous peu et nous allons forcément nous revoir. J’avoue ne pas savoir comment aborder cela. Je ne sais pas quelle image il a conservé de moi et tout ça me met vraiment mal à l’aise. Au delà de cela, cet incident m’a chamboulé sexuellement. C’est un jeu qui à mal tourné me dis-je, mais moi qui était un dragueur et un homme à femme, je n’ai pas recherché la compagnie féminine depuis ce jour. Il m’arrive par-contre de me rhabiller en Velma et de masturber en pensant à cette nuit là. C’est devenu un petit rituel. L’épilation, la maquillage, la pose la perruque. Je ne suis pas encore du niveau d’une professionnelle mais j’y arrive de mieux en mieux. Pendant ces séances, je repense à Seb, sa présence, sa force et bien évidement à son sexe.

L’anniversaire d’Hadrien arrive à grand pas, et j’ai toujours cette angoisse qui monte. Sous l’effet de l’alcool va-t-il en parler ? en a-t-il parlé à quelqu’un ? Y aura-t-il des allusions faite par d’autres personnes ? Je me demande si je commence à ne pas devenir parano. Je préfère éviter la confrontation et ne pas y aller. Le grand soir arrive, enfin le grand soir, pour les autres, j’envoi un texto prétextant que je suis malade et que je préfère rester à la maison. Me voilà donc seul à la maison, devant un plateau télé. Durant la soirée mon portable se met à vibrer. Un message de Seb qui me demande si tout va bien et qu’il espérait me voir à la soirée. Je lui répond que je suis trop malade. Nous échangeons quelques banalités.

Le lendemain, je reçois un mail de Seb

"Salut Velma 😀

J’espère que tu vas mieux, dommage pour hier, j’aurai aimé te reparler de l’autre soir. Je me doute que tu ne sera pas venu déguisé et c’est bien dommage (lol). J’espère que ce n’est pas les remords ou une forme de honte qui t’ont empêchés de venir.

Je t’embrasse

Seb"

Je t’embrasse, me reparler de l’autre soir. Soit il est dans le doute, soit il veut remettre le couvert, ou les deux. Il m’arrive d’avoir envie de recommencer mais je me sais plus de tout où j’en suis. Il faut que je lui répond.

"Bonjour Seb

Je suis percé à jour. Effectivement je n’étais pas vraiment malade, mais je ne savais pas comment aborder nos "retrouvailles". j’ai un sentiment étrange, à la fois, j’ai passé un bon moment, il faut bien l’avouer, mais je suis un peu perdu. Il faut qu’on en reparle quand même, qu’en penses-tu ?

Velma

(lol)"

J’ai signé Velma avec un petit lol derrière. Pour détendre l’atmosphère ou pour encore être dans ce rôle. Je ne sais pas, c’est venu un peu comme ça. Pendant une bonne semaine, Les mails qui ont suivi était des échanges sur nos doutes et sur le plaisir que nous avons eu, on a tourné autour du pot pendant un moment, mais cela a eu l’avantage révéler que nous n’étions pas contre se revoir.Un soir nous sommes connecté en même temps sur le tchat.

lui – Salut

moi – ’lut

lui – ça va ?

moi – oui oui, toujours un peu dans mes pensées, à cause de nos mails, j’ai eu tord de ne pas venir à la soirée d’hadrien

lui – Ca va faire un petite moment que l’on s’écrit tous les jours, je pense qu’il faudrait que l’on se voit, ça sera plus simple.

moi – oui tu as raison, Chez toi, chez moi ou en ville?

lui – Le plus simple c’est que l’on se voit chez toi, en ville c’est galère et chez moi.. j’ose même plus y inviter du monde tellement c’est le boxon.

moi – Tu es dispo ce soir ? on se fait une soirée sushi à la maison ?

lui – ça roule, donc à ce soir Velma

moi – grrrr

lui- Pourquoi grrr

moi – Bah tu m’appelles encore Velma

lui – Bah c’est aussi ton nom parfois

moi – Seulement une fois

lui – tu voudrais pas la faire renaitre encore une fois?

moi – je t’avoue qu’il m’arrive de le faire

lui – grrr

moi – tiens c’ést toi qui grogne maintenant, et pourquoi grr?

lui – parce que j’aurais aimer te revoir comme cela !

moi – ça t’a vraiment plus ?

lui – je pense que si j’en gardais un mauvais souvenir, nous n’aurions peut-être pas une discutions depuis d’une semaine

moi – c’est vrai. ça te ferai plaisir de me revoir comme cela ?

lui – ouuuuuiiiii

Le problème avec les tchats, c’est que les mots vont plus vite que la pensée et me voilà un peu coincé.

moi – bon je te promet rien.

lui – ne te stresse pas. Si tu le fais, tant mieux, sinon ce n’est pas grave, de toute façon, il faut qu’on parle.

Me voilà légèrement rassurer, le fait qu’il ne me force pas me donne l’envie de le faire

moi – on se dit vers 20h00 à la maison

lui – ok, je passe par le jap’ je ramène ce qu’il faut

moi – super, je te laisse, j’ai du coup du ménage à faire si tu débarques

lui – à toute

4 heures pour faire 10 minutes de ménage, ça me laisse du temps. J’avais surtout besoin de temps pour me décider. Je me change, je me change pas. Je vais aller des courses, ça me fera réfléchir. Direction le centre-ville, j’en profite pour passer par mon caviste, lui demander du vin pour ma soirée et du sake. Sur le retour, je passe devant le sex-shop de la ville. Je décide de m’y arrêter. C’est la première fois pour moi que j’y entre. Je me promène parmi les rayons, beaucoup de dvd, un sous-sol cabine, je me dirige vers l’espace "accessoire", je tombe face à un mur de vibromasseur.Il y a de toutes les longueurs, tous les diamètres, je prend un plaisir que j’estime malsain à les regarder et une envie d’en sentir un dans ma bouche. Je décide d’en prendre un. J’ai trouvé un god éjaculant, ça peut être sympathique cette histoire. J’avais beaucoup aimer cette fellation ,et je me suis plusieurs fois masturber en y pensant. Cet accessoire pourrait m’aider lors de mes jeux intimes. Je me dirige vers la caisse, passe devant le rayon déguisement coquine. Il y a principalement de l’infirmière et de la soubrette. Je m’imagine habillé en soubrette de latex, je sens une érection monter. Allez, calme-toi, paye et rentre chez toi. A la caisse, la commerçante me propose de prendre du lubrifiant goût pêche. Je suis un peu choqué sur le coup mais je me dit tout de suite après qu’elle doit en voir des vertes et des pas mures toute la journée. Je prends son lubrifiant en plus de mon ami michel et sors du magasin en me disant qu’il faudra que j’y retourne, ils sont plutôt accueillant et pas aussi glauque que je le pensais dans ce magasin.

Pendant mon trajet en voiture, je me dit que oui, je vais lui faire se plaisir, je serai en Velma ce soir. Passer devant ce mur de godmichet et voir ses déguisements m’a émoustillé. Je décide donc de rentrer à la maison. Je file sous la douche, j’ai quelques retouches épilations à faire. Je pense à me nettoyer intérieurement. C’est pas très glamour, mais on ne sait jamais.

Me voilà en homme et nu devant la glace. le soutiens gorge, les prothèses, le string, les bas, la jupe, le haut moulant. J’adore cette sensation de vêtement féminin sur moi. Les faux ongles, le filet, le maquillage, la perruque, une pointe de parfum. Je prend les lunettes et mes talons hauts. Je me regarde, je me trouve parfaite. Les tétons qui pointent à travers le pull sont peut être un peu de trop. Je descend, me sers un petit verre de vin blanc, allume quelques bougies, je mets un peu de musique soul. Je me rend compte que je suis en train de préparer une soirée romantique mais absolument pas une soirée pour parler. Et si je me trompais ? ça y est, le doute survient. J’ai très envie de lui mais à la fois, j’ai une boule au ventre, si lui n’avait pas envie, si pour lui c’était un jeu ? si il voulait me voir un Velma pour rire. Je me suis peut être un peu trop vite emballé. Pas le temps de stresser plus, la sonnette retenti. Je regarde par la fenêtre de la cuisine, c’est sa voiture dans l’allée de garage, c’est bien lui. Je me dirige vers la porte en essayant de me mettre dans mon rôle, je tourne du cul, le son des talons sur le parquet marque le rythme de mon pas, j’ouvre la porte en restant cacher derrière et lui dit d’entrer.

Il fait un grand pas, je referme la porte derrière lui. Il est en jean et ne porte qu’une chemise sous sa veste et des colis du traiteur japonais dans les mains. Je me penche vers lui, me dresse sur la pointe des pieds pour lui faire la bise, il m’attrape par la taille et me rend la bise. Je me sens dans mon rôle. Allez, on saute le pas.

"Comment tu me trouves? "

"Très jolie, ça te va vraiment à ravir cette tenue"

"Merci, tu nous ramenais quoi ?"

"J’ai pris que des sushis, sashimis histoire de pas avoir à faire réchauffer"

"Laisse moi te débarrasser de ça, met toi à l’aise, le porte manteau est près de l’escalier, rejoins-moi dans le salon"

Je me dirige vers le salon avec la démarche la plus chaloupé que je puisse faire en espérant qu’il regarde. Je profite du reflet d’une glace pour le regarder. Il n’a pas lâcher mes fesses du regard. C’est vrai que j’ai le cul rebondi. J’aime bien sentir ce regard sur moi. Je prépare les sushis sur des plateaux, il me rejoins, on partage un verre, la discussion commence.

-"Merci pour ton compliment, ça me touche, je me suis donné du mal pour être comme dans ton souvenir, j’hésitais au début et puis tu as été gentil alors tu méritais bien que je fasse cet effort".

-"Et bien je suis gâté, j’en ai de la chance"

-"Arrête de faire l’idiot, ressers-moi du vin et profites-en pour te servir un verre"

Je termine le plateau de sushi, l’amène dans le salon, Seb est déjà dans le canapé. Je décide de m’installer à coté de lui. On commence par échanger quelques banalités, si sa journée c’est bien passé, si il n’a pas eu de souci sur la route, me complimente sur la tenue de la maison, etc. Nos regards se croisent, mais j’évite de le regarder trop longtemps dans les yeux, souvent cela s’accompagne d’un petit silence qui devient gênant. Nous attaquons le repas sur la table basse. La télé est en fond. On discute de chose est d’autre, mais on n’aborde pas le sujet. Je me rend compte que je croise et décroise les jambes et que je fais toujours attention à avoir des postures très féminine. Tout à coup, un sushi trempé de la sauce soja tombe sur son jean. Il lâche un :

— "et merde, un jean propre d’il y a pas une heure"

— "bouge pas je vais chercher de quoi le nettoyer"

Je reviens avec du éponge humide, je m’approche de lui pour le nettoyer comme une petite femme de maison. J’aime bien ce rôle. J’ai l’impression que Seb m’appartient quand je fais ça. je suis assise à coté de lui, je lui demande de se lever ça sera plus simple, et je tamponne sa cuisse avec l’éponge. Dans sa chute le sushi a fait quelques éclaboussures sur l’intérieur de la cuisse, je tamponne et je me rapproche de son entrejambes que je vois en action.

-"Tu préférais pas que l’on parle d’abord"

Il m’a bien fallu 1 ou 2 secondes pour comprendre sa vanne. Je le prends au jeu

-"En semaine, on a pas réussi, tu penses vraiment que l’on va parler ce soir" lui dis-je et le regardant droit dans les yeux.

Je lui ai cloué le bec, il n’ose plus parler.C’est le moment de passer à l’action. Je laisse tomber l’éponge, remonte ma main sur sa bosse naissance et tourne ma tête vers sa main ballante. J’attrape un de ses doigts entre mes lèvres, le regarde droit dans les yeux et fait un aller-retour rapide comme pour mimer une fellation avec son doigt. Ma main sur sa bosse à sentir que "ça a réagit".

-"Tu es sur que tu veux toujours parler ?" Je commence à rougir en lui disant cela, je tente le tout pour le tout. Il a des réactions physiques mais j’ai peur qu’il me rejette.

-"Je serai un idiot de vouloir tout arrêter"

Il m’en faut pas plus. je continue de lui masser sa bosse naissance à travers le jean et le re-suce les doigts.Je tourne ma langue sur chacun des doigts et enchaîne les gobages sur chacun des doigts, la main gauche lui caresse l’arrière de la cuisse puis les fesses. Ils sont ferment presque aussi dur que ce touche la main droite.J’arrête mes massages, je le tiens par la main, et le dirige sur le canapé pour qu’il s’assoit ou plutôt qu’il s’affale. Je monte à califourchon sur lui en remontant ma jupe légèrement. Ces mains ont pris place sur mes cuisses, mais mes mains sur son torse. On s’embrasse fougueusement. Sa main parcours mes cuisses et remontent à mes fesses. il les prend à pleines mains. J’ai maintenant l’impression d’être à lui. La différence de nos gabarits font que je me sens vraiment toute petite sur lui. Entre Deux baisers, je me redresse pour lui déboutonner sa chemise. C’est que monsieur prend soin de lui, il est musclé, ses pectoraux sont bien durs. Il a un léger ventre, mais ce n’est pas flasque. Je me décide de l’embrasser à nouveau en laissant une main sur son torse et une autre qui se plonge dans ses cheveux. Il joue lui aussi à l’explorateur, ma taille, mes cuisses, mes fesses, je sens ses mains partout. Un main s’aventure sur un de mes seins. Je ne ressent rien à la caresse de mes faux seins, mais c’est la position et la situation font monter mon désir. Je l’embrasse sur le torse, descend doucement, je suis obligé de ne plus être à califourchon sur lui, je ne suis pas assez souple. Me voila entre ses jambes en train de lui embrasser le ventre. Mes mains ouvrent son pantalon, il se redresse et descend son pantalon jusqu’en bas. Je lui retire ses chaussures, ses chaussettes et son pantalon. Il est là, devant moi, en boxer avec sa chemise ouverte. Je décide le l’embrasser sur la cuisse et de remonter jusqu’à son boxer. J’embrasse son sexe à travers le boxer. J’essai de mimer une fellation à travers. Le gout du tissu n’est pas très agréable mais les réactions de sa verge rattrape largement ce désagrément.

Mes mains parcours sont corps. Mes mains descendent le long de son torse, attrapent lélastique de son boxer, je le regarde droit dans les yeux et baisse son boxer. Sa verge surgit littéralement. Elle est fièrement dressée, je l’empoigne d’une main et la lèche sur tout son long. Puis je commence un mouvement masturbatoire. Je le sens à moi. Je me redirige vers sa verge et commence à lui sucer le gland puis de plus en plus profondément. J’évite d’aller trop loin, j’ai peur d’un haut de coeur. Ma main me sert de buttoir. Son sexe est vraiment tendu. Je m’applique donc à lui faire une meilleure pipe que celle de la voiture. Il a l’air d’apprécier.

-"Suce moi, c’est bon"

J’adore le ton de sa voix. Je veux qu’il m’insulte, je vais le lancer

-"Tu aimes te faire sucer par une salope"

Je m’entend dire ces mots, ça m’électrise et lui aussi. Je retourne à le sucer plus vigoureusement.

-"Sucer moi bien, après je m’occuperai de ton cul"

Il m’en faut vraiment pas plus pour me motiver. Je salive de plus en plus pour bien le lubrifier. Il a compris. Je me redresse, continue de le masturber, le regarde droit dans les yeux.

-"Alors? on fait quoi maintenant"

-"Retire mon boxer, et lève toi"

Je lui retire son boxer, et me lève, je vois mon homme le sexe tendu affalé sur le canapé, sa chemise ouverte sur son torse.

-"Tourne-toi"

Je m’exécute. Tout à coup je sens ses mains sur mes fesses, j’écarte un peu les jambes, tourne la tête pour le regarder. Il m’attrape par la taille et m’incite à descendre. Je descend donc, fesses les premières vers son membre.J’écarte la ficelle de mon string, attrape son sexe et le guide vers mon intimité. Je sens son sexe sur ma rondelle, une légère pression, il me pénètre doucement. Je suis compris entre douleur et plaisir. Je descend doucement dessus. J’ai littéralement l’impression de m’empaler sur son sexe tendu. Je suis descend à mon maximum, je remonte doucement. Son gland arrive à la limite de mon anus, je redescend, puis continue mes va-et-vient. Mes mains sont appuyées sur la table basse pour garder l’équilibre. Je continue à m’activer sur ce que je dois l’avouer se rapproche pour moi d’un pieu. Je le sens me pénétrer de plus en plus fort. Je commence à prendre du plaisir malgré la position inconfortable. Je sens ses mains sur mon cul. Il guide le tout. Je le sens se pencher vers l’avant, m’attraper par les seins et me basculer en arrière sur lui. Je suis donc assis sur lui, dos à lui, je m’appuie sur le canapé pour continuer les mouvements.Seb passe ses mains sous mes cuisses et me soulève. Je me retrouve les jambes en l’air, il me soulève et me rabaisse et me pénètre à ce rythme. Je suis plus que sa chose, malgré mes rondeurs j’ai l’impression d’être toute légère. Je le sens de plus dur que jamais. J’en peu plus je décide de me masturber en même temps. Il me dépose puis attrape ma main et la pose sur mes seins. Je comprend qu’il a pas envie que je me montre en homme, mais en femme. Je n’ai pas de plaisir à me caresser les seins mais lui adore me voir le faire. Je décide donc de jouer le jeu et d’accélère la manuvre.

-"Hmmm, c’est bon, vas y, encule moi fort"

Ce que j’avais pas dit. Il me soulève à nouveau, et c’est lui qui maintenant me met des coups de boutoir. Il me pénètre de plus en plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus profondément. D’un geste vif, il me déplace et je me retrouve sur le coté, il me replace, et me place en levrette, il s’installe derrière moi et reprend mon enculade.

-"Tu aimes ça , salope"

Me voilà électrisé, j’adore cela, Sentir cet homme massif, derrière moi, en train de m’enculer et m’insulter. Je pousse naturellement de petits cris entre le plaisir et la douleur.

-"Ma petite pute"

-"Vas y défonce moi, défonce moi"

Et là je le sens son corps se raidir, il pousse un râle et me pénètre très fort. C’est même douloureux, mais je sens un immense plaisir monter en moi. Je ne sens pas tout de suite son liquide, il refait quels mouvements et là, je sens sa semence qui se répand en moi mais surtout qui coule le long de mes cuisses.

Il se retire, m’embrasse sur la fesse. se rhabille. De mon coté je me nettoie. Il me dit dans l’instant

"Ce serait vraiment dommage de se priver de faire ça plus souvent non?"

"c’est vrai que c’était très agréable" (je me blotti contre lui)

"Que penses-tu de se voir plus souvent pour se faire ce type de soirée"

et voilà comment d’un commun accord, durant presque 2 ans et demi, nous avons organisé nos petites soirées.

Bientôt la suite.. enfin si vous le souhaitez..

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