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Quand le mari dort, la famille dance. – Chapitre 1




Quand le mari dort, la famille dance.

Premier chapitre.

Contiendra : Infidélité, Inceste, Zoophilie, HHF

Je m’appelle Eric, j’ai tout juste la trentaine, et pour être franc, je n’ai pas un physique hors du commun : je suis l’exemple typique du type banal, ni magnifique ni répugnant ; tout l’inverse d’Emilie, ma petite sur (en réalité, nous n’avons qu’un an de différence). Elle était la définition même de la femme idéale : intelligente, drôle, absolument magnifique : ses cheveux noirs coupés courts, ses seins à peine plus gros qu’un bon pamplemousse, ses hanches larges, ses fesses rebondies. Nos liens ont toujours été troubles, depuis que nous avons découvert le sexe ensemble pendant notre adolescence. Puis, ses études musicales et mon apprentissage de l’anglais nous ont séparés à plusieurs milliers de kilomètres, pour nous retrouver il y’a quelques semaines. Nous habitions dans la même ville, moi au centre et elle en banlieue, dans un pavillon plutôt aisé. Elle n’avait pas encore d’enfant, mais était mariée.

Ah, son mari

Marc était « trop bon, trop con ». Plutôt beau garçon, il n’avait jamais su utiliser cet atout à son avantage et se faisait marcher dessus par son patron, malgré un salaire conséquent. Emilie me l’avait décrit comme quelqu’un d’adorable, de très érudit, mais d’une candeur et d’une naïveté impressionnante. Il n’était pas porté sur le sexe, et rien que le romantisme le mettait mal à l’aise, mais, heureusement pour ma sur, du bon côté du « mal à l’aise ».

Un jour, alors que j’étais venu passer la soirée avec Emilie, nous discutions autour d’une bouteille de rouge, elle me glissa :  

« Tu sais, je suis vraiment amoureuse de Marc, mais il est désespérant L’autre fois, je commence à l’exciter, les préliminaires, tout ça, et lui, il demande seulement une pipe ! Tu sais que moi, je suis une vraie tordue, mais lui, on dirait qu’il a été élevé dans un monastère ! »

J’étais hilare, imaginant Emilie déçue de ne pas se faire prendre dans un costume improbable par tous les orifices. Elle reprit :

« Je me demande si ça lui plairait pas le cuckhold »

« Le quoi ? » demandais-je, malgré ma maîtrise de l’anglais

« Le cuckhold, le candaulisme comme on dit en France. C’est quand le mec se branle pendant que la nana se fait baiser par un autre mec. C’est souvent des gros noirs, mais ça peut-être n’importe qui en réalité. »

Emilie venait de me faire découvrir une pratique sexuelle que je jugeais au premier abord terriblement cruelle, puis, elle rajouta quelque chose qui me fit vite changer d’avis.

« Tu sais quoi ? J’ai qu’à le faire avec toi ! Demain soir, on fait un petit dîner, on se touche un peu, et à la fin, tu m’encules par terre, devant lui ! »

Elle était folle, mais j’adorais ça. Me taper ma sur, devant son mari, seul Emilie pouvait avoir une idée pareille.

Le lendemain soir, je me préparais à la soirée la plus insolite de ma vie. Petite chemise blanche, pantalon bien moulant pour mettre en avance mon sexe à moitié durci, et quelques préservatifs dans la poche arrière. Je me rendis donc chez ma petite sur, sonna à la porte pour voir son mari, Marc, m’ouvrir.

C’était un jeune homme blond, plus petit que moi, au visage rose comme celui d’un enfant, et au regard bleu perçant. Il était souriant, et ne se doutait absolument de rien. Il me serra amicalement la main, en se présentant (nous ne nous étions jamais rencontrés auparavant). Emilie sortit de sa cuisine, vêtue d’une magnifique robe rouge moulante en satin, qui mettait en valeur ces formes si émoustillantes. Elle me salua en se jetant dans mes bras ; Marc ignorait que nous nous étions déjà vu ; elle me susurra « Je suis toute nue » et me lança un clin d’il, alors qu’elle repartit vers la cuisine en roulant des hanches.

« T’as de la chance de l’avoir, Marc, c’est une perle rare » dis-je en m’asseyant à table alors que Marc m’offrit un verre de rosé.

« Ah si tu savais, ta sur est tellement parfaite. Je t’avoue, j’aimerais bien t’offrir deux trois neveux avec elle ! » Ce pauvre garçon était sympathique, mais si niais ; je ne pouvais m’empêcher de le mettre mal à l’aise.

« Vu comment elle est gaulée, tu dois te faire plaisir ! » répondit-je, suivi d’un rire bien lourd. «Tu me la laisses en un seul morceau hein, soit pas trop violent ! »

Le jeune homme rougissait, ne sachant pas trop quoi dire. Emilie apporta les plats, qu’elle avait cuisinés comme une déesse. Elle s’assit à ma gauche, alors que j’étais en face de Marc. Le dîner suivit son cours : boulot, hobbies, famille, ce genre de discutions sans importance. A plusieurs moments, alors que je parlais, Emilie posa sa main sur ma verge compressée sous mon pantalon, durcie et brûlante. Je fis de même, en passant mon bras sur ses épaules, pour tâter son sein droit. Lorsque Marc se focalisait un peu trop sur les caresses que nous nous faisions, Emilie le rappelait à l’ordre :

« Marc, ça va ? » Ce à quoi il répondait, penaud :

« H-Heu oui oui, tout va bien mon amour »

 A la fin du repas, je fis mine de me lever, en disant un simple « Bon, je vais pas tarder ! ». Emilie se leva en même temps, et me dit, d’une manière terriblement sensuelle : « On a même pas dégusté le dessert » Elle m’embrassa à pleine bouche : le goût exquis de son rouge à lèvre me fit rester plus longtemps, assez longtemps pour que mes mains s’emparent de ses fesses. Emilie défit ma ceinture, alors que je remontais sa robe pour dévoiler son petit cul rosée. Marc restait bouche bée, immobile. Emilie retira sa langue de ma bouche pour retirer les bretelles de sa robe, qui tomba à ses pieds, comme l’aurait fait une James Bond Girl. Sa petite chatte touffue était déjà humide, alors qu’elle m’assis sur une chaine, pour commencer à retirer mon pantalon. Elle se précipita sur mon membre, plutôt conséquent. Etant circoncis, elle eu juste à avaler mon gland : je sentis sa langue tourner autour de mon urètre, aussi subtilement qu’une plume. Je regardais Marc dans les yeux : alors que je m’attendais à du désespoir ou des larmes, il regardait avec une passivité incroyable.

Aucune émotion ne ressortait de son visage : sa femme, ma sur, me suçait devant lui, et il ne bougeait pas un sourcil. Emilie avait avalé entièrement mon sexe, alors que je massais allègrement sa poitrine si ferme. Cela me rappelait notre première fois, chez de la famille, au fin fond de l’Espagne, alors que nous n’avions que 14 ans. Nous avions trouvés les cassettes pornos de notre cousin, et les ébats érotiques de Brigitte Lahaie nous donnèrent envie de pousser plus loin notre « touche-pipi » d’enfant. Mes premières érections, ses premières formes de femme, tout ça réuni, une après-midi caniculaire, pendant quelques minutes. Nous recommençâmes dès que possible, jusqu’à mes dix-huit ans.

Après m’être fait aspirer le jonc avec passion, je défis mes vêtements alors qu’Emilie se cambrait sur la table, en regardant son mari droit dans les yeux. J’enfilais un préservatif, pour enfourner ma queue dans son intérieur. Il était encore serré ; j’imagine que Marc ne passait pas souvent. Je n’avais pas baisé depuis quelques mois, et, en sentant l’intérieur de ma sur se contracter, je repris du poil de la bête. J’enchainais les coups de hanche bestiaux, mes boules claquant contre le clitoris trempé d’Emilie. C’était une gueularde, et ne se faisait pas prier pour me lancer des « Oh oui ! ». Pour tenter de décrocher une émotion du visage de marbre de Marc, alors que j’allais jouir, je décidai de laisser ma marque sur le visage d’Emilie : je jetai le préservatif en vitesse pour asperger le visage de ma sur d’un jet puissant et brûlant : une quantité impressionnante du nectar de mon fruit lui recouvrait le visage, la poitrine et les cheveux.

Je me rhabillai en vitesse, alors qu’Emilie reprit place à table. Marc me salua d’un geste pathétique de la main, alors que je repartais, ma veste de costume sur l’épaule, satisfait. Une fois chez moi, je m’assis sur mon lit, le sourire au lèvre :

« Je vais la baiser constamment maintenant » me dis-je, tout haut.

Elle m’avait vidé, mais j’en voulais encore. Même si ce n’était sans doute pas la bonne façon, je voulais que ça donne envie à Marc de se révolter, de me jeter au sol et d’enfourner Emilie comme un animal sauvage. Ma sur et moi allions donc aller de plus en plus loin dans nos ébats, pour le faire réagir.

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