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Mon homme, mon maître – Chapitre 2




Lors de notre rencontre suivante je monte dans sa voiture, nous nous embrassons, le baiser dure longtemps et une douce chaleur envahit mon ventre puis nous allons nous garer au même endroit que la fois précédente.

Gilles me demande de m’installer à l’arrière pendant qu’il avance au maximum les sièges avant. Il me rejoint en tenant une serviette de bain qu’il glisse sous mes fesses.

<<vu la cochonne que tu es, il vaut mieux prendre des précautions>>.

Je souris mais ne réponds pas.

Nous nous étreignons et embrassons un bon moment après avoir retiré moi mon manteau et lui son blouson.

Tout en m’embrassant il ouvre mon corsage et déplace mon soutien-gorge.

Il caresse mes seins, les trouve très jolis (c’est la première fois qu’il les voit), ses doigts s’activent sur les mamelons qui s’érigent. Les envies augmentent dans mon ventre et je commence à gémir en fermant les yeux.

Sa main caresse mon ventre puis mes cuisses et se dirige vers mon sexe.

Là il se redresse et je pousse un cri de douleur, il vient de me gifler.

<<Je t’avais dit pas de pantalon, c’est valable aussi pour les collants qui sont aussi gênants et de toutes façons je n’aime pas ça>>.

<<excuses moi, j’en ai mis car il fait froid et je n’ai pas de bas>>.

<<Enlèves les, samedi nous irons t’acheter des bas et ce qu’il faut pour les tenir>>.

Je retire mes collants.

<<Enlève ta culotte que je puisse accéder sans gêne à ta chatte>>.

<<non>>.

<<Je n’ai pas bien entendu>>.

<<Non il n’en est pas question, je n’enlèverais pas ma culotte>>.

Des claques atteignent mes cuisses puis il tord les tétons de mes seins à les arracher. Je souffre, pleure et crie mais ne lui demande pas d’arrêter.

Quand il cesse de me torturer je passe mes bras autour de son cou, je l’attire vers moi et lui dis <<toi au moins tu sais me parler>>

<<Tu ne m’en veux pas de t’avoir brutalisée>>.

<<Non et je pense que tu as compris que j’aime ça>>.

<<Oui mais je n’étais pas sur, alors tu enlèves ta culotte>>.

<<Pourquoi ne le fais tu pas toi même, ce qu’elle cache ne mord pas>>.

Il retire ma culotte, je soulève mes fesses pour lui faciliter la tâche, il la fait glisser le long de mes jambes que je relève. La culotte atterrit sur la tableau de bord.

<< Tu l’as déjà bien mouillée>>.

C’est vrai car la petite séance ma bien émoustillée et la mouillure coule de mon vagin.

Gilles recommence à m’embrasser, il caresse mes seins et torture les tétons qui se dressent fièrement pendant que mes gémissements reprennent.

Une de ses mains caresse mon sexe, je sens un doigt pénétrer celui-ci et commencer à le doigter accompagné par des clapotis provoqués par la mouillure abondante.

Ses doigts se dirigent vers mon clitoris et le masturbent, mon corps se tend, je gémis de plus en plus fort.

Ses doigts passent alternativement du clitoris au vagin pendant que sa bouche embrasse mes seins en passant de l’un à l’autre, suce les tétons ou que ses dents mordillent ceux-ci.

Le plaisir augmente de plus en plus et devient insupportable. Mon corps se soulève, je râle pendant que prise de spasmes des jets de liquide s’échappent de mon vagin.

Gilles attend que je reprenne mes esprits en me caressant les joues et en déposant des baisers sur mes lèvres.

Il reprend ses caresses sur mes seins et pendant que sa main descend vers mon sexe sa bouche et ses dents s’attaquent aux seins et aux tétons.

Un doigt pénètre mon vagin, en sort, se place sur mon anus et d’une poussée le pénètre pendant qu’un autre doigt vient visiter ma chatte. il me doigte les deux orifices pendant que son autre main s’acharne sur mon clitoris.

Le plaisir que je ressens est intense, je mouille abondamment, mes gémissements et cris doivent s’entendre à des kilomètres. Je ne me contrôle plus et atteint plusieurs fois la jouissance sans que Gilles n’arrête de me torturer.

Quand enfin il daigne laisser mon corps tranquille je ne suis plus qu’une loque et je mets du temps à récupérer. Pendant ce temps il essuie mon sexe et mes cuisses avec la serviette.

Je me rhabille et me remaquille essayant de cacher les stigmates provoquées par les orgasmes répétés.

Gilles me ramène et avant de nous quitter nous nous embrassons amoureusement.

Le samedi suivant il vient me chercher, nous faisons les magasins et sex-shop.Il m’achète des paires de bas, des porte-jarretelles, des sous-vêtements assortis ainsi qu’une belle robe qui lui faisait envie.

Nous déjeunons au restaurant dont je sors un peu pompette après avoir bu un apéritif et un peu de vin.

Dans la rue je l’embrasse amoureusement et le remercie.

<<Attends, la journée n’est pas finie>>.

Que me réserve t’il encore.

Nous tenant par la taille nous entrons dans un hôtel, j’ai un mouvement de recul mais il me pousse à l’intérieur, le réceptionniste remet une clé à Gilles. Nous montons à l’étage. Gilles ouvre une porte et nous entrons dans une chambre agréablement meublée et décorée.

Je me sens bizarre d’être dans ce lieu inconnu et sachant ce qui va se passer.

Une étreinte et un baiser passionné nous unit, mon sexe est déjà bien humide et mon ventre fait des siennes.

Gilles retire mon chemisier, mon soutien-gorge, embrasse mes seins tout en dégrafant ma jupe qui tombe au sol, il embrasse mon ventre tout en faisant glisser ma culotte puis me pousse pour me faire tomber sur le lit.

Tant bien que mal il se dévêt tout en m’embrassant. Pour la première fois nous nous trouvons nus. Il est bien musclé et me dit que je suis belle.

Nous nous caressons sur tout le corps, j’hésite pour son pénis, il prend ma main et la pose dessus <<il ne mord pas, au pire il crache pour exprimer son plaisir>>, c’est la première fois que j’ai un pénis dans la main et je suis très empruntée.

Il commence à m’embrasser partout sur la figure, dans le cou, la poitrine, sur le ventre, sur les cuisses pour arriver sur mon sexe dégoulinant de cyprine. Ses mains s’activent sur mon corps.

Maladroitement j’essaie de caresser son corps et son sexe.

Il se déplace et se positionne tête-bêche. Sa bouche est sur ma chatte, sa langue s’insinue dedans et la fouille dans tous les sens. Je frissonne et gémis.

Une main masturbe mon clitoris pendant qu’un doigt a pénétré mon anus et s’ingénue à élargir l’orifice.

A sa demande j’embrasse sa queue puis je la lèche pour finalement sur son insistance la mettre dans ma bouche. Maladroitement je lui fais une fellation.

Ce qu’il me fait porte ses fruits car le plaisir augmente rapidement dans mon ventre, sentant l’orgasme arriver je l’attrape par les cheveux et tire sa tête en arrière au moment ou mon corps se raidit et que la jouissance m’emporte, mon vagin délivre son lot de jets de liquide, mes râles ont dus alerter tout l’hôtel.

Gilles se couche sur moi tout en m’embrassant et après avoir écarté mes jambes. Le moment fatidique arrive.

Son pénis qui a de bonnes dimensions est au contact de mon sexe, il exerce une poussée et me pénètre.

Avant qu’il n’atteigne le fond de mon vagin je pousse un cri de douleur. Il arrête son mouvement et me regarde.

<<Ce n’est pas possible, tu étais vierge, pourquoi ne me l’as tu pas dit>>.

<<Ce n’était pas nécessaire, je voulais t’offrir mon pucelage>>.

<<Est ce que tu utilises un contraceptif>>.

<<Oui, depuis peu car je savais qu’avec toi j’allais passer à la casserole>>.

Pendant que je l’étreins il se met en mouvement et les va-et-vient de son pénis dans ma chatte me tirent des gémissements de plaisir pendant qu’une de ses mains agace les mamelons de mes seins.

Le plaisir augmente rapidement, il continue inlassablement son travail jusqu’à ce que je jouisse arrosant son sexe. Il continue ses va-et-vient en augmentant leur amplitude et la vitesse puis arrive à me faire jouir avant que sa queue ne gonfle et que prise de tremblements elle ne déverse des jets de sperme qui viennent frapper le fond de mon vagin.

Il relève et plie mes jambes, retire sa queue de mon vagin, la positionne sur mon anus et exerce une poussée, bien lubrifiée par ma mouillure et son sperme elle pénètre facilement, la douleur que je ressens est minime.

Il commence à me labourer le cul me procurant un plaisir nouveau qui va en augmentant. Il me travaille un bon moment avant que je ne jouisse et qu’il n’arrose mes intestins.

Il se retire et couché à coté de moi me caresse et m’embrasse. Je ne suis plus très lucide. Il attend que je reprenne mes esprits.

<<Tu peux faire quelque chose pour moi>>.

<<Si tu veux mais quoi>>.

<<Fais moi bander>>.

<<Comment>>.

<<Avec tes mains et ta bouche>>.

Je commence à caresser puis masturber son pénis devenu mou.

Quand il commence à reprendre forme je me penche et mets la queue dans ma bouche puis la suce en essayant de l’engloutir jusqu’à ce que mes lèvres soient au contact de ses testicules. C’est difficile, je m’étrangle.

Sa queue finit par retrouver de bonnes dimensions, il se retire de ma bouche.

Il me positionne à genoux, les bras repliés et la tête sur l’oreiller. Il se met à genoux derrière moi et sa queue pénètre mon vagin dans lequel il uvre un moment avant de se retirer et de pénétrer mon anus qu’il défonce.

Un bras sous mon ventre pour me soutenir, une main qui masturbe mon clitoris pendant que son pénis passe alternativement d’un orifice à l’autre.

Il ne se soucie pas de mes gémissements et cris, il reste indifférent à mes orgasmes attendant à chaque fois que les soubresauts de mon corps se calment pour continuer son travail de sape.

Je ne suis plus apte à compter mes orgasmes avant qu’il n’arrose mon ventre.

Je récupère pendant qu’il passe par la salle de bains, il s’habille et quitte la chambre. Quand il revient c’est avec une bouteille et deux verres. Nous buvons, je m’étrangle car c’est fort, je ne suis pas habituée à l’alcool.

Je vais me laver et remaquiller puis j’enfile une paire de bas et un porte-jarretelles et me présente devant lui.

<<Ca te plait>>.

<<Tu es mignonne avec ça>>, il me caresse un peu le ventre et les fesses.

Je m’assois à côté de lui sur le lit et poses ma tête contre son épaule.

<<Maintenant que tu m’as possédée tu vas pouvoir passer à une autre>>.

<<Pourquoi dis tu cela, je ne comprends pas>>.

<<Tu as bien laissé tomber Claire>>.

<<Avec elle ce n’était pas fait pour durer, je n’ai jamais été amoureux d’elle. Toi c’est différent>>.

<<Je serais très malheureuse si tu me laisse tomber chéri, je t’aime>>.

<<Moi aussi je t’aime mon ange et je ne veux pas te quitter>>.

Je me rhabille et nous quittons l’hôtel accompagnés par le sourire du réceptionniste.

Il me ramène chez moi et nous nous quittons après un long baiser passionné ou nos lèvres et nos langues ne veulent pas se quitter.

Rendez-vous est pris pour le lendemain dimanche.

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