Cela remonte à l’été 1996. Ma voisine, Charlotte, 10ans très bientôt, était très complice avec moi, on passait notre temps ensembles, nos parents ne comprenaient pas alors que j’avais frères et sur de son âge, on parlait, rigolait, mais surtout, se touchaient et se déshabillaient quand on était seuls, j’avais 14ans, et aucune expérience dans ce domaine auparavant
C’était une toute jeune fille blonde, menue, de jolis yeux verts, et un cou plutôt long pour une fillette de son âge, elle le,savait, et s’en vantais régulièrement devant moi, mais jamais devant d’autres. Je ne savais pas encore pourquoi elle agissait ainsi, si je l’avais s, j’aurais agi différemment avec elle
Un dimanche après-midi, nos parents étaient partis à la plage, on avait réussis à pouvoir rester à la maison, avec la promesse de rester sage, en train de jouer sur ordinateur, ou de regarder la télé, bref, des activités normales pour deux enfants avec des différences d’âges aussi grande
Elle vient, sonne à la maison, je lui ouvre, elle est venue habillée plutôt chaudement pour la saison, je lui fais la remarque, elle me dit plutôt,gravement "Déshabille moi". Choque et n’osant pas trop, j’y vais timidement, et à peine eus-je fini d’enlever le premier vêtement ( pull ) je remarque qu’en dessous elle n’a rien, et je vois sa poitrine naissante.
Elle me dit "Tu peux toucher si-tu veux" tremblant de peur et d’excitation, je touche, caresse un peu, puis d’un coup elle recule et me dit "tu m’as menacé et viole je vais le dire aux parents et tu seras puni, sauf si tu me serrés le cou jusqu’à ce que je mévanouisse" interloqué je refuse et dit que ses parents ne la croiront pas, elle me répond qu’elle est ne fille et peux faire croire ce qu’elle veut. Pétrifié de peur à l’idée qu’elle le dise vraiment, et de la réaction de mes parents, je lui demande de se déshabiller et s’asseoir sur une chaise.
Je lui demande si elle a ne préférence, elle me répond "Non, l’important est que j’ai,du plaisir" Je me mets donc face à elle, lui saisis son long cou avec mes mains, lui demande si elle est prête, elle hoche la tête, et me mets à serrer
C’était assez bizarre de serrer ce joli cou avec mes mains, serrer de plus en plus fort, la voir devenir de plus en plus rouge et respirer de moins en moins, sortir la langue, et en même temps, y prendre du plaisir moi aussi, en sentant mon sexe devenir de plus en plus dur. J’en étais venu à observer son corps pendant l’étranglement, son corps tout nu, et surtout son sexe, je me demandais si on allait,passer à l’action après, ou jamais. Je m’imaginais la pénétrer pendant que je serrais son long cou, c’était ma première excitation aussi intense et aussi longue de ma vie.
J’ai continue jusqu’à ce qu’elle ferme les yeux et s’évanouisse. J’ai continue à serrer jusqu’à voir ses yeux se fermer, sa bouche arrêter de se tordre, son corps se calmer, et j’ai fini par lâcher son long cou.
Elle a repris connaissance au bout de 10secondes, m’a demande un verre d’eau, s’est allongée sur le canapé du salon et m’a dit "Merci c’était très bien, on le refera ?"
Jacquiesçais, ignorant qu’on le ferait de plus en plus souvent, de plus,en plus longtemps, et que, même si elle est partie, ses parents ayant divorces, sans que je connaisse son adresse, elle a modifié à jamais ma vision du cou chez les filles et mon activité sexuelle à venir
Nos parents revinrent n peu plus tard, heureusement Charlotte avait pris les devants, et fait le nécessaire pour que les traces rouges sur son cou ne se voient pas trop. Quand ils ouvrirent la porte, on était en train de jouer sur ordinateur, ils ne devinèrent jamais ce qui s’était passe peu de temps avant, n’ont pas vu son cou rouge, ni mon pénis encore en érection. Il ne s’était pourtant écoulé que 2heures depuis que nos parents étaient partis, nous sommes restés encore deux heures, le temps que mon excitation redescende et que son cou n’ait plus la moindre trace rouge. Elle avait retrouvé une voix et respiration normale, personne n’aurait pu deviner ce qui s’était passe ce jour là.