Bonjour à tous !

Par la fenêtre, il nous avait semblé reconnaître notre propriétaire, mais nous nen étions pas totalement sûrs. Julie le trouvait très séduisant : bien qu’il ait 72 ans, Louis était encore un très bel homme, grand, mince, aux cheveux blancs parfaitement entretenus, aux magnifiques yeux bleus, et pourvu dune très grande élégance, tant vestimentaire quintellectuelle. Chaque début de mois, il passait pour encaisser son loyer ; nous étions au début du mois.

Julie voulait absolument savoir si s’était bien lui qui nous avait observés. Quand nous sommes arrivés ce lundi soir vers 18 heures, il était devant chez lui. Je lui fis signe de venir. Julie entrait dans la maison ; j’invitai Louis à entrer pour lui payer son loyer. Nous le sentions un peu gêné et, après les banalités d’usage, Julie le regarda droit dans les yeux et se lança :

C’était vous, l’autre soir, par la fenêtre ?

Je je m’excuse, répondit Louis en baissant les yeux et en rougissant légèrement ; je suis sorti promener mon chien et je suis venu vers chez vous comme cela, mais je vous promets que je ne reviendrai plus et que je ne parlerai à personne de ce que j’ai vu.

Et ça vous a plu ? demandai-je.

Je n’avais jamais vu ça auparavant ; c’est pour cette raison que j’étais bloqué : je n’arrivais pas à détourner mon regard.

Julie proposa à Louis d’y assister la prochaine fois, avec mon accord. Il me regarda. Je poursuivis :

Avec plaisir ; mais ce qui me ferait surtout plaisir, c’est de vous voir avec Julie.

Là, Louis voulut se dérober :

Je ne suis plus en état d’assurer : je suis trop vieux !

Alors Julie se mit tout contre Louis ; son chemisier laissait sortir sa belle poitrine bien gonflée.

Touchez mes seins ; j’en ai envie

Louis fit alors jaillir les énormes nichons de ma Julie et se mit à les palper et à les sucer.

Julie le tira jusqu’à la table, souleva sa mini jupe, s’assit sur la table les cuisses grandes ouvertes et arracha sa petite culotte. « Je n’y arriverai pas » soupirait Louis ; mais Julie le caressa, l’embrassa à pleine bouche, le déshabilla et sortit sa bite : elle était longue et fine. Elle se mit à le sucer, à le lécher et son secret à lui téter le frein. Au bout d’un moment, je pus constater le résultat ; cette bite était faite pour la sodomie : fine et longue, très longue même, au moins 25 centimètres et un tout petit diamètre. Julie se releva, écrasa ses seins sur la table ; ses hauts talons faisaient ressortir ses belles fesses. Elle écarta à nouveau ses cuisses ; Louis la prit par les hanches. Et doucement, je vis disparaître sa longue queue dans le petit trou de Julie, tout luisant du liquide de sa moule trempée.

Je me retirai discrètement pour aller chercher Titou, qui en remuait la queue de bonheur. Quand je revins, Louis était en train de se vider dans le joli petit cul de ma Julie qui accompagnait ses râles par des « Oh, que c’est bon !!! » Louis se retira, et Titou, comme un fou, se rua sur Julie.

Hé, doucement, toi ! Tu es jaloux ? Tu veux que je le fasse avec lui ? me demanda-t-elle.

Je regardai Louis et je vis sa réponse dans ses beaux yeux bleus.

Oui, ma chérie

Alors Julie se mit à quatre pattes ; aussitôt, Titou l’enfourcha. Sa bite rose sortit du fourreau et, après quelques recherches, il trouva l’objet de son envie.

Oh ! s’exclama Julie.

Le chien commença à donner des coups de reins ; ma Julie chantait son bonheur, Titou avait la respiration forte et la langue dehors Louis regardait de tous ses yeux, et moi j’attendais mon tour. Julie se crispa ; la jouissance l’emporta. Ses seins pendaient magnifiquement ; elle me regardait dans les yeux, et Titou continuait sa chevauchée.

Tu aimes ? me demanda-t-elle.

J’adore, mon trésor !

Je m’approchai d’elle à quatre pattes pour lembrasser à pleine bouche.

Là, Titou se raidit et Julie me dit :

Il se vide ! Je sens ses jets de sperme.

Titou se retira ; Julie, en bonne ménagère, le retint pour lui sucer la bite avant de le laisser partir.

Louis nous remercia.

Il est temps que je parte ! ajouta-t-il.

Comme il ne voulait pas encaisser son loyer, nous lui avons proposé de revenir quand il le voudrait. Alors quil partait, Julie se précipita vers lui et, se hissant sur la pointe des pieds, l’embrassa à pleine bouche. De là où jétais, je pouvais voir le sperme de Louis et celui de Titou couler le long de sa cuisse droite en se rejoignant.

Louis parti, Julie vint vers moi et me dit doucement en collant ses beaux seins contre ma poitrine :

À nous, maintenant !!!

Elle m’entraîna vers la table, s’allongea dessus, écarta en grand ses cuisses souillées et me dit :

Viens lécher ta salope !!!

Je m’exécutai et léchai goulûment le sperme mélangé de ses amants : sa moule et le sperme de Titou, son beau petit cul et le sperme de Louis. J’adorais lui faire ça ; et comme notre perversité est mutuelle, elle aussi adora ce que je lui faisais Ma bitte était raide et grosse à men faire mal ; je m’enfonçai dans la moule que mon chien avait préparée pour moi. Je la chevauchai pendant de longues minutes, ma bite aussi grosse que celle d’un âne ; puis elle se retourna et je m’enfonçai dans son petit cul lubrifié par le jus de Louis ; quelques va-et-vient me firent exploser. Ma semence jaillit pendant que Julie me criait :

Vas-y, gros porc ! Vide-toi les couilles !!!

Le soir venu, nous nous sommes caressés et, tout en nous embrassant, Julie ma raconté ce quelle avait ressenti ; je lui parlai de ma surprise de la voir sodomisé par le proprio, ma jalousie, ma gorge serré, mon excitation Nous nous sommes endormis soudés l’un à l’autre pour une courte nuit.

La prochaine fois, Louis ne viendra pas seul ; mais c’est une autre histoire

Bisous à tous ; j’espère avoir des messages de dames !

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