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Echanges virtuels avec ma coiffeuse – Chapitre 1




J’ai déjà écrit sur le salon de coiffure mixte où je vais.

Les coiffeuses se renouvellent à un rythme fréquent, sans doute à cause des mauvaises conditions de travail, et j’ai à peine le temps de m’en lever une, qu’elle s’en va.

Pour la dernière en date, je n’ai même pas eu le temps de me la faire, alors qu’il me semblait que c’était bien parti. Mon scénario est bien rodé, je demande toujours la même, elle s’habitue à moi, je la tutoie, on discute, des propos un peu plus coquins à chaque fois, et je teste la faisabilité. Elle n’est pas farouche, se prête au jeu, et je prends le temps avant d’espérer concrétiser, comme je l’ai déjà fait avec deux de mes précédentes coiffeuses éphémères.

Celle là l’est encore plus, et lors d’une visite j’ai la déception d’apprendre qu’elle n’est plus là. Je rage de colère, m’en veux de n’avoir pas été plus entreprenant, et arrivé chez moi je me tape une queue à son attention en la traitant de tous les noms.

Elle était jeune, dans les vingt-cinq ans, jolie, sympa, et j’ai du mal à me faire à son absence, jusqu’au jour où mon téléphone sonne.:

— Bonjour, vous êtes bien monsieur L………

— Oui

— Je suis Anne-laure, votre coiffeuse.

— Ah! bonjour jolie fille.

— Vous allez bien?

— Oui, à part ma coiffeuse qui m’a largué sans un mot.

— C’est justement pour ça que je vous appelle. J’aurais voulu le faire plus tôt, mais je ne me souvenais plus de votre nom, et il vient de me revenir.

— Ca aurait été mieux que tu l’oublies à jamais.

— Vous n’êtes pas content que je vous appelle?

— Oui et non. Je commençais juste à faire mon deuil de toi, et voilà que tu reviens. Je vais à nouveau passer des nuits blanches à penser à toi. Mais tu t’en fous je suppose?

— Non, je pense à vous moi aussi, et vous me manquez.

— Des pensées coquines, comme les miennes?

Elle hésite à répondre et j’embraye pour rompre le silence. On discute et j’apprends que sa nouvelle clientèle est uniquement féminine, et que je ne pourrais donc plus la voir. Je lui propose que l’on reste en contact, que l’on s’écrive sur internet, et lui donne mon adresse. Deux jours plus tard elle m’écrit, et c’est parti. Je lui pose des questions indiscrètes sur son copain, leurs relations sexuelles. Elle me répond ouvertement pour me dire que ce n’est pas le top au lit, mais qu’il a bien d’autres qualités, qu’elle compense par la masturbation et en regardant des sites érotiques. Je lui propose alors des échanges chauds où on se mettrait en scène et où on pourrait fantasmer, et lui indique xstory pour qu’elle se fasse une idée de ce que l’on peut écrire.

Je n’ai plus de nouvelle pendant dix jours, et j’évite de la relancer, de la harceler. Elle me réécrit enfin pour me dire qu’elle a longtemps hésité, et qu’elle est d’accord avec ma proposition. Elle a lu d’un peu tout les thèmes et a tout aimé à sa surprise, Elle veut savoir ce que j’aime et ce que j’espère d’elle. Je lui avoue que j’écris moi aussi sur le site, lui donne des indices pour trouver mes textes, et lui conseille le récit sur le salon de coiffure que j’ai écrit en pensant à elle. Ce que j’aimerais c’est qu’on garde ce lieu, pour s’y retrouver tous les deux, et se faire plein de bonnes choses.

Elle m’a lu, et n’aurais jamais cru ça de moi. Elle est étonnée des sujets que j’aborde, de ma vulgarité, mais ça l’a beaucoup excitée, ça la faite mouiller en abondance. Elle est partante et on met les conditions: on écrit chacun son tour, elle me tutoie dans le récit même si elle ne veut pas le faire en dehors, elle doit être vulgaire elle aussi, si un plan ne convient à l’un ou à l’autre on passe à autre chose.

Elle me demande de commencer.

Tout se passe à merveille, elle joue le jeu au delà de mes espérances, j’ai gardé tous nos échanges et lui demande l’autorisation d’en faire un récit, en changeant juste son prénom. Elle est d’accord. Voici donc notre correspondance, allégée de certaines introductions et conclusions hors récits.

MOI:

Tu me reçois après la fermeture pour me coiffer en toute intimité. Je suis dans le fauteuil et je te regarde dans la glace:

— J’aime quand tu es en jupe, même si elle n’est assez courte.

— Pas assez courte! Et il te la faut comment?

— Il n’y a pas de minimum; ras la culotte.

— A condition d’en avoir une.

— Tu n’as rien en dessous?

— Je n’ai pas dit ça, mais qui sait. Je te laisse deviner.

— Je ne suis pas très fort pour les devinettes, je préfère les certitudes.

Tu es contre moi à effectuer ta coupe, et je pose une main derrière ton genou. Tu ne réagis pas, et je me sens encouragé à continuer. Je remonte sur ta cuisse nue, et arrive sur tes fesses. Tu portes bien une culotte, et je caresse ton cul à travers, ton cul que je sais très joli pour l’avoir souvent mâté dans tes pantalons moulants. Je glisse maintenant entre tes cuisses et tu écartes les jambes pour me faciliter le passage. Je masse ta vulve et je sens rapidement ta culotte s’humidifier:

— Tu mouilles petite salope, ça te plait de te faire tripoter par un vieux.

— Oui, j’adore les vieux, ce sont tous des vicieux.

— Tu en fréquentes d’autres que moi?

— Oui, heureusement, je n’attends pas après toi. J’en connais des dizaines.

— Tu me fais marcher.

— Non, mais c’est normal puisque je suis une salope. C’est toi qui l’a dit.

— Ok, si tu veux, et puis je m’en fous. Ne bouge pas, il faut que je déballe ma queue, tu me fais trop bander.

Je passe mes mains sous la blouse, défait mon froc, le descend un peu ainsi que mon slip. Je prend ma bite à pleine main et me l’astique, tandis que mon autre main revient entre tes cuisses. Tu feins l’innocente:

— Qu’est ce que tu fais?

— Tu le vois bien. Je me branle et je vais te branler. Enlève ta culotte, et donne me là.

Tu t’exécutes, je renifle ta cyprine, puis je glisse ton dessous sous la blouse. Tu t’inquiètes pour ton sous-vêtement, et je t’explique que je me suis recouvert le gland avec, pour y jouir dedans, et ne pas m’en mettre partout. Tu es prête à protester, mais j’ai déjà un doigt dans ta chatte, et tu penses à autre chose. Deux doigts, trois, je te fouille sans ménagement, tout comme je me masturbe. J’entends ton souffle court, tes gémissements, et tu entends mes grognements lorsque j’éjacule et te le fais savoir.

Je me calme, et je retire ta culotte en boule pour la mettre dans ta main.

……………à toi pour la suite……………….Bisous.

Eric

ELLE:

Ouah, ça démarre fort et ça me plait…………. Bon je me lance………….

Ma première idée est de passer ma culotte sous le robinet, mais j’ai peur de le regretter; j’aime trop le sperme. Je la déplie avec précaution, et découvre le fruit de votre jouissance. Il y a une bonne dose et je trempe le bout d’un doigt pour le porter à la bouche. Ce n’est pas mauvais du tout, je recommence et je trouve ça franchement bon. Je pose mes lèvres sur votre semence et j’aspire tout dans un ssluuup bruyant. Je garde votre sperme quelques instants pour le savourer avant d’avaler et exhiber ma bouche vide:

— Il est bon votre jus, et puis quand vous éjaculez ce n’est pas pour rien.

— Tu as l’air d’aimer ça petite salope. Ils ne jouissent pas autant les autres?

— Je ne crois pas, mais je ne sais pas. Aucun n’a jouis dans ma culotte, ils se vidangent directement dans ma bouche.

— Ta bouche de pute. Tu aurais préféré peut-être?

— Non, c’était bien. On verra la prochaine fois.

— Avec plaisir, tu me feras une bonne pipe, et tu pourras te servir direct à ma source.

— J’espère que vous aurez une aussi grande quantité qu’aujourd’hui à m’offrir.

On se donne rendez vous pour une autre séance.

……….c’est mon premier récit, j’espère que vous n’êtes pas déçu………………..Bises.

Anne-laure

MOI:

C’est parfait ma puce…… Une petite remarque, on avait dit que tu me tutoyais dans le récit!……….

Nous voici à nouveau au salon de coiffure. J’enfile la blouse, et je baisse le bas avant de m’asseoir. Tu es contre moi, et je passe ma main sans tarder entre tes cuisses:

— Mais tu n’a rien dessous, coquine! Tu veux te faire fouiller?

— Oui, et aussi te sucer, c’est ce que l’on a prévu.

— Mais pas de problème, ça tient toujours, dépêche toi de me coiffer, et tu auras ta récompense.

Tu t’’actives autour de moi, et je te tripote tant que je peux, je suce mes doigt liquoreux de ta mouille. Tu as fini, fait faire un demi tour au fauteuil, et enlève ma blouse pour dévoiler mon sexe en érection:

— Ouah, super, elle est trop belle ta bite!

— Oui elle n’est pas mal, mais elle n’a rien d’exceptionnel, tu as dû en voir d’autres.

— Oui, des plus grosses, ou des plus longues, mais un peu trop pour moi. Tu as un calibre de rêve pour mes jeunes orifices.

— C’est ce que tu leur dis à tous.

— Salaud, ce n’est pas gentil; Je te jure que c’est vrai.

— Excuse moi ma chérie, je te crois. Et mes couilles, elles te plaisent?

Tu les empoignes à pleine main et m’assure qu’aucun de tes partenaires ne les a aussi grosses, aussi lourdes, et tu l’espère aussi pleines. Je confirme que je n’ai pas joui depuis la dernière fois et qu’elles sont bien remplies. Tu continues à les caresser, elles te plaisent, et je te demande de me mes bouffer, me les brouter.

Tu voudrais bien, mais trouves que j’ai trop de poils, une forêt vierge. Tu me proposes de me raser entièrement le paquet.

……..je te laisse continuer…….essaie de me tutoyer, dans le récit, sinon tant pis………Bisous ma chérie.

Eric

ELLE:

……………………………

Tu mes suis au lavabo, et tu te mets tout nu avant de t’asseoir. Tu as les cuisses bien ouvertes, dont une qui repose sur l’accoudoir. Je recouvre ton bas ventre et tes boules, puis je te lave avec tendresse. Je me régale à te peloter les couilles et je m’attarde dans un shampoing détente qui a un effet inverse sur ta queue. Tu as des poils partout, jusque dans la raie que je savonne aussi pour ton plus grand plaisir. Je prend enfin mon rasoir et je te débarrasse de toute ta pilosité. J’ai fini et j’admire mon travail:

— Humm, tu es trop mignon comme ça, je suis contente de moi. Ca met tes couilles encore plus en valeur, je n’en ai jamais vues d’aussi appétissantes.

— Sers toi, je t’en prie, bouffes les, et ensuite tu me fais une bonne pipe bien juteuse.

J’embrasse tes boules, je les lèche, je les gobe, je les mâchouille délicatement, avec mille précautions. Tu te branles, je louche sur ta queue, et j’abandonne ta paire pour m’en occuper. Je la prend toute, jusqu’à la racine, le gland au fond de ma bouche (le calibre idéal). Tout en te suçant je caresse tes couilles et je dérape entre tes fesses. Je touche ton petit trou et ça à l’air de te plaire:

— Oui, c’est bon, tâte moi la rondelle, fouille moi le cul, ça va me faire encore plus bander.

Je taquine ton petit cercle, puis je glisse un doigt et le fait aller et venir. Effectivement ta bite grossit et durcit dans ma bouche; tu me demandes de rajouter un deuxième doigt. Je te branle l’anus, et je te pompe comme une affamée, une assoiffée.

Tu vas jouir et me préviens. Je me déchaîne sur ton manche, sur ton gland, dans ton fion, et je te fais cracher tout ton jus. Je reçois plusieurs décharges épaisses que je garde en bouche jusqu’à la dernière. Je me redresse, retire mes doigts de ton trou, et les suce avec ma bouche remplie de ton foutre. Ils sont propres, et je vais pouvoir avaler ton sperme, avec gourmandise. Tu es satisfait de moi:

— Tu suces trop bien salope, cette pipe, c’était génial.

— Merci, et mes doigts dans ton cul?

— Très bon, il y a beaucoup de mecs qui aiment ça.

— Je sais, j’ai l’habitude avec mes autres vieux. Ils sont encore plus salauds que toi.

— C’est parce que tu ne me connais pas encore. Je peux tout faire. Dis moi un truc qu’ils font et que tu aimes.

— Non, une autre fois peut-être.

— Ah non, tu en as trop dit, ou pas assez. Allez, je t’écoute.

— Il y en a un qui veut que je lui pisse dans la bouche, et il avale.

— Intéressant! et il te fait la même chose?

— Non pas lui, mais il y en a un autre qui me pisse dessus.

— Et dans la bouche?

— Non il ne ma l’a jamais proposé, et je ne veux pas faire le premier pas. Il faudrait que ça vienne de lui.

— Salope. Je rêve ou tu me proposes un plan pisse bien chaud?

— Tu me sembles bien réveillé pour rêver.

…………………à vous pour la suite……………….J’ai vu dans vos récits que vous aimez ce sujet, …………alors lâchez vous……………………………grosses bises.

Anne-laure

A SUIVRE………..

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