Suite à un malencontreux accident ayant entrainé une fracture de la troisième cervicale, je fus en arrêt maladie pendant quelques mois. Pour aider la rééducation, je devais marcher et donc me voilà parti pour une petite marche sur un chemin forestier près de chez moi.

C’est un chemin agréable avec peu de dénivelé et bien entretenu, avec de temps en temps un banc pour se reposer, idéal pour moi. Et en cette après-midi de semaine, il n’y a personne, ce qui n’est pas pour me déplaire. En plus, en ce début de printemps, l’air n’est pas trop chaud et la nature se réveille doucement. Et je marche paisiblement, bercé par une brise douce et le chant des oiseaux.

Ce début de marche me permet de me présenter. Je m’appelle Vincent, 35 ans, mesurant 1 m 80 pour 85 kg. J’ai une carrure bien bâtie avec de bonnes proportions que l’arrêt de travail m’a fait un peu perdre, je l’avoue… J’ai les yeux marron-vert, habillés d’une paire de lunettes, les cheveux noirs et courts…

Au bout d’une demi-heure de marche, je commence à fatiguer un peu, surtout au niveau du dos, peu sollicité ces derniers temps. Je remarque un banc, mais qui est occupé. Je m’approche, c’est un couple de retraités qui sont assis. Bon, je préfère les laisser tranquille et me force à aller plus loin, il me semble que tous les kilomètres, il y a un banc. Je me remets donc en marche.

Mais au bout de 500 mètres, je dois m’assoir un peu. Une souche d’arbre fera parfaitement l’affaire et je prends donc une pause méritée. Je m’assois et bois à la bouteille que j’avais emmenée avec moi dans un sac à dos. Je me détends un peu, écoutant la nature.

Avant de repartir, je m’enfonce un peu dans les bois pour faire un arrêt pipi. Je m’arrête devant un arbre et sors mon sexe pour me soulager. Je commence à uriner quand j’entends derrière moi, le craquement d’une branche. Je ne peux pas trop retourner ma tête et ne peux m’arrêter d’uriner.

— Excusez-nous monsieur, pouvons-nous regarder ?

Au son de la voix, je me doute que c’est le retraité croisé il n’y a pas si longtemps. Je suis étonné mais de nature pas pudique. Donc je leur réponds que oui. Rien que d’entendre une personne se rapprocher de moi, le sexe à l’air, ça me fait doucement grossir le sexe. L’homme d’un certain âge s’approche de moi et regarde.

Il doit mesurer dans les 1m70, assez menu, les yeux bleus délavés derrière des lunettes, le crâne dégarni portant un béret. Sa femme, derrière lui, avait les yeux bien attirés sur mon sexe. Je ne comprenais pas trop, je n’ai pas un physique de rêve et mon sexe et des plus normaux et de plus avec un pubis poilu, bien loin des normes actuelles.

Je finis donc d’uriner et les regarde.

— Je peux ranger ?

— Oh non encore un peu. Pouvons-nous toucher, s’il vous plait ?

— Euh… oui.

Je répondis un peu interloqué et, regardant autour de moi, me laissant donc tripoter mon petit bout par les doigts de l’homme.

Ses mains furent douces et il prenait soin de toucher et caresser mon sexe avec lenteur. De ses deux doigts, il décalotta mon sexe et lentement me massa. Cette douce caresse me fit lentement dresser le sexe d’une agréable excitation, une montée douce et lente, comme ces caresses.

Sa femme s’approcha pour mieux voir. Elle est belle, les cheveux blancs descendant sur ses épaules, les yeux noirs aussi à lunettes, un corps rond plein de charme, assez caché il faut le dire, par une tenue ample. J’ai toujours apprécié les femmes âgées, et la voir me regarder, ou plutôt regarder mon sexe, m’excitait bien.

— Chérie, vas-y prends ma place. Dit le mari à sa femme.

Il laissa sa place et sa femme prit d’une main hésitante mon sexe tendu maintenant. D’une même lenteur, comme si mon vit était fragile, elle me caressa, ses doigts allant du gland jusqu’à mon pubis, et le pouce caressant le sommet de mon gland rouge. Elle mit les genoux au sol pour mieux regarder mon entrejambe dans ses mains.

Le mari se recula un peu pour mieux voir l’ensemble et sortit son propre sexe mollasson qu’il commença à astiquer devant nous.

— Monsieur, il y a bien longtemps que ma femme ne peut plus trop avoir une telle raideur de ma part et même à l’époque, elle devait se contenter d’une petite taille. Cela fait pas mal de temps que je l’encourage à trouver une plénitude sexuelle auprès d’autres hommes et aujourd’hui elle se lance.

— Ravi que cela soit avec moi, dis-je en la regardant.

Elle rougit.

— Oui vous avez un appétissant bâton, dit-elle avant de prendre doucement mon gland entre ses fines lèvres.

Elle se mit à suçoter mon gland, le faisant entrer dans sa bouche d’un ou deux centimètres pour le libérer ensuite et recommencer. Je sentais sa langue venir tourner autour de mon sexe.

Je touchai sa tête et ses cheveux pour les mettre sur le côté afin de la voir jouer avec mon sexe. Le spectacle de ses lèvres fines sur ma queue, de ses yeux fermés et de son visage ouvert au plaisir et à l’excitation était ravissant.

— Vous êtes ravissante.

L’homme revint près de nous et releva sa femme. Il la mit devant moi, debout et défit son manteau et remonta son pull afin de me montrer son corps et sa poitrine généreuse. Elle était maintenue par un soutien-gorge blanc des plus classique mais qui laissait présager de lourds seins.

— Montre au monsieur tes seins, veux-tu ?

Sans rien dire, elle sortit les seins des bonnets et dévoila ses seins lourds, blancs et à grosses aréoles à mes yeux.

— Vous pouvez venir les toucher si vous voulez, m’invita-t-il.

Je m’approchai et pris un sein des deux mains. Il était à la fois lourd et moelleux. Je pris le second d’une main et commençais à les caresser, ressentant leur poids, caressant les tétons du pouce. Puis, je les pris à pleine main pour les malaxer, coinçant ses tétons qui se dressaient entre mes doigts. La dame rougissait.

Je baissai la tête pour prendre en bouche son téton. Je le coinçai entre mes lèvres et aspirai comme pour téter. Je sentis une main se poser sur ma tête, caressant mes cheveux alors que l’autre me caressa la hanche. Je mordillais délicatement ce téton et entendis gémir la dame. Je me redressai.

La femme retira son manteau et fit passer par-dessus ses épaules son pull et retira son soutien-gorge, elle se trouva torse nu devant moi, montrant ses seins retombant légèrement sur son ventre. Que la femme mature est belle. Elle me rappela à elle.

Je la rejoignis. Elle se remit à genou pour prendre mon sexe d’une main et de l’autre sortis de mon caleçon mes bourses. Elle me masturba lentement d’abord, tout en caressant mes testicules. Puis elle accéléra les mouvements. Ensuite, elle glissa ma queue entre ses seins et, les pressant contre mon sexe, continua à me masser. La vue et la sensation furent divines. Sous les encouragements de son mari, elle continua puis reprit en bouche mon gland et tout en l’aspirant me branla à la base du pénis.

Je ne pus tenir bien longtemps sous ses assauts. J’haletais de plus en plus et annonçais la délivrance très prochainement. Elle retira sa bouche de mon gland et dirigea ma queue vers ses seins tout en accélérant les coups de mains et en serrant mon vit. La jouissance arriva et j’arrosai sa poitrine de jets de sperme. Elle continua à me masser de plus en plus lentement, pour lentement faire retomber mon sexe.

— Ce fut divin, merci bien, belle dame.

— Tout le plaisir était pour nous. Répondit l’homme. Si je peux me permettre, pouvons-nous vous inviter un jour chez nous afin de faire plus ample connaissance ?

— Mais avec grand plaisir.

Pendant ce temps, je regardai la dame se rhabiller, pleine de sensualité dans ses mouvements. Je remis mon sexe dans le pantalon. Le monsieur me tendit un papier

— Disons demain début d’après-midi ? Voici l’adresse…

Puis, ils partirent par là où ils étaient venus, marchant main dans la main.

— A demain donc…

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