Domaine agricole.
Jean 48 ans agriculteur.
Fernande 45 ans, femme dagriculteur.
Vincent 17 ans fils dagriculteur.
Evelyne 18 ans fille dagriculteur.
Monique 25 ans la sur de lagriculteur.
Marcelle 22 ans la sur de la femme de lagriculteur.
Olivier 16 ans le frère de la femme de lagriculteur
Céline 17 la nièce de lagriculteur.
Robert 67 ans le père de lagriculteur
Jeanne 66 ans la mère de lagriculteur.
Voilà la famille qui vas évoluer dans cette histoire et passer un été et la saison des vendanges ensemble.
Jean en ce début dété à du travail il prépare la cave et les cuves pour la saison des vendanges qui approche. Robert lui soccupe des vignes.
Laprès midi il à lhabitude de faire la sieste de 13h à 15 heures car il se lève tôt, cet après midi sa femme Fernande est allée chercher ses enfants au train car ils reviennent pour les vacances de la pension ou ils sont le reste de lannée.
Jean et sa femme vivent avec les parents de jean dans la grande bâtisse du domaine et prennent leurs repas ensemble, cest en principe Jeanne qui prépare les repas.
Il est 13 h et le repas vient de prendre fin, Robert se lève et va faire comme tous les après midi sa sieste, Jeanne fait la vaisselle et Jean est encore à table, il finit son café.
Jean se lève et sapproche de sa mère il se plaque dans son dos et passe ses mains devant pour lui prendre les seins, tout en lembrassant dans le cou.
Il lui murmure à loreille.
— Tu viens faire la sieste ?
— Je finis la vaisselle et jarrive mon grand.
Jeanne à 66 ans est encore une très belle femme, grande une poitrine opulente et encore ferme, elle est musclée par les travaux de la campagne.
Elle tourne sa tête vers son fils et celui ci lui prend les lèvres dans un baisé, leurs langues semmêlent, il continue à lui pétrir les seins deux minutes puis monte à sa chambre.
Il se dénude et se glisse sous le drap, quelques minutes plus tard, Jeanne le rejoint se dénude également et se glisse à ses cotés.
Ils sembrassent et pendant que jean lui malaxe les seins et lui triture les bouts, elle le branle doucement, elle sait quelle va avoir du mal à prendre la tige de son fils dans sa bouche car elle est énorme mais elle en a envie, avent quil ne la baise ou lencule comme toutes les après midi ou ils peuvent faire la sieste ensemble, depuis bientôt 28 ans.
Jeanne a le pénis de son fils dans la bouche et celui ci lui mange le clitoris et lui lèche toute sa fente, lui enfonçant la langue et les doigts dans le vagin ou lanus.
Elle a trop envie de lui, cela fait 6 jours quils nont pas eu loccasion de faire lamour et son mari ne bande plus guerre pour elle. Ce salopard préfère bander pour la voisine.
Jean a un pénis démesuré il fait 28 cm de long et 7 de diamètre et à beaucoup de mal à prendre les femmes mais quand il est en elles, il les fait jouir comme des folles. Il se rappelle quand il a dépucelé sa femme, elle a hurlé tellement elle avait mal et il na pas pu continuer, il a du attendre 3 jours pour pouvoir la prendre à nouveau mais depuis elle en redemande souvent mais Jean a dénorme besoin et heureusement quil baise sa mère depuis sa plus tendre enfance, sinon il serait en manque.
Jean présente son sexe devant le fruit maternel et pousse son gland dans lentre bien juteuse, Jeanne souffle un peu fort car lintromission au départ est toujours un peu difficile et tan que son vagin ne s’est pas habitué, elle souffre un peu.
Après quelques instant jean la pilonne et elle commence à jouir, Jeanne hurle sa jouissance, elle va jouir quatre ou cinq fois, avent que Jean néjacule en elle au fond de sa matrice.
Jean regarde sa mère jouir, en appui sur ses mains, il adore la voir prendre son plaisir.
Jean a joui en elle mais elle sait quil ne débandera pas, elle vient de jouir comme à chaque fois, intensément et profondément, elle a envie quil lencule, elle sait quelle aura mal au début mais sait aussi quelle va jouir encore plus que par-devant.
Elle est en levrette et Jean la pilonne maintenant de toute la longueur de son énorme chibre. Jeanne nen peut plus et seffondre de plaisir, le pieu reste fiché et continue son travail dans ses entrailles, il explose en elle mais reste toujours fiché.
Ils sendorment ainsi.
A 15 h ils descendent boire un café et Jean va reprendre son travail à la cave, quelques minutes plus tard cest Robert qui descend, il sait que Jean baise sa mère, depuis le premier jour, il le sait, il les a vus la première fois, dans le palier à foin.
Jean avait alors 16 ans, ils rentraient le foin et sa mère était en robe légère et comme elle ne porte jamais de culotte, ce jour la elle était avec lui et est tombée et Jean pour la relever lui a tendu la main mais sa mère la attiré à elle et lui a pris la bouche et ils ont fait lamour, pour la première fois.
Robert na rien dit car Jeanne sait, que lui, couche avec sa voisine et sa fille et ça larrange bien, sil veut que son fils reste à la propriété il faut quil y trouve un avantage et quand il a vu la pine de son fils il savait que Jeanne en redemanderait et que celui ci resterait.
Le soir, ils sont tous à table, les deux enfants raconte lécole et la pension et Vincent dit à son père.
— Papa je ne reprendrais pas lécole, je pense que jai eu mon bac mais je veux venir travailler avec toi ici.
— Tu le vois fiston, deux bras de plus ne seront pas de trop et je ne te cache pas que jen suis content. Et toi ma fille chérie tu continus tes études ?
— Oui en principe je rentre en seconde année de gestion mais je ne rentrerais quaprès les vendanges début octobre.
— Tout est pour le mieux alors.
Fernande qui est une femme un peu maigre et petite mais avec des formes bien jolies à voir et toujours vêtue dune robe qui se déboutonne sur le devant na pas vu que quelques boutons sont défais et quand elle se lève pour aider sa belle-mère à desservir, montre largement son entre cuisse à son fils, celui ci rougit mais ne détourne pas les yeux. Jean a vu et pense, il est temps que ce gamin perde son pucelage, sil veut rester ici, il ny a quun moyen, le même que le mien, il faut quil baise sa mère ou sa grand-mère ou sa sur mais il faut quil baise.
Alors il prend une décision, il va parler à son fils et ce soir il parlera à sa femme et si elle ne veut pas il parlera à sa mère. Pour sa fille il compte bien la dépuceler avant longtemps, il a pour cela tout lété ou la faire dépuceler par Vincent ce qui ne serait pas plus mal, comme ça, lui pourrait la baiser tranquillement.
— Vincent, viens avec moi mon garçon, puisque tu reste, je vais te monter ton travail pour demain matin mais pas de bonne heure, quand tu voudras bien te lever, pour ton premier jour cest normal.
— Je te suis papa.
Jean navait aucune intention de parler travail à son fils mais de tout autre chose. Une fois seul dans la cave.
— Dis moi ! Mon grand tu as déjà couché avec une femme ?
— Non papa !
— Et ça te dirait de le faire ?
— Oui bien sur mais par ici, il ny a pas beaucoup de femme, mis à part la voisine et son idiote de fille qui ressemble à grand-père.
— Qui te parle de baiser la voisine ? Jai vu que tu regardais ta mère dun drôle dil tout à lheure !
— Je ne voulais pas papa, excuse moi mais maman est si belle !
— Je ne te parle pas de ça, voudrais-tu la baiser si tu pouvais et que je sois daccord ?
— Ho ! Oui cest mon vu le plus cher depuis longtemps.
— Alors considère que cest fait, cest elle qui te demandera ou ta grand-mère, si tu veux aussi et jaimerais que tu dépucelle ta sur mais pour ça laisse moi faire, tu es daccord ?
— Ho oui ! Daccord pour tout et surtout ma sur et mémé aussi !
— Bien allons nous coucher, je tarrange ça mon grand, tu baiseras peut être demain matin. Une dernière question, il est comment ton zob
— Comme un zob, pourquoi.
— Je sais bien couillon quil est comme un zob, je te demande sil est gros ou petit.
— Ben je pense quil est gros car je nen ai jamais vu de pareil quand on prend sa douche ensemble après le sport en pension.
— Fait le voir, si cest le même que le mien mon gars t vas les régaler.
Le gamin sort sa trique et Jean peut constater que si son fils na pas tout à fait la même que la sienne il est monté comme un étalon de reproduction.
Les deux hommes vont se coucher et Jean vas rejoindre son épouse et attaque dentré.
— Tu en pense quoi de ton fils ?
— Pourquoi cette question, que veux-tu dire par la ?
— Quand il à vu ta chatte ce soir, ça ta fait plaisir non, quil rougisse ?
— Oui ! Un peu mais ou veux-tu en venir ?
— Au fait, que si on veut le garder à la propriété il faut quil baise et que tu es une des seules à pouvoir le faire baiser ici.
— Tu accepterais que je me laisse faire par mon fils, figure toi que jy ai pensée souvent mais il est bien jeune et ça me changerait de ta trique.
— Ça ne te changera pas beaucoup, il à presque la même mais oui je veux, que tu le fasses avec lui et pas plus tard que demain matin, tu iras le réveiller et tu couche avec lui et soi cochonne.
— Daccord, tu ne veux pas que jy aille tout de suite ?
— Et moi je me branle ?
— Tu as ta mère si tu veux, tu crois que je ne sais pas que tu la baises et en plus il faut que tu toccupes de ta fille si tu ne veux pas quelle se mari avec un con de la ville. Cette semaine il y a ma sur et mon frère qui viennent et ta sur aussi alors fais le maintenant sinon tu nauras pas beaucoup doccasion.
— Pour ma sur, celle la je vais lui en mettre un coup et la faire baiser par Vincent, ça va la calmer cette courge et ta sur aussi tien jaimerais bien la foutre enceinte et quelle reste ici, jen ai marre de baiser des vielles, ton frère tu pourrais faire de ton mieux aussi, fais lui tirer un coup. Ha il y a la nièce qui rapplique pour les vendanges fais la sauter par ton fils et ton frère ça les occupera un moment. Bon vas-y, je vais voir si je peux dépuceler ma fille, si elle est encore pucelle.
Fernande alla droit à la chambre de son fils et entra, celui ci était couché.
— Bonsoir mon grand, ça te dit davoir maman dans ton lit cette nuit ?
— Oui ! Viens, jen ai envie oui, je pourrais te faire lamour ?
— Je suis la pour ça mon chéri et par tous mes trous si tu veux, viens, je vais te sucer et tu vas jouir dans ma bouche la première fois, après tu tiendras plus longtemps dans les autres.
Jean de son coté alla frapper à la chambre de sa fille et entra, quand celle ci lui dit denter, elle était à sa table de travail en nuisette et Jean lui dit
— Ma chérie, je voudrais te poser une question ?
— Vas-y papa !
— Es-tu encore pucelle ?
— Non-papa, je me suis faite dépuceler à la fac mais jai pas trop aimée, il avait une petite bite et ça a duré 3 minutes et il ma éjaculé sur le ventre.
— Tu aimerais en avoir une grosse et le faire avec moi ?
— Ho oui ! Ça jaimerais, je voulais que tu me dépucelle mais jaie pas pu attendre.
— Ça fait rien, jaime autant que tu ne le sois plus.
Jean pris sa fille dans ses bras et lembrassa sur la bouche, leurs langues se mêlaient pendant que celui ci passait sa main sous la nuisette à la recherche de labricot de sa fille et lui introduisit deux doigts, tout en caressant son clitoris avec le pouce.
Il la coucha sur le lit et se mit entre ses cuisses, il mit sa bouche sur la fente et la fit jouir longuement avec sa langue, lui titillant le clitoris et denfonçant en elle de la langue et des doigts, il élargit la fente et la rondelle avec quatre de ses doigts, sachant quil fallait bien la préparer pour quelle prenne son vit.
Il mit ses jambes en lair et posa ses petits pieds sur ses épaules et présenta son gland à lentrée de sa fente. Les premiers centimètres ça alla bien mais quand il voulut entrer entièrement il sentait bien que sa fille souffrait et y alla lentement, sortant jusquau gland et se ré enfonçant de plus en plus profond, il butta sur le col de lutérus, il était en entier en elle et il navait pas quitté sa fille des yeux.
Il entreprit de lent vas et vient et en quelques instants celle ci hurla sa jouissance.
— Papa ! Tu es gros, tu me fais jouir papa, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis.
— Il la lima longuement, il savait quil allait jouir en elle et quaprès il lui prendrait sa rondelle mais la il fallait quil jouisse, alors il accéléra ses mouvements et chaque fois ses couilles frappaient le cul de sa fille et son gland buttait lutérus.
— Quand il jouit en elle dans une explosion de sperme et que celui ci se répandit dans sa matrice elle sévanouit de jouissances.
Il nalla pas plus loin pour cette première fois et sendormit en elle, toujours bandé comme un bouc.
Fernande avala la semence de son fils et garda son pénis dans sa bouche, il était moins gros que son père mais de bonne taille. Elle le fit venir sur son ventre et le guida dans sa fente, ce fut le bonheur parfait, le vit sadaptait à son vagin parfaitement, il la lima longtemps, très longtemps si bien quelle était épuisait de jouissance quand celui ci lui dit.
— Je vais gicler maman, je peu rester dedans ?
— Oui mon amour, gicle dedans, gicle dans mon ventre bien au fond, si je ne prenais pas la pilule tu te ferais un petit frère, tu en veux un de petit frère mon amour.
— Ça ne se fait pas avec son fils maman et non, je préfèrerais une fille pour pouvoir la baiser.
— Je ten ferais une mon amour.
La suite bientôt. Si vous aimez ! Nhésitez pas à me le dire.