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Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme – Chapitre 4




Suite

Maman s’habille. Enfin si l’on peut dire. Débardeur à bretelles au décolleté abyssal, minijupe verte ultra courte, quasiment ras le bonbon, sandales à brides argentées, à talons vertigineux !

— Tu ne mets rien dessous ?

— Non, j’ai décrété la grève des sous-vêtements le temps de ces vacances !

— Rien qu’à cette idée, tu me fais déjà bander !

— Et toi, OK pour ton bermuda, mais pas de slip en-dessous !

— Mais on risque de voir que je bande !

— Tant pis pour toi, moi, on ne verra pas que je mouille !… Car je mouille, ça me ruisselle le long des cuisses, rien qu’à l’idée de me balader à poil sous ma jupe très courte dans la rue, sans que les passants n’en sachent rien. Et puis si ma jupe est hyper-courte, elle est raide et moulante, aucun risque qu’elle ne s’envole !

— Dommage ! plaisanté-je. Mais tes cuisses fais-moi voir, s’il te plait.

Sans la moindre hésitation, Valérie, trousse le peu qu’il reste à trousser de sa minijupe, tout au plus quelques centimètres. En effet, le haut de ses cuisses est brillant, mouillé de cyprine. Elle rabaisse sa jupe en riant. Quand j’y pense, jamais je n’aurais pu imaginer une telle situation, ni surtout ce genre de dialogue entre nous. L’escalade se poursuit. Jusqu’où ira-t-elle ?…

Nous allons marcher ainsi dans les rues de Biarritz, côte à côte. Je prends la main de Maman dans la mienne. Rapidement, cela ne semble pas lui suffire. Elle passe un bras autour de ma taille, m’invitant à l’enlacer de mon bras droit, et la tenir serrée contre moi, par une épaule. Je nous fais l’effet de deux amoureux, marchant tendrement enlacés.

Amoureux, je le suis sans aucun doute. L’est-elle, ou s’amuse-t-elle seulement ? Pour l’instant le mystère subsiste. En nous croisant, quelques personnes nous regardent avec insistance, voire étonnement ou réprobation. Réprobation peut-être pour la petitesse extrême de la jupe de Valérie, la profondeur de son décolleté, la houle de ses seins qu’elle accentue volontairement, la hauteur de ses talons, et puis par le « couple » que nous formons. Beaucoup ne doivent même pas supposer que nous sommes mère et fils. Auquel cas j’imagine dans ma tête les commentaires désobligeants : « non mais regarde-moi celle-là, habillée comme une pute, qui se tape un petit jeunôt, quelle honte ! » Cela m’excite au plus haut point. Je glisse à l’oreille de Maman :

— Je crois que nous ne passons pas inaperçus !…

— Tant mieux, réplique-t-elle, j’adore !! Serre-moi plus fort contre toi en marchant !

Remarque suivie d’un troublant aveu :

— J’en ai assez d’être toujours l’hôtesse d’accueil courtoise et réservée, la maman sage, j’ai envie, j’ai besoin de me lâcher, merde à la fin ! Ras le bol des convenances ! Viens, on va prendre la voiture.

— On ne va pas à la plage ?

— Si, mais pas à celle de Biarritz.

De fait, après un bon trajet, nous nous retrouvons sur la petite plage discrète, proche de Saint-Jean de Luz. Totalement désinhibée, à peine hors de la voiture, Maman envoie balader débardeur, jupe, chaussures, et se retrouve intégralement nue, ce qui, à ma plus grande joie, semble devenir sa « tenue » favorite !… Je l’imite, et nous allons nous installer sur le sable. Pas plus d’une dizaine de personnes sur la plage, tous sans maillot. Au début, mise à part notre nudité, nous demeurons sages, nous prélassant au soleil sur nos serviettes.

— Tu l’aimes mon corps, hein ? fait Maman en constatant que pas un instant je ne la quitte des yeux. Alors, je me lance, à la fois hardiment et timidement :

— Oui, tu es magnifique. J’ai j’ai très envie de toi, de te faire l’amour. Te faire l’amour sans arrêt. Je ne l’ai jamais fait avec personne, mais je compte sur toi pour m’apprendre à te donner du plaisir.

— Allons, ne dis pas de bêtises. Nous jouons un peu ensemble, c’est d’accord, que mon corps te plaise j’en suis ravie, et j’aime que tu me le dises. Mais restons dans des limites raisonnables.

Gros coup de blues tout à coup. Ainsi nous n’irions donc pas plus loin ? Pour moi la machine est lancée, elle ne peut que s’emballer. Toutefois, le ton sur lequel Maman a dit cela ne me parait pas très convaincant. Comme si elle s’oblige à fixer des limites qu’elle rêve de franchir. Je bande à mort, c’en est presque douloureux, et je m’arrange pour qu’elle ait en permanence mon érection sous les yeux.

Me tenant tout contre elle, j’aperçois ses grandes lèvres brillantes de mouille. Alors, pourquoi cette retenue ridicule ? Nous sommes mère et fils certes, mais adultes consentants, et sans la moindre liaison avec un ou une partenaire. La morale chrétienne ? Maman m’a déjà avoué ne plus être croyante depuis des lustres. Alors pourquoi, pourquoi ? J’ai envie de toi, je crève d’envie de toi, toi, toi seule !… Te faire l’amour, te baiser et te rebaiser, des jours, des nuits entières !

Coupant court à cette atmosphère devenue lourde, Maman se lève soudain, et file se baigner. Je la rejoins. Qu’il est agréable de profiter de l’océan sans l’entrave d’un maillot !

De retour sur le sable, Maman nous fait changer d’emplacement, nous installant dans un recoin isolé, entouré de rochers. C’est moins beau, et plus inconfortable. Je comprends vite la raison de ce choix.

Allongée sur sa serviette, Maman commence doucement à passer une main sur ses gros seins, l’autre glissant sur son ventre plat, jusqu’à son entrejambes. Voilà qu’elle se caresse. Bientôt, elle ouvre les cuisses en grand et se triture la chatte en gémissant. Couché sur le flanc, près d’elle, je me branle en la matant à mort. Elle le sait, mais fait comme si je n’étais pas là. Elle ondule lascivement du bassin sur sa serviette, ses cuisses se contractent, ses seins bougent en cadence. Je craque, ne parvenant plus à me contrôler :

— J’ai envie de te baiser !

— Me baiser ? il n’en est pas question. Masturbe-toi en me regardant, rien de plus. Régale-toi de ma branlette de de de salope.

Je l’ai sentie hésitante pour lâcher le qualificatif de « salope » Mais si elle se traite elle-même de ce nom, peut-être ne se choquera-t-elle pas lorsque je vais confirmer ses dires :

— Oui continue, branle-toi comme une salope, pour moi, comme ma salope.

Elle pousse alors un sonore :

— Oh ouiiiiii, ta salope ! C’est si bon de se laisser aller ! Vive la liberté !

Me prouvant ainsi que loin de se choquer de mon insulte, elle l’apprécie.

Bon je ne vais donc pas la baiser. Enfin pour l’instant. Après tout, me masturber en la regardant se caresser, ce n’est déjà pas si mal ! Je me mets à genoux, et me branle comme un damné, en la regardant se caresser avec frénésie. Puisque j’y suis tacitement autorisé, j’use et abuse :

— Oh Maman, ma salope à moi, tu es belle, branle-toi, j’en fais autant pour toi.

De ses doigts, elle écarte ses lèvres, pour la première fois je découvre l’intérieur de son con, cet antre rouge, s’ouvrant sur un gouffre noir, cette chatte luisante de jute féminine. Je vais venir, avant elle.

— Maman, c’est trop bon, je viens ! Je vais jouir pour toi, ma pute, ma belle pute !

Ce mot est parti tout seul, je perds tout contrôle.

Anticipant mes vux les plus chers, elle me crie presque :

— Jouis, vide-toi sur moi mon fils, sur ta pute de mère ! Viens, viens, arrose-moi !

Je décharge alors à longs traits, essayant de couvrir le plus d’endroits possibles de son corps. Mes jets s’écrasent sur ses cuisses, son ventre, ses seins, et son visage pour finir, un visage déformé par sa jouissance, simultanée avec la mienne.

Après son orgasme, elle semble s’éveiller, sortir de son rêve.

— Qu’avons-nous fait là, mon Dieu ! Avec mon fils, j’ai honte, j’ai honte !

Alors, les actes et les paroles dignes d’un film porno que nous venons de pratiquer s’estompent, pour retrouver l’amour, la tendresse. Maman s’est assise. Je l’enserre entre mes bras, lui couvre le visage d’une multitude de bisous affectueux. Sur le front, les joues, le nez, et, plus timidement, sur sa jolie bouche. Je la console comme si les rôles étaient inversés, que j’étais son père ou son grand frère. Je lui dis tendrement :

— Maman chérie, ce que nous venons de faire n’est pas sale, tu en avais envie, et moi aussi. Je n’ai qu’un regret. Celui de t’avoir insultée. Mais c’était dans le feu de l’action. Tu n’es ni une salope ni une pute, mais une ravissante femme en manque de tendresse, et cette tendresse passe aussi par le sexe, mais pas que par lui. Je t’aime, Maman adorée, et je te respecte, malgré ce que j’ai pu te dire. Me crois-tu, me pardonnes-tu ?

En guise de réponse, Maman prend mon visage entre ses mains, plaque sa bouche sur la mienne. Mais très vite il ne s’agit plus d’un innocent bisou. Nos lèvres s’ouvrent, et nous allons alors nous embrasser interminablement, à pleine bouche, à en perdre haleine.

                                               __________

De retour à Biarritz, Maman me semble dégrisée. Elle a changé de chaussures dans la voiture, troquant ses sandales sexy contre de vulgaires tongs de touristes ! Elle ne me tient plus « que » par la main en marchant, et elle ne cesse de tirer sur sa micro-jupe pour tenter vainement de la rallonger un peu Si nous avons perdu un peu sur le plan sexe, nous avons gagné en tendresse. Au lieu de « Fabien ou « mon fils », elle ne cesse de me donner du « mon chéri », voire « mon amour ». Je lui renvoie la balle avec du « ma petite Maman adorée ». De retour dans notre studio, elle offre tout de même à mes regards l’essentiel de son corps, en ne gardant sur elle que son petit slip turquoise de maillot de bain. Chacun de notre côté nous allons dormir nus sous nos draps, mais en restant sérieux.

Le lendemain matin, je m’éveille avant elle. Il fait chaud dans la pièce, elle a repoussé le drap. Je peux ainsi la contempler à loisir, nue, endormie, sereine, belle à me rendre fou d’amour. Debout près du lit, je me masturbe lentement, en la détaillant minutieusement. Elle ouvre soudain les yeux, et m’aperçoit me paluchant. Je redoute une remontrance, mais elle me sourit avec bienveillance, me charriant un peu :

— Déjà ?! De si bon matin ?

— Oui. Bonjour ma maman chérie. Tu es si belle que je n’ai pas pu résister.

— Sois tranquille, je ne te cacherai plus jamais mon corps, c’est promis. Allez, je vais me lever. Prépare donc le petit déjeuner tandis que je vais me doucher.

Elle me rejoint à table peu de temps après, tout en restant nue. Le visage rayonnant, elle me dit :

— Aujourd’hui sera notre journée.

— Mais, Maman, c’est tous les jours notre journée !

— Non, celle-ci sera exceptionnelle. Ne pose pas de question, laisse-moi faire, je veux que tu te souviennes toujours de ce jeudi.

Je n’insiste donc pas. Que me prépare-t-elle ? Vue sa mine réjouie et sa voix suave, sûrement pas des choses désagréables !

Elle s’habille d’une fraîche robe d’été très bariolée, dans le juste milieu : courte mais pas trop, échancrée, sans excès. De même pour ses jolis escarpins gris, d’une hauteur de talons raisonnable. Cela me convient, Maman est belle, fraîche, sexy, mais cette fois sans faire « pute » comme la veille dans sa tenue outrancière. Précision connue de moi seul : nudité totale sous cette petite robe Elle m’invite à déjeuner dans un restaurant classe, nous permettant de déguster de délicieuses spécialités basques.

Puis, direction la Grande Plage. Si Maman va naturellement quitter sa ravissante robe, elle a dessous son petit slip saumon, cette plage très fréquentée n’étant pas naturiste Je ne me lasse pas de reluquer son corps adoré. Plus que jamais j’ai envie d’elle.

Après le bain, en fin d’après-midi, nous regagnons notre studio. Maman commence par m’embrasser longuement à pleine bouche, puis elle me fait asseoir au bord du lit. Elle procède alors au plus bref des strip-tease. Elle envoie voltiger ses escarpins dans la pièce, puis fait glisser le long de son corps sa jolie petite robe. Point d’autre atour, elle est déjà nue ! Je lui fais une remarque coquine :

— Je suis satisfait de la coupe que j’ai faite de ta petite fourrure, elle est juste à la taille que je souhaitais.

— Viens donc lui dire bonjour, de plus près !

A genoux, j’avance jusqu’à Maman. Sa petite chatte ne se trouvant plus qu’à quelques centimètres de mon visage. Maman me stupéfie, par un geste très osé : de ses deux mains, elle écarte lentement les lèvres, et ouvre peu à peu sa minette, jusqu’à me laisser voir son intérieur rouge vif, encadrant un trou noir

— Embrasse-moi, là !

Je pose alors délicatement ma bouche sur son sexe grand ouvert. C’est chaud, tendre. Un liquide translucide en sort. Je goûte pour la première fois à un jus de femme. Non sans quelque réticence, sachant d’où ce liquide provient. Je trouve le goût indéfinissable, ni bon, ni mauvais, neutre.

— Tu aimes ma mouille ?

— C’est un peu bizarre, mais ce n’est pas désagréable.

— Il va falloir que tu t’y habitues, j’adore qu’on me lèche, et je suis une grande mouilleuse !

Dans les films porno que je regardais (au cinéma, le VHS en étant à ses débuts et les DVD n’existaient pas) j’avais vu bien sûr des scènes de cunnilingus, mais passer de la théorie à la pratique n’est jamais chose évidente, en tous domaines. Et Valérie est exigeante.

— Non, pas comme çà, je vais t’expliquer comment bien me lécher. Dire qu’il faut que ce soit ta mère qui te donne une leçon, alors que tu as 20 ans !…

Sa réflexion, quoique juste, me vexe grandement. Elle s’en aperçoit de suite, et se rattrape.

— Je ne me moque pas de toi mon chéri, je te taquine juste un peu !

J’apprends donc à lécher ses grandes lèvres, les mordiller, les étirer parfois, explorer la cavité intime, y faire tourner ma langue, boire en même temps le nectar qui en ruisselle. J’adore aussi enfouir mon visage dans ses poils, doux et imprégnés de ses odeurs intimes, puis les humecter et les lisser de la langue. De sa main, Maman débusque son clitoris. Ainsi c’est donc cette minuscule boule de chair l’endroit crucial procurant tant de plaisir à la femme ? Toujours sous les conseils maternels je le lèche, le prends entre mes lèvres, le mordille tout doucement, ce qui la fait sursauter. Sursaut de plaisir !

Puis Maman me laisse opérer, j’ai apparemment bien retenu la leçon, car elle se met à gémir doucement sous mes caresses buccales, en émettant toujours plus de jute.

— C’est bien mon grand. Tu me lèches comme un pro. Continue, bouffe ma cramouille, elle est à toi !

Jusque là je n’avais jamais entendu ce terme de « cramouille » Si je sais maintenant que c’est une manière assez grossière de nommer un sexe féminin, je décide d’adopter ce mot que je trouve pour ma part plutôt rigolo, et je dirais même gentiment affectueux. Durant de longues minutes, je vais donc dévorer l’adorable cramouille baveuse de Maman. Elle gémit de plaisir, mais mon léchage ne la mènera pas à l’orgasme, sans doute ne suis-je pas encore assez expert en la matière Patience, en tant qu’élève je n’en suis qu’à ma première leçon !…

De moi-même, je m’occupe ensuite de ses belles jambes. Je lèche ses cuisses, et les caresse aussi. Quelle douceur, quelle fermeté ! Je descends jusqu’à ses pieds que je gratifie d’un bon léchage aussi, mais celui-là est habituel. Nous nous installons à genoux sur le lit, face à face, sa merveilleuse poitrine constituant mon nouvel « objectif ». Cette fois, Maman ne me prodigue aucun conseil, mais je sais d’instinct comment la satisfaire. Je commence par soupeser ses seins lourds, les palper fermement, mais sans brutalité. Douceur, fermeté, souplesse, volupté, tout cela à la fois. Je pose ma bouche sur eux. Je me mets à les lécher, intégralement. Ils deviennent rapidement luisants de salive. Je fais tourner ma langue autour des tétons, bien saillants, que je qualifierais de « bandés ». Je me mets à les téter, comme un bébé, ce qui fait éclater de rire Maman. A nouveau un peu vexé, je me recule et lui jette un regard noir.

— Ne sois pas si susceptible ! C’est ton ardeur qui m’amuse, mais tu t’y prends très bien. Allez, reprends ton travail !

Ah, si « travailler » ne consistait qu’à ce genre de labeur, que la vie serait douce !… Je « travaille » donc les seins de Maman, les croquant comme des fruits mûrs. Dans ses paroles, elle intercale les mots tendres et les mots crus, comme pour pimenter nos dialogues. Cette alternance sera désormais sa manière de s’exprimer durant nos ébats.

— Continue comme çà, c’est excellent, tu me bouffes très bien les nibards ! Mais ne pense pas qu’à eux, tes mains sont inertes, tu peux les utiliser en même temps ! Pelote-moi, mon petit salaud d’amour, pelote ta putain !

Suivant toujours les précieux conseils, tout en continuant de dévorer les gros seins de Maman, je fais jouer mes mains sur ses cuisses, son dos, ses fesses rebondies, ses épaules. Sa peau se grêle soudain d’une légère chair de poule.

— Tu as froid ?

— Pas du tout, j’aurais même plutôt chaud. Mais tes caresses sont si agréables qu’elles me donnent le frisson.

Ce genre de remarque, au contraire des précédentes, me donne beaucoup plus d’assurance. Je finis par enfouir mon visage entre ses seins, jusqu’à m’étouffer. Maman prend ma tête dans ses mains, et frotte ma figure sur toute sa poitrine, en appuyant très fort. Plaisir partagé, pour l’un et l’autre !

Elle me fait m’allonger, me branle brièvement, puis suce ma bite. J’en suis « déjà » à ma seconde fellation !… Elle s’y prend si bien que cette fois c’est à mon tour de lui faire un compliment graveleux :

— Oh maman, comme tu me suces bien, vas-y, bouffe ma queue, qui bande pour toi.

Après m’être fait pomper royalement quelques minutes, arrive l’instant crucial. Maman m’enjambe, s’installe à califourchon sur moi. Elle empoigne ma pine qu’elle masturbe encore un peu. Elle frotte le gland contre l’entrée de sa moule, pour bien le lubrifier avec son jus. Puis, avec une lenteur calculée, elle se laisse descendre sur moi. Je sens sa chatte s’ouvrir peu à peu, s’élargir sous la poussée de ma bite. Bientôt, Maman est emmanchée sur moi « jusqu’aux couilles » comme l’on dit. Nos toisons se mêlent. Elle reste immobile un long moment, comme pour mieux savourer l’instant de ma première pénétration. Exquises sensations ! C’est chaud, doux, mouillé, serré Le plaisir intégral. Maman prononce une phrase quasi cérémonielle :

— Mon fils, te voilà un homme. Enfin ! J’attendais cela depuis si longtemps

Aveu délicieux à entendre en un tel moment. Usant d’un même ton « officiel », je dis à mon tour :

— Maman adorée, je suis en toi, dans ton ventre, d’où je viens, tu es ma première femme, ma première femme, et je t’aime.

Elle se penche en avant, et nous nous embrassons fiévreusement. Puis elle se redresse, et entame des allées et venues sur mon membre érigé en elle. Tout en s’activant, elle place ses mains sur mes épaules, et je pose les miennes sur ses cuisses. Elle sait y faire. Elle reste complètement enfilée sur moi quelques instants, puis se met à rouler érotiquement du bassin autour de ma queue. Faisant entrer sa musculature interne en action, elle malaxe ma bite dans son vagin, elle me « branle » littéralement dans son ventre. C’est le Paradis sur terre ! Ensuite elle reprend sa chevauchée, de plus en plus frénétique. Nous n’échangeons plus une parole, nos actes nous suffisent. Le plaisir approche, et, bien que tentant de me contrôler, j’explose en elle, j’éjacule à n’en plus finir dans sa cramouille. Ce qui déclenche son orgasme. Elle se contracte, se tend comme la corde d’un arc, et à ma plus grande joie, c’est bien mon prénom qu’elle hurle dans la pièce :

— Fabiennnnnnnnnn !!!!

Le doute n’est plus permis, ce n’est pas seulement d’un homme dont elle a besoin, mais de MOI. L’osmose est totale. Se soulevant un peu, elle se dégage de ma bite. Un long et épais filament blanchâtre coule de suite de sa chatte, jusque sur mon ventre : l’érotique cocktail de nos liqueurs d’amour mêlées.

Nous récupérons lentement. Maman s’allonge, et se blottit contre moi, insérant une jambe entre les miennes.

Ainsi c’est donc cela, faire l’amour ? Quelle chose merveilleuse. Pas un instant je ne songe au « scandaleux » inceste auquel nous venons de nous livrer. Nos actes ? Un homme et une femme qui s’aiment, de la plus belle des manières. Rien d’autre.

Je devine que vous attendez la suite, mes coquins

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