Depuis ma première rencontre avec Marion, je n’attendais qu’une chose : faire ce fameux shooting.
Et bien sûr, je m’en foutais complètement des photos que nous allions faire car une phrase qu’elle m’avait lâché trottait incessamment dans ma tête.
Elle m’avait en effet avoué avoir essayé la sodomie pour la première fois et que cela "s’était bien passé".
Comme ma femme me refuse cette faveur, c’était devenu mon fantasme numéro 1 à égalité toutefois avec la fellation complète (que ma femme me refuse aussi).
Marion m’ayant demandé de venir la chercher chez elle, j’ai eu plusieurs minutes pour faire monter le désir en lui reparlant de notre dernière entrevue.
Je l’ai remercié en lui disant que j’avais beaucoup aimé ce que nous avions fait et que je n’avais cessé de penser à elle.
Tout au long du trajet, je n’avais qu’une envie c’était de m’arrêter quelque part pour lui sauter dessus mais je me retins en me disant que je n’avais pas bien longtemps à attendre finalement.
A notre arrivé chez moi l’excitation était à son comble mais nous n’en parlions pas vraiment et je faisais comme si nous allions faire un shooting classique, surtout avant de rentrer chez moi (au cas des voisins regardent par la fenêtre à ce moment là).
Je lui ai montré la salle de shooting puis la salle où elle allait pouvoir se changer, en prenant mon temps pour répondre à ses questions banales.
Puis, je lui ai fait visiter un peu plus de ma maison et nous sommes arrivés dans le salon.
C’est là que je me suis retourné vers elle pour l’embrasser fougueusement pendant quelques minutes.
Je profitai de ce baiser passionné pour lui peloter les fesses et la maintenir contre moi pour lui faire sentir mon envie.
Je la regardai ensuite, elle avait la bouche à moitié ouverte et attendait la suite :
— Suce-moi!
Comme si elle n’attendait que ça, elle ne se fit pas prier et s’agenouilla immédiatement devant moi en s’attaquant rapidement à la boucle de ma ceinture.
Elle me goba immédiatement la queue et me suça divinement pendant que je commentais tout :
— Tu suces bien… t’es vraiment qu’une salope…
Et cela l’excitait visiblement car elle me répondait par des "hummm" affirmatifs.
Malgré ses 18 ans, sa technique hors pair me disait qu’elle n’en était clairement pas à son coup d’essai.
Après quelques minutes de ce traitement je lui dis de s’installer sur la chauffeuse de mon canapé après lui avoir enlevé tous ces vêtements.
Et c’est à nouveau comme un mort de faim que je me jetai sur les lèvres charnues de son intimité.
Je léchais avec soin ses lèvres de haut en bas en prenant soin de lui caresser les seins en même temps.
Aux cris qu’elle poussait sans aucune retenue, je compris que technique lui plaisait aussi.
Je fis descendre ensuite ma main droite pour pouvoir la doigter savamment en faisant remonter ma langue gourmande vers son clitoris.
Mes doigts se perdaient quelque fois entre ses fesses et s’immisçaient pour signifier mon intention future.
Mes avant de tenter d’explorer ce passage inconnu, je pris ses jambes pour les disposer sur mes épaules et je pus ainsi la besogner vigoureusement pendant plusieurs minutes en la regardant dans les yeux.
Elle se plaça ensuite en levrette et je continuai mes coups de boutoirs en la traitant une nouvelle fois de petite salope.
Dans cette position, je pus poursuivre mon exploration en massant son anus avec mon pouce.
Je lui dis que j’avais envie de la sodomiser et comme elle ne voulait pas me décevoir, elle accepta même si je sentais un peu d’appréhension.
Je suis donc allé à la cuisine pour aller chercher un peu de beurre et je revins en voyant sa position plus qu’indécente : elle avait sa tête dans les coussins du canapé et le cul offert.
Je massai doucement sa rondelle et introduisit un doigt inquisiteur qui eut un peu de mal à faire son passage.
Puis je remplaçai mon doigt par mon gland et commençai à pousser en restant à l’écoute de Marion.
Mais cela ne "se passait pas bien" (comme elle aurait dit) et je voyais bien que mes premiers centimètres ne lui procurait aucun plaisir alors je me suis donc résolu à arrêter mon exploration avant d’aller trop loin et de lui faire trop mal.
Elle fut touchée par mon attention et décidé de me reprendre en bouche pour me finir.
Même si sa pratique manquait encore d’un regard cochon, je vis qu’elle prenait vraiment du plaisir à ce qu’elle faisait et je me dis que mon deuxième fantasme pouvait très bien être réalisé.
Je lui ai donc supplié de jouir dans sa bouche mais elle n’avait encore jamais essayé et même si elle hésita un instant, elle ne me fit pas se plaisir.
Mais sa pipe fut tout de même parfaitement réussi et je jouis dans ses mains.
Après cette digne entrée en matière, nous allions pouvoir passer au shooting mais ceci est une autre histoire…
