Histoires de sexe mobiles Histoires porno

Educatrices : Les 18 ans des cadets, le concours. – Chapitre 6




Coulybaca – Texte personnel.

Tous les jeunes participant physiquement à l’action sont âgés de plus de 18 ans.

Chapitre 6 : Les 18 ans des cadets, le concours

Les semaines, puis les mois passèrent, les quatre femelles étaient main-tenant sous totale influence, chaque week-end l’infirmière et les deux éducatrices mettaient leurs bouches, leurs cons, leurs culs à l’entière disposition de leurs maîtres qui ne se privaient pas de les utiliser fréquemment.

La pharmacienne, propriété commune, ne passait pas la totalité de chaque week-end en leur compagnie, mais était tenue de leur consacrer le samedi ou le dimanche quand elle ne pouvait plus, elle leur livrait chaque semaine son emploi du temps pour la semaine suivante.

De plus, en semaine, souvent le mercredi ils leur faisaient la surprise d’une visite qui se terminait chaque fois par des ébats dans le lit conjugal

Aucune des quatre n’avait plus de velléité de résistance, elles se pliaient à tous leurs caprices, mêlant volupté et honte dans un cocktail de jouissances.

Cependant, les plus jeunes commencèrent à murmurer, ils n’avaient pas été sans remarquer les allées et venues suspectes des quatre jeunes femmes.

D’abord étonnés de ces visites régulières, ils ne tardèrent pas à flairer un coup fumant, et se mirent alors à épier leurs aînés.

Ils notèrent d’entrée les tenues érotiques des jeunes femmes le week-end ; leurs vêtures contrastant fort avec leurs habituels habits de travail.

Samedis, dimanches, fini les jupes longues, les pulls ras du cou, les pan-talons androgynes, ils laissaient place aux mini jupes, aux corsages échancrés, transparents.

Ces premières constations les incitèrent à approfondir leurs investigations .

Ils déployèrent des trésors d’imagination pour en savoir plus.

Robert, le plus inventif, peut-être parce que le plus déluré, mit au point un dispositif infaillible qu’ils expérimentèrent tous avec rapidité.

Ils fixèrent un petit miroir sur le dessus de leurs chaussures, il leur suffisait alors de le glisser avec discrétion sous les jupes de ces dames pour découvrir leurs avantages en toute impunité.

C’est seulement à ce moment qu’ils virent leurs soupçons les plus délirants confirmés : elles se baladaient sans culottes ces salopes !

Leur opinion faite, ils s’attachèrent alors aux gestes de leurs aînés, sans surprise, ils observèrent les mains fouineuses passer sous les jupes, les imaginèrent palpant les cramouilles désirées, pinçant les fesses opulentes, se régalant de tous ces chairs normalement interdites.

Combien de branlettes exigèrent ces observations, ils auraient pu seul le révéler !

Puis les langues se délièrent, ils osèrent des plaisanteries douteuses :

— Tiens encore Miloud la main au panier… Au panier de Fabienne bien sur… Qu’est ce qu’il cherche ? La figue ?

— Alors tu veux tapisser ? Tu cherches la colle ?

— Et Stephan… Regarde il cherche le sel ou la crème ?

Puis il testèrent leurs réactions, caressant furtivement sous leurs yeux les appâts convoités.

Aux premiers heurts avec les aînés soucieux de voir respecter leurs biens, ils insinuèrent que personne n’avait intérêt à voir ces pratiques dévoilées, laissant planer un doute, une menace diffuse.

Réunis en conseil, les aînés décidèrent que mieux vaudrait sacrifier une de leurs proies plutôt que de risquer une éventuelle divulgation.

Ils résolurent donc d’en offrir une en pâture à leur juvénile lubricité.

Ils préféraient passer pour des bienfaiteurs plutôt que de se faire forcer la main, ce qui pourrait advenir s’ils ne bougeaient pas, leur autorité étant trop fortement battue en brèche par la convoitise des plus jeunes.

Justement, l’occasion se présenta rapidement, avec le mois d’avril arrivaient aussi les anniversaires de Mohamed, Gérald et Robert, ils atteignaient tous leurs 18 ans.

Ils convinrent de les fêter le même soir et en cadeau de leur offrir leur dépucelage.

Les quatre femmes devraient amener pour cette soirée une tenue de soubrette modèle : petit tablier blanc et coiffe.

Une des quatre baiseuses, leur serait offerte en guise de cadeau.

Il leur parut amusant de soumettre les quatre belles à des épreuves qui détermineraient le nom du cadeau.

Ils montèrent une compétition ou chaque jeu attribuerait un certain nom-bre de points aux concurrentes, la perdante serait dévolue au plaisir des cadets.

Elle serait chargée d’initier les trois puceaux aux joies du sexe, bien en-tendu, elles ignoraient totalement le programme de la soirée.

Le vendredi soir, elles arrivèrent donc toutes quatre dans leurs tenues habituelles.

L’IME déserté par les autres pensionnaires, elles furent sommées de préparer le repas d’anniversaire, tâche dont elles s’acquittèrent soigneusement.

A peine le repas était-il prêt, le couvert mis en place par les plus vieux, qu’elles durent revêtir les atours appropriés au service, seul détail important, elles ne portaient en tout et pour tout que leurs tabliers blancs ceints à la taille et leurs coiffes.

Les bras chargés de plats, elles pénétrèrent dans la salle à manger, et là se trouvèrent confrontées aux regards des trois cadets, aussi enchantés que stupéfaits du spectacle.

Rouges de honte elles posèrent les plats sur la table et s’enfuirent dans la cuisine.

Miloud qui les avait rejointes se vit obligé de les menacer de futures représailles, il dut même distribuer quelques claques, avant de les voir se résoudre à réintégrer la salle des réjouissances.

Dès leur retour, applaudies par les trois jeunes, elles se rangèrent au coté de Stephan qui annonça alors le déroulement de la soirée.

— Gerald et Robert et Mohamed, pour vos dix-huit ans, nous ne savions pas quoi vous offrir, aussi a-t-on décidé que pour vous ce jour serait mémorable. Vous savez que ces quatre salopes nous obéissent au doigt et à l’oil, ce soir, l’une d’entre elle partagera votre lit… Vous en ferez ce que vous voudrez… Ce sera votre cadeau d’anniversaire !

— Pour savoir de laquelle vous disposerez pour le week-end, nous avons organisé un concours après le repas… En attendant elles vont nous servir dans cette tenue, vous pourrez vous régaler les mains et faire connaissance avec leurs culs, une des quatre sera à vous pour 48 heures et on vous apprendrez rapidement comment bien vous en servir !

— Allez les salopes au boulot !

Chacune à son tour chaque jeune femme dut présenter un plat aux convives, les trois autres, dos tournés leur exposant leurs fesses crispées par la honte et l’angoisse.

Chacune leur tour, elles sentirent les mains fureteuses des trois cadets inventorier leurs charmes.

Aux premiers contacts furtifs, frôleurs, les trois jeunes n’osant pas, d’emblée, peloter des adultes, la profanation étant trop évidente, succédèrent des gestes plus appuyés.

Encouragés par leurs aînés rigolards, ils relevèrent les tabliers, s’assurèrent de la couleur de la toison de ces dames.

Puis sur les invitations pressantes de leurs aînés, ils se firent plus hardis, des mains fiévreuses s’aventurèrent sous la bavette des tabliers, estimèrent la lourde fermeté des seins offerts, palpèrent les culs exposés, fouillèrent les entre fesses velus, les craquettes ouvertes.

Des doigts agiles s’introduisirent dans les vulves tendues, les anus furent palpés puis visités, bientôt aucune des trois n’eut plus de particularité anatomique secrète.

Aucune ne l’aurait avoué, mais ces multiples pelotages, leur avaient échauffé les sens, si chacune était au bord des larmes de devoir se laisser tripoter par les jeunes mains inexpertes, si le rouge de la honte leur montait aux joues de sentir ces doigts de puceaux violer leurs sexes et leurs entrailles, aucune ne pouvait non plus nier l’humidité suspecte qui sourdait de leurs ventres lesquels se tendaient maintenant vers les caresses inexpérimentées.

Miloud, au coté duquel, leur service achevé, elles venaient se placer, testa l’état de leurs moules et les trouvant gluantes à souhait se chargea d’en informer la tablée :

— Regardez moi ces cochonnes, il a fallu les forcer… Et maintenant… Elles ont le cul trempé… Des vraies fontaines !

Elles durent, alors livrer chacune leur tour leurs sexes aux investigations de leurs maîtres, qui confirmèrent les observations de Miloud.

Plus que le plaisir qu’elles avaient prises à ces manipulations, la révélation de ce plaisir les anéantissait.

Le repas terminé, elles desservirent, tandis que les trois aînés, invitant les trois cadets à prendre place sur le divan préparaient les accessoires du concours.

La véritable soirée commençait .

A l’annonce de leur prénom, elles vinrent se ranger face à leur public, Miloud les invitant alors à se présenter plus en détail.

Sur son ordre elles quittèrent leurs tabliers et exposèrent leurs cramouilles aux yeux attentifs.

Le dos fléchi en arrière, le sexe tendu elles durent en écarter les grandes lèvres, révélant aux yeux écarquillés des trois plus jeunes la richesse de leur carnation.

Chaque vulve entrebâillée révélait tous ses détails habituellement dissi-mulés.

Du doigt, Miloud leur fit une petite leçon d’anatomie, désignant claire-ment les grandes et petites lèvres, le méat urinaire, l’entrée du vagin à la chair plus rose, et le clitoris surmontant l’ensemble de la cicatrice.

Frottant son doigt dans la fente de ses dames il leur montra les secrétions luisantes qui garnissaient maintenant copieusement les chattes étalées.

Puis se tournant elles durent écarter les fesses, exhibant leurs anus fripés, crispés d’appréhension.

Introduisant le doigt les trois aînés firent remarquer au jeune public ravi d’une telle aubaine, l’élasticité des oillets maintenant bien rodés.

Ecarquillant les rondelles soumises il leur précisa qu’on pouvait aussi prendre son plaisir dans ces réceptacles, leur révélant l’utilisation qu’on pouvait faire des trois orifices naturels de ces dames.

La confusion des quatre salopes était maintenant à son comble, de se voir reléguées au rôle de poupées éducatives, leur faisait tout craindre de l’avenir proche.

Elles avaient bien raison, dès le début du concours elles surent que leur déchéance serait totale.

Pour la première épreuve, elles déambulèrent dans la pièce, un fin crayon de bois planté dans le sexe.

La règle était simple, la première qui le laisserait chuter ne marquerait q’un point, la seconde deux, la troisième trois et la dernière quatre, à l’issue des épreuves qui seraient toutes notées suivant le même principe, celle qui totaliserait le plus petit score serait livrée à la convoitise des trois cadets.

Le vagin contracté sur le fin vit qui les garnissait, elles marchaient lentement, bassin crispé, cherchant à retarder la chute fatale, le jeu durait depuis quelques minutes, lorsque les gars impatients d’en voir la conclusion se mirent à leur claquer les fesses.

La croupe ondulant sous les coups, des petits cris plaintifs aux lèvres elles cherchaient encore à enrayer l’issue, soudain la petite bite gluante glissa de la moule de Fabienne, un bruit mat soulignant sa chute, les cuisses serrées les trois autres continuaient à se dandiner, Françoise puis Murielle perdirent leurs crayons.

Miloud félicitant la gagnante inscrivit le score au tableau noir :

Fabienne 1

Françoise 2

Murielle 3

Sylvie 4

Stephan préparait déjà le matériel pour la seconde épreuve : quatre petites bouteilles de Perrier et un banc.

Il disposa les quatre bouteilles cote à cote sur le banc, puis lia les mains des quatre concurrentes dans leurs dos et leur exposa la règle tandis que Charles leur enduisait largement le sphincter anal de graisse.

— Cul bien graissé, mains liées dans le dos, vous devrez saisir le goulot de la bouteille avec l’anus et vous relever, la première qui se tiendra droite la bouteille bien fichée dans les fesses aura gagné, on commence au signal… Attention. Partez !

Toutes quatre se précipitèrent, ouvrant désespérément les fesses, elles s’accroupirent au dessus des bouteilles et lentement cherchèrent à s’empaler sur les phallus de verre.

Mais la graisse faisait déraper les goulots, ils remontaient dans l’entre fesse, la concurrente devait alors se remettre en position.

Dilatant fortement son sphincter pour pouvoir se saisir de l’objet de sa convoitise, l’anus écarquillé sur le goulot, Murielle commença de se rele-ver péniblement, elle allait y parvenir lorsque son cul éjecta le corps étranger, elle qui avait frôlé l’exploit dut reprendre la bouteille entre les dents pour le disposer à nouveau sur le banc.

Pendant ce temps, l’anus tétant voracement le goulot, Françoise parvint à se redresser puis ce fut Fabienne.

Telle une ventouse son cul avait aspiré la bouteille qui disparaissait presque entre ses fesses accueillantes, enfin Murielle se releva, il fallut attendre encore quelques instant avant de voir Sylvie la bouche déformée par l’effort, le cul crispé sur le goulot fuyant se redresser.

Miloud afficha le nouveau score :

Fabienne 5

Françoise 5

Murielle 5

Sylvie 5

L’égalité parfaite .

On ne délia pas les mains des quatre femelles pour l’épreuve suivante : une bougie fichée dans le cul , elles devaient en allumer la mèche à une autre bougie posée sur le banc.

On leur enfila chacune un gros cierge dans le fondement, leurs gaines étranglèrent l’objet pour le tenir en place, la mèche à allumer dépassant de cinq centimètres des fesses.

Tortillant du cul, le visage dévissé sur l’épaule elles approchèrent lentement leurs masses fessues des petites flammes, Sylvie la première se brûla la croupe, son cri de douleur fit redoubler de prudence ses rivales.

Le spectacle avait quelque chose d’obscène et de ridicule.

Les gros culs, crispés par l’appréhension approchaient craintivement la flamme, chacune à son tour se brûla, chacune insista, brutalement le cul de Françoise se tétanisa , elle en perdit son appendice qui chuta au sol, elle fut déclarée perdante.

Puis dans un grésillement, les joues empourprées par l’effort, le cul cuisant sous la chaleur, Fabienne parvint à allumer sa chandelle, et ce fut le tour de Murielle et de Sylvie .

De nouveau le score fut inscrit :

Fabienne 9

Françoise 6

Murielle 8

Sylvie 7

Fabienne et Murielle jubilaient, Françoise et Sylvie faisaient plutôt grises mines .

Après quelques instants de repos, qui permirent à tous, spectateurs et concurrents de se rafraîchir, le concours reprit.

Cette fois les quatre salopes se virent fourrer dans le vagin une lourde bille de métal, évidemment de la force de leur ventre dépendrait leur sa-lut.

De nouveau elles durent déambuler dans la salle, le ventre crispé, cherchant à retenir la lourde boule, cuisses jointes, elles marchaient bizarre-ment.

Toutes à leurs efforts elles ne prêtaient aucune attention au spectacle cocasse qu’elles offraient.

Le jeu dura quelques minutes, visiblement elles faisaient toutes des efforts démesurés pour garder la précieuse bille bien au chaud dans leurs écrins.

Et l’inattendu arriva, dans un grand cri de jouissance, submergée par un orgasme fou, Sylvie roula à terre libérant son précieux otage, Fabienne à son tour, les cuisses frémissantes dut s’avouer vaincue, Françoise explosa aussi dans un spasme révélateur, Murielle voyant ses rivales hors

de combat, sourit en laissant couler le gros biscayen hors de son étui.

Le score avait encore évolué, c’était au tour de Murielle de se réjouir, Sylvie elle s’inquiétait fortement à sa vue .

Fabienne 11

Françoise 9

Murielle 12

Sylvie 8

Tout peut encore changer au cours des trois dernières épreuves commenta Miloud

— Je serai bien incapable de vous dire qui vous contentera… Ajouta-t-il s’adressant aux trois plus jeunes.

Les commentaires allaient bon train chacun y allant de son pronostic .

Enfin la partie repris.

— Pour l’épreuve suivante, nous allons sortir ! annonça Charles hilare

— Vous allez boire autant que vous voudrez, vous pisserez debout, celle qui pissera le plus loin aura gagné !

Les quatre élues se précipitèrent sur le broc d’eau chacune éclusant plu-sieurs verres à la file, puis tous sortir, et à la lueur du lampadaire se mi-rent en place.

C’était surréaliste, les quatre filles, sur la même ligne, le ventre tendu en avant, les doigts pinçant les orifices urinaires, pour mieux affiner les jets, elles parvinrent toutes, en un mince filet à projeter, telles des fontaines,

de longs jets brûlants à plusieurs pas.

Les juges, silencieusement, durent avoir recours au mètre pliant pour les départager.

Toujours silencieusement ils réintégrèrent la salle à manger , et tous, concurrentes et spectateurs découvrirent en même temps la nouvelle marque.

Fabienne 12

Françoise 12

Murielle 14

Sylvie 12

Seule des trois ex aequo Sylvie heureuse de revenir au score souriait.

Les deux dernières épreuves seraient donc décisives.

Avec anxiété, les quatre femelles virent les garçons suspendre quatre brocs reliés par un tube à une canule, au mur derrière le banc, elles fu-rent priées de s’agenouiller sur le banc et rigolards ils leur enfilèrent la canule dans le trou du cul, les petits vits entrèrent facilement, les culs bien graissés lors des premières épreuves les admettant facilement.

Miloud énonça la règle :

— On va ouvrir les robinets, lorsque vos culs aborderont, ou que vous crierez grâce, ils seront refermés et on mesurera le volume de liquide que vous aurez ingurgité, chaque broc étant gradué… Pour corser l’affaire, les robinets seront réglés sur des débits différents, ainsi vous ne pourrez pas vous régler par rapport aux réactions de vos adversaires …

Les quatre robinets ouverts, l’eau tiède envahit en glougloutant les en-trailles qui se déplièrent, s’assouplirent au maximum pour admettre le plus gros volume de liquide.

Les ventres s’arrondirent sous la pression, aucune ne voulait céder, les intestins gargouillaient, les visages crispés, déformés par des grimaces, les mâchoires bloquées elles sentaient leurs abdomens gonfler démesurément.

La première Murielle cria grâce, immédiatement son robinet fut fermé, son anus fut libéré de sa canule et elle dut s’écarter sans connaître la valeur de sa performance.

Tour à tour, les anus de Françoise et Sylvie laissèrent d’abord suinter un filet de liquide blanchâtre, malgré leur arrêt Fabienne faisait des efforts désespérés pour dilater son estomac et admettre encore plus d’eau, en-fin son cul déborda, une longue giclée jaillit de son anus resserré sur la canule, son intestin martyrisé la contraignait ainsi à l’abandon.

De nouveau le score fut inscrit :

Fabienne 15

Françoise 13

Murielle 16

Sylvie 16

Seule, cette fois, Françoise grimaçait, son sort était presque fixé, ses trois rivales lui adressaient d’ailleurs des sourires narquois.

Avant l’ultime épreuve elles reçurent l’autorisation de se vider les entrailles.

Comme elles se dirigeaient vers les toilettes, Charles les arrêta et leur tendant chacune un seau les invita à se libérer au vu et au su de tous.

Elles se cabrèrent sous ce dictat, refusèrent, argutièrent, puis vertes d’humiliation, sous la pression de leurs intestins durent se soumettre à cette nouvelle humiliation, courbées sur les genoux, sous les quolibets des spectateurs ravis, elles s’exécutèrent.

Le chuintement du jet jaillissant de leurs anus, eau et matières fécales mêlées, puis crépitant sur les bords du seau rendait leur déchéance en-core plus palpable.

Les verres se remplirent à nouveau, chacun s’accordant quelques minu-tes de répit avant la décision finale.

Enfin Stephan apporta une corbeille garnie de concombres de formes et de tailles variées, chacune d’entre elles devait choisir le concombre le plus gros qu’elles pensaient pouvoir s’enfiler par le cul, puis s’exécuter.

On mesurerait ensuite la circonférence des concombres de celles qui seraient parvenus à s’en sodomiser, la taille déterminerait le nombre de points engrangés.

Elles s’approchèrent de la corbeille, palpant avec attention les cucurbitacées, observant le choix de leurs adversaires, jetant des coups d’oil au score elles tentaient de déterminer les chances de chacune en fonction de l’objet de leur choix.

Françoise, choisit un légume de diamètre démesuré, les autres la regardèrent faire, le sourire aux lèvres, certaines de son futur échec, néanmoins par mesure de sûreté, elles choisirent tout de même des légumes aux diamètres conséquents.

Allongées sur le dos, cote à cote elles ne pouvaient voir le comporte-ment de leurs rivales, aussi s’appliquèrent-elles toutes à réussir dans leur entreprise.

Une nouvelle fois les rondelles se dilatèrent, les intestins avides se remplir, Murielle et Sylvie les gros pals enfoncés dans le rectum se redressèrent, puis Fabienne, souriante le cul comblé en fit autant et toutes trois, le fondement toujours dilaté par leur exploit, se joignirent aux garçons pour apprécier les vains efforts de Françoise.

Il paraissait impossible que son oeillet puisse admettre un tel calibre, la disproportion entre le fruit monstrueux et son mignon troufignon était trop importante.

Le gourdin dérapait sur l’anus gras, elle s’entêtait, le replaçait, forçait à nouveau.

Enfin Françoise parvint à en appliquer l’extrémité mafflue sur sa rondelle, elle poussait désespérément, rien n’y faisait, bien que son anus soit repoussé vers l’intérieur, le légume n’entrait pas.

Déjà ses trois adversaires se réjouissaient quand le muscle annelé sembla se retrousser épousant la forme oblongue.

La tête du fruit était passée.

L’anus prodigieusement dilaté, Françoise s’accorda un instant pour souffler, la douleur irradiant son muscle malmené s’estompait lentement.

L’opération paraissait cependant encore invraisemblable, quand dans un dernier et violent effort Françoise se poignarda véritablement les reins.

Un cri de souffrance inhumain sortit de sa bouche, la figure ravagée par la douleur elle ne croyait pas encore en son exploit, et pourtant l’énorme légume avait disparu jusqu’à la racine dans sa gaine démesurément élargie.

Elle se sentait comblée hors de toute proportion, son intestin ne pouvant s’habituer à une telle plénitude elle s’effondra en sanglotant sur le dos.

Ebahis, enthousiasmés par l’exploit les trois aînés se précipitèrent pour la débarrasser de l’énormité qui risquait de léser sérieusement son trou, ils ne purent l’attraper.

Heureusement le cul béant permit à Miloud de visser un tire-bouchon dans la pulpe et d’arracher avec un floc sonore la bonde qui lui déchirait les entrailles.

Sans même mesurer le monstrueux légume, les quatre points lui furent attribués.

Les autres cucurbitacées extraits, puis mesurés, Charles inscrivit le score définitif , les trois cadets le regardaient faire impatients de savoir laquelle de ces belles putes leur serait dévolue, pour la même raison les trois femelles en concurrence pour la dernière place suivaient ses ges-tes, l’air craintives.

Le score décisif était maintenant établi :

Fabienne 16

Françoise 17

Murielle 19

Sylvie 18

C’était donc Fabienne qui serait livrée à la folle lubricité des trois pu-ceaux, qui contenterait tous leurs instincts même les plus pervers.

Les trois jeunes se réjouissaient, la belle bourgeoise, à l’allure guindée leur convenait parfaitement, les yeux luisants de convoitise, ravis de leur soirée ils l’entraînèrent, abasourdie, sans réaction, vers leur chambre.

Enchantées de leur performance, qui leur évitaient de se voir livrée aux trois jeunes puceaux pour combler tous leurs désirs, les trois gagnantes, se relevèrent, péniblement et escortées de leurs maîtres gagnèrent leurs chambres respectives.

Pour elles non plus la soirée n’était pas terminée, échauffés comme ils l’étaient leurs propriétaires seraient difficiles à contenter.

Dés la porte franchie, Gérald, Mohamed et Robert arrachèrent , plus qu’ils n’ôtèrent leurs vêtements.

Ebahie, Fabienne contemplait leurs jeunes virilités dressées comme des mats.

Pour tous trois la nature s’était faite généreuse, malgré leurs jeunes ages ils arboraient des flamberges qui auraient contentés bien des adultes.

Impatients ils se jetèrent sur Fabienne, la palpant, la griffant, lui mordil-lant les pointes des seins, lui tirant les poils du pubis, affolés par le désir ils ne savaient pas trop par où commencer.

Enfin Gerald s’allongea sur elle, il trouva d’emblée l’orifice convoité et d’un furieux coup de reins il s’enfonça jusqu’à la garde entre les babines juteuses, son impatience était telle qu’en trois coups de reins il éjacula bien calé au fond de sa matrice, de même Mohamed puis Robert qui l’enfourchèrent successivement ne purent refreiner leurs ardeurs et à peine introduits ils lui crachèrent leur venin au fond de sa craquette l’emplissant de sperme crémeux.

Ils n’allaient cependant pas en rester là, les nombreux films pornographiques qu’ils avaient disséqués ces derniers mois leur avaient enseigné bien des pratiques qu’ils voulaient tester.

Son ardeur renaissant déjà, la bite se redressant fièrement Gerald sollicita ses lèvres, il franchit la frontière des dents, se frotta longuement sur la langue, réclamant de son initiatrice plus de participation si elle voulait éviter qu’ils ne se plaignent aux grands.

Pliant sous la menace, Fabienne s’efforça de le contenter, sa bouche se fit plus douce, ses lèvres coururent sur la hampe dressée, sa gorge se fit plus profonde, en de lents va-et-vient le gland de Gérald venait à l’orée de la bouche, puis s’enfonçait profondément dans l’arrière gorge, re-poussant la luette de sa pipeuse puis recommençait le même cycle.

Par un certain mimétisme ses cuisses copiaient les mouvements de ses lèvres, elles s’entrouvraient révélant le sexe englué, puis se refermaient mollement, Robert de nouveau s’allongea sur elle, bien décidé cette fois à faire durer le plaisir.

Il entama un branle puissant sur un rythme soutenu, Mohamed n’avait plus qu’une solution, il demanda à Robert et Gerald de lui permettre l’ac-cès au cul de la belle.

Sans sortir de son con, lui empoignant les hanches, Robert roula sur lui même, Gerald dont la bite avait quitté l’antre chaud de la bouche, lui recolla son vit en pleine gorge tandis que les mains impatientes de Mohamed lui écartaient déjà les fesses

L’anus béait encore à la suite des différentes épreuves qu’il avait enduré, sans effort Mohamed lui introduisit sa flamberge dans le cul.

Robert s’était immobilisé pour faciliter l’introduction anale.

Fabienne sentait les deux la remplir à bloc, ils accordèrent d’instinct leur rythme.

Les deux pals lui massaient le périnée, les sensations se faisaient trop fortes, son esprit déjà échauffé par le déroulement de la soirée cédait aux vagues de plaisir, son bassin se mit à remuer, elle participait.

Son cul remontait s’enclouant jusqu’aux couilles sur la bite de Mohamed, puis absorbait voracement le vit de Gerald jusqu’à la matrice, sa bouche onctueuse procédait par à coups sur la queue de Gerald.

Elle l’aspirait voluptueusement jusqu’à la glotte puis la repoussait du bout de la langue, mordillait le frein et la reprenait à pleines bouches, ses mains se posèrent sur les couilles de son amant de tête, les lui tripotèrent, les caressant, les frottant contre son menton.

Dans un saut de carpe Gérald se planta au fond de da gorge, le nez en-foncé dans les poils de son pubis elle sentit les frémissements convulsifs qui s’emparaient de sa byroute, l’agitant de soubresauts nerveux tandis qu’en longs jets il lui inondait la bouche, elle téta sa liqueur salée jusqu’à

la dernière goutte, ne consentant à libérer le chibre ramolli qu’une fois certaine de lui avoir vidé les couilles .

Ses deux chevaucheurs perdirent brutalement le rythme et tandis que son bassin aussi s’affolait, les spasmes lui secouant avec la dernière intensité la matrice elle sombra dans l’orgasme alors qu’en même temps Mohamed lui crachait sa purée au fin fond des entrailles et Robert se vi-dait encastré jusqu’à la garde dans son fourreau.

Epuisés, les couilles à plats, les trois cadets s’endormirent emmêlés sur elle.

Les yeux grands ouverts elle écoutait son cour se calmer, elle sombra aussi dans le sommeil le con et le cul débordant de foutre chaud.

Tout le dimanche, elle livra son corps à leur lubricité, leur enseignant en cours accéléré toutes les possibilités d’un beau corps de femme totale-ment disponible.

En ce week-end de folie, les quatre femelles comprirent que cette jouis-sance inouïe qu’elles avaient prises à ces coucheries devait beaucoup aux humiliations subies la veille lors du concours qui les avait opposées.

Si leur corps s’était maintenant fait aux rudes étreintes dont les pension-naires les gratifiaient, leur âme s’habituait à jouir dans la contrainte, la clandestinité, l’humiliation, la soumission.

Coulybaca

janvier 2008

Related posts

C'est avec ma tante Eva que l'inceste n'est plus un problème pour moi – Chapitre 10

historiesexe

Une sorte de première fois – Chapitre 1

historiesexe

Comment le golf peut mener au plaisir – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .