Après notre mariage

Comme cadeau de mariage, la cagnotte nous a permis de faire deux très beaux voyages, l’un en Martinique (déjà raconté) l’autre une croisière sur un géant des mers.

Le premier jour est consacré à une navigation avec une arrivée le lendemain matin. Nous profitons donc des loisirs du bateau, très nombreux, avant de nous rendre à la salle à manger.

Après un bon repas et une soirée spectacle, nous décidons de finir la soirée au club. Nous voulons profiter au maximum de notre séjour. Un passage à la chambre pour que Béa puisse se changer et elle ressort de la cabine de bain avec un corsage, ouvert sur un soutien-gorge pigeonnant et une mini-jupe, vraiment mini. Quand elle passe près de moi, ma main vérifie la présence d’un string. Pour moi c’est chemisette et pantalon blanc. La main dans la main nous descendons au club. Notre arrivée ne passe pas inaperçue et Béa sourit fière de son succès. La soirée se déroule avec plaisir, slows langoureux, salsa et autres danses lascives. Béa ne tarde pas à être amoureuse et elle se frotte de plus en plus à mon bas ventre et j’essaie de cacher la bosse qui déforme mon pantalon et elle s’en amuse « tu as envie, moi aussi, j’ai la chatte toute mouillée ».

Un besoin urgent me fait quitter la salle et quand je reviens, elle danse avec un homme aux cheveux gris, bien foutu je dois le reconnaitre. Je m’assoie et un peu jaloux je les observe, car manifestement le couple est très collé et Béa m’a totalement oublié. Après la série elle me rejoint, essoufflée, le visage coloré, les yeux brillants.

Me prenant la main, elle m’entraine vers notre cabine. Je pense qu’elle est fatiguée, mais je me trompe. À peine entrée, elle me jette sur le lit, me déshabille et retirant son string, elle se plante sur ma tige dressée. Elle est déchainée, la chatte pleine de cyprine, elle me chevauche gaillardement, me triturant les tétons. Ma queue s’enfonce profondément et à chaque fois ses fesses claquent sur mes cuisses. Pour mieux me recevoir, elle se cambre ouvrant un peu plus sa chatte au coup de butoir. À ce régime je ne tarde pas à lui emplir la chatte à longs jets de sperme. Un long feulement elle crie « je jouis… Ta jute est chaude, ta semence est chaude ma chatte est brulante, encore défonce-moi,…….. Jai encore envie » je la pistonne encore un moment puis perdant de ma superbe, je sors de son antre d’où s’écoule des filets de sperme. Elle se blottit sur mon épaule et soudain, me regardant droit da dans les yeux, elle me dit « je me suis fait peloter et il voulait me sauter » elle ne semble pas choquer, bien au contraire car elle continue à me raconter l’épisode.

Il lui a peloté les seins, engageant même sa main dans le décolleté, puis il lui a mis les mains aux fesses, profitant même de l’obscurité pour soulever sa jupe (pas difficile vu la longueur) pour lui caresser les globes en direct et collé contre elle, il a frotté son sexe bandé sur son bassin et avant de la quitter, en l’embrassant à la limite des lèvres il lui a donné le numéro de sa cabine. Je ne suis pas surpris.

« Tu as aimé ? » « C’était agréable et il est bel homme »

« Tu aurais pu le rejoindre ? Il te fait envie ? Tu aurais pu baiser avec lui ?» « Ne te fâche pas, mais c’est vrai qu’il m’a mis le feu au ventre et si je devais faire l’amour avec un autre que toi, sans sentiments, c’est vrai que je l’aurai suivi ». Le ciel me tombe sur la tête. Il est vrai que dans nos jeux, le trio nous était classique, mais jamais un acte, seule avec un autre homme. La nuit a été agitée, tant pour combler ses envies, que pour trouver le sommeil après cette révélation. Les deux jours qui ont suivis, consacres aux excursions ne nous ont pas permis de revoir le beau ténébreux, mais je pouvais voir qu’elle le recherchait. Ce soir-là le ’hasard l’a mis à notre table. Celui-ci n’a pas arrêté de la courtiser, tout en me flattant : j’avais bon gout, nous étions adorables… J’en passe et des meilleurs, par contre manifestement, il se passait quelque chose sous la table car Béa parfois bredouillait, le visage coloré traduisait son excitation. En effet, alors que nous prenions le frais sur le pont, elle m’avoua qu’il lui avait caressé le sexe avec son pied « d’ailleurs regarde je suis toute mouillée » un regard aux alentours, personne et mes doigts viennent lui fouiller la chatte : elle déborde de cyprine « viens me faire l’amour » le retour à la cabine est rapide. À peine rentrée, elle relève sa jupe « lèche-moi la chatte ! » le string est trempé et ma langue s’infiltre entre les deux lèvres qu’elle écarte avec ses mains. Son clito est saillant et je le mordille déclenchant une première vague de son plaisir. Quittant son ventre, elle m’agrippe la tête et l’appuie sur son vagin. Mes doigts lui caressent le sillon et lui titille l’anneau. Je ne tiens plus et sortant ma queue, je la plante sans vergogne dans son antre. Elle ne peut retenir un cri de surprise tellement la poussée a été violente. Il n’en faut pas plus pour que je la pistonne, ses jambes remontées sur mes épaules me permettent de la pénétrer profondément. Sa jouissance est rapide, profonde et elle me mord l’épaule. Mes doigts lui écrasent les seins, martyrisant ses tétons. Je sais qu’elle aime cela et le résultat ne se fait pas attendre, nous partons tous les deux et je la remplis de sperme étouffant ses cris en l’embrassant.

Allongés côte à côte, je lui caresse les seins, alors que sa main branle ma queue encore mi-tendue.

« Il te fait vraiment envie ? » Ma question la surprend et elle ne répond pas aussitôt, c’est moi qui reprends « tu as envie qu’il te baise ? » sa main s’est crispée sur ma queue. « Si je te dis vas le rejoindre, que fais tu ? » J’ai peur de sa réponse, mais bizarrement cela m’excite et je suis à nouveau en complète érection. Me chevauchant elle se plante sur mon dard. Son regard est profond, inquiet, mais aussi brillant. Je sais ce que cela veut dire : elle a envie. « Je vais t’avouer que j’aimerais te voir prise par un homme, sans ma présence nous en avons déjà parlé «

— Bien sûr mais c’est aussi te tromper et je ne veux pas te perdre

— Si tu as envie d’essayer, pour moi je suis d’accord, profitons de notre voyage pour essayer

« Comment faire pour le faire venir. Je peux aller dans sa chambre mais tu ne seras pas là. Si j’y vais ainsi, il va me sauter et je ne pourrais rien prévoir. Et toi qu’est-ce que tu veux ?» Son rythme s’est accéléré et s’appuyant sur ma poitrine ses fesses s’écrasent sur mon pubis. Ma queue la pénètre, va au fond de sa matrice, inondée de jus. Ma queue baigne, coulisse, et s’écoulent le long de mes cuisses, des sécrétions venant de sa chatte. C’est elle qui mène le jeu, s’arrêtant quand elle me sent prêt à jouir, pour mieux reprendre ensuite. Je suis comme fou, j’ai envie de sauter le pas malgré la jalousie qui monte en moi. Je sais que sa cabine est proche de la nôtre.

« Vas-y, essaye de l’amener ici et si tu ne peux pas, laisse le te baiser et raconte-moi ensuite » elle m’embrasse tendrement et se retirant elle me branle, d’abord avec ses seins, puis ses lèvres me gobent pour une sucette de rêve. Elle sait que je ne résiste pas. En effet m’enfonçant je crache ma semence et quand je me retire, sa bouche ne peut retenir toute ma jute. Doucement elle pose ses lèvres sur ma bouche et me donne un peu de mon jus. Ce n’est pas la première fois et j’aime cela.

Avant de sortir, elle veut se laver. Je lui interdis, je tiens à ce que son amant voit que je l’ai baisé avant. Sans sous-vêtement, elle enfile une tunique, ultra courte à la limite de l’indécence. Elle se remaquille un peu. Avant de partir elle m’embrasse « j’ai envie mais j’ai peur. Je sens qu’il va en profiter ! » Et elle s’enfuit.

A suivre

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