Cette histoire est un patchwork d’une relation. Ni fausse ni vraie.

Il débarque à l’improviste chez moi.

A peine la porte ouverte, il m’embrasse. J’ai le cur qui s’affole, mais je ne veux pas le laisser transparaître. J’arrive à peine à croire que cela se passe enfin !

Les baisers se font de plus en plus ardents, je sens sa respiration qui s’accélère. On le sait tous les deux, il y a une sorte d’entente muette entre nous deux, on ne veut pas être le premier à démontrer un signe de faiblesse, à montrer qu’on a du plaisir ou que cela fait si longtemps qu’on attendait que quelque chose se passe entre nous.

Ses baisers sont tellement bons. Ses lèvres sont douces, mais fermes. Mes mains se reposent doucement sur son torse, il est solide, homme. Son odeur me rendait déjà folle, mais on dirait que dans le feu du moment, et un peu à cause de la transpiration, il sent meilleur que jamais. Il y a clairement une énergie qui passe entre nous.

Il me domine en taille et l’utilise à son avantage. Tranquillement et tout en continuant de m’embrasser, il me recule dans un mur. Je ne l’aurais jamais pensé doté d’une telle douceur, lui qui est habituellement si sarcastique et moqueur. Qui aurait pu croire que sa bouche pouvait être douce et agréable. Ses baisers se font de plus en plus pressants.

Ses mains qui, jusqu’à présent, étaient appuyées de chaque côté de moi, comme pour me maintenir en cage, vont trouver mes épaules, et elles frôlent mes bras de tout leur long, vont saisir mes mains, puis lentement, les remontent au niveau de ma tête, puis entrelacent ses doigts avec les miens. Oh ! Mon Dieu, je fonds. Il écrase doucement son corps contre le mien et me garde fermement accotée sur le mur. Sa respiration est de plus en plus rapide, ses baisers se font de plus en plus ardents.

Je sens qu’il est en train de perdre le contrôle. Bien. Je vais prendre le dessus. Je commence à faire mes baisers plus ardents. Je réponds à ses avances; je détache ma main droite de son emprise; puis je vais la déposer contre sa mâchoire, on continue à s’embrasser avec passion, puis mes lèvres vont trouver son cou, à la base de ses oreilles; approuvée de soupirs de sa part, je me promène dans cette région; j’embrasse son cou, sa pomme d’Adam, puis mes lèvres ont retrouvé les siennes.

Je sens une bosse d’une bonne taille contre mon bas-ventre. Il s’appuie de plus en plus sur moi; peut-être parce qu’il commence à avoir les jambes un peu molles ou pour monter son désir, et m’exciter, mais cela fonctionne. Je sens son cur qui résonne sans ses lèvres et le mien dans les miennes. Je ne voudrais pas être ailleurs, et je suis persuadée qu’il ressent la même chose.

Je le repousse rapidement, et je me détache de son emprise; on prend une pause, on se regarde dans le fond des yeux, et je me rends compte que nous sommes tous les deux en train de haleter un peu. Je le veux. Il me veut. Je commence à glisser mes mains sur son torse, je le sens frissonner. Je descends un peu plus bas et je glisse mes mains dans la bande de taille de son pantalon, mais à la place de les descendre, je les remonte et coince son chandail dans le processus. Mes lèvres et ma langue suivent mes mains et chaque cm de son torse velu est occupé par ma bouche. Je le sens soupirer fort, sa cage thoracique monte et descend vite; je sens son cur battre la chamade. Vu qu’il est quand même plus grand, il doit se pencher un peu pour m’aider à passer son chandail par-dessus sa tête. Une fois la tâche accomplie, je lance le trophée loin ; il n’en aura pas besoin pour un bon moment. Etant à la position parfaite, il recommence à m’embrasser, avec plus de fougue cette fois.

J’ai rarement ressenti autant de désir, et honnêtement, cela me fait un peu peur. Il profite du fait que je suis un peu distraite pour enlever doucement mon chandail. Tout en continuant de m’embrasser, je sens ses mains qui glissent sur mon ventre puis remontent sur ma poitrine, puis je lève mes bras pour enlever le chandail. Les quelques secondes que nos lèvres se sont séparées semblent durer des heures.

Sa bouche se promène un peu, elle retrouve mon cou que j’étire pour donner plus de peau disponible, puis elle descend sur ma clavicule, puis retrouve la base de mon cou. Le contact de sa peau sur la mienne est l’une des meilleures sensations du monde.

Je me détache de lui, attrape sa main, puis le guide dans ma chambre. Il fait maintenant nuit et mes rideaux sont ouverts. C’est tellement cliché, mais avec la lumière de la lune, cela rend la scène encore plus sensuelle. Je le pousse contre le mur, et là, c’est à moi de prendre le contrôle. J’aime bien dominer les hommes plus grands et forts que moi. Je trouve cela tellement sexy de voir un homme viril à ma merci.

Je pense qu’il sait ce qui s’en vient, car je peux voir un petit sourire en coins se développer alors qu’il ferme les yeux et accote sa tête contre le mur, toujours haletant. Alors je commence à descendre. Doucement, mais sûrement, j’embrasse sa clavicule, le centre de sa cage thoracique, son ventre, puis j’arrive à la ceinture. Je suis maintenant agenouillée et je vois son membre qui est déjà bien enflé dans son pantalon. Je dépose un doux baiser dessus et il réagit encore plus. Si peu de stimulation et une si grande réaction ! Je suis curieuse de voir jusqu’où il peut aller…

J’entreprends de défaire sa ceinture et je l’entends déjà gémir un peu. Mon cur bat très fort dans ma poitrine pendant que je descends ses pantalons et son boxer. Son membre puissant rebondit alors vers mon visage. Sans perdre de temps, je prends ses bourses dans mes mains et je les masse un peu. Commençant à la base de son pubis velu, je liche le membre de tout son long. Un autre gémissement. Je retourne à la base puis recommence plusieurs fois d’autres gémissements. Je dirais que Monsieur aime bien.

Je recommence une autre fois, mais cette fois, je m’attarde bien sur son gland et fais tournoyer ma langue dessus, maintenant, il se plaint presque tellement que le gémissement est fort. Je finis par très doucement faire pénétrer son monstre dans ma bouche. Cet homme est énorme ! Je ne suis pas capable de lui faire une gorge profonde, mais je suçote bien le gland, pendant que mes mains s’occupent bien du reste de sa tige et de ses couilles. Il gémit de plus en plus fort. Je le sors de ma bouche, mais passe mes lèvres et ma langue sur toute sa longueur. Je retrouve le gland qui continue à grandir qui l’aurait cru possible et continue mon travail. Ses gémissements sont comme de la musique à mes oreilles, il halète presque, c’est tellement chaud. Ce petit manège dure plusieurs minutes, je suis en train de l’avoir, je pense…

Il m’arrête soudainement en pleine course, je pense que c’est à mon tour, il me relève, et il me repousse vers le lit en attaquant de baisers en souriant; oh ! Son sourire me fait craquer, je me laisse perdre dans ses attaques. Arrivés au lit, il me pousse délicatement sur le dos, son membre bien érigé. Je recule pour être de tout mon long sur le lit. Il s’étend sur moi, en prenant soin de ne pas m’écraser, tout en prenant appui sur ses avant-bras. Il m’embrasse passionnément, puis commence à descendre. Dans mon cou, sur ma poitrine, mon ventre. Soupirs. Il remonte, puis recommence à m’embrasser avec plus de passion, en appuis sur un bras, pendant que l’autre s’occupe de m’enlever mon pantalon. Une fois enlevé, je sens sa main qui languit et remonte sur mes jambes. Elle s’arrête sur mes cuisses, et il commence à doucement les flatter. Je sens sa queue bien érigée qui se frotte un peu sur mes jambes et mon bas-ventre. C’est tellement bon.

Sa bouche descend maintenant plus bas, elle va chercher doucement ma poitrine. Il remonte sa main et la passe dans mon dos puis réussit à libérer mes seins et détachant mon soutien-gorge. Sa bouche se dirige alors immédiatement vers l’un de mes mamelons érigés par le plaisir. Sa main libre prend soin de l’autre. C’est tellement bon, je ne peux m’empêcher de gémir de plaisir. Ma respiration s’accélère, j’ai l’impression de mourir et de me retrouver au paradis. Il m’excite. Sentir son membre viril contre mon bas-ventre est tellement bon, je n’en peux plus, et je pense qu’il ressent la même chose, parce qu’il délaisse alors ma poitrine et recommence à descendre.

Il va rejoindre le niveau de mon bas-ventre, et puis commence à descendre ma culotte, tout en embrassant mon minou. C’est tellement bon ! Par réflexe, j’ouvre mes jambes, et il ne perd pas une seconde pour aller trouver mon bouton d’amour. Un petit coup de langue pour commencer; et je suis partie ! Un gémissement de surprise, mais surtout de plaisir. Il est franchement doué. Je le sens sucer doucement, puis passer sa langue rapidement dessus. Il embrasse même ma petite bille. La tension est à son maximum !

Une de mes mains est sur sa tête, à jouer un peu dans ses cheveux, l’autre est occupée à titiller mes mamelons. Il rentre maintenant sa langue dans ma douce grotte de velours. C’est tellement doux et bon, mais l’attente devient insupportable ! J’ai besoin de le sentir en moi. Maintenant. Mes soupirs se font de plus en plus fort, je me sens venir. Je pense qu’il sait ce qui se passe, parce que mes gémissements semblent lui donner une vigueur de plus (je ne savais pas que ce serait possible). Il s’active, de plus en plus vite sur mon bas-ventre. Oh oui ! Je le sens; cela vient. Mes encouragements ne sont pas en vain, car maintenant, l’une de ses mains a rejoint sa bouche, et plus d’endroits sont stimulés. Je commence à m’accrocher aux draps en me mordant les lèvres. Oh oui ! il ne faut surtout pas qu’il arrête, j’y suis presque, je suis au bout du précipice, prête à exploser, mais tout d’un coup, il arrête.

Je suis pendue à lui, à son prochain geste. Il remonte vers moi, et c’est accompagné d’un concert de soupirs que je le sens entrer en moi ! Quelle surprise ! Mais surtout, j’étais si proche d’avoir un orgasme que cette pénétration est la meilleure que je n’ai jamais ressentie. Je suis surtout reconnaissante de cette distraction ; je ne suis pas la première à tomber aux mains de l’ennemi, je ne voulais pas démontrer ma faiblesse. Il est gros, je me sens étirée, mais cela me permet de sentir chacune des veines proéminentes de son soldat. Alors qu’il entame ses va-et-vient, son corps entier se frotte contre le mien, c’est tellement bon, je me sens en sécurité et désirée.

J’arrive à peine à croire que cela se passe enfin !

Mes mamelons, et clairement les siens aussi sont très stimulés par nos corps qui se frottent. C’est si bon. Son visage est enfoui dans mon cou, ce qui étouffe un peu ses gémissements, mes mains dansent entre ses cheveux et ses fortes épaules. Je pense qu’à un moment, je le griffe même, mais cela ne semble pas le déranger, je dirais même que cela le motive un peu. Aurait-il une petite partie de lui qui est sado ? Je gémis de plus en plus fort, je suis si proche de venir ! Oh oui !

Il varie la cadence et la profondeur. Tantôt plus rapides et puissantes, parfois plus lentes; et il en profite pour m’embrasser. On fait vraiment l’amour. On soupire, on gémit, et nos corps sont complètement en sueur, c’est tellement chaud. Mon vagin a un peu de la difficulté à s’habituer à sa taille, mais j’étais tellement lubrifiée que tout va bien. Ses gémissements se transforment de plus en plus en grognements, je pense qu’il lutte un peu pour durer le plus longtemps possible. Je veux qu’on finisse en beauté, alors je commence à le pousser vers le côté. Sans nous déboîter, je fais basculer son corps, pour que je reprenne le contrôle. Il ne m’aura pas en premier.

Je suis maintenant à cheval sur lui et son puissant bâton. J’entame une danse lascive sur ce pieu majestueux, il soupire encore plus fort, mais malgré tout, il fait un effort considérable pour garder les yeux ouverts et fixés dans le fond des miens. Je ne sais pas si c’est par défi pour montrer que je ne l’aurai pas en premier, ou juste parce qu’il veut vivre le moment plus profondément, mais je dois dire que c’est très déstabilisant pour moi. En même temps, je ne sais pas à quel point on fait encore une compétition du plus fort ; nos gémissements mutuels nous trahissent déjà, je crois.

Tout à coup, je suis ramenée sur terre parce que ses mains viennent pincer mes tétons et, oh ! Mon Dieu, que c’est bon ! Tout en faisant des va-et-vient, je frotte mon clitoris contre son bas-ventre. Cette petite stimulation de plus est presque trop pour moi, je suis tellement proche d’exploser et je contracte mon vagin pour essayer de le faire venir en premier et je pense que cela fonctionne parce que des grognements presque bestiaux sortent de sa bouche, alors qu’il lance sa tête vers l’arrière en fermant les yeux. Et cela y est enfin ! Je l’ai eu !

J’arrête tous mes mouvements pour me concentrer sur la contraction de mon vagin et de sa jouissance. Sa bite grossit encore plus alors qu’il laisse s’échapper de longs jets de sperme chaud dans mon antre. Cette activité dans mon vagin déclenche enfin ma propre jouissance. Je vis alors le plus gros orgasme que j’ai eu de toute ma vie. C’est comme si j’avais déclenché des feux d’artifice dans mes orteils, et qu’ils se rependaient dans tous mon corps. Je n’ai jamais rien vécu de pareil. Je suis encore emboîtée sur lui lorsque mon corps est comme possédé de tremblements de jouissance. Que c’est bon !

Mon orgasme dure quelques minutes, et sa bite prend quelques minutes pour se dégonfler aussi. Quand tout est passé, je m’écroule d’épuisement sur lui. Il respire tellement fort, son torse en sueur monte et descends rapidement, en symbiose avec ma propre respiration. Pour un court instant, je crois fermement que nous avons vécu une expérience qui n’arrive qu’une seule fois dans la vie.

Après quelques secondes, je lève ma tête pour le regarder dans les yeux, et nous échangeons un de ses regards…Je pense que l’on vient de réaliser quelque chose et l’on a peine à croire à ce qu’on vient de faire. C’est difficile de croire que cela a pris si longtemps pour que cela se passe entre nous, mais j’en suis reconnaissante.

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