Ce récit est la suite de "Hervé à Vanessa, chienne soumise".
Nous sommes à Montpellier, dans la superbe villa de Carnon. Je suis en compagnie de ma chère et tendre épouse, Malika, et de notre fils Andros, qui a deux ans maintenant. Théna, ma seconde épouse, est partie avec sa fille voir son grand-père, Émile. Maria se trouve en cuisine et notre petite Peggy s’occupe avec passion d’Andros. Domi nous rejoindra ce soir. Quant à Émile, il file le parfait amour avec Gény. Ils ont adopté l’hacienda d’Ibiza.
Je règne en Maîtresse attentive pour que personne ne manque de rien. On attend l’arrivée des Novices. Vous allez me demander qui sont ces Novices. Je vais vous expliquer, souvenez-vous. Émile m’a demandé de devenir la déesse du sexe, la grande prêtresse de l’amour, du sexe et du vice. Ce que je suis sur le point de devenir, la première fournée arrive ce soir. Je me prépare à recevoir mes élèves avec une certaine anxiété.
Maria arrive en courant.
— Tiens, c’est David… Dit-elle essoufflée.
— Allô, David, que me vaut l’honneur de cet appel.
— Salut, Vanessa. Tu as pris ton traitement ?
— Oui, oui…
— Bien. Je t’ai envoyé les dossiers médicaux des participants, tu devrais les recevoir sur ta boîte mail.
— Merci David, je vais les compulser tout de suite…
— Et amuse-toi bien.
— Arrête, j’ai la trouille…
— Peupeupeu ! ! ! Tu vas très bien t’en sortir ma grande. Allez, courage et si tu as besoin…
— Oui, je t’appelle…
— Bonne bourre… Hahahahaha.
— Connard !
Je me dirige vers ma chambre, l’ancienne d’Émile. Je retrouve Malika qui se prépare. Je l’embrasse dans le cou, elle me sourit. Je cours vite vers le bureau et compulse mes mails, celui de David m’intéresse plus particulièrement.
Quatre élèves âgés de 18 à 25 ans. Plus beaux les uns que les autres. Deux filles et deux garçons. J’imprime les dossiers et les numérote de 1 à 4.
Numéro 1, Julien. Garçon timide et peu entreprenant, me dit sa fiche personnelle. Bonne éjaculation, bonne santé physique et mentale. 1m70, 60 kilos (une crevette), sexe de taille raisonnable 18×5 (David tu m’énerves. J’aurai mis beau sexe). 25 ans. Le plus vieux de la cession. Français d’origine. Vient d’une famille aisée. Il doit épouser une dame de 40 ans. Il en est amoureux. Ses parents et la Dame nous le confient pour le déniaiser. Ne connaît que le missionnaire.
Numéro 2, encore un garçon. Patrice. Garçon. 1m80, 80 kilos, belle bête. 20×6. 18 ans. N’a jamais vu le loup. Se branle en matant du porno. Surpris par sa mère, elle nous l’envoie pour faire son éducation. Pas de précision sur son avenir. Français d’origine.
Numéro 3, Amandine. Une charmante jeune fille de 18 ans à peine révolus. 1m60, 65 kilos (gironde la petite). Tour de poitrine 95D. N’est plus vierge depuis que son grand-oncle la mise dans son lit. Il nous l’envoie pour la débrider. C’est un riche propriétaire terrien aux States. Il veut une salope pour l’initier au libertinage. Sodomie exigée, elle est vierge de ce côté-là
Numéro 4, Asma. Jeune fille de 19 ans. 1 m 75, 60 kilos. Envoyée chez nous pour par son époux riche émir du Qatar. C’est sa 7e femme. Il a entendu parler de l’ouverture de l’école. Il veut une charmante épouse obéissante et formée à la fellation. Il nous autorise à la percer aux seins, sur la langue et sur son sexe. D’origine du Qatar.
— Ouf, ça va. Quatre stagiaires, dis-je à Malika, je vais dire à Maria de préparer les bungalows.
— Alors, ils sont comment ?
Je lui tends les quatre dossiers personnels et compulse leur dossier médical. Tous saints, mis à part une petite anémie sans gravité pour la crevette. Je ferais attention avec Julien.
— Bon, on a du boulot… Tu as pris tes médocs ?
— Oh, tu ne vas pas t’y mettre…
Je pars en bougonnant. Malika est morte de rire.
Je vais dans la cuisine d’où s’échappe une bonne odeur de cuisine méditerranéenne. Je prends Maria par les hanches et l’embrasse dans le cou.
— AHHH, Vanessa tu ne vois pas que je suis occupée…
— Pardon, Maria, mais dès que je vois tes fesses, je ne peux pas résister.
Elle se retourne et me sourit. Je lui demande si elle peut préparer quatre bungalows.
— Andros dort. Peggy s’en occupe. Je l’adore cette petite.
— Je sais, Maria, je sais. Vu les bruits que j’ai entendus hier soir, tu dois l’adorer.
Elle rougit comme une gamine et me demande de filer en donnant une claque sur les fesses, ce qui me fait réagir. Je pars en riant vers les gîtes de nos élèves. Là-bas, près de notre lagon privé, je trouve ma petite Peggy en train de somnoler sur un transat.
— Peggy ? Que fais-tu ?
— Ça va, Ça va… J’ai fini.
— Tout est en ordre ?
— Oui, ma déesse… Hihihi.
— Et bébé ?
— Il dort, t’inquiète. Me dit-elle en me montrant un écoute bébé vidéo numérique. Cadeau de Maria, elle me dit que je passe trop de temps dans sa chambre.
Sur l’écran vidéo on peut voir Andros dormir à poings fermés. Ce petit métis fera sûrement des ravages. Je caresse tendrement la tignasse de la petite blonde et lui demande :
— Tu peux venir t’occuper de ta déesse ?
— Évidemment, dit-elle en sautant de son transat.
Me voilà sous la douche en bonne compagnie. Malika nous regarde en souriant. Peggy prend un soin tout particulier à me laver la verge et mon fondement. Elle connaît par cur mes trente centimètres, mes bourses et mon cul. Elle se régale et c’est souvent que lui laisse le soin de venir sous la douche. Malika ne m’en tient pas rigueur, elle sait que je l’aime et son amour pour moi est assez fort pour me passer tous mes caprices.
Une fois sécher, je m’installe devant ma coiffeuse. Peggy me maquille sobrement mais efficacement. Elle me passe mon petit collier sertit de diamant, elle me décalotte le gland et repositionne mon Prince Albert. Ça y est, je bande. Peggy est morte de rire, Malika aussi.
C’est l’heure du biberon d’Andros, elles se sauvent pour aller lui donner la tétée. Ah, oui, C’est Peggy qui est chargée de cet acte. David lui donne des cachetons pour activer ses montées de lait et elle s’en acquitte plutôt bien.
Je ne vais pas me présenter nue aux petits nouveaux et demande aux trois autres filles de s’habiller. Je prends ma plus belle toge et m’en vais attendre sous les palmiers.
Maria est en cuisine, elle peaufine sa ratatouille. Malika m’a rejoint, tout comme Peggy qui surveille l’écran vidéo. Domi entre sous le patio, à sa suite, quatre timides jeunes gens.
Je me lève pour accueillir cette petite troupe.
— Bonjour, je m’appelle Maîtresse Vanessa. Je serais votre professeur pour ce mois d’apprentissage. Voici Malika et Peggy, vos deux instructrices. Je vous présenterais Maria, notre gouvernante. Si vous avez un problème, c’est à elle que vous devrez vous adresser. Je vous ai adressé des numéros, vous allez vous placer ici quand je vous appellerai. Numéro 1, Julien. Le jeune homme s’avance en regardant ses godasses. Il est plus rachitique que je ne le pensais. Numéro 2, Patrice. Lui au moins me sourit. Numéro 3, Amandine. Waouh, copie conforme de ma Peggy. Numéro 4, Asma, tout le charme oriental avec une chevelure qui lui tombe bien au-delà de ses fesses.
Domi vient m’embrasser. Les yeux de mes quatre élèves n’ont rien loupé de la scène. Elle repart chercher ses affaires. Je demande aux quatre de la suivre pour ramener leur sac.
À leur retour, je les emmène vers leur logis. Je leur en fais visiter un, ils sont tous pareils. Je leur demande, après leur installation de me rejoindre au bord de notre lagon. Ils sont tous là, habillés de vêtements de marque. Je les scrute en tournant autour d’eux.
— Bon, on va commencer votre instruction. Tout le monde à poil.
Ils ne réagissent pas, sauf Asma qui n’hésite pas et se retrouve vite nue. Jolie, pas une marque de bronzage ne vient perturber la forme de ses seins et de son fessier. Je lui caresse le dos et lui dis doucement à l’oreille :
— Joli corps, j’espère que tu es là de ton plein gré ?
— Oui et non, Madame. Ai-je le choix ?
— Ne t’inquiète pas, je ne suis pas une tortionnaire. Je suis là pour t’apprendre les jeux du sexe.
Je laisse tomber ma toge. Son regard fixe ma verge et elle me sourit. Les trois autres sont décontenancés, la crevette me regarde avec la bouche grande ouverte.
— Allez, à poil j’ai dit.
Timidement, ils s’exécutent. Ma crevette à un sexe phénoménal, petit menteur de David, il doit faire 25 centimètres par 6. Le musclor est bien monté aussi mais pas autant que son voisin. Piouf, quel dard. Quant à mes deux chevrettes, elles sont différentes et complémentaires. Une blonde Vénitienne et une aux cheveux couleurs charbons avec des reflets bleus. Mais, parce qu’il y a un mais, ils sont tous poilus. Je suis horrifiée, plus un poil, et je leur dis. Je confis aux bons soins de mes deux femelles, qui se sont mises nues, n°1 et 2, les deux mâles. Je conserve Asma et offre n° 3 à Domi, elle devrait s’amuser.
Je rentre la dernière dans le gîte. Elle va directement dans la salle d’eau qui se limite à une douche à l’italienne, d’un lavabo et d’un WC. Je lui demande de s’assoir sur un tabouret en plastique. Elle ouvre son compas en grand. Elle mouille la petite chienne, bon début. Je commence l’épilation à l’aide d’une petite tondeuse. Les aisselles, le sexe et l’anus, tout y passe. Je la termine au rasoir et à la mousse. Elle est plus jolie, plus sexe. Je lui signale qu’elle devra entretenir son épilation, en cas contraire il y aura punition. Je lui demande de se doucher et de me rejoindre dehors.
Ils sont tous les quatre alignés et excités. Crevettes bande comme un fou, il ne peut s’empêcher de toucher son énorme mandrin, ce qui lui vaut une petite tape sur les mains. Musclor se tient bien, il a une demi-mole. N°3 est en position "offerte", elle a compris que je ne suis pas ici pour rigoler. Je lui passe une main douce sur sa croupe.
— Cambre-toi, je veux que ces mâles bandent pour toi comme moi je bande pour Asma. Ce soir c’est votre initiation. Je ne veux plus voir un centimètre de vêtement. Je vous veux nus et offerts en permanence.
Je place les couples comme suit. Musclor face à N°3 et la crevette avec Asma. Superbe choix hétéroclite qui m’a été dicté par mon esprit pervers. Je donne le choix à Peggy et à Domi le choix du couple qu’elles devront s’occuper. Domi s’avance vers Julien mais très vite arrêtée par Peggy.
— Non, je crois que c’est chasse gardée. Lui dit Peggy. On prend ces deux-là…
— Merci ma puce, tu connais mes goûts. Passons à table, il me semble que c’est prêt…
— A table les enfants ! ! !
Qu’avais-je dit. Je connais Maria, c’est l’heure. On passe donc à table. Maria préside cette petite assemblée. À sa droite, Malika, Julien dit Crevette, Asma et moi. En face, donc à la gauche de Maria il y a Peggy, Musclor, Amandine et Domi. On est tous nus, à l’exception de Maria qui a gardé son tablier. La tête des jeunes quand elle s’est levée. Les yeux n’ont pas quitté son admirable popotin, tandis que le regard des filles s’était perdu sur l’entrejambe de ces petits vicelards. Je souris intérieurement. Malika, qui a vu le trouble de Julien, lui glisse quelques mots tout en lui caressant le dos.
— Peggy, s’te plaît… Lance Maria.
Même réflexe des deux petits puceaux. Ils matent sans vergogne le fessier et l’opulente poitrine qui s’éloignent. Je saisis la queue de Julien, qui sera désormais ma Crevette, et le décalotte. Il a un mouvement de recul mais il se ravise très vite et se laisse faire. Je le branle lentement sans trop serrer. Il ferme les yeux. Une petite tape sur ses couilles le rappelle à l’ordre.
— Ici, quoi que l’on fasse, tu gardes les yeux ouverts et tu regardes, tu apprends. Tu as un mois pour devenir un véritable étalon et crois-moi, tu vas en devenir un de premier choix. Je vais faire de toi une bête de concours, tu vas user ta vieille à tel point qu’elle devra te mettre entre les mains de ses copines.
Il me sourit nerveusement. J’arrête mes attouchements, le petit risque de partir et Maria ne le supporterait pas.
Nous passons un agréable moment. La ratatouille est, comme d’habitude, excellente, et l’agneau tendre. On mange et on rigole. Les quatre petits se dérident. Musclor ose toucher l’entrejambe de Peggy qui se laisse masser l’abricot.
— Il te faut des cours, mon petit. Ose-t-elle dire en me regardant énerver.
Je sais que ces petits novices ont beaucoup à apprendre. Je vais m’y atteler dès maintenant. Je renvoie tout ce petit monde vers leur couche accompagné de Peggy pour Musclor et de Domi pour Amandine. Quant à moi, je pars avec Asma, Crevette et Malika. Il est temps de voir comment ces deux petits se débrouillent.
