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L'initiation de Clairette 7 – Chapitre 1




LINITIATION DE CLAIRETTE 7

Quelle sera la réaction de Jypy à la grossesse tardive de son épouse. Comment vont évoluer les relations de Florent avec Clairette et comment va-t-il régler sa relation parallèle avec Domi ? Vous le saurez dans le 7eme épisode de lhistoire de « linitiation de Clairette 7 » qui en comportera dautres épisodes tout aussi corsées

Jai un contact téléphonique avec Clairette le mardi. Mais à cause de ces satanées pipelettes des PTT, nous devons rester vague. – Tout va bien ? – Et toi ? Je suis content pour toi. Et Grenoble ? Bien, Cest bon. Et Pierrot ? Il est fou de bonheur !- Ah ? Bien. – Il ne sait que faire pour me contenter. Je nai pas un instant à moi Mercredi ? – Non, pas mercredi- A ST Marcel ce week-end Jappelle au magasin samedi. Je commanderai les courses que tu me livreras. Bisous.

Pour le plus grand bonheur de Domi, jemprunte le car dans lequel nous nous roulons quelques baisers mouillés. Cest tout juste si je peux faire pouet pouet avec ses tétons libres sous son pull.

Le samedi, ma mère me demande de livrer quelques clients. Bien sur maman ! Je terminerai chez Clairette. Me dis-je dans ma barbe. Jy serai vers onze heure. Jai match à 15H, ca ira. Je livre les commissions à Claire dans un sourire complice, puis, quelques instants plus tard, je me glisse par larrière.

Clairette se jette sur moi comme une furie. Elle me retire mes vêtements dans la cuisine !

— Si tu savais comme je tai attendu ! Ce qui est terrible, cest que je pense surtout ton sexe. Tu ne trouve ca normal ?

Elle est hirsute, le peignoir largement ouvert. Les seins dressés, les tétines étonnamment stimulées.

— Cela pourrait bien être hormonal. Je pense quune visite approfondie simpose ?

— Prenez tout votre temps docteur, mon mari est à la chasse. Nous avons la journée devant nous !

— Cest plus quil ne faut.

— Jai une forme, étincelante ! La grossesse me fait monter la sève. Je suis terriblement échauffée. Je suis trempée. Viens ! Viens me la mettre !

Elle me traine dans la chambre par la queue. Elle en veut, va en avoir ! Je la plaque contre le mur du couloir. Elle entoure mes hanches de ses cuisses. Bite en avant, je la cloue avec des hans de bûcheron. Elle est déchaînée. Je la viole littéralement. Elle est en transe, en proie à de longues vibrations qui se terminent par un violent orgasme. Cest lamour express ! Je croyais quelle naimait pas ca ? Toujours plantée en moi, je la soutiens jusquau lit. Pas le temps de reprendre notre souffle. Nous nous couvrons de baiser enflammés. Tout ce qui passe à notre portée est étreins, froissé ou mordu. Je la pilonne avec toute ma réserve dénergie. Les soupirs, les glapissements se succèdent. Il ne sera pas dit que jaurai péri sans luter. Rassemblant mes dernières forces, je la termine par une saillie désespérée. Cette fois je suis hors de combat.

— Jai rugby à trois heure. Je ne vais pas être frais. Oh excuse-moi, tu es sûrement plus fatiguée que moi.

— Je nai jamais été aussi bien. Plus de nausée. Pas de bouffée de chaleur. Impeccable !

— Et JP?

— Il est heureux, tu ne peux pas savoir. Il en est fatiguant. Il prévenant, attentionné, il veut tout faire à ma place. Il a peur que je me fatigue. Je narrive pas à lui faire comprendre que la grossesse nest pas une maladie.

Elle me le prouve aussitôt en me culbutant sur le lit. Elle adore être prise dans la vulve par derrière alors que mes mains enlacent ses seins et que je lui baise la nuque. Le téléphone retentit. Elle prend le combiné.

— Cest sûrement Pierrot. Il appelle deux fois par jour de peur quil marrive quelque chose. Continue ce que tu fais.

Je suis si près du combiné que jentends distinctement la voix de Jypy. « – Allo ma claire, comment vas-tu ce matin ? – Ca va Très bien, pas de soucis. »

Les mains sur ses seins, je pince les bourgeons dune main tout en astiquant sa chatte de lautre. Elle se contient comme elle peut.

« – Tu as lair essoufflée ? Jai fait des courses. – Je tai dit de ne pas forcer, dappeler Edmond ! Ca va très bien. Jai rencontré Florent, il a monté le sac. – pas que le sac ! Ne puis-je mempêcher de penser ! – Traitreusement, Je tords ses tétons tout en accélérant la cadence. La pauvre génitrice a beaucoup de difficulté à étouffer ses plaintes mais elle ne me repousse pas, bien au contraire, sa main libre minvite à poursuivre lassaut.  ! On ne va pas appeler les pompiers, non plus. Nen fait pas trop. Je ne suis pas malade. Arrive-t-elle à articuler. – Tu es insupportable ! Fait une bonne sieste. Je sens à ta voix que tu en a besoin. Tu maimes ? Mais bien sur mon chéri. Je suis le plus heureux des hommes. Tu ne men veux pas dêtre parti à la chasse ? Mais non. La terre ne sarrête pas de tourner. Amuses-toi. Tu es bonne. Reposes-toi- Cest ce que je fais, je suis dans mon lit. Cest bien, à ce soir ! – Je rentre vers six heure. Je taime ! » Ouf il a enfin raccroché.

Elle jouie aussitôt de mon dernier coup de reins.

— Il a raison, tu es bonne ! Je suis dans mon lit Quelle hypocrite tu fais.

— Tu es un bandit. Tu en as profité mais cétait bon. Avec toi, cest toujours bon. Mais il est si gentil. Sil apprenait pour nous, ça le tuerait.

Je me retiens daborder un sujet délicat qui me turlupine quand à lorigine du polichinelle qui remplit son tiroir. Mais elle semble si heureuse et comblée que je nose troubler lordre des choses.

— Quelle santé ! La grossesse te réussit. Mais je ne sais pas si je tiendrai jusquau bout.

— Pour çà, je nai pas peur !

— On va essayer de se voir à Tain ou chez mon père mais Pierrot ne veut plus que je roule en voiture. Jespère que ca va sarranger. Je vais quand même lui faire comprendre quil y une vie pendant la grossesse. Au fait ca cest bien passé chez mon père ?

— Christine ma raccompagnée chez elle vers huit heure Ca valait mieux

— Elle ma expliqué. Tu es un chou

— Oh là là. Deux heure et demi. Jai match à trois heure.

— Tu nauras pas besoin de téchauffer. Cest déjà ca ! Conclue-t-elle en rigolant.

— Et dire que çà va devenir mère !

— Je taime

Je tombe sur Domi qui mattend à la porte du stade.

— Où étais-tu ? Je suis passé chez toi. Minterroge-t-elle soupçonneuse.

— Je devais travailler avec un copain.

— Quel copain ?

— Tu es de la police ! Je suis en retard, laisse-moi passer.

Elle va bouder avec les fiancées et les épouses dans le club-house.

A voir la tête de mon entraîneur, mon escapade à Chamrousse le week-end dernier na été que modérément appréciée. Naporond (Le petit Napoléon rond) comme on lappelait, avait une prédilection pour la bière et pour le sarcasme. Il détestait les joueurs faciles dont je faisais partie. Pour lui, le rugby signifiait abnégation, contrainte et souffrance. Alors que pour moi, ce nétait quun divertissement entre copains : Monsieur joue les vedettes ! Monsieur ne vient plus aux entraînements ! Monsieur se disperse ! etc, etc Trois tours de stade ! Çà tapprendra ! Et ne compte pas monter sur le terrain.

— Si tu memmerde je repars tout de suite.

— Çà tarrangerai. Cest vrai que tu nas pas lair en forme. Tu donne trop de ton cuir !

— Çà ne te regarde pas

Le président intervient pour calmer la polémique.

Pour notre équipe, le match débute de la plus mauvaise des façons. On se prend un essai et une pénalité en dix minutes. Visiblement la « charnière miracle » fait défaut. Mon ami Jean-Paul le n° 9 nest pas très convainquant. Ses sorties de mêlée laborieuses envoient régulièrement au carton le pauvre 10 de remplacement. Une toile 9-10 et un nouvel essai en contre au milieu des poteaux achève dexaspérer Napo. Je me sens peu concerné par le destin de léquipe. Il reste dix minutes avant la mi-temps. Devant le désastre, Napo mordonne de méchauffer : « Si la vedette veut bien se bouger les fesses ! » Je rentre sur le terrain. Dans un descente de trois-quarts impeccable, je marque un essai en coin mais je manque la transformation. Une minute avant la pose, je ratte un drop. Javoue que ma vie de bâton de chaise me fait un peu tirer la patte. Nous entrons dans les vestiaires avec le score de 6/15. Le Poelon nous engeule copieusement. Il me cherche. Me reproche de jouer perso, de trainer les pieds. Trop, cest trop, la moutarde me monte au nez. Je quitte mes chaussures et le plaque là sur le champ. Réfléchis bien ! Si tu quitte le terrain, tu ne reviendras plus ! Le président essai darranger les choses, il en remet une couche. Je mexcuse auprès de mes collègues et je pars.

Je trouverai bien un club près de Grenoble. Il peut se le mettre ou je pense son championnat départemental.

Je hèle Domi qui nen espérait pas tant. On va se faire notre troisième mi-temps !

Au long du chemin, pendue à mon bras, Do vibre de bonheur. Elle me dit quelle sest arrangée avec une amie. Elle pourra se libérer et me rejoindre le week-end à la station. Nous aurons toute la nuit pour nous, rêve-t-elle.

— Ne te fais pas un cinéma, je loge chez la libraire. Il faut que je prépare le terrain.

— Je pourrai travailler avec toi. Je vais demander à mes parents.

Celle là, je ne my attendais pas !

— On verra Je passe par lépicerie et vais touvrir par lentrepôt. Chut !

— Viens, ma chambre est au deuxième. Nous ne serons pas dérangés.

— Jai quitté le club un peu vite. Je dois prendre une douche !

Heureusement mes parents mont aménagé une salle de bain dans le grenier. Je la prend par la main. Je commence à la dépouiller. Ma fiancée nest pas très rassurée.

— Si ta mère vient ?

— Elle est occupée au magasin. Si elle me veut, elle appellera dans le couloir. On a tout le temps. Elle est émouvante nue sous la douche. Elle me décrotte avec soins. Elle sapplique avec conviction en me lançant des regards dacquiescement. Ne me mouille pas les cheveux sil te plait. Implore-t-elle.

Je suis ému par ses seins ronds et déjà fermes comme deux demi-pommes, ses hanches, sa bouche qui me vole des baisers en me passant le gant, sa chatoune blonde, presque transparente. Et surtout par ses fesses callipyges qui se reflètent dans le miroir. Elle se baisse pour me laver les pieds, dévoilant sa raie et sa petite niche fripée. Elle cajole mon gourdin avec émotion, pose de petits baisers sur le gland. Je lui prends la tête entre les mains, pour forcer sa bouche. Elle accepte loffrande. Jempoigne ses oreilles et leurs fait faire allers et retours jusquau fond de sa gorge. Elle déglutie, les larmes lui viennent aux yeux mais mes mains intraitables ne lui laisse reprendre quun peu dair. Heureusement, les vibrations annonciatrices de ma délivrance surviennent. Je lui badigeonne le fond de la gorge dans un grand soupir dextase et conclu en lui roulant un long baiser au goût de stupre. Elle recrache et se rince au lavabo.

— Viens dans le lit.

— Tu te sers de moi comme dune trainée !

— Quest ce que tu va chercher ? Fais-moi durcir, je vais te faire jouir. Je ne vais penser quà ton plaisir ! Les trainées comme tu dis ne jouissent pas.

Elle écarte docilement les cuisses. Avec des gestes devenus surs, elle me glisse une capote et me prend par les hanches. Je la pénètre avec civilité en lui mordant les tétons. Je la sens monter en pression comme la loco du CFD (Chemin de fer du Vivarais). Enfin, en sabandonnant avec un regard rempli de reconnaissance, elle entonne le chant final.

Jaime ce moment qui suit lacte amoureux où je caresse presque distraitement ma partenaire qui atterrie doucement balancée entre la tendresse et la volupté.

— Bon, ma petite trainée chérie, il faut se rhabiller.

Nous passons par la salle de bain pour effacer soigneusement les stigmates de nos agapes. « Il faut toujours laisser, en sortant, lendroit aussi propre que vous lavez trouvé en entrant » !

Elle veut enfiler ses fringues.

— Laisse-moi faire.

Jemprisonne ses nénés dans le soutient rose sans oublier dy apposer deux longs suçons. Je lèche un instant le petit chat. Je le sèche et fais glisser le mini slip sur ses jambes glabres. Je prends un soin particulier à enfiler les longues chaussettes, le chemisier et la jupe. Enfin, après avoir longuement glissé ma langue dans sa bouche, jarrange dun coup de peigne ses fins cheveux blonds. La touche finale qui va la rendre fraîche et pimpante à ses parents.

— Oh comme tu es gentil! Ce qui est bizarre, avec toi, cest que tu peux être extraordinairement délicat et prévenant et devenir aussitôt dur et méprisant

— En général, jinverse les facteurs. Ca laisse un meilleur souvenir

Puis elle ajoute après quelques instants dintense réflexion.

— Mais cest ce que jaime chez toi ! Tu maimes dis ? Dis-moi que tu maimes !

— De plus en plus

Une vraie masochiste. Jespère quelle tombera sur plus maso quelle car si elle devait rencontrer un sadique. Ce serai lunion parfaite mais douloureuse!

Jexfiltre la concubine et nous courrons à larrêt du car.

— Dis, tu lui demanderas à ta patronne si je peux travailler à la librairie ? Tu lui demanderas ?

— Compte sur moi.

Pendant le voyage, jai tout le temps de réfléchir à la situation. Clairette plus chaude que jamais et Domi plus chatte que jamais. Il va falloir être subtil.

Je débarque Chez Charles vers neuf heure. Je sais quil sera absent. Clairette ma donné une clef. Dans la cuisine, un mot de Christine. « Jaccompagne Charles à laéroport de Genève. Il part faire une randonnée Amérique du sud. Tu trouveras tout dans le frigo et dans ma chambre de quoi te mettre à laise. A demain. Bisous Chris ».

Je trouve sur le lit, soigneusement plié, la chemise de nuit et la petite culotte que javais empruntés lautre jour ainsi quun peignoir en satin. Jhésite quand même un peu à les revêtir. Mais, en proie au souvenir vivace de la suave délicatesse des cotonnades, je ne résiste pas longtemps.

Après un grignotage, je me glisse dans les draps si doux et si parfumés que, sans être sollicité, mon zigomar se met à durcir. Non ! Tu ne vas pas te répandre dans les draps comme chez Clairette ! Et puis, aujourdhui, tu as baisé tes deux maîtresses, çà suffit ! Il faut garder des forces. Tu travailles demain Et puis, qui sait peut-être que Christine viendra me réveiller ?

Je neu pas à me poser longtemps la question. Les efforts de la journée se payèrent cash. Je mendors comme un meunier.

Au cur dun rêve interlope, je perçois le frôlement dun corps nu : Christine est collée contre mon dos. Je me retourne, des lèvres brûlantes étouffent ma surprise. Sa langue force ma bouche. Ses mains se perdent sous ma chemise de nuit.

— Tu mas obéis. Tu porte ma chemise et ma petite culotte.

Ses mains agrippent mes hanches et vont débusquer sous les broderies, loiseau déjà debout. Des quenottes mordillent mes petits tétons. La bouche part à la cherche du nombril puis descend vers la verge quelle engloutie. Je la prends aux fesses pour lui faire effectuer un demi-tour. Elle comprend immédiatement ce que jattends delle. Elle pose sa vulve sur ma bouche. La petite médaille sagite sur mon visage. Je lavale. Je tire un peu sur la chaînette pour allonger le gros bourgeon. Elle geint.

— Continue ! Déchire-moi.

Elle se dresse à quatre pattes pour accroître la tension de la chaîne. Une cascade se déverse sur moi alors que ma partenaire hurle de bonheur.

— Encore ! Tire ! Cest bon.

Mes dents ont du mal à contrarier lextrême pression. Le clitoris sest allongé dun bon centimètre. Dans un dernier coup de reins qui me décolle la tête de loreiller, elle pousse un rugissement et sécroule sur mon abdomen. En retombant ses lèvres engloutissent malencontreusement mon épée. Voraces, elles amorcent la lance pour faire jaillir la sève tandis que ses tétons hypertrophiés, durs comme des crayons, ratissent mon ventre. Cest divin. Je lâche la purée dans un brame de cerf.

Et de trois ! Jai baisé mes trois maîtresses le même jour ! Je nen suis pas peu fier même si je suis carbonisé. Je ne veux pas déprécier Clairette pour qui jai la tendresse inaliénable du premier amour. Ni Domi qui a pour elle son corps juvénile et une soumission sans faille. Mais aucune des deux natteint le niveau de perfection de Christine. Force est de constater que Christine est une amante très expérimentée. Si josais, je dirais une pro !

Pourquoi se jettent-elles sur moi. Domi sest donné totalement en femme amoureuse. Mon corps juvénile a réveillé chez Clairette des pulsions refoulées depuis des années. Quand à Christine son attitude est plus prosaïque. Cest une femelle dominante, gourmande du sexe. il y a de lanimal chez elle.

— Que va penser Charles de tout ça ?

Elle réplique illico dans en ricanant :

— Et Clairette

— Mais pour Clairette je ne suis quun divertissement

— Tu a raison Charles et moi avons des relations spéciales. Nous baisons souvent et souvent en groupes mais ne vivons pas ensemble. Quand je viens chez lui, nous baisons puis nous faisons chambre à part. Chacun son mode de vie. Nous vivons ensemble séparés. Nous nobligeons rien à lautre. Charles se fiche bien de la vie que je mène. Il ma sauvé la vie en 44. Je lui dois une reconnaissance éternelle.

— Lautre soir, après tavoir accompagné chez moi, je suis tombé sur un tas de viande enchevêtré. Est-ce parce que je venais de te quitter ? En tout cas, je suis revenu à lappartement. Tu dormais enveloppé dans ma chemise de nuit. Jeu envi de me jeter sur toi mais tu étais si paisible, si confient que je nai pas voulu te déranger. Mais, au petit matin, quand je suis venu te réveiller, je nai pas pu résister, je nallais pas laisser passer loccasion de moffrir un jeune mâle !

Elle dit jeune mâle comme elle aurait dit jeune cerf ou jeune taureau.

— Maintenant il faut dormir, je crois savoir que ta journée a été très longue.

Malgré les démarches du président du club de St Marcel et lintervention de mon père, je demande mon transfert pour le club de rugby le plus proche du lycée où je retrouve plusieurs camarades. Cela me permet de mentrainer le mardi soir et de jouer le samedi. Le mardi, à la fin de lentrainement se termine vers neuf heure, il ny a plus de car pour retourner au lycée. Je logerai- avec laccord de mes parents, chez le frère de ma mère un vieux célibataire souvent absent qui exerce la profession de VRP (vendeur-représentant-placier) pour plusieurs fabricant de jouets. Nous verrons que sa faible perspicacité il me croit puceau ! est compensée par une certaine largesse didées

La maison de mon oncle est malheureusement trop éloignée du lycée pour pouvoir se distraire les deux heures du mercredi avec Domi. Il me reste à espérer un coup de fil de Clairette mais comme sur Anne, je ne vois rien venir. Après le grand chelem du week-end dernier, je connais une semaine dabstinence forcée.

Le sevrage risque dêtre douloureux. Vais-je devoir mastiquer comme un collégien ou un vieux mari ? Heureusement le week-end approche, Christine charitable, peut-être viendra à mon secours. Et là ce sera rock end roll !

Le samedi soir, devant la gare de Grenoble, elle mattend au volant de la DS de Charles qui est toujours dans sa randonnée exotique. Quelques flocons commencent à tomber. Raison de plus pour rentrer au plus vite, mais Christine en vrai montagnarde se fiche de la météo. Elle quitte la route principale et prend par une petite route qui monte dans la forêt.

— Cest plus court !

— Oui mais avec cette neige

— Ne craint rien, jai une grande habitude de ces routes, la meilleure voiture sur ce terrain et les pneus quil faut. Tu verras le spectacle vaut le détour.

Je ne vous aie pas dit que ma conductrice sest recouverte dun long manteau de cuir. Elle pousse le chauffage de la Citroën.

— Aide-moi à retirer mon manteau ! Me demande-t-elle.

Je commence à déboutonner la pelisse. Que croyez-vous quil arriva ? Elle nétait vêtue que de ses sous-vêtements ! Une guêpière noire, lacée à la taille, qui laisse sa poitrine complètement libre. Une culotte coordonnée. Des bas tendus par des jarretelles et de longues bottes de cuir.

Plus nous montons, plus la fine couche blanche sépaissie. On ne voit pas grand-chose tant la neige renvoie la lumière vive des longues portés. Cette voiture memmène dans la nuit cotonneuse, conduite par une silhouette presque nue. Cette atmosphère surréaliste nous plonge dans un film de Buñuel. Jai une totale confiance en Christine. Elle ne quitte pas un petit sourire où se mêle malice et duplicité. Nous arrivons. Me dit-elle. Caresse-moi.

Je vous ai déjà dit combien ses tétons étaient spectaculaires. Gros comme un doigt, dur comme la pierre mais je découvre stupéfait que deux anneaux dor les traversent ! Ils étaient absents la semaine dernière.

— Cest une surprise que je ferai à Charles. Tu peux jouer avec.

Je nose pas trop triturer ses lolos car lapproche du col est faite dune succession de virages serrés qui réclament toute lattention de la conductrice. Christine range la voiture sur un terreplein. Comme si un accessoiriste avait retiré le rideau, le ciel se dégage. Apparait devant nous en cinéma scoop les lumières de la ville de Grenoble ! La neige a cessé de tomber. Cest grandiose !

— Cest là quau printemps et quen été, les amoureux viennent goûter au fruit défendu. Mexplique-t-elle. Cest facile, mais tu avoueras quen hiver sous la neige, cest bien plus romantique. Moi ça me fait des choses !

Elle me tend un appareil de photo reflex.

— Tu sais ten servir.

— Oui, mon père a le même.

— Alors, on sort de lauto !

Elle sexpose souriante, mutine. Elle semble parfaitement insensible au froid. Je la flache dans toute les positions. Debout, jambes écartées, de face, de dos, à genoux, couché dans la neige fraiche. Couché sur le capot de la DS, langoureusement installée sur la banquette. Jai froid pour elle ! Elle remet une bobine de film.

— Continue ! Dit-elle.

Voulant me congeler définitivement, elle retire un à un ses dessous. Elle se vautre dans la neige dans le plus simple appareil !

Suit une scène où la réputation de la DS comme baisodrome nest pas usurpée. Grand espace, sièges profond et doux, tapis épais. Le moteur ronronne pour offrir aux passagers une réconfortante chaleur.

— Tu es chaud. Hum ! Un vrai poêle !

Christine se jette sur moi comme une mante religieuse. Elle me dépouille en quelques instants, me recouvre de son corps, bouche vorace et pointes acérées. Sa résurgence expulse des flots de liqueur. Elle cherche fébrilement mon sexe pour se le fourrer dans la vulve. Elle rugit, au physique et de la voix.

— Ah ! Whooooo ! Je savais que ce serai exceptionnel.

Je ne suis quun pantin dont elle use et abuse sans vergogne. Je ne suis quune bite qui doit la transpercer. Les anneaux qui prolongent ses obus me narguent. Je les prends pour les rapprocher jusquà se toucher. Christine ne se laisse pas distraire, au contraire, ses reins impriment une cadence infernale. Enfin, cest la délivrance, elle par dans un magnifique orgasme. Je fais pschitt dans le ventre de ma gourgandine.

Quand nous reprenons contact avec la réalité, la neige recouvre complètement la route.

— Tu sais conduire sur la neige ?

— Je conduis le tube de mon père sur le plateau.

— Prend le volant. Je vais me faire une beauté.

Je nai pas eu jusque là loccasion davoir conduit la DS qui une voiture très spéciale nous sommes en 1964 la boite de vitesse automatique, le gros boutons du freinage, la direction assistée, le tout dans une descente enneigée Mais je fais attention, tout se passe bien. Pendant ce temps Christine enfile une robe et se refait une beauté.

— Clairette ma dit que tu faisais tout bien. Elle ne ma pas parlé de ton talent de pilote. Tu nas pas faim ?

— Tu mas pris le peu dénergie qui me restait. Je ne sais même pas si jaurai la force de manger.

— Je ne suis pas inquiète. Tu vas voir un restaurant dans moins dun kilomètre.

Je range la voiture devant le resto. Christine me fais un peu de bouche à bouche qui me redonne des forces.

— Tu féliciteras Clairette. Cest un bon professeur.

— Cest çà, je lui dirai que tu mas fait passer un examen. Elle sera enchantée. Dis-je en quittant la voiture.

— Et si tout ceci avait été concerté avec elle. Tu crois tout contrôler mais en réalité tu es peut-être quun jouet

— Quelle honte ! Deux bourgeoises qui séchangent leur jeune amant ! Chiche que je lui en parle ? Après tout elle ma donné le feu vert pour ma petite copine Domi. Pourquoi pas pour lamie de son père

— Je te le déconseille. Je ne veux pas de problème avec Clairette. Et puis tu verras rien nest plus beau et plus chaud quune femme enceinte

On nous a réservé une place près de la cheminée. Le repas est pris dans une excellente ambiance. Christine est très connue dans le pays. Elle me présente comme un neveu. Je crois déceler ca et la quelques froncements de sourcils réprobateurs ou amusés selon que la gente et masculine ou féminine.

Au retour chez Charles, je ne peux masquer quelques bâillements. Compréhensives mon hôte me conduit dans sa chambre. Je tombe sur le lit. Elle me déshabille et me conduit sous la douche à moitié endormi. Je ne me rends pas bien compte de la parure dont elle maffuble mais je sens combien elle est douce. Je mendors aussitôt dans un océan de satin.

Christine semble avoir pour habitude de réveiller ses amants par une exploration buccale poussée. Cest tout bénéfice pour la gente masculine dont lorgane reproducteur est souvent debout à cette heure là. Sitôt lil allumé, elle mescalade et se plante sur le manche de mon piolet. Ses seins arrogants et percés sont le meilleur des aphrodisiaques. Ma bite est dure à en éclater. Ma partenaire ressort aussi brusquement quelle est entrée. Elle présente son petit trou fripé quelle a pris soins de graisser généreusement et dans une grande exhortation elle sencule jusquà la garde sans que jai eu le temps de dire ouf !

Elle amorce un mouvement alternatif tout en invitant mes mains à lui étreindre violement la poitrine. Je tire les anneaux dans tous les sens, nous sombrons dans une formidable jouissance.

— Cest parfait ! Me dit-elle on va pouvoir travailler.

De retour de la douche, jai la surprise de constater que ma camériste ma préparé des dessous de fille.

— Tu ne pense pas que je vais porter çà !

— Qui le saura ? En dehors de moi. Fais-le pour moi. Jy penserai toute la journée. Ce sera notre secret. Ajoute-t-elle avec ton presque menaçant.

Aussitôt, elle me ceint autour du ventre dune guêpière rouge sang. Elle fixe aux jarretelles une paire de bas de soie noirs et termine par une culotte de satin assortie. Au dessus jenfile un pantalon de velours grossier, un teeshirt et un gros pull. Le contraste des dessus volontairement rustiques et des dessous raffinées, me plongerons toute la journée dans une transe irrépressible. Jen fais part à Christine qui profite de la fermeture de midi pour me déshabiller dans son bureau. Elle me couche sur la table, baisse ma petite culotte et menfile deux doigts dans loignon comme elle le ferai à une de ses vendeuse. Elle passe mes jambes sur ses épaules. Elle me viole avec ses doigts dune main en me masturbant de lautre.

— Tu pense bien que si je tai accoutré avec cette tenue cest pour me rappeler, Sophie ma première vendeuse qui la portait et soffrait tous les midis. Cette chanceuse ma quitté pour une magnifique et riche skieuse. Fais-moi jouir !

Cest son tour dêtre troussée sur la table. Je mets les doigts dans la chatte. La puissance de sa matrice est incroyable. Elle broie ma main ce qui la fait se pâmer sans retenue.

Heureuse époque où le harcèlement au travail nétait pas réprimé.

Après la fermeture de la librairie, jai juste le temps de quitter mes dessous. Christine les a mis dans un sac avec un soutien-gorge.

— Tous les hommes aiment transformer leur petite amie en putain de bordel mais nessai pas avec Clairette, elle aurait des soupçons

Lundi, pas de message de Clairette mais un mot de Domi qui vient avec moi à Roman. Suite à une grève des enseignants, notre mercredi est libre. Jai prévenu parrain qui semble très heureux. Dans la voiture du copain qui nous mène à Roman, Domi est toute chaude à lidée de passer une nuit entière avec moi. Juste avant larrivée au stade, je lui tends un sac et lui dit de se préparer pendant que je mentraine. Elle est interloquée quand elle aperçoit les dessous coquins et sophistiqués. Je lui mets un doigt sur la bouche. A toute à lheure.

Tout au long du repas qui suit lentrainement, je sens bien que ma fiancée est un peu troublée.

— Doù ca sort me demande-t-elle perplexe.

— Peut importe. Tu les as mis ?

— Cest un peu grand mais cest terriblement excitant. Quel cochon tu fais!

— Tu devrais être fessée pour des mots aussi vulgaires.

Je lui explique que mon oncle est célibataire. Quil a une petite quarantaine. Je tais sa réputation sulfureuse. Je lui ai bien dit au téléphone que Domi était une jeune fille bien élevée. Jespère quil se tiendra correctement.

Mon oncle vient nous chercher au stade dans sa Lancia coupé. Il nous accueille avec jovialité dans son appartement situé dans un petit immeuble moderne. Il est assez confortable bien que la chambre dami ne comporte quun lit à une place.

— Mais a votre âge, ce nest pas important, non ! Je suis content que tu ai amené ton amie. Javais peur que tu sois encore puceau !

Domi est cramoisie.

— Ne vous formalisez pas Mademoiselle. Je suis brut de fonderie. Allez, on va boire un petit remontant.

Nous sirotons un armagnac de vingt ans qui ne fait quaccentuer le tain déjà bien rosé de ma fiancée. Bon, je vous accompagnerai bien pour un deuxième mais je me lève de très bonne heure.

Dans la chambre, Domi nest pas très rassurée surtout quand je la déshabille et que je lexpose dans sa tenue de libertine. Elle veut se réfugier sous les couvertures mais je détaille sa guêpière.

— Je crois que tu ne las pas assez serrée.

— Je voudrai-t-y voir. Ce nest pas facile.

Christine ma montré la cérémonie de serrage. Je délace les deux cordelettes. Puis appuyant un genou sur ses reins, je tire sue la cordelette du haut, fait un magnifique nud et procède de la même façon pour celle qui remonte.

— Ouille cest trop serré ! Se lamente Do à voie basse.

— Tu vas thabituer. Tu as mal mis ta culotte. Elle se place au dessus des jarretelles. Sinon, comment feras-tu pour faire pipi.

— Mais comment tu sais tout çà toi ?

— Jai été initié

Je défaits une à une les jarretelles que je fais passer sous la culotte puis je fixe les bas avec la tension adéquate.

— Cest vrai que le soutien nest pas à ta taille. On va le rembourrer avec une paire de chaussette.

Je la fais tourner sur elle-même. Tu es magnifique ! Une vraie séductrice de maison close.

— Oh ! Merde, jai oublié les préservatifs. Tu en as sur toi ?

— Eh, non

Je la fusille dun regard de reproche.

— Je ne vais quand même pas réveiller parrain pour lui en demander un !

— Je suis réduit à te prendre par derrière, mais à sec ou presque car je nai pas de vaseline.

Elle serre déjà les fesses que je caresse à travers le satin. Je baisse sa petite culotte et lattire sur les genoux. Après quelques baisers, je létends sur le dos. Je plonge au milieu du compas pour débarbouiller largement le barbu ainsi que le petit trou. Puis je la place à genou sur le ventre. Elle jappe comme un petit chiot, je létouffe presque dans loreiller. Sa chatte déborde, cest le trop plein, je peux en prélever une partie pour la graisser. Avec le plus de délicatesse possible pour quelle nentame pas la Traviata, je dépose mon gland à lentrée du pertuis. Spontanément, ma biche écarte les fesses avec ses mains. Elle tourne la tête vers moi, les yeux fermés, la bouche ouverte, elle exprime un rictus ineffable où se mélange plaisir et douleur intenses. Ca y est, mon mandrin est au fond. Je peux pousser franchement dans son fondement. Par des petits coups de reins elle se donne complètement. Elle attire ma pine au fond de sa niche.

— Oui, jusquau fond

Elle est étroite, pourtant ma pinne coule jusquà la garde. Je lhabitue peu à peu puis recommence un léger rodage. Elle pousse de vrais cris. Je tape légèrement ses fesses pour linciter à modérer ses transports. Elle pleure, elle jouie. Elle senvole vers un superbe orgasme. En bon ami, je lui rends la moitié de sa pièce.

A son grand soulagement. Nous en resterons là pour ce soir. Après lavoir délivré de sa parure et de ses bas, lui avoir lavé le fondement, nous nous endormons replié lun dans lautre.

Au matin nous sommes assez soulagés de ne pas croiser mon parrain.

— Ma petite maîtresse insiste pour que je demande à Christine si elle peut venir travailler à la librairie le samedi et le dimanche.

— Cest compliqué mais je lui en parlerai

Comment gérer le trafic de mes maîtresses. Dabord il y a Clairette que je ne peux voir au mieux que le mercredi. Je prétexterai auprès de Domi la préparation du bac et des concours mais il faut jouer séré. Le lycée est dans une petite ville où tout se sait Ce nest pas que je sois catastrophé à lidée que Domi apprenne lexistence de Clairette mais une femme amoureuse et délaissée est capable de tout comme dameuter le bourg, parents compris. Et là, grande catastrophe !

De lautre coté de la rive si je peux dire, la situation est tout aussi délicate. Même si son père sen fou ? Pas question que Claire apprennes ma liaison avec Christine. Ca lui ferait du mal et détériorerai leur relation. Comme on ne prête quaux riches, Claire soupçonnerai surement son père den être linstigateur. Gros orage en perspective ! La situation est simple : Claire sait pour Domi, elle nen fait pas une maladie. Christine sait pour Claire et Domi et cela ne lui pas donne des boutons. Mais Claire ne sait pas pour Christine et Domi ne doit rien savoir des deux autres. La situation se complique.

Domi pourrait venir chez Christine mais le risque serait élevé. Je vais lui en parler. Elle semble très sereine, elle sera de bon conseil. Ne pas trop mettre Domi en relation avec Claire et le minimum.

Je ne men sors plus. Ne faut-il pas sacrifier une dame !

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