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Le plaisir dans la fessée – Chapitre 1




Frustration du soir, érection du matin : la nuit est passée à vitesse grand V sans diminuer mes fantasmes.

Avant de m’en aller je t’ai donc une fois de plus possédée, laissant mes sens en liberté… Il ont su en profiter. Reproduisant tout d’abord le schéma de mardi midi, dans la ta cuisine. Moi debout, toi à genoux. Je suis resté habillé, tout juste ai-je sorti moi-même ma queue dure, gonflée, pour l’imposer à ta bouche. Pas le temps de réfléchir. Ma main gauche te tenait par les cheveux tandis que la droite te tendait ce sexe qui t’excitait. Pas besoin de te prier. Tu aimes sucer, tu aimes sentir et voir cette grosse bite t’envahir, tu aimes être insultée, dominée. Voilà, c’est bien… Comme ça, pompe, pompe bien… Tu as vraiment une bouche à tailler des pipes… T’as pas fini avec moi ! C’est pipe quotidienne, profonde… J’aime sentir ma queue frotter à l’intérieur de tes joues, voilà comme ça, balade là dans ta bouche, comme une vraie salope qui sait y faire…

Ma queue est énorme, tu sais la faire réagir et agir, frotte la maintenant sur ton visage, lèche mes couilles vulgairement… Tu es bonne, une bonne pute, une bonne trainée qui doit bien mouiller, ça t’excite salope !

Branle moi maintenant, tu vas me vider, je vais gicler sur toi, branle bien, fort, avec ta main et regarde moi petite arrogante, petite vicieuse, prétentieuse, tu sais comment tu vas me refaire bander après ? Oui tu le sais… On va monter après et tu seras fessée, fortement fessée, corrigée, punie, frappée ! Regarde, rien que de te le dire, c’est encore plus gros, c’est énorme, faut me vider maintenant, vas-y salope, accélére, remet dans ta bouche, plus vite, et ressors là… Oui, comme ça, branle, branle juste devant ton visage… Branle avec ta main et tend ton visage, sors ta langue, je vais lâcher mon foutre, je veux te souiller de sperme, ça viens, c’est bon, salope, salope, encore, tu n’es qu’une sale pute, tu vas bouffer du foutre, tu aimes salope ! Oui, c’est bon… Je décharge sur ton visage, des giclées aléatoires ont jailli pour s’étaler sur ton front, tes joues et bien sur ta langue gourmande qui tentait d’attraper le jus gluand. Et maintenant frotte partout avec ma bite en mains, voilà comme ça, étale ce foutre sur ton visage de salope, que tu sois bien recouverte et lèche, lèche les dernières gouttes, lave ma queue, je ne veux plus rien dessus. Continue encore, reste bien à genoux, tu es une femelle soumise, je suis ton mec, ton male, c’est moi qui décide et pour l’instant tu me laves la queue… Mais je suis sur que tu en veux encore ! T’aime trop ça… Voilà, c’est bien, on va monter maintenant, lave-toi le visage vite- fait et rejoins moi…

Je t’emmène dans ta chambre. Nus dans le lit. Je te sens très excitée encore. Tu sais ce qui t’attends, tu es sur moi mes mains ont empoigné tes fesses aussitôt frottées avec force. Je sens que ma queue se redresse déjà. "Chauffe-moi bien" insistes-tu…

Je te sens très chienne, tu veux ton mâle… Tu vas l’avoir. Cette fois nous sommes côte à côte, ta main ne peut s’empêcher d’attraper ma queue, pas encore assez dure, mais tu la tripotes, tu la caresses et j’aime ça. Tout comme j’aime insister sur tes fesses, les empoigner. Le désir est présent. Le moment est venu. Cette fessée cinglante que tu attends depuis un moment, qui m’obsède à nouveau depuis quelques jours, c’est maintenant. Aussi mes "caresses" sont de plus en plus appuyées. Mes ongles s’attaquent à tes cuisses. La sensation de griffures t’excite encore un peu plus. Tu en veux salope, tu en veux beaucoup… "C’est l’heure de la punition, tu vas m’exciter avec ton petit cul de pute, tends le bien".

Obéissante, docile, soumise, tu réponds. Ta croupe ondule. Comme toujours en pareil instant tu es superbe. Véritablement faite pour la fessée. Etonnant !

Mais l’instant n’est plus à la réflexion. Place à l’action. "Tu la veux ta fessée ma salope ?"

Pour seule réponse, tes fesses remontent un peu tandis qu’au frottement de mes mains, encore accentué, tu as répondu par un gémissement prometteur. Ton souffle s’entend. Ta tête s’est enfoncée dans l’oreiller. Tes mains ont agrippé les draps, Autant d’attitudes et de gestes qui ne trompent pas. Tu n’attends plus que cela tandis que ma queue s’est nettement redressée et qu’elle recommence à te frotter, près de ta fente obscène, béante, dégoulinante… Une chienne, une vraie…

La claque tombe. Sonore, elle n’est pas tendre. La première d’une longue série. Ta gestuelle l’a approuvée. Après deux autres qui commencent déjà à faire réagir ta peau, quel plaisir !

Tu en veux plus bien sur : "plus fort". C’est à ça que l’on reconnaît les vraies chiennes, elles en veulent toujours plus. Plus fort, plus long…

La claque suivante est sévère. Elle t’arrache un "c’est bon" doublé d’un gémissement de plaisir, car aussitôt mes doigts se sont introduits sans ménagement dans ton sexe pour une première fouille. Sans empêcher ma main gauche de prendre le relais pour te claquer le cul. Tu aimes ça. Tu le dis, tu le montres, tu le répètes.

Tu me lâche un "fais-moi mal" qui redouble ma motivation. La fessée s’accentue, les claques sont fortes, la correction est là. "Alors, la pute, t’en veux encore ?". Bien sur tu réponds par l’affirmative. "Je vais te marquer ton cul, je vais le cingler"… Pas besoin de ceinture. Mes mains font le nécessaire. Claques, griffes, frottements, empoignades… Tes fesses sont servies… Et cette fois je bande très très fort… Il est temps de te la mettre. Tu en es surprise, tes sens étaient trop envahis par cette fessée sévère, sans merci, longue, pour envisager tout autre chose. En tout cas, cette queue qui te pénètre te plait. Tu cries, tu vas jouir c’est sur.

Je m’enfonce très fort, très loin. Salope, t’avais envie de te faire baiser comme une pute, une vraie trainée, t’aimes ça te faire mettre à fond… Je te lime, je te bourre, à chaque enfilade tu réagis tandis que mes mains reprennent leur sarabande. Cette fois les coups pleuvent, tu es frappée de manière ininterrompue et défoncée à grands coups de queue. Tu ne sais plus où tu en es. La douleur et le plaisir. Qui est quoi ? Tout se mélange. "Tu es une bonne soumise, ton cul est tout rouge, je vais le zébrer de mes mains, une baiseuse comme toi ça mérite au moins ça". Mes claques redoublent de violence. Tu adores ça d’autant qu’à chaque coup ton corps s’électrise et profite encore un plus intensément de cette pénétration constante.

Tu jouis, tu hurles, tu enchaînes les orgasmes. "Encore ?". "Oui, encore, j’en veux encore plus, frappe moi, je l’ai mérité, je suis une chienne qu’il faut punier, tape moi bourre moi". Irrésistible, Jamais je t’ai infligé une telle correction et c’est extraordinairement bon, mais la jouissance arrive. "Retourne toi !". Tu as du mal à obéir cette fois, trop avide de la situation. Une claque bien forte, différente, te rappelle alors à l’ordre. "Salope obéis, vite, retourne toi, je veux tes seins maintenant". Alors tu obtempères. Juste à temps pour que je vienne placer mon sexe dessus, à peine le temps d’attraper ta poitrine, la malaxer, que je jouis très fort, l’éjaculation est saccadée, de véritables spasmes, le foutre s’étale sur tes seins…

Sera-ce suffisant pour nous apaiser ?

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