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Dernière année de lycée – Chapitre 1




Je m’appelle Eric. A travers ces lignes je vais relater mon incroyable histoire. Mais tout d’abord, je vais me présenter : j’ai 18 ans, suis en dernière année au lycée où j’arrive à maintenir mes notes au-dessus de la moyenne. Je mesure 1m78 pour 75kg. J’ai des cheveux bruns et des yeux marrons, presque noirs. Je ne suis pas très musclé mais reste dans une moyenne acceptable.

La rentrée au lycée se faisait comme d’habitude, les élèves suivirent leurs professeurs jusque dans leur salle de classe. Cette année, je me retrouvais dans la même classe que l’année précédente à peu de choses près. Les élèves étaient presque les mêmes et je pus donc me sentir à l’aise rapidement. Par un heureux hasard, alors que je m’asseyais dans le fond de la classe, une jolie jeune fille vint s’asseoir juste à côté de moi. Juste un regard me suffit pour constater que cette fille était tout simplement magnifique. Elle mesurait environ 1m65 et ne devait peser pas plus de 55kg. Elle avait des cheveux bruns, lisses, tombant en cascade dans son dos. Elle portait un chemisier blanc assez décolleté permettant de voir sa magnifique poitrine bien ronde (85B je dirais) et un short en jean bleu clair moulant ses jolies fesses rebondies à merveilles. Mais je m’attardai sur son visage d’ange, elle avait des yeux bruns mais plus clair que les miens, un sourire enjôleur et une bouche enivrante.

— Salut, moi c’est Eric, dis-je pour me présenter.

— Moi Valentine, me répondit-elle en me rendant mon sourire.

— Tu es nouvelle non ?

— Oui, je suis arrivé en ville il y a quelques jours seulement.

Notre conversation continua durant tout le cours, on se fichait un peu de notre prof car elle ne faisait que la présentation du cours qui n’était pas très intéressante. Les jours passèrent et nous ne faisions que parler en classe ainsi que durant les pauses. Nous étions très vite devenus des amis et c’est vers la fin novembre que nous avons pu dire que nous étions des amis proches. Les vacances approchaient et Valentine et moi avions déjà décidé de nous voir durant ces deux semaines sans cours.

C’est ainisi que, comme prévu, Valentine vint chez moi le premier jour des vacances. Elle était ravissante. Elle portait un pantalon en jean et une veste chaude de couleur blanche. Nous avions décidés de rester chez moi, bien au chaud alors que la neige commençait à tomber. Nous avons, comme à notre habitude, discuté de tout et de rien durant plusieurs heures où nous avons bien rit. L’après-midi, nous sommes sorti dans le jardin. j’avais réussi à faire croire à Valentine que je voulais lui montrer les décorations de noël qui se trouvaient dans la cabane de jardin. Bien sûr, dès qu’elle eut le dos tourné, une bataille de boules de neige débuta.

Au bout de quelques minutes de bataille enragée, la situation devint plus calme et je la vis trembler.

— Viens, on rentre, tu trembles, lui dis-je en riant.

— D’accord et fais gaffe la prochaine fois je met de la neige dans ton caleçon !

Une fois rentrés nous nous dirigeâmes vers le salon. Après quelques minutes, la neige qui était restée sur nos vêtements à fondu et je ne pu que remarquer que nous étions tous les deux trempés.

— Je vais aller te chercher des vêtements et de quoi te sécher, j’arrive.

— D’accord. Dépêche, il fais froid !

je revint quelques instants plus tard déjà changé, un jean et un t-shirt pour être à l’aise, avec quelques vêtements pour Valentine. Je lui tendis donc un short qui appartenait à ma mère et un t-shirt à moi.

— Tu peux aller te changer dans…

Je n’i pas eu le temps de terminer ma phrase, Valentine avait déjà enlevé son pull, son chemisier, son jean et était en train d’enfiler le t-shirt que je lui avait donné alors qu’elle était presque nue devant moi sans, visiblement, ressentir aucune gêne. Ce ptit moment où elle se changeait me fit un effet monstrueux car à peine avais-je eu le temps de la regarder que je sentait mon sexe tendu dans mon caleçon. Quelle vision magnifique ! Une vraie beauté face à moi, presque nue. Je ne sais pas comment j’ai fais, mais je me suis retenu de l’embrasser.

Le t-shirt que je lui avait prêté était tellement long que l’on aurait pu croire qu’elle ne portait que ça sur elle. e short était invisible et son haut descendais jusqu’à mi-cuisse. Elle était tout simplement sexy.

— Ça ne te dérange pas que j’enlève aussi mon soutien gorge ? Me demanda-t-elle. Il est tout mouillé.

— Non, fais comme chez toi ne t’en fais pas.

— Ok merci.

Tandis qu’elle retirait son soutien, je tentai vainement de me concentrer sur le film que j’allais mettre à la télé. Ce n’est que lorsqu’elle eu finit que je pu me consacrer à ma tâche et je lui proposai donc un film. Bien entendu, vu mon état d’excitation, il fallu que je lui propose un film romantique dont malheureusement les scènes d’amour étaient assez nombreuses. Mais Valentine semblait connaître le film et accepta donc de le regarder.

Nous regardâmes donc le film et vers le milieu de celui-ci, Valentine, sûrement par un coup de fatigue, se coucha sur moi. D’abord sur mon épaule avant de glisser lentement sur mon ventre et enfin mes genoux. Je ne savais pas ou poser mon bras de son côté et elle remarqua ma gêne.

— Tu peux poser ton bras sur moi, t’inquiète, ça ne me dérange pas.

— Euh, d’accord, lui répondis-je très gêné.

Je posai donc mon bras à l’endroit le plus neutre et le plus approprié possible sur elle, c’est à dire, sa hanche. Plus haut aurait été l’épaule ce qui aurait pu faire croire à un couple et, plus bas, ses fesses. Lorsque mon bras se posa sur la hanche de Valentine je crus entendre un soupir de sa part mais je ne pus en être sûr à cause du film où une scène particulièrement torride venait de débuter. Scène qui, en plus d’être osée, était très sensuelle. Mon sexe déjà dur réagi aussi tôt et j’eu peur que Valentine le sente mais elle ne réagissait aucunement. Soit elle n’avait rien senti, soit elle avait décidé de ne pas réagir. Dans les deux cas, c’était mieux qu’un moment particulièrement gênant.

Cette scène de sexe dans le film était extrêmement longue et je sentais une douleur au niveau de mon sexe tellement celui-ci était dur. J’entendais à nouveau Valentine soupirer alors mon regard s’est immédiatement porté sur elle. Je n’avais as remarqué mais sa main glissait lentement sur ma cuisse tandis que mon bras posé sur elle s’était de lui-même dirigé vers son petit cul. Sa respiration me semblait être de plus en plus rapide et comme elle ne me repoussait pas je décidai d’y aller franchement. Ma main droite se posai alors rapidement mais non sans crainte ni douceur sur son adorable fessier et commença lentement à le caresser.

Très vite, je sens que Valentine est réceptive à ces caresses. Je n’en crois pas mes yeux, cette fille au corps de rêve que j’appelle ma meilleure amie depuis seulement quelques semaines se laisse caresser. Je suis très excité par la situation. Je ne suis plus le film et je me rends compte qu’une nouvelle scène de sexe à débuté. Cette partie du film semble être un signal pour Valentine et moi car nous entreprenons tous les deux d’aller un peu plus loin dans ce que nous faisons. D’abord, elle caresse ma cuisse avec plus d’insistance et d’énergie tandis que je laisse ma main vagabonder sur ses fesses mes cette fois-ci sous son t-shirt. J’arrive à voir ses tétons pointer à travers le tissus et avec ma main je peux constater quelque chose d’inattendu : elle n’a pas mis le short que je lui avait donné.

Le contact de ma main avec ses fesses nues, car elle portait une culotte très fine presque un string, la fit aussitôt réagir. Elle se redressa sans repousser ma main insistante sur son postérieur ni en retirant la sienne qui pressait maintenant avec tendresse mon sexe à travers mon pantalon. Elle approcha son visage du mien et peu après nos bouches entrèrent en contact l’une avec l’autre. Après un rapide baiser timide elle se recula, hésitante. Mais elle vit très vite que j’en voulais plus ce qui la mis en confiance et elle revint aussitôt à la charge.

Les baisers au début timides et lents devinrent endiablés et passionnés. L’impatience mêlée à l’envie et le désir la poussa à m’enjamber. Elle était désormais assise sur moi en tain de m’embrasser et onduler du bassin sur mon sexe tendu toujours caché dans mon pantalon. Elle dût se rendre à l’évidence que dans notre état d’excitation cela ne suffirait pas pour nous calmer alors elle cessa ses mouvements pour défaire mon jean et le retirer. Je me retrouvais donc en caleçon avec elle toujours au dessus de moi, mes mains massant son cul et caressant son dos, ses hanches et ses fesses tout en l’embrassant fiévreusement.

Sans changer de position nous avons enlevé les derniers vêtements de l’autre. Nus et désireux, nous avons continué à nous embrasser langoureusement avant de poursuivre. Mais cela ne dura pas longtemps, nous voulions plus. Alors Valentine pris mon sexe en main et le dirigea vers le sien. Sans plus de préliminaires, elle sempala sur mon sexe douloureux de par l’attente.

— Je…je dois…je dois t’avouer quelque chose, me souffla-t-elle dans l’oreille d’un ton coquin. Tu…tu viens de pendre ma virginité.

Wow. Ça, je m’y attendais pas. Elle s’était empalée si vite que je n’avais pas remarqué. Je ne sus que répondre alors je ne lui répondit rien. Je l’ai embrassée langoureusement du mieux que je pus pour lui faire comprendre à quel point je l’aimais. Elle dût comprendre car elle me rendit mon baiser sans attendre et elle ondula lentement du bassin. Une vague de sensations m’envahit. Jamais je n’avais ressenti une telle chose. Pourtant je n’était plus puceau et j’avais déjà eu plusieurs autres aventures que je dois tout de même qualifier de sensationnel mais là, c’était tout simplement bon et différent. Et encore, ce n’est pas une description honnête.

Très vite, Valentine accéléra ses mouvements à tel point qu’elle me chevauchais à toute vitesse. Visiblement, elle aussi appréciait le moment car elle gémissait sans cesse de plus en plus fort. Son beau visage était rouge tellement il faisait chaud mais elle rayonnait de bonheur. Durant plusieurs dizaines de minutes nous avons continué sans changer de position. Le plaisir était tel que nous arrêter quelques instants pour changer nous semblait impossible.

— C’est…c’est bon ! hurla-t-elle.

— Oh oui ! Continue ! Je…je viens !

— Hmm ! moi aussi ! Han ! Oui !

Dans un cri partagé nous avons tous les deux été submergés par le plus violent orgasme jamais ressenti ni par l’un ni par l’autre. La fatigue s’installa rapidement et nous restâmes plusieurs minutes sans bouger, mon sexe toujours dans celui de ma douce Valentine. Nous continuions à nous embrasser mais avec plus de calme e bien moins d’énergie qu’auparavant. Je ne me souciais pas de savoir si Valentine prenais la pilule ou non. Ce n’était pas le moment de se poser ce genre de question. Je ne voulais pas gâcher un tel instant de pur bonheur entre nous deux.

— Je t’aime, lui glissais-je à l’oreille dans un chuchotement doux.

— Je t’aime, me répondit-elle de la même façon avant de m’embrasser à nouveau.

Tout était parfait. Il nous semblait que rien ne pourrait gâcher ce délicieux moment jusqu’à l’instant où on entendit une clef tourner dans la porte. C’était ma mère qui rentrais du travail.

Suite très bientôt !

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