Ça y est ! L’année s’achevait. J’avais été une élève plutôt docile. J’avais fait tout ce que l’on me demandait de faire.
Un peu rebelle au début, j’avais appris à apprécier le foutre et la pisse. A présent, je n’hésitais plus à me masturber en public, quitte à me faire remarquer. J’en assumais les conséquences. J’étais l’une des meilleures et étais souvent récompensée. J’étais celle qui faisais des fellations quand les professeurs débâtaient dans les conseils de classe. Les pères de certaines de mes camarades avaient pu profiter de mon cul à plusieurs reprises, au détour de soirées organisées par lÉcole.
Il ne nous restait plus qu’un examen à passer. L’examen qui allait décider de notre avenir. Tous les professeurs s’étaient réunis dans une salle, et nous passions toutes, les unes après les autres.
Ce fut bientôt mon tour. Je pénétrai dans cette salle. Pour l’occasion, elle avait été aménagée de manière cosy. On avait l’impression de se retrouver dans un de ces salons de débauche. Il y avait un tapis épais très joliment décoré, au sol, puis, un fauteuil qui semblait confortable. Mon professeur principal était assis là, jambe écarté, la queue sortie déjà bandée par les passages précédents. Le sol était jonché de foutre et ça sentait la baise à plein nez. Cette odeur que j’avais appris à apprécier. Il y avait des traces blanches un peu partout. J’avançais lentement jusqu’au milieu de la salle. Là, il m’ordonna de ne plus bouger et de me déshabiller complètement. Je ne portait pas grand chose comme le stipulait le règlement de lÉcole, ma chatte devait toujours être disponible ainsi que mon cul. J’avais pris goût à cela et ma chatte était tellement disponible que j’avais été défoncée plus d’une fois sur le trajet de lÉcole.
Bref, j’étais là, au milieu de la salle, je ne portais plus rien en dehors d’une paire de talons hauts. Il me demanda de m’agenouiller. Il approcha sa grosse queue de moi et commença à me caresser le visage. Il en fit tout le tour,et puis, il me donna de petites claques avec cette queue à laquelle je me soumettais. J’avais envie de la prendre en bouche, de la sucer, de m’en délecter. J’avais faim de sexe et soif de foutre. Mais, il s’amusait avec moi. Il avait senti le désir bouillant qui m’habitait. Il savait que je ne pouvais plus me passer de sexe, que j’étais vraiment devenu une chienne, une pétasse juste bonne à être enculée. Ma chatte commençait à s’ouvrir et ma mouille commençait à inonder le sol. Mon regard le suppliait de mettre fin à mon supplice. Il me regarda, un long moment, un moment qui me sembla durer une éternité. Puis enfin, il s’approcha de moi. Déposa une main sur mon épaule ce qui eu pour effet immédiat de me faire frissonner. Mes tétons se redressèrent d’un seul coup, ils étaient au garde à vous. Il me saisit un tétons, tira fortement dessus, je hurlais de douleur et de plaisir. Enfin, il faisait quelque chose de moi. Un crachat qu’il venait de faire stoppa net mon hurlement.
Il me regarda un instant, comme pour admirer le résultat, puis, il me susurra quelques mots à l’oreille : " Tu es prête maintenant. Quoique tu fasses à l’avenir, tu seras chienne dans tout ce que tu entreprendras. Ton envie de baise sera telle, ton addiction tellement vive que tu en redemanderas sans cesse. Et, pour inaugurer ce nouvel état, aujourd’hui, j’ai invité quelques personnes pour t’ouvrir aux autres." Je restai trois heures dans cette salle. J’avais en effet été ouverte aux autres. J’avais eu droit à quatre bites simultanément, deux dans la chatte et deux dans le cul. J’avais bouffé un nombre incalculable de queues et de chattes aussi. J’étais une élève brillante et je voulais qu’on le sache. J’avais envie de devenir une pute, une vraie, capable d’accepter n’importe quelle sollicitation. A l’issue de cet entretient, je ressortis de la salle diplôme en poche. Ça y était, les portes du monde du travail s’ouvraient à moi. Et je comptais bien devenir la meilleure des salopes.
