Histoires de non consentement Premières histoires de sexe

Ecole du sexe : seconde année – Chapitre 10




    Pendant les vacances, personne n’avait cours. Il fallait donc trouver de quoi s’occuper, alors chacun se livrait à diverses activités. Bastien et Alice ne faisaient pas exception à cette règle. Les deux amants avaient décidé de s’amuser chacun de son côté. Non pas parce qu’ils ne voulaient pas rester ensemble, mais parce que les deux étudiants n’avaient pas les mêmes centres d’intérêts. Là où Alice discutait avec d’autres étudiantes de sa promotion, Bastien passait du temps avec ses amis, notamment au gymnase où ils avaient l’occasion de se défouler grâce à divers sports. C’était d’ailleurs au gymnase, à la suite d’un match de football, que Bastien avait retrouvé Rachel, la jeune femme rousse avec qui il avait couché, en septembre, dans les vestiaires. Comme s’ils avaient remonté le temps, les deux étudiants s’étaient retrouvés sous les douches communes, puis leurs hormones se furent chargé de poursuivre leur discussion. Quelques heures plus tard, comme il le lui avait promis, Bastien alla retrouver Alice afin de lui raconter ses ébats. La jeune femme écouta attentivement les passages les plus croustillants, notamment lorsque son petit-ami mentionna le fait que les parois intimes de Rachel lui avaient pressé le sexe d’une manière fort plaisante. Elle l’écouta lorsqu’il parla de l’avoir pilonnée, tandis que la mouille de la jeune femme n’avait de cesse de couler de son antre offert. Elle écouta jusqu’aux derniers mots de l’histoire, lorsque Bastien s’était vidé à l’intérieur du vagin de Rachel, et comment son pénis s’était retrouvé encore plus comprimé.

-Si tu cherches à m’exciter, dit Alice à la fin de l’histoire, alors c’est réussi.

Les deux amants se rendirent alors dans leurs chambres avant de sauter sur leur lit aux draps bleus. Quelques semaines avant les vacances de Noël, leur professeur de Littérature Érotique, monsieur Ambroise, leur avait fait redécouvrir un site que Bastien avait auparavant déjà visité. Depuis ce jour, ils avaient pris l’habitude, afin de s’échauffer avant leurs ébats, de lire l’une des histoires présentes sur le site grâce à leur téléphone. Ils avaient déjà dévoré les histoires d’une certaine Pauline, en terminale dans son lycée, qui était devenue le jouet sexuel de ses professeurs. Le passage de la piscine excita énormément Alice, s’imaginant recevoir le phallus d’un moniteur de natation dans l’anus tandis qu’elle rangeait le matériel dans la réserve. La seconde histoire se passait non pas dans un lycée, mais dans une école de commerce. Il était possible d’y suivre les aventures fictives de Louise et Thomas dans leur première année à travers un groupe très particulier, et surtout très libre sur le plan sexuel. La scène durant laquelle Louise dut soulager l’un de ses professeurs pendant que ce dernier discutait à son bureau avait eut un lourd impact sur les envies de Bastien qui, lorsqu’il avait lu l’histoire, avait littéralement sauté sur sa petite-amie pour la chevaucher sauvagement.

    L’histoire qu’ils avaient choisie pour cette soirée fut celle d’une tour très particulière. Cette tour était censée menée au septième ciel, et c’était justement au septième étage de cette tour que l’action se déroulait. Comme ils en avaient l’habitude, les deux amants écartèrent allègrement les jambes. Chacun d’eux posa sa main sur les parties intimes de l’autre, et tandis qu’ils commencèrent leur lecteur, ils commencèrent à masturber le corps de l’autre. Lorsqu’ils arrivèrent au passage où un homme-enfant, se branlant publiquement sur un banc, fut rejoint par une femme qui lui offrit une petite douceur publique, le couple sentit qu’il avait atteint le point de retour.

-Bastien, je n’en peux plus, déclara Alice en arrêtant ses mouvements de poignet.

-Pareil de ce côté, répondit-il en cessant également de jouer avec sa main.

Ce fut alors tout naturellement que Bastien vint se positionner entre les cuisses ouvertes d’Alice. La jeune femme, dont les cheveux blonds étaient coincés entre les draps et son dos, regardait son partenaire de ses doux yeux verts. Lorsque le membre dressé de son homme entra en contact avec ses lèvres intimes, elle entoura les hanches de son partenaire à l’aide de ses jambes et, d’un mouvement vers l’avant, le poussa à la pénétrer violemment.

-Oh putain ! s’exclama-t-elle en se cambrant plus que de raison.

Une douce chaleur s’empara de la partie inférieure de Bastien qui, comme envoûté par l’étreinte de sa partenaire, entama un léger va-et-vient. Il accéléra rapidement la cadence ; Alice gémit de plus en plus fort en repoussant sa tête vers l’arrière. Elle adorait la sensation de cette verge profitant de son corps. Tandis que son bas-ventre se réchauffait inévitablement, elle sentait ses cuisses s’humidifier à cause de ses sécrétions vaginales. Quelques sons obscènes accompagnaient les mouvements de bassin du jeune homme, mais cela ne fit qu’attiser leurs folies.

— Je sens que je vais venir ! la prévint Bastien tandis que son bassin se mouvait sans pouvoir être ralenti.  

— Je ne vais pas tenir bien longtemps non plus, articula Alice. Vas-y, envoie la sauce.

Le couple parvint à tenir encore sept secondes, puis Bastien laissa s’échapper un râle de plaisir tandis que ses coups de bassin se firent moins brusques. Il sentit alors son plaisir s’échapper de son gland, puis les parois intimes de sa petite-amie le serrèrent plus encore. De son côté, Alice, en recevant la jouissance de son amant, ne put s’empêcher de se mordre la lèvre tandis qu’elle sentit le liquide se propager à travers son vagin. Un cri aigu ne tarda pas à s’échapper de sa bouche ; un flot de cyprine vint arroser le pubis du jeune homme. Le couple resta ainsi encore plusieurs secondes avant de se diriger vers les douches afin de nettoyer les traces de leur petit jeu érotique.

Une semaine entière s’écoula de cette manière. Le matin du 31 décembre, Bastien et Alice se réveillèrent comme à leur habitude. Ils avaient plutôt mal dormi, et pour cause, dans la soirée aurait lieu le fameux bal que les étudiants attendaient tant. Un dîner, semblable à celui auquel ils avaient eu droit le jour de Noël, leur avait également été promis. Alice avait parlé du bal pendant une bonne partie de la semaine, et Bastien avait dû endurer cela en plus de leurs séances sauvages dans la neige hivernale. Mais, pour son plus grand bonheur, la neige avait fondu trois jours auparavant ; il ne supportait plus de ressentir les morsures du froid agresser ses jambes et son dos, dans les moments où Alice insistait pour le chevaucher. Les deux amants firent rapidement leur lit et aplanirent les draps bleus recouvrant leur matelas. S’ensuivit la toilette matinale, puis le petit-déjeuner. Dans la grande salle à manger dont les décorations n’avaient pas encore été installées, l’intensité sonore semblait bien en-deçà que d’ordinaire. Sans doute l’envie que le temps accélérât afin d’en venir plus rapidement à la soirée ne donnait pas autant envie de discuter aux étudiants que lors des matinées habituelles. Bastien et Alice ne firent pas exception à la règle. Ils parlaient peu et se contentaient de manger leurs viennoiseries qu’ils trempaient dans un bol de lait chaud. À cause de l’impatience, Alice laissa malencontreusement tomber un morceau de croissant imbibé de lait. Ledit morceau tomba sur sa poitrine avant de rencontrer le sol de la salle à manger.

— Je m’en occupe, dit Bastien en léchant la petite tache de lait formée sur le sein droit de sa petite-amie.

La jeune femme rit légèrement en lançant un regard luxurieux au jeune homme. Elle trempa derechef son croissant dans le lait et, sans quitter son petit ami du regard, le porta à son sein gauche. Quelques gouttes de lait coulèrent le long de sa peau avant de venir tacher sa chaise en bois. Bastien ne se fit pas prier pour nettoyer une nouvelle fois sa dulcinée. Leur petit jeu se poursuivit pendant encore quelques minutes avant que le croissant ne fût intégralement consommé. Le couple quitta alors leur table après que le personnel de service eût débarrasser leurs bols vides.

    La journée s’écoulait avec une vitesse extrêmement lente. Certaines filles parlaient même de la journée la plus longue qu’elles eussent jamais vécue. Alice partageait leur point de vue. Elle n’avait qu’une hâte, enfiler la robe que lui avait offerte sa mère pour Noël afin de danser harmonieusement avec l’homme qu’elle aimait. Mylène, qui avait reçu une robe en guise de cadeau de la part de ses amis, était dans le même état. Malgré leurs bavardages entre camarades ainsi que leurs activités sportives et sexuelles, les cadrans des horloges de l’école semblaient immobiles. Quand Alice estimait qu’une heure s’était écoulée, en réalité, l’aiguille des minutes avait à peine parcouru la moitié du cadran. En se baladant dans l’enceinte de l’école, le couple croisa le chemin de Louise et de Louis, les deux étudiants de première année avec qui ils avaient conversé de nombreuses fois. Louise, toujours aussi timide bien que quelques efforts fussent à souligner, semblait tout aussi impatiente que les autres filles que le couple avait croisées. Elle coiffait toujours ses cheveux en une tresse blonde qui lui tombait sur l’épaule droite. L’extrémité de cette tresse masquait son téton droit, ce qui faisait ressortir le gauche malgré la faible taille de sa poitrine. Les quatre étudiants discutèrent pendant environ trois quarts d’heure Alice avait estimé qu’ils étaient restés ensemble pendant deux heures avant qu’ils ne se séparassent.

— Tu ne trouves pas que Louise a un peu grossi ? demanda Bastien lorsque la concernée fut suffisamment éloignée.

— J’ai remarqué aussi, confirma la jeune femme. Et puis, elle est tellement fine que ça se voit tout de suite.

L’heure du dîner arriva enfin. La totalité des étudiants de l’école s’était entassée dans la grande salle voisine à la salle à manger. Ces images rappelèrent à Bastien le repas de Noël. Cependant, contrairement à la semaine passée, le couple n’était pas en compagnie de Mylène et Romaric. Non pas parce qu’ils n’en avaient pas eu envie, mais parce que la cohue les avait sauvagement séparés. Mais ils se retrouvèrent rapidement lorsque les portes menant au réfectoire s’ouvrirent ; l’armée de ventres affamés se mit en marche afin que chacun pût gagner sa place. À l’instar du repas de Noël, la salle à manger avait été décorée dans la journée. Les guirlandes avaient été remplacées par des fanions et des banderoles « Bonne Année » de différentes couleurs. Le sapin avait disparu, mais les bougies, réparties sur les tables, étaient de nouveau de la partie. Les chaises avaient été recouvertes de housses blanches, et les tables de nappes blanches en une étrange matière hydrofuge, très pratique lorsqu’il fallait éviter de faire des taches. Les deux amants gagnèrent leurs places, puis le dîner se déroula de la même manière que durant leur dernière fête.  

    

    Après un dîner des plus raffinés, les étudiants furent invités à quitter la grande salle à manger afin que la salle de balle pût être préparée. Certains chuchotèrent que le proviseur aurait pu utiliser une autre salle plutôt que de les jeter hors de la pièce, mais la même remarque leur était toujours adressée : la salle à manger était la seule pièce de l’établissement disposant de suffisamment d’espace afin que tout un chacun pût s’y amuser.

— Plutôt que de vous lamenter, s’écria quelqu’un parmi la masse d’étudiants, allez plutôt vous préparer.

Bien que Bastien ne reconnût pas la personne qui venait de s’exclamer, il ne lui donnait pas tort. Le bal était le seul moment de l’année où les étudiants étaient autorisés à porter des vêtements, il était donc hors de question de ne pas en profiter. Ils ignoraient le temps nécessaire afin de préparer la salle, alors autant ne pas attendre bêtement devant la porte. Finalement, les étudiants se dispatchèrent à travers l’école en direction de leurs dortoirs respectifs. Alice et Bastien suivirent quelques étudiants de seconde année qui s’étaient rapidement élancés dans les escaliers de marbre.

    Dans leurs dortoirs, Bastien et Alice enfilèrent leurs tenues de bal. La robe que portait Alice, offerte par sa mère pour Noël, était d’un rouge flamboyant qui réchauffait les iris. Pailletée sur une grande partie de l’avant du vêtement, la lumière des lustres miroitait à travers la pièce. Une échancrure laissait respirer les jambes lisses de la jeune femme. Des chaussures à talons, de la même couleur que la robe, lui maintenaient les pieds. Pour l’occasion, Alice décida d’attacher ses cheveux en une natte formant comme une couronne blonde sur sa tête. Bastien, quant à lui, avait enfilé le costume que lui avait offert la mère de sa petite-amie. La veste et le pantalon, totalement noirs et striés dans le sens de la hauteur, recouvraient désormais son corps autrefois nu. Un col blanc lui serrait le cou, et un nud papillon noir le décorait. Il ajouta à sa tenue une paire neuve de chaussures noires. Afin de se garder la surprise, les hommes avaient décidé de laisser les femmes se changer dans la pièce voisine. Chacune d’elle sortit à tour de rôle, chaudement accueilli par son partenaire masculin. Lorsque ce fut le tour d’Alice, Bastien sentit, en voyant sa dulcinée dans une telle robe, une douce chaleur naître dans son cur, puis elle se répandit dans le reste de son corps.  

— Tu es magnifique, parvint-il à articuler en lui offrant son bras.

Alice sourit et enroula son bras nu autour de celui recouvert de tissu noir de son petit-ami. Ils descendirent de cette manière les escaliers de l’école avant de retrouver les autres étudiants qui étaient déjà parés.

     La décoration de la salle à manger, aménagée pour l’occasion en salle de danse, n’avait pas été retouchée. Seules des enceintes, une boule grise à facettes et un ordinateur portable avaient été ajoutés afin de profiter un maximum de ce qui allait suivre. Le bal, que l’on pourrait plutôt qualifier de soirée dansante, se déroulait à merveille. La majorité des étudiants se déhanchait sur la piste sous des airs de Claude François, des Village People, d’Indochine et de bien d’autres artistes. La folie avait atteint des sommets lors de la chanson des sardines, de Patrick Sebastien, pendant laquelle la totalité des étudiants s’était amusé à danser ensemble en mimant des sardines prises au piège dans leurs boîtes. Le même phénomène avait pu être observé durant la chanson « Les Pouces en avant ». Puis, lorsque vint le tour de Francky Vincent, la petite-amie de Bastien fut hautement sollicitée lorsque les paroles « Alice, ça glisse, au pays des merveilles » résonnèrent dans la vaste salle. Cependant, la jeune femme, vraisemblablement habituée à ce phénomène, criait les paroles en même temps que les autres. Puis vinrent la Macarena et le Madison. Les étudiants s’amusèrent  également sur « Highway to Hell »  de AC/DC. Cependant, ce que Bastien retiendra probablement le mieux fut les slows. Son corps collé à celui de sa petite-amie, il se laissa aller tandis que leurs corps se mouvaient en harmonie au rythme de la mélodie. Il appréciait le contact indirect de leurs peaux, cela l’émoustillait peut-être davantage que lorsqu’il la voyait nue. Paradoxal, pensa-t-il. Cette délicieuse soirée se poursuivit ainsi pendant de nombreuses heures jusqu’à ce que la fatigue se fît sentir. De nombreux étudiants avaient décidé de monter se coucher, dont Stéphane et Véronica. Rachel et son partenaire ne restèrent pas beaucoup plus longtemps que les deux précédents. Ils virent enfin Louis et Louise, les deux étudiants de première année, se diriger vers la sortie de la salle. Seulement, lorsqu’Alice remarqua que la jeune étudiante semblait vraiment mal en point, elle le fit remarquer à son petit-ami avant de rejoindre le jeune couple.

— Ça ne va pas ? demanda Alice.

Louise, soutenue par Louis, se tenait douloureusement le ventre. L’obscurité de la pièce, malgré les quelques projecteurs diffusant diverses taches colorées mouvantes sur les murs et le plafond, ne permettait pas de voir le visage de l’étudiante, mais Bastien se doutait qu’elle devait être pâle.

— Il faut qu’elle aille se coucher, conseilla Alice. Si elle reste, son état risque de s’aggraver.

Les deux amants accompagnèrent donc leurs deux cadets jusqu’aux dortoirs des première année. Puis, jugeant qu’elle était trop épuisée pour poursuivre la soirée, elle proposa à Bastien d’aller se coucher. Le jeune homme acquiesça, puis ils se dirigèrent vers leurs dortoirs.

    Le lendemain matin, après le petit-déjeuner, Alice décida de rendre visite à Louis et Louise afin de prendre des nouvelles de cette dernière. D’autres étudiants de première année leur apprirent qu’ils s’étaient rendus à l’infirmerie ; Louise avait vomi trois fois la nuit passée. Alice, dont l’inquiétude ne faisait que s’accroître, se hâta de rejoindre la salle occupée par madame Poirfresh, l’infirmière de l’école. Ils y découvrirent Louis, posté devant la porte.

— Qu’est-ce qu’elle a ? l’agressa presque la jeune femme.

Louis les regarda avec un regard à la fois bouleversé et perdu. Il parvint tout de même à leur répondre :

— Elle est enceinte.

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