Il est 18h37. J’ai enfin fini de travailler. J’éteint l’ordinateur et je me lève de ma chaise. Je vais dans la cuisine, je croise mon petit ami qui lui est rentré à 18h de son travail.
— Coucou, je ne t’ai pas vu rentrer, désolée. J’ai enfin fini.
Il me regarde, les yeux brillants :
— J’ai un petit cadeau pour toi …
— Un cadeau ?
— Tu le veux ?
— Euh oui, c’est quoi ?
Il sourit mystérieusement.
— C’est une surprise … Si tu le veux, mets toi là, met les mains dans ton dos et fermes les yeux.
Il me montre le milieu du salon.
Je m’exécute, lentement, intriguée. Je me met au milieu du salon, les mains dans le dos et je ferme les yeux.
— Si tu ouvres les yeux, je ne te donne pas le cadeau ok ?
— Ok, ok …
Je me concentre pour rester les yeux fermés. Je reste comme ça pendant ce qui me semble être plusieurs minutes. Puis je le sens s’approcher de moi.
— Ne bouges pas. Me murmure-t’il.
Je frissone un peu, j’ai peur, mais je commence à être excitée, j’aime beaucoup.
Il est derrière moi. Il me passe quelque chose autour du cou, ça me serre un peu, et puis j’entend un clac. Il m’a mis un collier, et il l’a vérouillé par un cadenas, je ne peux pas me l’enlever.
— Tu peux ouvrir les yeux.
Je les rouvre, et je le vois devant moi, il a une clef dans la paume de sa main, celle du collier.
— Si tu acceptes mon cadeau, tu acceptes de m’obéïr au doigt et à l’oeil toute la soirée, alors mets toi à genoux, les jambes écartées, la tête baissée, et les mains dans le dos …
Il fait une courte pause.
— Sinon, prends la clef et enlèves ton collier, on fera comme si rien ne s’était passé.
Il ne bouge pas. Il a la main tendue avec la clef à l’ntérieur. J’ai vraiment peur, mais je suis aussi vraiment très excitée. C’est, et ça a toujours été mon fantasme, et il m’offre une et une seule chance de l’assouvir.
Je peux très bien fuir, comme je l’ai toujours fait, et on en reparlera plus jamais.
Ou alors, je peux me laisser aller pour une fois, me mettre entre ses mains. Je lui fait confiance de toute façons … Et j’en ai envie. Qu’est-ce que je peux perdre ?
Je continue de réfléchir,il ne bouge pas d’un pouce. Je sais pourtant qu’il n’aime pas trop attendre. Il me laisse le temps d’y réfléchir.
Lentement, et pleine d’hésitation, je me met à genoux.
J’écarte les jambes, je baisse la tête, je regarde ses pieds, et je garde les mains dans le dos.
Aussitôt, il m’ébouriffe les cheveux.
— C’est bien, je suis fier de toi. Tu es ma soumise pour ce soir, et plus peut être, on verra … Tu sais ce que ça implique ? Tu m’obéïs, me vouvoies, et tu m’appelles Maître. C’est bien compris ?
— Oui … Maître.
Oui, je sais ce que ça implique, je l’ai toujours rêvé, je l’ai toujours voulu.
— Je vais aller chercher des choses dans le garage. A mon retour, je veux que tu sois entièrement nue, dans cette position, tes affaires parfaitement pliées et posées sur le canapé.
— Oui Maître !
Il ouvre la porte et sort pour aller dans le garage. Aussitôt, je me relève et je me déshabille en vitesse, il risque de ne pas tarder, et je dois tout finir avant qu’il revienne.
Je suis nue, et je commence à ranger mes affaires que déjà, la porte s’ouvre, et il revient, avec un carton dans les bras.
Il me regarde. Je continue de ranger mes affaires en tremblant.
— T’es même pas capable de te foutre à poil et de ranger tes fringues ?
Il parle volontaire vulgairement, et ça m’excite encore plus.
— Pardon Maître … Mais je n’ai pas eu le temps de …
— La ferme.
Même s’il n’a pas crié, je me tais aussitôt.
Il soupire.
— Mets toi dans ta position de soumise.
Il me montre l’endroit où je me suis mise à genoux il y a quelques instants. Sans finir de plier mes affaires, je me remet à genoux, dans la position ou j’étais.
Il pose le carton sur la table.
— Qu’est-ce que je vais faire de toi …
Il soupire encore.
— Où est ton portable ?
— Dans la poche de mon pantalon Maître.
Je l’entend fouiller mon pantalon. Puis il s’assied sur le canapé et il reste comme ça quelques minutes. Il doit surement regarder mon téléphone. Le savoir fouiller dans mes affaires comme ça m’excite vraiment énormément.
Il se relève, et me tourne autour. J’entend des "Clic" … C’est l’appareil photo de mon portable. Il me prend en photo.
— Ça te fera des souvenirs !
Je suis très excitée par ces photos. Et je suis aussi soulagée qu’il le fasse avec mon téléphone. Je pourrais les supprimer plus tard si je veux.
Il fouille dans le carton et il accroche quelque chose à mon collier. Une laisse.
Il sait vraiment comment m’exciter.
Il tire un peu sur la laisse, ce qui me fait me mettre à quatre pattes, puis il me promène un peu comme ça, il s’emble y prendre beaucoup de plaisir. Mais pas autant que moi.
Il s’assied finalement sur le canapé, et il me laisse à ses pieds.
— Bon. Fini de plaisanter. T’as pas obéIs à temps. Viens sur mes genoux.
Je le regarde, un peu craintive, puis je me lève et je me couche sur mes genoux. Comme une écolière qui va recevoir une fessée. J’ai deviné juste. Il va me mettre une fessée.
Il attrape quelque chose dans le carton, et avec il me met un coup sur les fesses. Ca me fait un peu sursauter. Il me met une fessée avec une règle.
Les coups sont douloureux, mais pas violents. Ils ne sont pas non plus trop faibles.
Le bruit de ma fessée résonne dans tout la pièce, et à chaque coup, mes fesses me piquent un peu plus. Il alterne ses coups sur chacune des fesses.
Satisfait de lui, il s’arrête, me caresse un peu les fesses.
— Par terre, à quatre pattes, et le cul bien en l’air que je l’admire.
J’aime beaucoup quand il me parle comme ça. Dans la vie de tous les jours, je déteste le langage vulgaire, je hais les mots comme "Bouffer", "Cul", "A poil", "Branler", mais là, j’adore quand il les utilise.
Je me met à quatre pattes, et je lève mes fesses aussi haut que je peux.
J’entend des bruits derrière moi, mais je ne sais pas trop ce que c’est. Il se caresse peut être …
Puis au bout d’un moment, j’entend un autre "Clic" de l’appareil photo.
— Tu te souviendras de ta punition comme ça !
Encore du plaisir. Je crois que s’il commence à me caresser, je jouis dans la minute qui suit.
J’ai très envie de me toucher, mais je sais qu’il ne me le permettra pas.
Il se relève, attrappe ma laisse et me promène jusqu’à la cuisine.
— Bon, j’ai faim moi.
Il commence à sortir une assiette, puis il me regarde.
— Ah oui, j’ai failli t’oublier toi.
Il sort alors deux bols, il rempli l’un d’eau, le pose par terre, juste devant moi, et dans l’autre il met quelques pates qu’il a préparé.
— Ne bouges pas !
Il attache ma laisse a un pied de table.
Il sort de la cuisine alors que je reste immobile, puis il revient quelques secondes plus tard.
— Tes mains dans ton dos.
Je m’exécute, et il m’attache les mains dans le dos avec une corde.
Être entravée comme ça est vraiment plaisant. Je tire un peu sur la laisse juste pour sentir le collier sur mon cou. Je fais pareil avec les liens sur mes poignets. Ils sont bien fait, je ne pourrait pas me dégager.
Il me regarde.
— Bon appétit petite chienne.
— Merci Maître. Bon appétit à vous aussi.
Rectification. Je crois que je vais jouir sans même qu’il ne me touche.
Je me met à manger, chose très difficile dans la position d’un chien.
De temps en temps, j’entend un clic de l’appareil photo. Il prend vraiment beaucoup de plaisir à m’immortaliser humiliée comme ça. Il me tarde vraiment de voir ces photos.
Il finit de manger bien avant moi. Il détache ma laisse du pied de la table puis il retourne sur le canapé. Au bout d’un petit moment :
— Bon, j’en ai marre de t’attendre. Au pied, et tu restes à genoux.
Tant bien que mal, je me dirige vers lui à genoux. Je le vois sortir mon téléphone de sa poche. Il le pointe vers moi et "Clic!" une autre photo. Il la regarde longuement, il l’apprécie.
J’arrive à ses pieds. Il se relève un peu, baisse son pantalon, son caleçon, et se rassied. Je regarde son sexe, et je sais ce qu’il veut que je fasse.
Il me prend la tête de ses deux mains et la place entre ses jambes. J’ai toujours voulu essayer ça, mais je ne lui en ai jamais parlé, de peur que ça le dégoute ou autre chose.
Lentement, timidement, je commence à lécher son sexe. Mais sans mes mains, je n’arrive pas à bien faire.
Il attrappe son sexe, et le présente devant ma bouche.
J’ouvre ma bouche, et je commence à le sucer. Lui me caresse les cheveux. C’est la première fois que je fais ça, je ne dois pas être très douée.
Au bout d’un moment, il aggripe ma tête, et il me force à faire des va-et-vien avec. Il utilise ma bouche comme un objet, comme un sextoy. La situation à changé, je ne suis plus en train de le sucer, il est est en train de baiser ma bouche.
A un moment, il lache ma tête, mais je continue le mouvement. J’entend un nouveau "Click". Puis il reprend ma tête.
Il continue comme ça un petit moment, puis je sens son sexe se contracter. J’espère qu’il ne va pas le sortir de ma bouche pour éjaculer dehors. Ça voudrait dire qu’il veut me ménager, et il perdrait sa crédibilité en tant que Maître.
Mais il ne le fais pas, il jouit directement dans ma bouche, avec un râle de plaisir.
Je jouis aussi. Je suis son objet. Et j’adore ça.
— Tu avales tout, et tu nettoies ma bite.
J’avale tout avec plaisir, et je passe des coups de langues sur son sexe pour le nettoyer.
Il reste affalé sur le canapé pendant plusieurs minutes. Moi, je reste à ses pieds, un peu frustrée de ne pas pouvoir passer ma main sur mon sexe pour me donner encore plus de plaisir.
Il se relève, se rhabille et me promène jusqu’au milieu du salon ou il me détache les mains.
— Bon, je vais te mettre ta robe pour la soirée.
— Maître … ?
— Mmmh ?
— Il faut que j’aille aux toilettes…
— Ah …
Il réfléchit une seconde.
— Tu as déjà vu une chienne aller aux toilettes. ? … Je te donne le choix, tu fais tes besoins dehors dans le jardin, ou dans la baignoire de la salle de bain.
Dehors. Je veux aller dehors. Je veux qu’il me promène, qu’il m’amène près d’un arbre, et que je continue mon rôle de chienne.
Mais s’il me laisse le choix, c’est qu’il ne veut pas que j’aille dehors. Il ne veut pas m’infliger ça. Je suis déçue. Il n’aurait pas du me donner le choix.
— Dans la baignoire Maître …
— Je le savais …
Il m’entraînne jusqu’à la salle de bain. Je suis toujours à quatre pattes.
Je monte dans la baignoire et je commence à m’accroupir pour faire pipi.
— Hé ! Tu fais quoi là ? Tu pisses comme une chienne. tu lèves la jambe et tu pisses.
Il ne m’aura pas déçu longtemps, il s’est rattrappé.
— Oui Maître …
Je lève la jambe qui est en face de lui. Il s’accroupis pour mieux me regarder. Encore une humiliation, et encore énormément de plaisir.
Être comme ça me gêne beaucoup, et j’ai du mal à faire pipi, mais il ne perd pas patience. Finalement, je commence à uriner.
J’entend plusieurs "clic" de l’appareil photo.
Il a eu une merveilleuse idée de prendre ces photos.
Une fois que j’ai fini, il prend le pommeau de douche et il commence à me laver rapidement, l’eau est tiède. Il me sèche puis il me fait retourner dans le salon.
— Bon, on en était où ? ah oui, ta robe.
Il me fait me relever, mettre les bras à l’horizontale et écarter les jambes. Puis il m’ordonne de ne plus bouger.
Il sort plusieurs cordes du carton et il commence à m’attacher avec. Je ne sais pas vraiment comment il se débrouille, mais la corde passe sur mon sexe, dans mes fesses, elle me maintient les bras dans le dos et entoure ma poitrine.
Il serre le tout, de sorte que la corde rentre un peu dans mon sexe, fasse ressortir ma poitrine, et surtout que je sente bien les liens sur mon corps.
Une fois fini, il se recule, il semble satisfait de lui. Encore, il fait plusieurs photos de moi, sous tous les angles.
— Tu devrais porter cette robe plus souvent, elle te va parfaitement.
Je rougis. J’aimerais la porter plus souvent, oui. Je ne peux bouger que les jambes et les pieds. Le reste de mon corps est bien ficellé, impossible de faire le moindre mouvement avec mes bras. Je me demande où il a appris à attacher quelqu’un comme ça.
Mais il ne me laisse pas le temps de réfléchir.
Il tire la laisse pour que je le suive. J’adore la sensation de la laisse qui tire le colier qui tire mon cou. Mais je ne peux pas le laisser me trainer non plus.
Je le suit docilement jusqu’à la chambre.
Il m’ammène jusqu’au bord du lit et m’y pousse dessus. Je bascule sur le dos, dans le lit.
Il me place au milieu du lit, attache ma laisse sur les barreau du lit, puis il me force à écarter les jambes, et il les attaches aux barreaux du bas.
Ça y est, je suis nue et complètement immobilisée, les jambes écartées le sexe à l’air devant un homme. Mon fantasme est devenu réalité. Il prend encore des photos, puis il se déshabille.
Il va me faire l’amour, enfin non, il va me baiser.
Il monte sur le lit, se place au dessus de moi, il amène son sexe devant le mien, et sans avertissement, il me pénètre.
Je ne peux m’empêcher de laisser sortir un gémissement de plaisir.
Il empoigne un de mes sein qui ressort grace aux liens, et le malaxe sans trop de retenue tandis qu’il commence à faire des va-et-viens avec son bassin.
Il ne me ménage pas, et c’est ce qui m’excite le plus. Je perds toute inhibition, et je commence à gémir assez bruyamment. Je jouis une première fois. Il s’en apperçois et il continue de plus belle.
— T’as l’air d’aimer ça salope !
— O… Oui Maître … ! J’adore !
Il continue, satisfait de lui, et je jouis une nouvelle fois.
Je sens qu’il arrive à sa limite, déjà. Il se contracte, voulant se retenir un maximum, mais quelques secondes après je sens son sperme chaud se déverser en moi.
Il reste comme ça quelques secondes. Puis il se retire, et place son sexe devant ma bouche.
— Nettoies.
J’ouvre la bouche, et il avance son sexe, que je lèche une nouvelle fois avec plaisir.
Puis il se retire, se relève et prend de nouvelles photos.
— Tu es magnifique comme ça ma chienne.
Il me laisse comme ça pendant qu’il va se laver. J’en veux plus, je suis déçue que ça se finisse si vite. Mais je me console en me disant que ce n’était qu’une première soirée. L’avenir m’en réservera beaucoup d’autres, j’en suis sure.