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Sous les blouses des collègues. – Chapitre 3




Salut, c’est votre folle de lycra.

J’étais vraiment en train de me délecter de l’entrejambe de ces deux femmes alors qu’Elodie, en plus de me caresser les épaules, s’amusait à me titiller la pointe des seins. Je crois que cette partie de broute minou était appelée à être mémorable, au fond de moi je me demandais si c’était la même chose tous les soirs, ou juste des séances pour faciliter mon intégration au sein du groupe. Toujours est-il que je me suis tellement bien appliquée que Coralie a fini par prendre son pied, sans gêne devant nous trois, et c’est Élodie qui s’est chargée de lui rouler une gamelle pour la faire taire. De mon côté, je suis restée imperturbable, j’ai continué à lui butiner sa friandise de longues minutes jusqu’à ce que je me rende compte que cela devenait insupportable pour elle. Une fois le cas Coralie terminé, je suis partie m’occuper de Samantha qui se trouvait juste à côté, là c’était vraiment un plaisir, car chaque coup de langue était payant au niveau réaction.

Alors que Coralie était plutôt brute de décoffrage, Samantha, c’était plutôt dans la finesse, la sensibilité et la douceur.

Bien que les deux femmes soient sans doute aussi propres l’une que l’autre, l’odeur de cyprine de Samantha était bien moins forte que sa collègue, qui était en train de se remettre de ses émotions. J’étais consciente que cela risquait d’être un peu plus long pour Samantha, mais c’était vraiment un plaisir que de s’attarder entre ses jambes. Ma langue adorait se faufiler entre ses lèvres intimes, je sentais nettement la cyprine couler entre ses jambes ; j’avais vraiment la sensation d’être face à une source. Après avoir repris ses esprits, Coralie s’est mise à caresser la poitrine de sa collègue dont je broutais le minou, et je pense que cela a été l’élément déclencheur qui a provoqué la jouissance de ma belle et douce collègue. J’étais un peu gênée pour Élodie, car personne ne s’était occupé d’elle, elle n’avait fait que tenir la chandelle, mais manifestement ce soir, elle n’était pas demandeuse.

Bon, mes chéries, il va falloir que l’on se quitte, nous sommes bien restées une bonne heure au vestiaire. Je suis sûre que tu vas bien t’amuser avec nous.

C’est sur ces mots que Coralie, qui prenait la parole facilement, nous a invitées à quitter la clinique pour que nous rentrions chacune chez nous. Bien évidemment, comme la fois dernière, il a fallu que j’aille me passer le visage de sous l’eau, car mine de rien, j’avais la nette sensation qu’il sentait très fort le minou. Comme la fois précédente, nous nous sommes embrassées toutes les quatre, les regards que nous échangions étaient très évocateurs, mais j’étais vraiment heureuse de ce que je venais de vivre. Pour marquer le coup, nous avons échangé nos culottes, il y avait un petit côté érotique qui me plaisait beaucoup. Nous avons pris l’escalier de service pour quitter la clinique afin de ne pas trop nous faire repérer, car je pense que cela aurait fait jaser que nous quittions l’étage si tard. Mes trois collègues étaient habillées de façon très désirable, alors que j’avais la sensation d’avoir une tenue peut-être un peu coincée par rapport à elles.

Mais en même temps, je pense que ces tenues étaient un peu à l’image des personnes, ceci dit, au rythme où je m’intégrais dans le groupe, il y avait de fortes chances à ce que je me mette à porter la même chose qu’elles.

De nouveau, ce soir-là, j’ai préféré aller traîner un peu dans l’hypermarché voisin, histoire de me calmer un peu avant de rentrer à la maison. Comme d’habitude, j’ai fait mon rapport journalier à mes parents, ils avaient l’air très heureux que tout se passe bien à mon boulot.

Je voulais te poser la question ma chérie, les médecins n’ont pas de gestes trop déplacés avec vous les infirmières. Tu sais, je suis un peu inquiète pour toi par rapport à ça, car on en parle beaucoup dans les journaux.

Ah ! Si ma mère savait ce qui se passe…

Ne t’inquiète pas maman, il n’y a que des infirmières et nous sommes très soudées, apparemment, les médecins sont obligés d’être corrects avec nous.

J’étais contente de moi, car par mes propos, j’avais réussi à rassurer ma mère. Finalement, je suis partie dans ma chambre et ai foncé sous la douche, à vrai dire je ne me sentais pas sale, mais j’avais surtout peur que mes parents sentent une odeur de minou sur moi. Pendant la douche et surtout après, je n’ai pas cessé de penser à ce que je venais de vivre, j’étais vraiment heureuse dans ce groupe.

Le lendemain, je suis arrivée au boulot et je me suis habillée comme on devait s’habiller à savoir nue sous ma blouse. Les collègues avaient l’air très heureuses que j’aie adopté leurs coutumes, c’est vrai que du coup, maintenant entre collègues, le moindre petit effleurement me faisait tremper l’entrejambe. Il fallait avoir l’il, pour discerner ces petits gestes entre collègues, qui ne nous laissaient pas indifférentes. Les jours, les semaines sont passés. Je m’étais faite à ce train-train quotidien où l’on ne regarde pas trop l’heure et nous sommes absorbées par le boulot. Compte tenu du fait que nous n’avions pour ainsi dire que des patientes, j’avais toujours peur que l’une d’entre elles voie que j’étais nue sous ma blouse. Un jour, Christiane m’a convoquée dans son bureau, j’étais un peu étonnée, car cela commençait à faire pas mal de temps que j’étais embauchée et tous les papiers étaient remplis.

Bonjour Sophie, je constate avec grand plaisir que tu t’es formidablement bien intégrée dans l’équipe. Tu as découvert les petits secrets de tes collègues et il m’a semblé comprendre que cela ne te déplaisait pas.

Voilà comment j’ai été accueillie par Christiane dans son bureau, elle ne pouvait pas être nue sous sa blouse, mais elle en avait quand même une. Par contre, je pouvais facilement discerner une magnifique robe en dessous, elle était fendue sur le côté. Elle m’a fait asseoir dans un fauteuil en cuir très confortable, face au bureau, elle est restée debout à causer, en tournant autour de moi et de son bureau. Elle a fini par s’immobiliser derrière moi, mais je n’avais pas besoin de la regarder, je l’écoutais. Quand elle a posé ses mains sur mes épaules et qu’elle a commencé à me les masser, j’ai trouvé ça très agréable d’autant qu’elle allait même me masser le cou. Avec la finesse du tissu de la blouse, j’avais pratiquement l’impression que ses mains étaient à même mon corps. Pendant quinze bonnes minutes, elle s’est occupée de moi avec beaucoup de douceur, à tel point que cela me faisait des frissons partout dans le corps.

En même temps, j’étais en train de réaliser que c’était une des seules collègues qui ne m’avait pas touchée. Comme un fait exprès, pendant que je pensais à cela, les mains de Christiane sont descendues sur ma poitrine.

Je vais vous avouer que depuis quelques minutes je n’écoutais plus ma supérieure, mais je ne faisais que l’entendre et surtout je savourais ses mains qui se promenaient partout, sur le haut de mon corps.

Tes collègues m’ont dit que tu avais un corps magnifique et aussi très réceptif, de plus, j’ai appris que tu étais très entreprenante.

Pendant que Christiane était en train de me parler, elle était en train de me titiller la pointe des seins, mais maintenant je l’écoutais de nouveau. Par sa grande beauté et surtout son âge, Christiane m’impressionnait et je prenais grand plaisir à me laisser faire. Je constatais aussi que les informations circulaient entre femmes à cet étage, cela ne me dérangeait pas, compte tenu du fait que je prenais maintenant grand plaisir à me laisser caresser par une femme. Christiane était en train de me faire mouiller abondamment, je réalisais qu’à ce rythme, j’allais laisser une grosse trace sur le cuir de son fauteuil. Maintenant, mon corps était en train d’ onduler sur ses caresses qui me faisaient de plus en plus d’effet.

Christiane, je vais t’avouer que j’adore les massages que tu es en train de me prodiguer.

Christiane m’avait tellement bien mise à l’aise, que j’en arrivais à me confesser et lui parler librement. Je vais vous avouer que durant quelques instants, j’ai été gênée, quand elle a constaté que mes seins étaient à l’air libre, elle a dû se dire que je devais être aussi foufoune à l’air. Elle me massait, ou plutôt me caressait maintenant, toujours avec une grande douceur, de temps à autre, je la sentais se pencher sur moi, car elle écrasait un peu mes cheveux. Manifestement, elle prenait confiance, car je la sentais désormais me faire des baisers dans les cheveux. Elle allait même jusqu’à s’aventurer à me déposer des baisers sur le front, toujours avec une grande douceur, elle me caressait l’intégralité du cou.

Lève-toi ma belle et viens t’appuyer sur mon bureau.

Alors qu’elle m’aidait à me lever en me tenant par les aisselles, je me suis redressée telle une automate et je me suis approchée du bureau comme elle me l’a demandé.

Je me retrouvais maintenant face au fauteuil où je suis restée assise un petit bout de temps, et effectivement, il y avait une belle tache de cyprine dessus. Christiane a souri quand elle a constaté la marque, puis s’est approchée de moi et nous nous sommes retrouvées face à face, à aucun moment elle n’a joué de son autorité quand elle est venue m’embrasser. Nous nous sommes mises à échanger un baiser tout naturellement, c’est même moi qui de mon bras droit, l’ai saisie par la taille pour la plaquer contre moi. Il n’y a pas à dire, Christiane était d’une grande douceur et pour cela, elle était vraiment irrésistible. Ses mains se sont positionnées dans mon dos, comme si elle aussi voulait me tenir. Ma supérieure s’est légèrement écartée de moi, sa main droite est partie se faufiler dans le bas de ma blouse, pour aller se mettre à me caresser ma toison intime.

Dès que ses doigts sont entrés en contact avec mes poils pubiens, cela a été plus fort que moi, je l’ai plaquée de nouveau contre moi, mais surtout mon baiser était devenu encore plus passionné. Depuis que j’étais entrée dans son bureau, je mourrais d’envie d’elle, nos regards se croisaient et il n’y avait pas une trace d’obscénités, mais que du désir.

Tes collègues m’ont dit que tu avais un minou très soyeux et surtout succulent. Accepterais-tu que je te fasse une petite langue ?

C’était si gentiment demandé qu’en signe d’approbation, j’ai fermé les yeux, elle a compris qu’elle pouvait glisser les doigts et plus encore, si elle le désirait. Toujours avec beaucoup de délicatesse, ses doigts qui étaient désormais humides de ma cyprine, sont partis à la découverte de mon intimité. Bien qu’elle soit vêtue d’une robe sous sa blouse, je pouvais aisément sentir la pointe de ses tétons érigés qui étaient presque en contact avec les miens. Pendant de longues minutes où j’aurais voulu que la trotteuse s’arrête, Christiane m’a fait vraiment beaucoup de bien, j’étais vraiment sous le charme de cette femme.

Est-ce que je peux descendre à la cave, venir te butiner la friandise ?

C’est sur ces mots que Christiane était en train de s’installer confortablement dans le fauteuil qu’elle avait rapproché de moi, elle savait que je ne dirais rien, elle devait même se douter que je n’attendais que ça. Elle a déboutonné le bas de ma blouse, puis en a écarté les pans, elle avait une vue imprenable sur mon intimité qui brillait de désir et sentait le plaisir.

Elle a écarté au maximum mes cuisses puis a posé mes pieds sur les accoudoirs de son fauteuil. Quand j’ai senti ses mains douces et chaudes se poser au milieu de mes cuisses, cela m’a fait un frisson à travers le corps. J’ai baissé les yeux et j’ai croisé son regard qui était plein de douceur, j’avais l’impression qu’elle était en train de m’admirer, je me sentais un chef-d’uvre à ses yeux. Ses mains, qui maintenant étaient en train de me caresser l’intérieur des cuisses, étaient surtout en train de me chauffer l’intérieur de mon entrejambe. Ses doigts remontaient jusqu’à effleurer ma toison pubienne et redescendaient pratiquement jusqu’aux genoux, j’avais l’impression qu’ils se promenaient, mais je savais qu’elle était en train de m’exciter.

J’adore l’odeur de ton minou et la douceur de ta peau, ma chérie. Tes collègues m’ont dit que tu avais un corps de rêve, mais maintenant que je me retrouve en face, jamais je n’aurais cru qu’il l’était à ce point. Ton corps appelle les caresses, les baisers et l’amour.

Christiane a fini par se taire, car elle était en train de descendre à la cave, elle a pris tout son temps, j’avais l’impression qu’elle voulait faire durer le plaisir ; mais surtout le désir de ma part. Finalement, j’ai commencé à sentir son souffle chaud sur ma toison humide, je savais que pour l’instant, sa langue n’était pas en contact, juste sa respiration, mais même cela, ça me faisait de l’effet. Finalement, sa langue a fini par se faufiler un petit passage à travers mes poils, pour accéder directement à mon clito. J’ai fermé les yeux, mais je pense surtout qu’elle m’a entendue soupirer, car j’attendais ce moment depuis maintenant très longtemps. Elle s’est attardée un long moment sur mon petit appendice si sensible, elle me faisait tellement de bien que j’avais envie de serrer mes cuisses, mais ses mains me les tenaient fermement écartées. Je pense qu’elle était consciente qu’elle me faisait un bien monstre, et elle insistait à cet endroit comme un fait exprès.

Avec sa bouche, elle aspirait mon clito, et avec sa langue elle en chatouillait l’extrémité. Je pense qu’une femme normalement constituée se serait mise à crier depuis bien longtemps, mais je savais que si je faisais ça, le service allait venir voir ce qui se passait dans le bureau de Christiane.

Ma supérieure a fini par abandonner mon petit bouton de plaisir, pour descendre jusqu’à mon vagin où là, une véritable source de cyprine coulait à flots. Quand j’ai vu le temps qu’elle a passé à cet endroit, j’ai réalisé qu’elle ne voulait pas gaspiller une seule goutte de mon nectar féminin. Je pense qu’elle était carrément en train de me faire ma toilette intime, vous avouerez que ce n’est pas commun de la part de votre supérieure. J’essayais désormais de m’allonger sur son bureau, pour lui faciliter l’accès le plus loin possible en moi. Pour une question d’équilibre, je n’ai pas pu faire ça en une seule fois, c’est ainsi que mes mains se sont posées à des endroits que je ne voyais pas, j’ai senti que c’était des feuilles. Je me suis arrangée a éloigner les feuilles, pour poser mes mains à même le bois de son bureau. La position était désormais sûre, cela me donnait une étape intermédiaire avant de pouvoir m’allonger.

Cette position avait le mérite de me faire aussi travailler ma souplesse, Christiane avait maintenant la possibilité de promener sa langue jusqu’à mon petit trou, et elle ne s’en privait pas.

La façon dont elle était en train de déposer de la salive sur mon petit trou laissait supposer qu’elle allait y glisser un doigt ou deux voire plus. Quand sa langue s’égarait sur mon anneau rectal, je sentais la pointe de son nez légèrement enfoui dans mon vagin. Je découvrais ainsi une utilisation inattendue d’un nez. Comme je le soupçonnais voilà quelques instants, une de ses mains quittait une cuisse, quelques instants plus tard, je sentais ses doigts s’attarder sur mon rectum. Je vais vous avouer que je m’y attendais, mais depuis quelques minutes, je désirais ses doigts indiscrets. Subitement, Christiane s’est relevée, puis est venue s’allonger sur moi, pour m’embrasser, par contre le doigt qu’elle avait glissé dans mon petit trou elle l’y a laissé, c’était vraiment très agréable. Quand sa bouche s’est ouverte, après je fis de même, je la désirais, je voulais retrouver sa langue et surtout la saveur de ses lèvres contre les miennes.

Son regard s’approchait de moi très rapidement, et ses lèvres humides se soudaient aux miennes, un long baiser venait de commencer. Pendant que nous nous bécotions, Christiane ne perdait pas son temps, elle alternait pénétration entre mon vagin et mon petit trou.

Il était évident que ses passages dans mon vagin lui servaient à se lubrifier les doigts. Je sentais aussi qu’elle rentrait ses doigts de plus en plus profondément en moi, manifestement, il y en avait trois. Sa deuxième main avait libéré ma cuisse, pour venir me caresser la poitrine, au rythme où elle allait, Christiane allait me faire jouir dans peu de temps. Instinctivement, mes jambes avaient entouré sa taille, la manuvre n’a pas été aisée de ma part, mais finalement mes mains se sont accrochées autour de son cou, puis elle s’est légèrement redressée. M’a fallu quelques instants pour comprendre comment elle avait positionné sa main entre mes jambes, mais j’ai compris que l’annulaire, le majeur et l’index étaient dans mon petit trou, mais le pouce était dans mon vagin. Christiane est arrivée à ses fins, elle était en train de me faire jouir, mes soupirs, mes cris étaient absorbés par sa langue et sa bouche.

Avec mes jambes je la serrai quelque peu, mais surtout je la plaquais contre moi, en même temps, je réalisai que sa blouse allait être pleine de mouille.

Nous nous tenions dans les bras comme un couple hétéro après l’amour, j’étais vraiment heureuse de la jouissance que venait de m’offrir Christiane. Nous sommes restées quelques instants ainsi enclavées, le silence n’était que dans son bureau, tout autour, on entendait la clinique s’animer. Tout d’un coup, le silence a été interrompu par une personne qui frappait à la porte du bureau de ma partenaire. J’étais tétanisée par la peur de me faire surprendre dans une telle position avec ma supérieure. J’ai eu l’impression que le monde s’écroulait autour de moi quand Christiane a répondu.

Entrez.

C’est bon, je suis sûr que vous êtes prêts pour le chapitre numéro quatre… En espérant que celui-ci vous ait plu.

Bisous à vous.

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