Bonjour,
Comme jai pu le dire dans ma présentation, dès ma plus jeune adolescence jai été très attiré par la lingerie féminine aussi jai fouillé dès que je lai pu chez les mères des copains, les amies de me ma mère, ma tante chez qui jallais à chaque vacance. De plus ma mère était concierge à Paris et elle possédait beaucoup de doubles de clés des appartements de limmeuble ce qui faisait que souvent jallais faire un tour chez les locataires pour mes explorations.
Ma première histoire se passe alors que javais environ 13 ans. Une locataire mariée d’environ 35 ans venait davoir une petite fille et elle me proposait de faire parfois du baby-sitting quand elle devait sabsenter. Cette femme ne travaillait pas et pensait que je devais être en contact fréquent avec sa fille afin quelle me connaissance bien pour ne pas être effrayée quand elle était seule avec moi. Ceci a fait que jai été très souvent chez cette femme même quand elle était là, je faisais par exemple mes devoirs chez elle et au fil des jours il sest créé une certaine complicité.
Bien évidement quand elle sortait je regardais dans ses tiroirs et ses dessous navaient pas de secret pour moi.
Parfois le mercredi matin elle était encore en chemise de nuit et mattendait ainsi comme cela elle pouvait prendre tranquillement son bain pendant que je surveillais sa fille. Jétais toujours ému de la savoir nue dans son bain alors que jétais dans la pièce à côté delle.
Un jour elle me demanda de laider à ranger ses diapositives car elle en avait beaucoup de déclassées. Je laide donc en sortant les diapos des diverses boites en les regardant une à une et en lui tendant ensuite lui disant ce que cest pour quelle les range dans des boitiers différents. A un moment je tombe sur une diapo delle entièrement nue, je lui tends gêné en lui disant ce que je viens de voir, elle me répond « ah oui je les cherchais lautre jour, tu vois je fais bien de les classer, que toi tu tombes dessus cela ne me gêne pas, mais dautres personnes cela maurai gênée » Jai encore cette phrase en mémoire, je venais de la voir nue en photo et elle venait de me dire que cela ne lui faisait rien ! Je lui demandais si je continuais elle me répondit que oui naturellement, je trouvais encore une bonne dizaine de photos delle ainsi. Je lui avouais que je la trouvais très belle, elle me remercia et me dit quune de ses amies avait fait aussi des photos mais en gardant sa culotte et quelle trouvait moins joli. Je lui avouais alors mon goût pour la lingerie, elle me demanda quel style jaimais et où jen avais vu. Je lui répondis que je trainais souvent dans les rayons des grands magasins et lui décrivis 2 ou 3 modèles dont une culotte ressemblant à une des siennes. Elle éclatât de rire en sortant cette culotte et me disant « tu veux dire une comme cela ? »
A partir de ce jour nos relations ont changé, ses affaires trainaient maintenant et je navais plus besoin de fouiller pour voir ses culottes, mais hélas jamais sur elle. Elle mettait toujours ses dessous dans sa salle de bains puis allait shabiller dans sa chambre en prenant soin de remettre son peignoir. Un jour elle ma appelé dans la salle de bains, elle était sous la mousse et me dit : « Pierre, jai oublié de prendre des dessous tu veux bien men apporter stp ? » Je suis donc allé dans sa chambre et jai choisis pour elle les dessous quelle a ensuite portés dans la journée. Un peu plus tard, je lui ai avoué avoir adoré cela et ensuite les mercredis cest moi qui choisissais ses dessous mais sans jamais la voir avec.
A un retour de vacances, elle était moins radieuse quen temps normal, elle ma dit que son mari était muté et quils déménageaient à la fin du mois, jai cru pleurer. La semaine suivante était notre dernier mercredi, jai choisis ses dessous les plus transparents pour savoir ce quelle portait en ce triste jour, elle est sortie de sa salle de bains sans son peignoir cétait son cadeau dadieu.
