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Secrets du perche – Chapitre 2




 

Salut c’est votre folle de lycra

Il commençait à être tard à cette fête de village et je venais de nettoyer le minou d’Élodie sur les consignes de son amie Sophie. Je suis parti me passer la tête sous l’eau aux toilettes, histoire de ne pas dégager une odeur de minou partout dans la salle des fêtes. J’étais là errant parmi tous les habitants qui festoyaient et moi la tête à ce que je venais de vivre. Je ne vais pas dire que j’étais sous le choc mais encore tout excité plutôt, Sophie était une sacrée dominatrice et ce n’était pas pour me déplaire. Ce soir quand j’allais me coucher, j’espère que ma femme n’y verrait rien; j’en étais à espérer que Sophie ne me pique pas trop de caleçons, sinon ça allait commencer à se voir. Il allait aussi falloir que je trouve une cachette pour les culottes car je commençais à me monter un petit stock secret. Nous avons eu droit vers minuit à un petit feu d’artifice qui clôturait la soirée. Je suis resté encore à côté de l’orchestre car j’aime toujours la musique, qu’elle vienne d’un DJ ou d’un orchestre.

Vers 2h du mat’, tout le monde était presque rentré; j’ai filé un coup de main pour ranger les tables et les chaises puis je suis rentré moi aussi dans ma modeste demeure. Quand je suis rentré ma femme dormait déjà et je suis allé droit aux toilettes pour me débarrasser de ma culotte qui sentait quand même fort la femme, je me suis rendue ensuite à la douche pour me défaire de toutes ces odeurs féminines. En fait pour ne pas que les odeurs féminines ne se propageassent, je stockais les culottes dans un bocal. Quand je suis me suis couché au côté de ma femme ma tête était ailleurs je pensais à ces sensations que je ressentais quand je m’occupais de l’abricot de Sophie ou d’Élodie. À vrai dire ma femme n’était pas vraiment portée sur le sexe; bien que les fois où nous faisions des choses, il nous arrivait d’aller très loin.

Sophie avait un rapport avec moi méprisant, humiliant; je ne sais pas pourquoi cela me plaisait, j’aimais son côté autoritaire et dominatrice. Ce soir-là je me suis endormi collé à ma femme dans son dos avec une énorme érection; ma femme était vraiment très belle et désirable. Tout me faisait craquer en ma femme, sa douceur, son courage, sa volonté, la beauté de ses idéaux, sa gentillesse. Bref j’étais très amoureux de ma femme. Je souhaite de tout mon cur à tous les hommes d’avoir une femme comme la mienne. Malgré tout cela, Sophie avait réveillé quelque chose en moi d’inavouable; la soumission pour moi, la domination pour elle. J’adorais la façon dont elle m’avait traité à ces deux reprises. J’étais pressé qu’une nouvelle occasion se présente à ce que je rencontre Sophie seule, ou accompagnée d’Élodie.

Au petit matin, le weekend d’après je passais à la librairie et évidemment je suis tombé sur Sophie qui m’a demandé ce que je faisais ce weekend. Je lui ai répondu que j’étais tout seul car ma femme était partie voir ses parents loin d’ici. Elle m’a dit de me rendre chez elle à 13h; elle ne m’a même pas laissé le choix c’était limite un ordre. C’est ainsi qu’à 13h j’étais chez elle où elle m’invita à rentrer dans son séjour sombre, mais qui me rappelait de bons souvenirs. Je n’ai pas été très étonné de voir qu’Élodie était là et elles m’ont directement emmené à l’étage. Je vous le donne en mille, elles m’ont accompagné jusqu’à la chambre où j’ai pu constater que tout avait l’air d’être bien préparé. Je ne vais pas vous donner de détails pour l’instant mais cela m’a impressionné d’autant que je n’étais même pas sûr que cela soit pour moi.

Quand elles se sont mises à me déshabiller j’ai commencé à me poser des questions, tout en commençant à avoir une grosse érection. Quand Sophie m’a dit qu’elle allait s’occuper de moi et surtout qu’elle allait me dresser, j’ai commencé à me poser des questions; qu’allaient-elles faire de moi. Une fois nu, pour mon plus grand plaisir; elles m’ont fait enfiler une combinaison en lycra laqué avec un zip qui partait de mes fesses jusqu’à mon cou. Elles m’ont mis des gants moignon qui étaient fixés au-dessus de mes poignets, une ceinture d’au moins 15 cm de large au niveau de la taille avec plein de fixation dessus; ainsi que de larges bracelets en cuir au niveau des chevilles qu’elles se sont empressées d’attacher l’un à l’autre. Le côté bondage m’excite énormément du coup je me laissais faire comme un automate offert à son concepteur.

On était limite dans le sadomaso mais je ne savais pas comment cela allait tourner; la chose que je savais désormais c’est que je ne contrôlais plus les événements. J’ai repéré une cravache et un martinet c’est une chose que je déteste, du coup j’essayais d’obtempérer à toutes leurs demandes. En m’expliquant que d’abord j’allais leur faire une toilette, Sophie m’a fait agenouiller entre les cuisses bien écartées d’Élodie; puis elle m’a plongé la tête dans ce milieu qui ne me déplaisait pas du tout. J’étais un peu comme une momie dont on faisait ce que l’on voulait, mais j’adorais mon état actuel. J’étais parti pour un après-midi de dressage, de domination et de soumission à ces deux femmes. Pour l’instant je ne regrettais pas la petite main au cul que j’avais collé à Sophie. C’est mon nez qui est entré le premier en contact avec sa toison ça commençait à sentir bon la femme même si c’était un minou de gougnotte. 

Je peux vous garantir qu’elle savait y faire avec les hommes, je n’ai pas eu trop le temps de rêvasser et me suis retrouvé complètement plaqué contre son minou poisseux. C’était plus fort que moi il fallait qu’avec ma langue je nettoie tout; le plus fort c’est que ma langue en passant donnait du plaisir à Élodie. J’étais conscient que rapidement tout mon visage, voire même peut-être un peu mes cheveux allaient sentir le minou. De temps à autre dehors, j’entendais un cheval henire ou une vache meugler; cela me permettait de me resituer un peu le lieu des événements. Il y avait aussi dehors un gros chien, un rottweiler me semble-t-il, qui de temps à autre aboyait sans raison apparente. J’ai senti Sophie me dézipper la partie basse ma combinaison Histoire d’accéder à mon petit cul, elle faisait ça avec beaucoup de douceur quand même.

Maintenant pendant que j’étais en train de m’occuper de l’intimité d’Élodie, Sophie était en train de me titiller mon petit trou. Je vais vous avouer que j’étais un peu mécontent d’un tel traitement, par une femme surtout; mais en plus devant une autre. C’est vrai que c’était gênant, dégradant; mais c’était en train de devenir tellement agréable. Sophie avait commencé par me mettre un doigt rapidement un deuxième s’y était joint et maintenant elle était en train d’aller et venir dans mon intimité, à moi; avec 3 doigts pour mon plus grand plaisir. J’étais totalement à leur merci, je donnais du plaisir à l’une et l’autre m’en donnait à moi; mais d’une façon que je ne connaissais pas à ce jour. Sophie ignorait totalement mon sexe; par contre il lui arrivait souvent de me caresser les hanches et surtout de venir me pincer les tétons.

Maintenant, quand Sophie cessait ses mouvements, j’étais limite à remuer mes fesses pour lui demander qu’elle se remette à remuer ses doigts. Elle s’est arrêtée puis je l’ai entendue prendre des photos, je n’ose imaginer comment j’apparaissais sur ces dernières. Puis je l’ai entendue bidouiller je ne sais quoi et quelques instants après je la sentais se positionner à l’arrière de mon petit trou. Sophie était sur le point de purement et simplement me prendre par-derrière. Vu la position que j’avais et la crainte de la cravache je n’avais pas trop mon mot à dire. J’ai senti le gland fictif se positionner à l’entrée de mon conduit, mon coté soumis fit que j’étais fin prêt à l’accepter en moi. Sophie m’a déposé du gel à l’entrée de mon petit trou; histoire de faciliter la pénétration, au moins je savais à quelle sauce j’allais être mangé.

Une fois mon conduit bien graissé, le gland de silicone a commencé à forcer l’entrée de ma face cachée… Je n’ai pas pu résister longtemps à la pression exercée et, du coup, il a commencé à se glisser en moi. A ma grande surprise, il y eu effectivement une douleur, mais cette dernière ne fut vraiment que passagère avant de céder la place à une sensation bizarre puis c’est le plaisir qui a pris le dessus. Au début je me suis senti honteux de prendre du plaisir de cette sorte, d’autant que c’était une femme qui me prenait..; après j’ai laissé le plaisir définitivement prendre le dessus. Sophie était maintenant agrippée à mes hanches et y allait de bon cur dans ma rondelle. A chaque fois qu’elle s’enfonçait, je me retrouvais la tête plaquée contre l’abricot d’Elodie; Sophie se comportait vraiment comme un homme, un mal dominant qui féconde son cheptel…

Le gode était très souple et du coup très agréable, il se frottait contre mes parois intimes; ce qui me donnait des sensations très plaisantes. Je trouvais finalement super bon que de se faire prendre ainsi par derrière sans véritablement de ménagement. Sophie était en train de me convertir aux plaisirs de la sodomie; et ce, contre mon gré au début. Sophie me parlait au féminin; choquant au début, mais pas pour me déplaire ensuite. J’étais résigné et acceptais qu’une femme puisse me péter la rondelle et surtout qu’elle puisse me donner un sacré plaisir en le faisant. Si je puis dire, j’étais entre deux femmes; l’une me donnait du plaisir en me défonçant et l’autre, c’est moi qui lui donnait du plaisir en m’activant avec ma langue sur son petit berlingot. Elodie n’y allait pas de mains mortes en me triturant les tétons et le pire, c’est que j’en redemandais; en moi une chienne offerte et assoiffée de sexe venait de réveiller.

C’est Elodie qui est partie la première sous l’effet de ma langue, je l’ai suivie de peu (pour ma première jouissance anale); par contre Sophie a eu besoin des caresses de sa compagne pour, elle aussi, prendre son pied. Après que j’ai balancé toute ma liqueur dans ma combinaison, Sophie continuait à me limer en profondeur; heureusement qu’Elodie est intervenue car pour moi cela devenait vraiment insoutenable. Quand Sophie s’est retirée de mon boyau, j’ai senti comme grand vide à cet endroit; j’avais maintenant la pétoche que cela ne se referme pas, du coup je n’arrêtais de contracter mon sphincter pour essayer de lui faire retrouver sa taille initiale. Compliment suprême, Sophie m’a dit que j’étais très bonne à baiser et que j’étais surtout très réceptif à l’enculage; elle m’a dit qu’elle avait tiré le gros lot avec moi et que j’étais promis à un grand avenir en tant que soumise offerte.

Bisous à tout ceux qui ont lu jusqu’au bout 

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