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Histoire alternative – Chapitre 7




Xavier m’étonne Je me demandais si ce ne serait qu’une passade, mais on continue à se voir régulièrement en semaine pour des plans à trois. A la fois actif ou passif selon son humeur, il se prête sans sourciller à tous nos jeux sexuels. On lui a fait faire connaissance de Michel, le frère de Julie, et il ne s’est pas dégonflé, même quand l’énorme queue de Michel l’a fait grimacer lors de sa première sodomie.

Je remarque alors que quelque chose est en train de se passer entre lui et Julie. Elle le fascine et ils développent une relation qui va au-delà de ce que j’ai avec Julie. Je devrai être jaloux, pardon, jalouse Mais non. Je n’éprouve aucun sentiment désagréable à cette situation. Julie est mon amie, ma confidente, ma « mentor » et je l’adore. Mais çà s’arrête là. Au contraire, je suis très heureux…(se) de ce qui est en train de naître. Ce qui me fait m’interroger à mon sujet pendant quelques temps

Comment vais-je évoluer socialement ? Je veux dire : l’être humain a une tendance naturelle a se trouver un conjoint. J’éprouve de façon diffuse moi aussi cette envie, sans m’en rendre compte. Mais voilà, ou trouver un conjoint, quelqu’un dont on puisse tomber amoureux quand on est une trans ? Qui voudra de moi ? Une autre trans, si rare, si précieuse, si improbable ? Ou alors un garçon qui accepte de se mettre en couple avec une personne du troisième sexe ? Et je sens confusément dans mon esprit que ce sera loin d’être aussi simple que pour une personne hétéro.

Ce questionnement va se résoudre d’une façon inattendue mais j’anticipe. Je vais y revenir.

Cela fait à présent quelques mois que j’ai entamé ma lente mutation. Je soigne les détails qui me font paraître encore plus féminine. Un qui ne se voit pas, c’est ce piercing que j’arbore fièrement au nombril et que Julie s’est empressée d’imiter pour le plus grand plaisir de Xavier. Le laser aidant, ma pilosité masculine devient rare, que ce soit sur le visage, le torse, les jambes ou ailleurs. Mes cheveux sont maintenant assez longs au point que je dois me faire la queue de cheval en journée, et j’en ai profité pour dire adieu à la perruque. Mon look est de plus en plus androgyne et presque à mon insu, de plus en plus féminin.

Le déclic se produit un soir à la cafétéria situé au bout de l’avenue Leclerc. Ce jour là, j’ai croulé sous le boulot au laboratoire, tout a marché de travers, j’ai du reprendre je ne sais combien de fois mes analyses et mon patron va encore faire la tète quand je vais lui facturer mes heures supplémentaires. Il est presque vingt heures lorsque j’arrive directement à la cafétéria ou j’ai rendez-vous avec Julie. Xavier n’est pas là, en mission client du coté de Tarbes. Je n’ai pas eu le temps de me changer. Je suis en mode « mec très efféminé » comme en journée. J’ai juste pris le temps de lâcher mes cheveux et me mettre un coup de brosse avant de retrouver Julie. Nous sommes avec nos plateaux à faire notre choix du plat de résistance. Julie a choisi des lasagnes.

— Madame, qu’est-ce que je vous sert ?

Je suis interloquée. La fille est avec sa spatule à la main attendant ma réponse. C’est bien à moi qu’elle s’adresse et elle m’a appelé « madame » !

Nous venons souvent à cette cafétéria. Nous connaissons de vue la plupart du personnel, et eux aussi nous connaissent. Je les ai vu au début de ma transformation me lancer des regards mi-amusés, mi-interrogateurs, se demandant à quoi ils avaient affaire et comment s’adresser à nous. Mais cette fille est nouvelle. Elle ne me connaît pas, et tout dans son attitude montre qu’elle m’a réellement prise pour une femme.

J’ai balbutié « lasagne » Je suis servie sans émotion particulière de la fille, sans coup d’il soupçonneux, sans autre commentaire qu’un « bon appétit ! » de circonstance C’est tout juste si la caissière, qui a assisté à la scène, et que je connais un peu me demande l’air curieuse :

— Dites, excusez-moi, mais je çà fait longtemps que vous venez ici et je voulais savoir. Vous êtes un homme ou une femme ?

– un peu les deux !

Je rejoins Julie qui n’a rien perdu de ce moment. Elle se marre. Je m’assois en face d’elle.

— Tu as vu çà ? La fille aux plats chaud m’a pris d’entrée pour une femme ! Tu crois qu’elle était sincère ?

— Il faut t’y faire ma belle, me répond-elle calmement. Désormais, à moins de te mettre à poil, tu es visuellement une femme et seulement une femme, même quand tu n’es ni coiffée, ni habillée, ni maquillée…

Le lendemain midi, autre restaurant, autre assemblée On est à la cantine de l’entreprise. J’y prend mes repas le midi avec toujours le même groupe d’habitués : les deux autres filles du labo, les deux secrétaires, le manutentionnaire, le comptable, mon chef de service, et deux ou trois ingénieurs dont Xavier. Tous sont maintenant habitués à mon lent changement d’aspect et çà fait longtemps que je n’ai plus eu la moindre remarque de leur part sur le sujet. L’ambiance est tranquille et détendue, on parle sport, politique, boulot aussi (si si, un peu). Et d’un seul coup, profitant d’une courte pause dans les conversations, je me lance.

— Mes amis, je vous informe officiellement que j’ai décidé de changer de genre. Je vais désormais vivre en femme. A dater d’aujourd’hui, je souhaite que vous me parliez au féminin et que vous m’appeliez DanielLE.

Là, il y a un blanc Le visage de mes collègues oscille entre étonnement et sourire amusé. Au bout de la table, Xavier me fait un « like » discret façon « réseau social bien connu ». Et puis, d’un seul coup, çà balance !

— Je me disais aussi

— Bienvenue chez l’espèce dominante !

— Tu t’approches pas de mon mec, ou je t’arrache les yeux !

— Ben si tu te sens bien comme çà

— Fais gaffe à ton cul maintenant (Xavier, évidement !)

— Et mes analyses, je les aurai ce soir ?

— Et donc, on doit t’appeler comment, Monsieur on Madame ?

— Moi je trouve çà génial !

— J’ai du repassage à faire, çà te tente ?

— Vous êtes des couillons, dis-je, mais je vous adore !

Franchement je l’espérais mais je suis ravie que çà se passe aussi bien ! Il faut vous dire que la boite est jeune, la majorité d’entre nous aussi, à part quelques « vieux » comme Xavier (lol !). On a démarré dans la société presque tous en même temps. Ça crée des liens. D’une certaine façon, c’est ma famille. Mais entre nous, je suis soulagée. Je vais pouvoir vivre ma féminité au grand jour et sans arrière pensée ! Le soir même, je vais filer chez le coiffeur F.P. pour me faire une coupe vraiment féminine.. Et le lendemain, j’arriverai avec une tenue vraiment de femme, avec de vraies boucles d’oreille en lieu et place des puces habituelles, et des chaussures qui n’ont plus rien de masculin. Et j’aurai droit à quelques félicitations et st sifflements admiratifs. Ma vie de femme commence vraiment ce jour là. Mais revenons à l’instant présent.

— Si vous ne savez pas comment vous adresser à moi, dis-je, eh bien continuez à me dire « tu », ou Danielle. Laissez tomber le Monsieur ou le Madame.

— Je trouve çà génial que tu deviennes une fille, répète Guylaine.

Guylaine C’est une des secrétaires de la boite, une fille très douce et très gentille, un peu timide et réservée. Je ne l’ai jamais entendu élever la voix ou faire un semblant de colère. Elle est toujours souriante, toujours disponible Je l’aime bien. Ce n’est pas une reine de beauté, mais elle a un charme très particulier, carrément craquant. Stature moyenne, très brune, une chevelure noire très espagnole, des hanches larges mais une taille assez fine, une poitrine que l’on devine généreuse. Et très féminine Toujours en robe ou en jupe ; je ne me souviens pas de l’avoir jamais vue avec un pantalon ? Et quand je la vois me dévisager avec un un grand sourire, nul doute effectivement qu’elle trouve çà génial.

Elle a toutefois un petit « défaut » si j’ose dire. On ne lui connaît pas le moindre flirt et d’ailleurs on la sent mal à l’aise en présence d’une trop forte population masculine. Certains murmurent, Xavier le premier le salaud, qu’elle serait lesbienne J’avoue que je m’en fiche complètement. Avec moi, çà se passe bien. Mais j’apprendrai plus tard qu’elle a connu alors qu’elle était adolescente, une tentative de viol de la part de camarades de lycée. Il lui en est resté sinon un traumatisme, du moins un mal être vis-à-vis des hommes qui a chamboulé sa future vie sexuelle un peu comme moi quand j’y repense (revoyez le chapitre 1)…

 Depuis le début de ma transition, j’ai pris l’habitude de m’asseoir préférentiellement avec les filles, pour m’imprégner de leur manière d’être (je veux être femme, jusque dans le comportement, tant pis!). Guylaine est souvent ma voisine de table et je n’ai jamais remarqué le moindre trouble de sa part quand je suis à coté d’elle. Au contraire, il nous est arrivé de nous covoiturer pour les allers et retours à la boite quand c’est possible, car nous habitons dans le même secteur de la ville.

Or un soir justement, peu avant de démarrer la voiture en fin de journée, mon portable sonne. C’est Julie. On s’est donné rendez-vous comme souvent à la cafétéria du centre commercial. Et zut, la tuile. Sa mère est à l’hôpital et elle m’informe qu’elle la rejoint là bas. Rien de grave à priori (un calcul dans les reins ?), mais ce soir je ne la verrai pas. Je suis déçue et Guylaine le remarque.

— C’est qui Julie ?

— C’est ma copine. Elle elle est trans comme moi. En fait c’est elle qui m’a guidée et assisté dans ma mutation. On devait aller manger à  l’hyper puis passer la soirée ensemble. Flûte

— Ta copine ? Tu veux dire Vous couchez ensemble ?

Là je suis surprise ! Elle m’a balancé çà simplement, ingénument je dirai même. J’hésite, mais j’ai pris la décision de ne rien cacher de ma nouvelle vie, de la vivre à fond, quitte à l’afficher au point de choquer. Advienne que pourra !

— Ben oui On est amantes si c’est ce que tu veux dire. On se voit régulièrement, mais ce soir elle a un problème Je te choque ?

— Non, pas du tout, ta vie privé ne te regarde pas.

Elle fait une pause, je la vois réfléchir.

— Si tu ne fais rien, çà te dit si je la remplace à la caf’ ?

Ma foi Pourquoi pas ? Contrairement à vous, amis lecteurs, je ne sens pas venir la suite, tellement mon orientation présente me fait ignorer presque complètement la gent féminine, du moins sur le plan sexuel. Mais nous passons un excellent moment à la cafétéria. Nous parlons de nous, de ce que nous avons vécu. On rigole, on s’amuse, je la découvre, elle est vraiment agréable. Je me laisse aller à lui raconter mon aventure avec le guérisseur. En retour, elle me détaille pourquoi elle est si mal à l’aise avec les hommes

— Pourtant avec moi, je ne te vois pas spécialement gênée, lui dis-je.

— Oui, mais toi Je te vois avant tout comme une femme, un peu spéciale. Ce n’est pas pareil.

On a passé un agréable moment. On a encore parlé, même notre repas terminé depuis un long moment. Et puis je la ramène chez elle. C’est alors que

— Je t’invite à prendre un dernier verre ?

C’est seulement à cet instant que je commence à me demander si cette invitation ne cache pas autre chose. Une fille qui me drague ? Je ne m’y attendais pas.. mais en même temps, je suis curieuse de voir comment çà va se terminer. Et si çà finit comme vous l’imaginez, eh bien franchement, il y a bien pire que cette charmante jeune femme. Alors j’accepte

Son petit appartement est coquet, fonctionnel Elle me propose un petit jurançon, nous discutons de choses et d’autres, de nous essentiellement, de notre vie privée, de notre vie professionnelle. Puis on passe à une de ces petites liqueurs jaunes du pays Basque. Ma tète tourne un peu, elle aussi j’imagine. On est assis sur un divan. C’est presque naturellement qu’on est l’une contre l’autre, de plus en plus proche. Et c’est elle qui prend l’initiative. Elle s’approche un peu plus, met sa tète sur le coté, ferme les yeux, et m’embrasse

— Pardon, me souffle t-elle. Je… j’avais envie

— Ne t’excuse pas.

Je lui rend son baiser. Elle est étonnamment douce, encore plus que Julie, je n’aurai même pas imaginé. En même temps, je la sens chaude, vibrante, la respiration courte, excitée au fur et à mesure que nos langues envahissent la bouche de l’autre. Instinctivement, j’ai laissé courir mes mains. Elle s’est crispée lorsque je me suis aventuré sur sa poitrine. Elle a frémi quand je suis descendu sur son ventre. Mais elle me laisse faire, et au contraire bloque ma main avec la sienne sur le haut de sa jupe. Je la vois déjà chavirer comme une collégienne

— Je peux ? Me demande t-elle.

— Tu fais ce que tu veux Guylaine.

Elle se laisse glisser du divan, assise sur le plancher. Ce jour là, je suis en jupe. Sa main s’est posée sur ma cuisse, puis glisse sous le tissu, remonte ma jupe, découvre ma culotte en dentelle ou se cache une bosse en train de grossir Elle y pose sa main, toujours plus rouge, toujours plus haletante, à croire que c’est la première fois ! Elle écarte le tissu, libérant mon membre qui se dresse rapidement. Je la vois trembler lorsqu’elle le touche, que sa main se referme sur lui. Et j’ai l’impression qu’elle va défaillir quand elle entrouvre la bouche et la referme sur le gland

Lentement elle me suce. Je suis surprise. Elle, si réservée au boulot ! Je ne sais si c’est l’excitation du moment, mais elle me suce maladroitement. Elle est loin d’avoir la technique diabolique de Julie. Mais elle me provoque des frissons de plaisir qui me rendent dur comme du bois. Elle accélère le rythme, elle s’affole. Je la devine en train de se caresser la chatte. Puis soudain, elle se retire comme quelqu’un prêt à se jeter à l’eau. Elle se redresse et retire rapidement son pull, laissant apparaître sa poitrine soigneusement soutenue par un joli soutien-gorge.

— Tant pis ! Lance t-elle comme si elle se parlait à elle même. Viens me baiser ! Tu veux ?

Oui, je veux. J’ai envie de baiser, et je ne sais pas à quoi elle joue, mais elle m’attendrit. J’ai vraiment envie de lui donner du plaisir. Elle a déjà tombé sa jupe et s’est mise à genoux sur le divan. Je laisse glisser ma jupe à terre, mais je garde mon chemisier. C’est bête, mais j’ai toujours mes faux seins et çà m’ennuie de découvrir mon torse masculin. Guylaine respire bruyamment. J’ai enfilé une capote et m’approche d’elle, lorsque

— Attend ! Me lance t-elle. Je je voudrai que tu commences par derrière, par mes fesses

— Tu veux que je t’encule ?

— Oui

Je ne comprends pas ce qui se passe mais bon, si c’est çà qu’elle veut Un doute s’empare de moi pendant que je fait glisser sa culotte en bas des jambes Non, c’est bien une femme. Je ne vois pas bien sa chatte, mais elle est bien là, et tout ce qu’il y a de plus normale Alors je m’exécute. A ma grande surprise, je la pénètre sans effort. Il ne me faut que quelques secondes pour la pénétrer totalement. Ce n’est pas la première fois qu’elle se fait sodomiser ! Je l’ai senti se crisper, puis se détendre presque instantanément. Je la lime sans effort, lui arrachant des gémissements à chaque poussée.

— Oooooh, c’est bon, putain que c’est bon, mais qu’est-ce que je suis conne !Ouiiiii, continue, plus fort !

Je ne pige plus rien. Ça me perturbe un peu, mais je continue mon uvre. Elle se tortille, gémit de plus en plus fort. Elle caresse frénétiquement son clitoris. Soudain, je la sens se contracter. Elle jouit avec un bruit de gorge rauque, comme un cri étranglé. Sa respiration se bloque. Ma queue est enserrée dans un étau pendant de longues secondes à l’issue desquelles, elle se dégage brutalement et de s’étale sur le divan ou elle reprend lentement son calme.

— Oh mon Dieu, que c’est bon

Elle me regarde avec un sourire étrange, comme si elle avait vu le messie. Je ne comprends pas ce qui s’est passé. D’une certaine façon, c’est la première fois que je baise avec une fille, et je n’avais pas imaginé que çà commence par une sodomie sauvage. Je suis toujours aussi raide et çà tombe bien, car elle semble prête pour un second round. Mais cette fois, elle s’allonge sur le dos, cuisses bien ouverte avec un regard étrange, comme une mante religieuse prête à dévorer son mâle

— Viens me dit-elle.

Alors je viens Sa chatte est rasée, son minou discret, presque menu. Je vais la prendre en missionnaire et déjà, elle a passé ses bras autour de mon cou et ses jambes se replient sur mes fesses. Sa chatte est brillante, elle ruisselle. Je m’y positionne, caresse les lèvres du bout de ma queue puis écarte les chairs. Mais quelque chose cloche, je sens une résistance. Mince ! Elle est vierge !

Stupéfait, j’ai suspendu mon mouvement, presque un recul. Mais Guylaine me bloque avec ses jambes. Elle passe ses bras autour de mon torse, elle m’attire, elle ne veut pas que je batte en retraite Elle m’embrasse.

— Viens, reprend t-elle tendrement. Je veux que ce soit toi. Prends-moi

Je suis médusé. Jamais je ne me serai attendu à cela. J’hésite quelques secondes. Je veux être pleinement conscient de ce que je vais faire. Je vais commettre le pire crime que puisse faire un homme : je vais tuer une enfant. Et de ce crime, une femme va naître

Alors je la perfore. Je ressens comme un claquement Guylaine s’est crispée, pousse un cri. Ses ongles se sont enfoncés dans ma peau. Je suspens ma poussée. Je la sens se relâcher, puis une nouvelle fois

— Viens…

Avec toute la douceur dont je suis capable, je progresse lentement dans son intimité, jusqu’à ce que nos deux pubis se retrouvent en contact. Chaque centimètre de pénétration lui a généré un gémissement. Je suis aux anges. C’est doux, chaud, serré, incroyablement humide. Chacun de mes mouvements lui fait pousser des petits cris. Ce soir, je me comporte en homme. Et mon plaisir monte progressivement. Mais je me retiens. Je veux la faire jouir à nouveau. Ses petits cris se muent progressivement en soupirs d’aise, puis en gémissements et halètements de plus en plus fort annonçant l’orgasme tout proche. Je me suis retenu autant que j’ai pu. Lorsque elle se crispe à nouveau tout en grondant comme une tigresse, me lacérant le dos au passage, je capitule, je me lâche. Je remplis le préservatif. Je m’effondre sur elle.

Nous sommes sous la douche Je l’y ai accompagné, il y avait urgence. Mais déjà les traînées rouges se raréfient. Elle se savonne soigneusement. Elle me regarde en souriant. Elle est belle !

Pendant qu’elle finit de se rhabiller, je nettoie le divan. Le simili, heureusement, çà ne marque pas. Elle vient m’y rejoindre, se blottit dans mes bras.

— Merci me dit-elle.

— Il n’y a pas de quoi. Tout le plaisir est pour moi. Mais tu n’avais jamais

— Non, jamais, tu es le premier.

Nous éclatons de rire. Nous sommes comme deux collégiens pris en flagrant délit. Mais une question me tarabuste.

— Pourquoi moi ?

— Parce que je ne sais pas, tu es différente ? J’ai confiance en toi. J’avais envie que ce soit toi.

— Guylaine, dis-je après un instant de silence, pourquoi as-tu voulu que je te sodomise d’abord ?

— Parce que j’avais un petit peu peur, dit-elle en rougissant jusqu’aux oreilles. Et puis, il y a longtemps que je voulais baiser avec un un homme. Mais j’avais peur. Mais encore trop envie. Alors j’ai acheté un sex-toy, et je je me le met régulièrement dans le cul pour le plaisir et garder ma virginité intacte. Tu vois, en fait je suis une petite cochonne.

Je la regarde bouche bée. Et bien dis donc, la petite Guylaine ! Voilà pourquoi je l’ai enculée aussi facilement. Et puis par association, je pense à quelqu’un d’autre. Et elle me voit pensive

— Tu penses à ta copine Julie ?

— Euh oui. Je me demande comment elle réagirait si elle savait que je lui ai fait des infidélités ?

— Tu crois qu’elle serait fâchée ? Ce serait dommage. J’aimerai bien vous voir baiser toutes les deux

— Hein ? T’es sérieuse ?

Elle se recroqueville contre moi avec un sourire espiègle. Je suis médusée. On dirait une nymphette prise en faute.

— Ben oui. Je suis une petite cochonne !

(A suivre)

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