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Emma et les chiens, elle réalise son fantasme – Chapitre 4




On revient d’un plan zoophile avec Emma, et on regagne notre hôtel, enchanté de notre chaude soirée. Il est minuit passé, il fait bon, et on croise encore des passants. On les devine se retourner sur notre passage, et il faut dire qu’il y a de quoi: j’ai 60 ans et je marche collé-serré avec une super jolie fille noire foncée d’à peine 20 ans. Elle a des cuissardes, un mini short presque trop petit pour ses formes plantureuses mais sans excès, et un teeshirt moulant sans rien dessous. On discute, on rigole, on échange sans cesse de tendres baisers, se foutant du regard des autres.

Je l’ai connue grâce à internet en recherchant un couple incestueux, comme ma petite fille et moi. On s’est fait une partie à six, avec son grand-père et un troisième couple, et on a sympathisé. Je l’ai invitée et elle me considère un peu comme son autre papy, incestueux bien sûr, et moi comme une deuxième petite fille aussi incestueuse que la vraie.

On arrive à l’hôtel, on traverse le hall lorsque le gardien, un jeune dans les 25 ans, m’interpelle. On fait demi tour, mais il ne veut parler qu’à moi seul. Je m’approche:

— Excusez moi Monsieur, c’est un peu délicat ce que j’ai à vous dire, mais vous êtes dans un hôtel respectable et les personnes de passage sont interdites. Maintenant, et en échange d’un pourboire, je peux fermer les yeux.

— Je n’ai rien sur moi, mais on peut sans doute s’arranger autrement.

— Comment cela?

— Si vous pouvez vous libérer quelques instants, je pense qu’elle n’aura rien contre vous faire une gâterie.

— Ok, ça marche, l’accueil ferme à une heure, et je loge sur place. Vous êtes à quelle chambre?

Je lui dis que c’est d’accord pour moi aussi, lui donne le numéro et rejoins Emma pour retrouver notre petit nid douillet.

Elle veut savoir ce que l’on s’est dit et j’attends d’être dans la chambre pour le lui dire:

— Alors, qu’est ce qu’il voulait?

— Il t’a prise pour une prostituée, et voulait que je le paye pour te laisser entrer.

— Et tu as fais quoi?

— Je lui ai dis que c’est toi qui allait le payer, en lui faisant une bonne petite pipe.

— Eh, salaud, tu ne crois pas que j’ai assez pompé pour ce soir! Tu aurais pu lui dire la vérité.

— Justement non, tu n’es plus à une bite près, mais surtout j’ai envie de lui, et je me suis imaginé un petit plan.

Je lui dévoile mon idée, on se déshabille et on se fait un tendre câlin, un peu coquin, en attendant notre invité.

Il est une heure à peine passée, que l’on frappe à la porte. Emma le fait entrer et lui demande de se déshabiller et d’aller à la salle de bain pour sa petite toilette. Je me tiens en embuscade près de la porte et dès qu’il ressort je me colle à lui. Je l’embrasse sur la joue, tout près des lèvres, mais laisse voir son visage, et je saisis ses couilles pour laisser voir nos queues aussi bandée l’une que l’autre. Il n’a pas le temps de réaliser qu’Emma le mitraille avec son portable et fait des photos en rafale. Il se dégage:

— Et, c’est quoi ce truc, à quoi vous jouez?

— On va te faire payer ton insulte.

-Quelle insulte, je n’ai rien dit. Et au pire ce n’aurait été que la vérité.

— Eh bien non, c’est là que tu te trompes. Tu as laissé entendre que c’était une pute, alors que c’est ma jeune et jolie maîtresse, et que je suis son vieil amant.

— Pardonnez moi, mais avec sa tenue, j’ai cru. Si vous voulez je peux lui faire des excuses.

— Ah non, ce serait trop facile, on a prévu mieux que ça. Tu vas être notre pute.

-Certainement pas, laissez moi ressortir.

— Comme tu veux, mais tu ressors à poil et on va se servir des photos, les diffuser partout.

— Et si je reste, vous me faites quoi?

— Que du bien, ma petite chérie va s’occuper de ta queue et moi de tes fesses.

En même temps que je dis cela, Emma s’approche de lui, s’accroupit et s’empare de son sexe pour lui redonner la vigueur qu’il a perdue. Il se laisse faire, rebande, elle le masturbe gentiment, et lui pelote les boules:

— Hum elle est jolie ta bite, j’en ai envie, et il est magnifique ton gland, et tes couilles aussi. Reste, tu ne vas pas le regretter.

Elle le prend en bouche et démarre une savante fellation dont elle a le secret. Je me colle derrière lui:

— Elle a raison, on va te donner du plaisir. Tu as déjà fait l’amour avec un homme?

— Non, jamais, mais je ne veux pas, je n’aime pas ça.

— Comment tu peux savoir si tu n’as pas essayé. Détend toi, pense à la super jolie bouche de ma copine, et laisse moi faire. Je vais être aussi doux qu’elle.

Je me frotte contre ses reins, caresse ses hanches, ses fesses, lui dis que j’ai envie de lui et lui promets de bien le préparer avant de le prendre. Emma le suce toujours et le flatte pour son beau sexe bien appétissant. Il est passif, attend de voir.

Je m’accroupis, écarte ses fesses, et passe ma langue dans son sillon, lèche sa raie, surtout son illet sur lequel je salive, et le transperce de ma langue. Je l’entends gémir et me sens encouragé. je crache sur mes doigts, en tente un, il gémit toujours, j’en tente deux, puis trois, il est docile, ne se rebiffe pas:

— C’est bon comme tu gémis, c’est moi qui te fais du bien ou c’est ma petite salope.

— Les deux, elle suce trop bien et c’est bon comme vous me fouillez, vous êtes doux.

— Et si tu veux goûter à ma queue, elle est encore plus douce. Je pense que tu es suffisamment préparé, tu veux que je te la mette.

— Oui, vous me donnez envie, mais allez-y doucement.

— Ne t’inquiète pas mon chéri, je vais te dépuceler tout en tendresse pour t’y donner goût et que tu en redemandes.

Je me redresse, crache sur ma queue pour la lubrifier, et plaque mon gland sur sa rondelle. Je pousse délicatement, lui disant de serrer les dents, de ne pas s’inquiéter s’il a quelques petites douleurs, que c’est normal et que ça va vite passer pour laisser place au plaisir. J’avance centimètre par centimètre, jusqu’à la lui mettre entière et lui annoncer la bonne nouvelle. Il pousse un grand soupir de soulagement, puis gémit à nouveau à peine je me mets en mouvement. Je le lime et il ne cache pas son plaisir:

— Oh c’est bon votre queue, oui, enculez moi, enfoncez là bien, oh, je vais jouir, je vais jouir.

— Vas-y, tu peux éjaculer dans la bouche de ma copine, elle adore ça.

J’accélère la cadence, le ramone plus vigoureusement, et il explose. Emma s’applique à tout prendre et tout avaler jusqu’à la dernière goutte. Elle attend qu’il se calme et libère son sexe encore raide:

— Et bien mon salaud, tu dois te sentir plus léger. Ce que tu m’as mis!

— Excuse moi, mais je n’ai pas pu me retenir, c’est trop bon ce que vous me faites tous les deux.

— Ne t’en fais pas, il te l’a dit mon papy, j’adore ça.

— Ton papy!

— Oui, pour de faux. J’ai laissé mon vrai grand-père pour quelque jours, alors j’aime imaginer que c’est Eric mon papy, comme lui aime m’imaginer comme sa petite fille qui l’a laissé aussi pour les vacances.

Puis elle s’adresse à moi:

— C’est ça mon papy adoré, je suis ta petite fille?

— Oui ma chérie, tu es mon adorable petite fille. Mais ce n’est pas tout de discuter, occupe toi de sa queue, il ne faut pas qu’il débande.

Elle ne se le fait pas dire deux fois et le pompe à nouveau tandis que je continue sa première sodomie. Tout en le baisant, je caresse mon jeune partenaire, Mes mains courent sur son corps, ses hanches, ses flans, son ventre, sa poitrine. Je masse ses seins, excite les tétons, pose mes lèvres dans son cou, lui demande de m’embrasser. Il tourne la tête et on se roule une pelle:

— Hum, tu es bien toi! Ca te plait la baise entre mecs, petit salaud?

— Oui c’est bon comme vous me baisez, si j’avais su j’aurais essayé avant.

— Tu es jeune, tu as tout le temps de te rattraper. Tu as déjà sodomisé quelqu’un?

— Non, j’ai une copine mais on n’y pense pas.

— Ca te plairait de m’enculer?

— Vous êtes sérieux?

— Oui bien sûr, j’aime ça moi aussi, je suis aussi salope que toi et que ma petite chérie.

— Et vous voulez le faire maintenant, devant elle, votre presque petite fille?

— Oui, ce sera plus excitant; et puis on est habitué aux partouzes tous les deux.

— Ok, c’est d’accord, mais d’abord vous finissez de me ramoner, je veux sentir votre sperme couler en moi.

— Pas de soucis, j’ai bien l’intention de te farcir le cul. Toi par contre ne jouis pas encore, réserve toi pour moi, je sais que ma petite est experte en pipe, et qu’elle s’applique à te faire durer. Et puis si tu dois me casser le cul, tu vas arrêter de me dire vous. Je veux que tu me tutoies et que tu m’insultes comme je t’insulte.

Tout en discutant je ne cesse de le pistonner et Emma de le sucer ou lui bouffer les couilles pour qu’il se calme. Je sens que ça monte et le préviens:

— Je viens petit salaud, je vais me vider les couilles dans ton putain de fion de chien, comme tu as vidé les tiennes dans la bouche de ma petite fille perverse.

— Oui, encule moi fort salopard, défonce moi, donne moi tout ton jus de gros porc, je suis ta pute comme vous tu le voulais

— Hum, tu apprends vite petit enculé, j’aime. Oh, je viens, je viens ma salope, je vais te féconder sale chienne.

Je me déchaine, le bourre comme un malade, ma queue glisse toute seule depuis un bon moment tellement il mouille, et il essaie de retenir ses cris de jouissance anale. J’éjacule sans retenue, me déverse longuement, et on reste emboité pour reprendre souffle.

Je me retire après lui avoir dit ce que j’attends de lui. J’ai droit à des insultes comme je les aime, et il s’exécute docilement. Il me nettoie la queue, se doigte pour récupérer ma crème, puis me fouille pour m’ouvrir, me graisser le tube, me préparer à recevoir sa très jolie queue.

Je suis prêt et m’agenouille au bord du lit, les reins cambrés, le cul offert:

-Vas-y, mets me la toute, d’un seul coup, tu peux y aller sans crainte, il gobe tout mon putain de cul.

— Ok salope, tu l’auras voulu, je vais le matraquer ton trou à bites.

Il s’enfonce sans ménagement et me met de longs allers retours qui me font vite grimper aux rideaux. Je mords dans draps pour ne pas hurler mon plaisir. Emma est à genoux au pied du lit, elle me branle et ne manque rien du spectacle:

— Elle est trop belle ta queue, et c’est bon comme tu l’encules. Tu me donnes envie, tu vas me baiser, dis?

— Je voudrais bien, mais il ne va vouloir laisser la place cet enculé, il aime trop ça.

— Oui, je sais, mais quand tu auras fini avec lui.

— Désolé, mais je ne suis pas superman. Je vais le remplir ton putain de vieux, je vais m’en servir de vide couilles, et puis je vais aller dormir.

— Alors demain! A moins que tu n’aimes pas les blacks!

— Ne dis pas de conneries, tu es trop jolie, super baisable, plus que ma copine. Je bande encore plus rien qu’à voir tes dents bien blanches et ta longue langue toute rose, qui contrastent avec ta peau.

— Tu aimes l’exotisme, petit coquin, comme mon papy. Il adore les couleurs de ma bouche, mais encore plus celle de ma chatte. Tu veux voir mon intérieur, il est aussi rose que ma langue.

— Salope, monte moi ça.

Elle se relève et prends des positions obscènes pour lui dévoiler son intimité. Il est comme un fou et je le sens encore grossir en moi. Il me démolit, m’insulte, comme pour punir de ne pas pouvoir se la faire à cause de moi:

— Je n’en reviens pas de que tu me fais faire, gros vicieux. Je suis là à sodomiser un vieux cochon de soixante ans, alors qu’il y a une ravissante minette de vingt ans qui me veut. Tu vas me le payer espèce de chien, je vais t’enculer comme personne ne l’a fait, tu vas regretter de m’avoir offert ton garage à bites.

Il est bien monté ce jeune salaud, bandé à mort, et il se sert à merveille de son engin. Il me fout une ramonée sévère, et à chaque fois qu’il s’enfonce ses grosses couilles viennent gifler douloureusement les miennes. Je prend mon pied, nos regards se croisent avec Emma, elle me fait un clin d’il discret, et je comprends qu’elle a allumé exprès mon amant pour qu’il m’aime virilement. Il s’amuse maintenant à sortir entièrement pour me reprendre aussitôt, bien profond, puis ressort, entre, sort…….. à cadence soutenue. A force de s’activer entre mes reins, il va bientôt jouir une deuxième fois:

— Je vais décharger salope, mais pas dans ton cul, pour ne pas que ça te soulage, je vais me vider dans ta bouche.

Il se retire et me fout une grosse claque sur les fesses:

— Tourne toi salope, et pompe moi, à fonds, comme l’a fait ta petite copine.

Je m’exécute, trop heureux de cette proposition, et me jette sur sa queue pour la dévorer goulument. Je le turlute avec des bruits obscènes tellement je salive d’envie:

— Putain de salope, tu es un chien. Ce que tu suces bien enfoiré, aussi bien que ta soi-disant petite fille, et cent fois mieux que ma copine. Tu me fais aimer les hommes salaud, et je t’en remercie, c’est vraiment trop bon l’amour entre mâles. Oui, suce, tu te régales fumier, je vais jouir, tu as intérêt à tout avaler…

— J’espère bien, je ne vais pas gaspiller ta bonne semence. Et si tu veux me pomper ensuite, ne te gêne pas.

— Non, ça va aller pour aujourd’hui. On verra demain.

— Dommage, je bande comme un âne et j’en ai encore plein les couilles.

Emma nous mâte en se masturbant, et intervient:

— N’insiste pas, il t’a dit qu’il ne voulait pas. Par contre moi, je la veux bien ta grosse queue.

Mon jeune et bel amant décharge au même moment, son sperme chaud et parfumé envahit ma bouche. Je n’avale pas, garde tout jusqu’à ce que les soubresauts de son sexe s’arrêtent, qu’il débande. Je me recule alors, exhibe ma bouche remplie de son foutre, la referme, engloutis tout, et l’exhibe à nouveau, vide cette fois.

Il va à la salle de bain, se nettoie, puis revient dans la chambre pour se rhabiller. Il s’excuse pour avoir été aussi odieux, disant qu’il a été trop excité par la situation, n’aurait jamais cru prendre autant de plaisir avec un homme. Je le rassure, lui dit qu’il a été parfait, un amant de rêve.

Il me remercie, m’embrasse, embrasse Emma, et s’en va en nous disant à demain.

A peine la porte refermée, Emma me saute au cou et frotte son ventre sur mon sexe dressé:

— Baise moi papy, baise moi, je n’en peux plus…

A suivre………..

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