8h30 au réveil, Thomas se lève ce dimanche matin alors qu’Annie dort encore à ses côtés. Sans un bruit il va pour quitter la chambre mais se retourne. Elle est nue dans le lit, la couette sur tout son corps exceptée la jambe gauche. Il devine le haut de la cuisse. Tout proche il y a son sexe, Thomas le désire instantanément, il voudrait tant soulever la couette et s’y glisser, la voir, la regarder, la lécher doucement, sensuellement, la réveiller par le plaisir. Il le veut tant et pourtant il quitte la chambre, se brosse les dents, s’habille et sort dans la rue. Il passe à la boulangerie pour prendre les viennoiseries et une baguette. Il remonte et fait couler le café. Il prépare un plateau avec les boissons, dépose du pain frais beurré, les viennoiseries et un coquelicot qu’il a ramassé sur la route.
Du bruit arrive de la chambre, elle se réveille. Il sert le café et s’avance vers la chambre. Elle sourit; c’est le réveil qu’elle souhaitait.
"Veux-tu vraiment prendre le petit déjeuner avec moi ? demande-t-elle
— Heuu Thomas hésite, ce qu’il veut c’est sa chatte.
— Déshabille-toi, passe sous les draps et donne-moi du plaisir."
Thomas se jette en dessous, il voit ce beau sexe, quelques poils taillés au sommet, des grandes lèvres peu ouvertes, des petites lèvres plus foncées. Le clitoris est tout petit sous son capuchon. Il commence par l’embrasser doucement, alterne avec les cuisses, il caresse l’ensemble, il le sent, le lèche du bout de la langue. Les lèvres se gonflent et s’ouvrent, la partie externe du clitoris est plus apparente maintenant, sa langue remonte du bas de la vulve vers le haut, tourne, redescend. Il suce à pleine bouche, pince du bout des lèvres. La pression est montée en lui, il a vidé son esprit et se jette corps et âme dans ce cunnilingus intense, sans notion du temps, seulement les vibrations de sa maitresse. Une main tombe sur son crâne et l’appuie encore contre la vulve offerte.
"Lèche moi encore plus fort, oui ! "
L’ordre lui est donné, il enfonce sa longue langue dans le vagin, la glisse entre les grandes et les petites lèvres ; l’effet est dévastateur, Annie gémit de plus en plus, elle se tord, serre sa tête avec ses cuisses, remonte son bassin pour mieux sentir son homme. L’orgasme déclenche du plaisir chez Thomas qui s’engage d’autant plus, les amants sont dans un cercle vicieux, le plaisir de l’un appelle celui de l’autre. Si les cris de Thomas sont étouffés, Annie gémit comme rarement. Passé ce premier plaisir, elle inspire profondément et repousse sa tête pour l’arrêter, il pourrait sûrement y passer la journée. Ce dernier sort des draps et approche le plateau.
"Merci de m’avoir offert ton sexe, je le désirais depuis mon réveil.
— Je sais, tu as été très bon – elle l’embrasse – tu es fait pour ça tu sais, tu le fais bien et il faut que tu continues à progresser.
– Oui, je m’en rends compte, ton plaisir et le mien ne font qu’un, c’est incroyable ce que j’aime être pris dans cette folie sexuelle".
Le petit déjeuné est pris nus et dans la bonne humeur! Une fois terminé, Annie déplace le plateau et se penche vers sa table de nuit, elle suspend le pendentif sous le regard de Thomas qui se fixe.
"Bien Thomas, tu es en trance et obéissant, le pendentif se balance et tu sombre dans l’hypnose, ma voix te contrôle, elle te guide, te mène au plus profond de toi. Voilà, c’est bien. Nous allons avoir une relation sexuelle mais je veux en avoir le contrôle total et je sais que tu veux me laisser ce contrôle. Je veux que tu te détendes et ailles encore plus profond, inspire profondément, oui, c’est bien. Je veux faire l’amour avec toi et je veux un orgasme incroyable. Je souhaite prendre ton contrôle pour que tu me le donnes. Veux-tu me donner cet orgasme incroyable ?
— Oui maitresse.
— Veux-tu me laisser toute les chances pour l’avoir.
— Oui, maitresse. – la voix est basse, endormie.
— Bien sûr que oui, tu ne veux que mon plaisir car tu es mon soumis dévoué et tu aimes être dévoué à mon plaisir. Pour réussir nous allons commencer par te transformer en statue, une statue rigide, immobile mais parfaitement consciente une fois réveillée. Je veux que tu te détendes et que tu comprennes que ma main à le pouvoir de te statufier par une simple pression. Quand je touche ce bras, il se rigidifie immédiatement. Impossible de le bouger maintenant, parfaitement immobile. Tu peux essayer de le bouger tu n’y arrives pas car il est immobile et plus tu veux le bouger, plus il devient immobile, fixe, statufié. Je touche maintenant ton autre bras, il se solidifie ; je touche ta poitrine qui se statufie, ta respiration est lente, régulière mais les mouvements volontaires sont impossibles maintenant. Passons à tes jambes qui se figent et maintenant ton cou, immobile et statufié. Je vais maintenant toucher ton pénis, il est déjà bien dressé, il va se dresser encore plus et rester bloqué en érection à mon touché, il est parfaitement sensible mais totalement figé maintenant. Tout ton corps est sensible mais c’est un corps statufié, incapable de bouger, parfaitement capable de ressentir."
Annie commence une lente masturbation sur le pénis dressé de Thomas.
"Tu ressens le plaisir de ma masturbation, être une statue te rend immobile mais pas insensible, tu sens peut être ton sperme monter maintenant. Pour que mon orgasme soit incroyable, il faut aussi que je contrôle ton éjaculation car toi tu es immobile, tu ne peux rien contrôler. Alors je veux que ce sperme se gèle dans ton pénis, totalement bloqué, impossible d’éjaculer sans mon ordre. Ton éjaculation est soumise à ma décision. Tant que je ne te dit pas explicitement de jouir, tu ne peux pas te libérer. Ainsi, quand je vais te réveiller, tu seras une statue calme et immobile, parfaitement consciente, consciente de son impuissance physique et de son incapacité à jouir. Tu seras la statue à qui je souhaite faire l’amour, être cette statue te plaît et tu aimes cette idée, cette idée d’impuissance qui fait de toi un simple objet de mon plaisir.
Ouvre la boite à commandes hypnotiques maintenant et inscrit cet état de statue en toi, quand je te dis
=Médusé=
tu deviens une statue, figée dans sa position, capable de ressentir, totalement conscient de ce qui se passe autour d’elle mais incapable de bouger. La commande
=Médusé=
s’inscrit, tu en auras sûrement conscience mais tu ne peux y désobéir, à ce son tu deviens une statue comme maintenant. Cette commande peut être employée à tout moment, si tu ne te mets pas en danger physique immédiat, tu deviendras me statue. A chaque fois que la commande sera utilisée, ta réaction sera encore plus ancrée et rapide.
Tu retrouveras un état normal lorsque je dirais
=Démédusé=
tu seras alors libre de tes mouvements et conscient de cet épisode.
Je vais te réveiller, tu seras une statue consciente et immobile avec l’interdiction de jouir sans mon ordre à ta sortie de trance. Parfaitement réveillé à 3 ; 1. 2 3."
Thomas se réveille, Annie peut lire de la peur dans ses yeux qui regardent dans toutes les directions. Aucun mouvement ne perturbe ce corps mince, légèrement musclé.
"Reste calme, je t’ai hypnotisé et transformé en statue immobile pour mon plaisir, je vais te faire l’amour et tu n’as rien à faire, juste savourer."
Il la regarde perdu, pour la première fois il comprend la puissance hypnotique qu’elle a sur lui, il se souvient du petit déjeuné et du pendule. Maintenant il est bloqué ici, impossible de bouger, il ne le veut pas vraiment, il sait qu’il va être un sextoy pour sa maîtresse, son hypnotiseuse.
Elle lui caresse le torse et le pénis. Ses yeux se ferment lentement et se ré-ouvrent, ce regard laisse deviner du plaisir, il se laisse aller maintenant. Au fond de lui, il aime cette situation, il l’a fantasmée, il l’a voulue et elle a sûrement bien travaillé avec lui pour qu’il en soit là. Il l’appelle maîtresse sans réfléchir, il est devenu passionné de son intimité, elle la déjà transformé et il aime cette transformation et cette impuissance.
Annie se relève et viens approcher son sexe de son visage, elle le fait danser juste devant lui. Il voudrait tant le lécher mais il ne peut pas, il est figé. Il essaie de toutes ses forces mais c’est impossible, ce sexe est si beau, si désirable, il sent si bon. Annie rit, elle savoure sa torture.
"Tu voudrais ce sexe non? mais tu es une statue immobile, désire-le encore plus, encore plus". dit-elle en le défiant avec le sourire.
Elle le lui approche et le lui retire, la torture est douce mais terrible. Elle se retourne et pose son sexe sur son nez, les fesses collées au front, elle l’y enfouit totalement, au plus proche. Seulement, sans pouvoir bouger, la frustration est très intense. Elle bascule vers l’avant pour mieux présenter une vue arrière de son intimité et elle lui caresse l’intérieur des cuisses en lui parlant et regarde le pénis se dresser encore plus.
"C’est si bon de se sentir désirer, je vois ton sexe se gonfler encore devant le plaisir de ta frustration, tu as l’air d’aimer. Thomas comprend bien que tu es à moi maintenant, il va te falloir être très fort pour m’échapper tellement je te contrôle par l’hypnose. Ton plaisir est lié à l’hypnose, tu ne peux faire autrement que de t’y laisser guider, comme maintenant, immobile et excité, à savourer l’objet de tes plus grands désirs, ma chatte, celle de ta maîtresse hypnotique. Je vais maintenant te chevaucher et te faire l’amour, tu vas pouvoir m’admirer, y prendre plaisir et découvrir l’avantage de mon pouvoir sur toi, laisse toi aller et savoure".
Elle se retourne et s’empale sans difficulté sur le pénis. Elle monte et descend, exhibe sa poitrine sous le visage immobile de Thomas. Elle pose une main sur le torse de la statue pour asseoir sa domination. L’autre main glisse sur ses couilles pour les presser et les caresser. Il est immobile, elle est libre. Il est soumis, elle est dominante. Il vit un rêve, elle contrôle ses rêves.
Elle l’attise et s’excite avec lui :
"Regarde ma statue, je te domine totalement, tu es mon sextoy maintenant, un sextoy heureux. Tu ne peux même pas jouir, tu ne peux que me regarder, admire moi, ressent mon plaisir"
Lui n’en perd pas une miette. Les yeux verts de cette petite déesse brillent. Le visage est doux, sensuel, d’une symétrie quasi parfaite. Un petit grain de beauté sous l’il gauche le souligne. Sa bouche est merveilleuse, les lèves fines se terminent par un petit pli de peau vertical adorable. Ses cheveux châtains clairs tombent en haut de son cou, ses fines épaules laissent apparaître les os et sa peau halée lui va à ravir. Ses petits seins pointent fièrement, les aréoles sont larges, les tétons assez prononcés, le droit pointe vers l’extérieur. La poitrine se balance fièrement selon la cadence décidée par Annie. Elle a un petit ventre sexy, on devine des abdos sur le haut, de la chair douce les cache plus bas. La taille est fine mais les hanches sont larges, la bassin est assez saillant. Il voudrait lui toucher les fesses, tenir les seins, lui serrer les hanches mais il est une statue. Curieusement la venue d’une éjaculation ne se fait pas ressentir. Son pénis est ultra-sensible, ultra-sollicité et des contractions de ses muscles profonds se font sentir ce qui le remplit d’un bonheur encore inconnu. Il crierait s’il le pouvait, il ne le peut pas mais il savoure tout autant.
Annie regarde sa proie immobile qui la balaie du regard, cet homme est à elle maintenant, il aime cette emprise et elle veut en jouer. Elle va en faire une marionnette sexuelle, un esclave heureux et volontaire. Il est beau ce petit médecin vulnérable, il est attentionné, il est à elle maintenant, déjà. Elle n’a jamais ressenti une verge aussi dure en elle, elle contracte son vagin pour se modeler sur lui et elle se laisse submerger par le plaisir, son orgasme arrive, une première vague, une seconde, c’est incroyable, comme elle le souhaitait. Elle inspire, lui serre les couilles et le regarde :
"Tu peux jouir maintenant, je veux te sentir immédiatement"
Il n’a pas le temps de comprendre ou d’analyser l’ordre que déjà le sperme remonte en lui, impossible de le bloquer maintenant. Il emplit le pénis et est libéré dans un bonheur intense.
Elle ressent le pénis se gonfler une dernière fois et se relâcher par contractions successives, elle pousse un dernier cri de plaisir.
Une fois le plaisir passé, elle se couche à côté de sa statue et lui caresse le torse.
"J’ai eu l’un des plaisirs les plus important de ma vie. Je vais te libérer dans un instant et maintenant que tu as compris ce que je t’ai fait, il va falloir que tu l’analyses. Ton train est dans quelques heures, tu peux fuir à la gare au plus vite, je ne t’appellerais pas. Sache que j’ai adoré ce week-end et que j’adore ma position de dominatrice hypnotiseuse, je me crois capable d’aller très loin, de dépasser toutes les limites que tu peux imaginer. Ton esprit est très malléable, je peux le baiser et le retourner totalement. Sache que je suis une bonne personne et que je ne te ferai jamais de mal, c’est une promesse, la seule que je peux te faire sur ton avenir d’hypnosoumis
=Démédusé=
Thomas bouge sa jambe, son bras, il est libre. Il se déplace et la serre contre lui, il l’embrasse, la sent, il retrouve une odeur qu’il aime tant, pourquoi réfléchir aux conséquences, il a souvent fantasmé à la soumission, à une emprise féminine sur lui, elle se présente sous une forme incroyablement excitante, il faut l’accepter.
"J’aime t’appartenir, j’aime être un soumis hypnotique. Baise-moi le cerveau maîtresse!" dit-il en la regardant tendrement.
Ils rient, s’embrassent, refont l’amour encore une fois, sans hypnose mais avec tendresse et passion, la passion si intense des jeunes couples.
La fin du week-end est là, Thomas et Annie attendent le train avec tristesse à la gare. Discrètement Annie retire son pendentif d’autour de son cou et le balance devant Thomas.
"Thomas, tu t’endors, encore plus profond que la dernière fois, c’est bien. Oublie le bruit et le public, nous sommes toi et moi dans une relation d’hypnose. Je souhaite t’offrir une surprise inconsciente avant de nous séparer. Je veux qu’il te soit absolument impossible de jouir tant que tu n’as pas une photo de ma chatte sous les yeux. Tu peux te masturber tant que tu veux, sur tous les supports possibles et imaginables, il t’est absolument impossible de jouir. Chaque jour ton excitation augmentera, chaque jour tu seras totalement frustré. Seulement lorsque tu verras mon sexe, ce sexe que tu désires tant, tu pourras alors te libérer, seulement à ce moment-là. Jusqu’à notre prochaine rencontre, aucune masturbation n’arrivera au bout sans une photo de ma chatte pour jouir car ma chatte est ton plus grand objet de désir et le seul qui mérite une éjaculation. Une fois la photo utilisée, immédiatement après, tu m’enverras une photo de toi, de ta position et tu m’expliqueras ce que tu as ressenti. Alors tu effaceras ma photo et ta frustration reprendra mais tu seras conscient de tes besoins et du contrôle que j’ai sur ton plaisir.
Cette surprise est maintenant ancrée dans ton inconscient, impossible d’en avoir conscience avant la première masturbation. Cette surprise te permettra de me désirer encore plus, et j’aime que tu me désires. A 3, réveillé et alerte, inconscient de cette séance. 12.3.
Ils s’embrassent, le train arrive et ils se séparent. Une fois installé, Thomas entre un événement dans son agenda, dans 15 jours elle vient le voir. Il regarde défiler les paysages heureux et se souvient de son rêve à l’aller, était-il si loin de la réalité?