Il était une fois une famille ’ordinaire’ composée du père, de la mère et de jumeaux, fille et garçon, à leur naissance ils étaient reliés par la tranche des mains, autrement dit siamois, lopération bénigne sest parfaitement déroulée, il est impossible aujourdhui de voir la moindre cicatrice, par contre ils éprouvent les mêmes émotions et sensations au même moment, que ce soit intellectuelles ou physiques
Dans limpossibilité de les séparer ont les laissent dormir nus dans le même lit, porte de chambre toujours ouverte, a la vue des parents, ce qui fait qua dix sept ans leur corps de plus en plus demandeur, exposé lun a lautre, afin de découvrir leurs différences, avant de se toucher toujours face a face le désir montant sans cesse, ils se sont caressés mutuellement avec les doigts et la bouche, leur positions de soixante neuf était tout simplement sublime a voir
Les longs cheveux blonds de la fille, en position haute sur son frère, caressaient le ventre et les remarquables attributs du garçon avant de le prendre en bouche, tandis quil lui fouillait la vulve dune langue de plus en plus experte, inondée de cyprine, il se délectait de ce breuvage des dieux, tout ça sans chercher à en venir a la pénétration, donc toujours vierges
Les parents au courant, assistaient même parfois à leurs ébats, car les enfants ne cherchaient pas à se cacher, mais ils se gardaient bien dessayer de contrarier leur mystérieuse complicité
— Nous navons pas honte de nous montrer a vous, pourquoi ne faites vous pas pareil ?
— Vous voudriez que nous nous caressions devant vous ?
— Nous formons une famille très unie, je ne vois pas dobstacles a de petits jeux inoffensifs entre nous, vous pourriez même faire lamour devant nous, cela nous aiderais dans nos découvertes charnelles
— Vous navez pas envie de connaitre des copains pour faire lamour ?
— Bien sûr que si, nous avons envie, mais nous préférons attendre nos dix huit ans et nous dépuceler nous même, tous les deux, ensuite il faudrait que nos petits copains acceptent que nous fassions ça en famille !
— Vous avez raison les petits, pour votre dépucelage nous serons là, nous ferons une grande fête !
— Chéri, déshabillons nous et caressons nous à coté deux
Ils découvrirent avec des yeux admiratifs le sexe bandé du père, la chatte très épilée de la mère et ses seins aux larges aréoles
— Vous êtes beaux papa a une belle verge, et toi maman ta chatounette est bien dessinée, presque plus finement que la mienne, quen pense tu petit frère ?
— Je les aime toutes les deux ! cest obligé que vous ayez une différence, cest comme la queue à papa, jespère être aussi membré que lui un jour, mais est-ce que la chatte de maman a le même goût que la tienne ?
— Pourquoi ne vient tu pas me lécher ainsi tu feras la différence, tu es daccord chéri ?
— Bien sûr voyons, il faut les éduquer
— Alors je vais caresser mon père en vous regardant ! tu veux bien papa ?
— Vient ma chérie, ma verge est a toi
— Elle est très dure
— Plus cest dur, meilleur cest, tu verras un jour
En se mordant la lèvre inférieure elle manipule la queue paternelle jusquà ce quelle gicle entre ses doigts quelle portent a sa bouche pour en comparer le goût avec le sperme de son frère qui se relève dentre les cuisses le visage englué de mouille maternelle
— Cétait bon pour toi frérot ?
— Huuuummm, un délice, vous avez le même jus toi et maman
— Pareil pour le sperme !
— Cela nous fait plaisir que vous ayez apprécié, maintenant regardez, votre papa va mettre sa zigounette dans mon ventre
La mère se met en levrette, le cul bien exposé vers ses enfants, le père se met en position la queue a la main et la dirige vers la fente ouverte par le plaisir, après lavoir frottée longuement sur la matrice il se décide à senfoncer, la main dans la main les jumeaux assistent a la lente pénétration voulue afin quils voient le manche poilu disparaitre entièrement, dans la cramouille baveuse
— AAAAAAHHHHHH ! Si vous saviez combien jaime ça ! Va y chéri défonce moi devant nos enfants
— Je vais te farcir labricot, ensuite je me retirerais pour quils voient le trop-plein de sperme ressortir
— Que cest beau ! masturbons-nous encore !
Ainsi cette famille se fait souvent plaisir sans arrières pensées, arrive leur dix-huitième anniversaire
— Demain vous avez dix huit ans, vous allez faire lamour tous les deux les jumeaux ?
— Oui ! mais nous avons bien réfléchit nous aimerions que vous participiez, cest grâce a la petite graine de papa que nous somment là, aussi je voudrais quil participe activement a mon dépucelage
— Tu veux dire que tu aimerais quil te pénètre ?
— Oui, mais comment ? car je veux aussi la verge de mon frère en moi
— Rien de plus simple, tu verras demain ma chérie, ça va être une grande fête au champagne !
La jeune fille à mal dormit en proie à lexcitation et lappréhension, ses seins lui font mal a force dêtre durs, sa chatounette narrête pas de suinter, quant au garçon il évite de se masturber pour asperger au maximum la chatte de sa sur
Le soir tous sont en peignoirs, cest la mère qui prend la parole
— Le moment est venu pour perdre votre virginité, pour vous être caressés très souvent ensembles vous connaissez vos sexes parfaitement, donc nous allons passer directement à laccouplement
— Maman, tu sais que je veux aussi la verge de papa ?
— Oui ma chérie, voici comment nous allons procéder
— Explique ?
— Avant, pour bien détendre tes chairs, nous allons te lécher les uns après les autres, ensuite ton père et ton frère vont sallonger afin que je puisse réunir leurs queues dans mes mains, tu les enjamberas et tu nauras quà te baisser pour te faire enfiler
— Hoooouuuuaaaa ! bonne idée ! ainsi je pourrais voir ma minette avaler les deux membres ! mais ça va faire gros non ?
— Non, allonge toi et offre toi a fond, a partir de maintenant il te faudra entretenir ta toison, ne laisse que quelque poils pour faire joli, ta vulve doit être bien dégagée lorsque ton frère ou ton père voudrons te faire lamour, les poils risquent dêtre entrainés et dentailler la verge ou lintérieur de ton vagin
— Oui maman je le ferais, je suis assez écartée comme ça ?
— Muuuuuummmm ! on voit tout lintérieur ! qui commence ?
— Papa ? ensuite toi, et enfin mon frère, pourvus quil ne décharge pas avant ?
— Ce ne serait pas grave, il est comme ton père, il ne débande pas facilement !
— Tu crois que je vais jouir ?
— A mon avis plusieurs fois !
— Préparez-moi vite !!!
La jeune femme se donne volontiers à ses lécheurs, son dos ondule de plus en plus fort, elle lance son bassin au devant de la bouche de son frère qui lui broute le minou le dernier, ses lèvres vaginales détrempées sont pendantes a force dêtre triturées, aspirées, elle est prête .
— Les hommes ? En position, je veux voir vos queues se toucher, voilà, wooouuuah jen ai la pleine main ! approche ma chérie . Regarde ces magnifiques morceaux !
— Ils vont me déchirer
— Mais non ! tu va être un peu élargie mais ta chatte reprendra sa forme initiale, agenouille-toi doucement ouvre ta moule avec deux doigts baisse toi encore ..voilà, les glands touchent ta vulve
— Je les sens jai peur
— Quand tu te sentiras prête laisse toi descendre dun coup, respire profondément VA-Y !
— AAAAAIIIIIIEEEEEEEE !!!!!!!! OOOOOOUUUUUUUUIIIIIIIIII CEST BOOOOONNNNNNNNN !!!!!!
— Ça y est ma chérie tu es femme ! que ressens-tu ?
— Jen ai plein la chatte ! ça ma brulé un peu mais maintenant ça me fait des choses agréables dedans !
— Soulève-toi et laisse toi retomber violemment, le plaisir va venir très vite
— Je préfère ressortir pour que mon frère sallonge amoureusement sur moi, ensuite se sera au tour de papa
— Très bien ! mon grand garçon me prendra moi aussi a coté de vous !
Etendue les bras en croix, les genoux remontés sous les seins, le papa se positionne et enfonce sont vit bandé entre les cuisses offertes, les jambes fluettes se referment sur le torse afin de le maintenir au plus profond de son être, il la ramonée en puissance durant une éternité avant de laisser jaillir son foutre en elle, aussitôt le jumeaux a délaissé sa mère pour prendre possession de la moule marécageuse de sa sur
Toute la nuit ce fut une orgie de cris de joie, dorgasmes, de pénétrations, de positions diverses, les femmes baignaient dans un jus immonde
