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La gérante de la galerie d'art – Chapitre 12




Je commence à me branler, face à elle, pour la faire baver. Je vois ses yeux exorbités, fascinés, comme d’habitude, qui louchent sur mon engin, déjà bien raide (il faut dire que la voir ainsi, offerte, la jupe retroussée, le cul à l’air et ses gros seins par-dessus bord, le corps arqué, sur la pointe de ses bottes, comme une femme sur le marché aux esclaves) m’a plutôt fait de l’effet !

Mais elle sent soudain une présence derrière elle. Elle n’a pas vu arriver l’homme qui s’est faufilé et s’est glissé jusque derrière elle, sans bruit comme un chat.

Elle sent qu’il vient de s’accroupir derrière elle. Elle sent son souffle sur son fessier. Il est léger mais sa respiration est courte, elle sent à ses murmures que sa voix est rauque.

Et puis les doigts se sont refermés sur ses mollets galbés et emprisonnés dans leurs bottes, il les presse légèrement, puis ils remontent, caressant les cuisses en faisant crisser le nylon brun.

Quand ils touchent la peau nue au-dessus de la jarretelle elle est parcourue par un frémissement incontrôlable, elle se cambre davantage, creusant les reins comme une jeune pouliche affolée qu’on n’a pas fini d’éduquer ni de maîtriser, ne pouvant réprimer un restant de nature sauvage.

Mais elle ne proteste pas, elle apprécie, savoure ces attouchements qui lui font sentir devenir un bel objet. Oui elle sent qu’elle est maintenant un objet sexuel entre les mains de ces deux hommes, l’objet de toutes les attentions, un objet de convoitise, l’unique objet de leur désir. La voilà sur un piédestal, offerte à leurs envies, promise à leurs futurs plaisirs qu’ils ne vont pas tarder à prendre avec elle, à arracher de sa chair mûre, douce et voluptueuse.

En attendant, s’ils bavent devant son corps de Messaline faite pour la baise la plus torride, mes index et majeur qui passent et repassent entre les fines lèvres de sa conque, dans sa fente des plus émouvantes, se rendent bien compte qu’elle aussi bave bien ! Elle englue mes doigts, sa cyprine gluante me dégouline en petits filets et elle commence à sentir cette humidité qui rafraichit la peau découverte de ses cuisses.

Celui qui examine son côté pile s’est lancé dans une exploration mettant à contribution ses cinq sens :

ses fesses sont palpées lentement, il cherche à en évaluer l’élasticité, la texture, la douceur de leurs téguments ; il pinçote, presse, fait rouler leurs chairs, recherche toute trace de cellulite (qu’il ne trouve pas, fort heureusement je dis « fort heureusement » car sinon, cet homme très exigeant et très dur avec les femmes d’un certain niveau se serait certainement permis de lui faire expier cette faute avec de cinglants coups de martinet sur l’objet du délit) ; il finit par les écarter très lentement, jusqu’à avoir la vue qu’il souhaite sur sa rosette :

il la laisse ainsi les fesses écartées, bien ouvertes, et ses lèvres laissent échapper une sorte de grognement satisfait, jusqu’à ce quelle comprenne qu’il prononce bien ces mots :

« Jolie petite fleur très délicat petit illet bien ourlé, bien froncé et à la couleur plus claire que j’imaginais chez une brune »

Elle se rend compte qu’elle a affaire à un connaisseur, un homme au goût sûr et raffiné, et un esthète, un hédoniste. Certainement un amateur d’art et homme d’une condition élevée (si ça se trouve c’est un client ou au moins un visiteur qu’elle a déjà rencontré dans sa galerie !)

Mais son exploration ne s’arrête pas là :

Du bout de l’index il apprécie le relief des plis radiés de son anus (manifestement il porte un intérêt tout particulier à cet endroit de l’anatomie des femmes Et elle commence déjà à imaginer ce qu’il aime en faire et s’il est aussi membré que moi elle commence à redouter sa future première sodomie par cet homme qui va prendre tout le temps qu’il lui faut pour conquérir sa petite rondelle, tant pour forcer son anneau serré que pour se rendre maître de la place

Elle sent qu’il a des mains fortes, elle sent que c’est un homme puissant (peut-être plus mentalement que physiquement mais cela revient au même) et elle imagine déjà ses mains fortes emprisonner sa taille tandis que son mandrin ne laissera aucune chance à sa petite rosette, et lui défoncera le cul à grands coups de boutoir sans se soucier de ses cris de protestation.

Pendant ce temps, je frotte mon chibre sur la chair boudinée de sa cuisse au-dessus de la jarretelle tandis que je la saisis par ses mamelons déjà bien fripés par leur turgescence.

Je la manuvre ainsi par les pointes de ses seins comme une chienne, la faisant avancer et reculer à ma guise enfin osciller sur le bout de ses pieds bottés, puisqu’elle ne peut guère bouger plus puisque l’autre homme la tient fermement par les fesses comme une truie qu’on va bientôt passer sur le billot.

Je lui ordonne de tirer la langue, et d’en faire une pointe, de la sortir le plus loin possible : elle s’exécute. Je la regarde droit dans ses beaux yeux troublés et avance mon visage je me mets à sucer cette langue, dont je sais qu’elle est capable de faire des merveilles.

Mais j’adore cette sensation, j’adore son goût, je me repais de tous ses effluves qui montent à mon nez (salive, odeur musquée de ses aréoles de seins, de ses bras, de sa mouille qui l’inonde et dont le parfum monte, chatouillant mes narines) Elle me rend ma pelle, elle m’excite !

Je lâche sa langue, mords un peu ses lèvres, et lui murmure à l’oreille :

« On va te baiser comme tu n’as jamais été baisée, ce soir. Tu vas vraiment être ramonée comme tu en rêves. Embrochée, défoncée. Tu vas déborder de foutre et de mouille, tu vas être bien remplie. On va te promener dans tout l’appartement à coup de bite, tu vas marcher à quatre pattes poussée par nos coups de pine ! »

Là je lui mords vicieusement le lobe de l’oreille tout en lui rentrant deux doigts dans la chatte, lui arrachant un cri de surprise.

Mais en même temps, elle a droit à une autre surprise à laquelle elle ne s’attendait pas :

l’autre, qui maintient ses fesses dans le plus grand écartement, a enfoui son visage dans la vallée profonde ainsi exposée et sa langue et sa bouche explorent avec passion son petit cratère bistre !

° ° °

Perchée sur mes hauts talons je semble être comme en équilibre étant attachée les mains dans le dos. Je commence à protester que cela n’est pas ce que nous avions arrangé. Je n’étais pas d’accord pour ce genre de choses.

Mes protestations faiblissent alors que ses doigts massent adroitement ma chatte maintenant trempée. Mon cur bat à toute vitesse. Je sens sa main sur mes seins jouant avec mes tétons alternativement. Son autre main active mon clitoris. Je me tortille comme pour leur échapper. L’étranger caresse mes fesses et ses mains jouent avec mes jarretelles. Il s’exclame avec une voix étrange car cachée par son masque :

— « Hummmmmm, j’ai rarement vu une femme BCBG habillée aussi sexy. Elle doit être amoureuse de vous, Docteur, ou du moins vous être dévouée, totalement soumise. Charmante, classe mais plus sexy qu’une star du porno ! »

Il commence à lécher mon anus ce qui est une sensation nouvelle, nouvelle mais enivrante.

« Oh non mais que faites-vous ? Ohhhhhhh je ne suis pas Ohhhhh mon Dieu. »

Je commence à mouiller comme rarement avant. Ses doigts font échapper de ma chatte un son des plus juteux : « Ssshhhploohhhkk ssshhhhhllluuuurrrrr »

Je gémis de plus en plus. Les yeux retournés, la tête inclinée de côté, je sens un orgasme monter.

Il me fait comprendre qu’il n’est pas encore temps pour moi. Sa grosse queue vient claquer mon visage. Puis il la pousse dans ma bouche haletante.

Excitée comme une folle je gobe ce gros gland de mon dompteur.

° ° °

Le corps plié en avant, comme cassé en deux, la position n’est pas très confortable mais pourtant elle s’y est bien mise : sa bouche fait des merveilles et commence à me sucer avec avidité.

Je retrouve ma belle salope que ma grosse queue excite et dont la seule vue provoque chez elle une rare crise de dévotion pour le phallus !

J’appuie doucement sur ses épaules pour lui faire comprendre qu’il lui faut se mettre à genoux à présent. Ce sera plus pratique pour nous deux.

Je pose mes deux mains de chaque côté de son visage et le maintiens bien tandis que sa bouche s’active. Je n’ai quasiment pas besoin de faire des mouvements de bassin.

Ses nichons, piteux, pendent comme deux outres par-dessus son soutif : quelle vision de lupanar, on dirait vraiment une cocotte, une pute de luxe dans un bordel de dernière catégorie.

L’autre homme a bien entendu retiré sa langue d’entre ses fesses. Il est admiratif devant sa croupe nue ainsi exposée ; ses fesses bien rebondies et cambrées lui donnent des idées lubriques, des envies d’infamie.

Il se place à genoux derrière elle. Il a sorti son chibre bien en forme, un braquemart arqué, raide et d’une longueur respectable. Il le place dans son sillon fessier et la tenant ainsi par ses deux hémisphères il commence à se branler dans sa raie culière. Je crois que son cul le fascine !

Il faut dire qu’elle a un cul des plus bandants, un des mieux faits que je connaisse chez une femme !

« – N’est-ce pas, mon ami ? Vous le trouvez à votre goût, on dirait ?

— Oh ça oui, Docteur ! Quel cul, nom de Dieu ! Des fesses parfaites, une croupe étonnante, une vraie croupe de jument de compétition. Un cul de baiseuse qu’il me tarde d’explorer plus intimement.

J’adore connaître les femmes de l’intérieur

— Oui, vous en serez particulièrement satisfait, je peux m’en porter garant. Car même si celle-ci est régulièrement visitée par le fondement, je peux vous promettre que son petit orifice est encore bien serré : il se refermera sur votre vit tout à fait délicieusement pour votre plus grand plaisir. C’est vraiment un nid des plus douillets et il est brûlant comme l’enfer.

— Hummm Je vais vérifier ça sur le champ.

— Ne vous gênez pas, mon ami. Vous êtes mon invité. Et ce cul est à vous. Vous pouvez en disposer et en jouir à votre aise, autant que vous le voulez. Il y a un tube de gel sur la petite table d’échecs là-bas, vous voyez ?

— Depuis le temps que je rêve d’enculer une salope bottée comme celle-là surtout aussi classe, aussi racée. Une patronne de galerie, par-dessus le marché. Ah comme j’aimerais l’enculer dans l’une de ses salles, au milieu de ses statues

— Ça » ris-je un peu, « vous verrez avec elle plus tard, si elle en est d’accord »

Avec des mouvements de plus en plus amples et un peu plus rapides coordonnés à tes mouvements de tête, je lui baise la bouche avec ravissement.

Mon compère a été chercher le gel et il lui en fait couler une bonne dose en haut de sa raie des fesses. Puis ses doigts se mettent à l’uvre, glissant en montant et descendant dans ce magnifique sillon.

Soudain, au brusque mouvement de nuque de Jeanna, je devine que le doigt de mon invité a forcé sa rosette, sans grande délicatesse mais le petit cratère était bien lubrifié, et il a l’habitude, en bonne soumise dont je dispose à ma guise, d’être prise par l’un de ses trois orifices, sans distinction.

Il fait aller et venir son index, l’air satisfait.

« – Alors, cher ami ? Comme trouvez-vous son cul ?

— Serré effectivement, étonnamment serré, j’en conviens. Je ne vous remercierai jamais assez de m’offrir cette pouliche avec un si délicat petit trou surtout pour son âge !

— Oh c’est peu de choses, je vous en prie.

— Elle a vraiment un cul à se faire enculer, cette belle salope. Une belle brune en bottes comme ça, j’en rêvais

— On dirait que vous aimez beaucoup sodomiser les femmes, cher ami ?

— Ah oui, je le reconnais. Leur baiser la chatte m’ennuie. Je ne fais que les enculer. Et je préfère de loin les salopes mûres comme celle-ci – quarante-cinq ans minimum – au fessier bien développé, bien épanoui, à ces petites bimbos fragiles qui surveillent leur ligne et dont le petit cul chétif et blafard ne vous donne vraiment aucune envie !

— Mon cher, amateur d’art vous n’êtes pas seulement, vous êtes un esthète !

— Oui, mais un esthète vicelard et pervers » dit-il en grimaçant méchamment, son ton de voix ayant changé tandis qu’à l’effort qu’il faisait je devinais qu’il avait ajouté le majeur à l’index et était en train de pousser les deux doigts désormais plus avant, progressant dans le rectum de ma soumise, l’infortunée brune qui ne savait pas que son cul était dans les mains d’un professionnel de la sodomie.

D’ailleurs le membre de cet homme, sous l’effet de l’excitation provoquée par notre dialogue et la sensation du petit sphincter étroit de la belle salope se refermant sur ses doigts, avait atteint une taille impressionnante. Il avait de la ressource, mon invité !

« – Moi, cher ami, je trouve son cul un peu pâlot, vous n’êtes pas d’accord ?

— Oui vous avez raison, pour une brune je le trouve un peu blanc, je m’attendais à une peau plus mate, même à cet endroit qui voit bien peu le soleil.

— Seriez-vous assez aimable alors, ami, si ça ne vous dérange pas, d’aller prendre le martinet là-bas, sur la commode, vous voyez oui, là, c’est un chat à neuf queues, et qu’avant que vous ne l’enculiez comme elle ne l’a encore jamais été je vous fais confiance et votre réputation d’enculeur sauvage est de notoriété publique dans cette ville vous lui appliquiez une bonne trentaine de coups sur ces fesses trop blêmes afin de leur redonner des couleurs ?

— Oh mais avec plaisir, mon ami, ça ne me dérange pas, au contraire ! J’ai l’habitude moi aussi de bien dresser mes salopes, histoire qu’elles ne s’endorment pas sur leurs lauriers.

Je lui défoncerai le cul juste après, elle ne perd rien pour attendre : je lui exploserai le pot bien assez tôt. »

(A suivre)

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