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Jours de grève – Chapitre 1




Je suis 100% gay, j’ai aujourd’hui 33 ans et je vais vous raconter une histoire vraie qui s’est déroulée il y a quelques années, quand j’étais au lycée dans le sud-ouest de la France.

C’était le mois de mai et le pays était touché, depuis quelques jours déjà, par d’importantes grèves de l’éducation nationale. J’étais en terminale et étant un élève sérieux, je commençais à baliser que les professeurs ne finissent pas leurs programmes alors que les examens approchaient à grand pas. Bon nombre de mes camarades avaient arrêté de venir au lycée vu l’incertitude de présence des professeurs, moi je m’obstinais à me rendre au lycée. 

Je prenais le bus tous les jours et en ces temps de grève, il était assez désert. Je trouvais toujours ma place favorite, celle où j’avais vue directe sur le chauffeur de bus par l’intermédiaire du rétroviseur central. Je flashais sur les hommes matures à l’époque. Lui, Jean-François, avait la quarantaine, assez costaud, à peine 1m70 je pense, cheveux châtains, calvitie naissante, les yeux marrons, rien d’extraordinaire me direz-vous mais moi je ne pouvais m’empêcher de jeter quelques regards furtifs dans sa direction pour alimenter mes fantasmes. Ce qui m’attirait le plus c’était sa chemise largement ouverte sur un torse velu. Je fantasmais sur ses poils et sa virilité. L’homme gaillard du sud-ouest. Et le mois de mai dans le sud-ouest est particulièrement propice aux chemises à manches courtes et entrouvertes pour mon plus grand bonheur.

Au matin du jeudi, je monte dans le bus pour me rendre au lycée, je suis seul! Quelques élèves montent tout au long du trajet mais au final nous sommes moins d’une dizaine alors qu’habituellement il est plein à cette heure ci. Moi ça ne m’empêche pas de m’adonner à mon plaisir quotidien d’oeillades au chauffeur entre deux plongées dans mes fiches de révision. Sauf qu’aujourd’hui, peut-être à cause du peu de monde dans le bus, je croise souvent le regard réciproque du chauffeur de bus, alors qu’habituellement il est fixé sur la route. Merde il a capté que je le regardais. Ses regards se faisaient de plus en plus appuyés, si bien que je me mis à rougir, gêné. Je décidais de ne plus regarder dans sa direction, mais je sentais encore son regard sur moi quelques minutes. Finalement à l’arrivée en ville son regard fixait définitivement la route, j’étais rassuré de mon côté. J’ai eu chaud, mon coeur palpite…

Arrivé à mon lycée, je m’avance dans l’allée, sac sur le dos, je suis le seul à descendre. Le chauffeur le remarque en visant l’allée dans son rétroviseur central et me demande si ça me dérange de descendre à l’arrêt suivant pour l’autre lycée pour lui éviter un feu en tournant plus tôt. Aucun problème pour moi, les deux lycées sont très proches et les cours commencent que dans une demie heure. Je m’assois au 1er rang du coup, et je ne peux m’empêcher de regarder en coin le bras droit poilu du chauffeur. Il ne remarque rien.

Nous arrivons au deuxième lycée, son terminus. Il se gare à l’emplacement habituel. Il ouvre les portes arrières et médianes, tous les élèves descendent. Moi je me suis levé pour descendre par la porte avant sauf qu’elle reste close. Étonné je me retourne et là il me demande :

— pourquoi tu me regardais pendant le trajet?

Là je me suis senti rougir et défaillir en un instant. Vite, une excuse… Heureusement je suis vif d’esprit et je mens :

— ah non désolé, c’était pas volontaire, je suis dans mes révisions d’examen.

Il répond :

— d’accord je vois, allez bon courage mon gars.

Et il ouvre la porte pour me laisser descendre. 

"Mon gars", il m’a appelé "mon gars". J’étais fleur bleue à l’époque, ça m’a émoustillé toute la journée ! Bref, la journée se passe, quelques professeurs absents mais la majorité est là et le peu d’élèves permet de bien avancer et aussi de réviser. Par chance le dernier prof de la journée est absent et je peux finir à 16h. Et deuxième grand bonheur, il se trouve que le chauffeur à cette heure ci n’est autre que "mon" Jean-François. Mais je vais devoir me retenir pour laisser passer ses suspicions du matin! 

Pendant le trajet, j’arrive à ne pas le regarder. À 16:15 il s’arrête quelques minutes comme d’habitude à la gare routière pour attendre une correspondance avec un autre bus. Il en profite pour fumer une clope à l’extérieur du bus pendant que nous attendons à l’intérieur. Il erre autour de son bus, tâte les pneus du pied. Moi je le regarde d’en haut. Il jette quelques regards dans ma direction. Je détourne immédiatement les miens. Il remonte finalement à sa place voyant la correspondance arriver. Personne cette fois-ci, il redémarre et reprend son trajet. Nous arrivons à destination, dernier village à la limite du département, avec une bonne dizaine de minutes d’avance vu le peu d’arrêts effectués dus au faible nombre de passagers. Normalement je dois déjà attendre un bon quart d’heure le temps que mes parents sortent du travail pour venir me récupérer, là avec l’avance c’est presque une demie heure à attendre….

Pas grave, je vais relire mes fiches de révision, je m’installe sur le banc de l’abris bus. Mon bus est toujours là, il ne repart qu’à 17:00. Le chauffeur en profite pour descendre pisser contre son bus, la clope au bec. Je l’ai souvent vu faire ça, son petit plaisir entre deux trajets. Je sens qu’il regarde dans ma direction. J’ose lever les yeux de mes fiches pour vérifier que c’est bien moi qu’il regarde. Merde, c’est bien moi. Je détourne immédiatement le regard, mais je rougis à nouveau. Je sens encore son regard. Il finit de pisser, j’entends le zip de sa braguette et il vient dans ma direction d’un pas lent. Je sais plus quoi faire, je reste fixé sur ma fiche. Il m’adresse finalement la parole :

— ça avance ces révisions ?

— oui, il faut bien.

— tu passes le bac terminale?

— oui, économique et social.

J’ose à peine le regarder. Il doit sentir, ou au moins voir que je suis mal à l’aise. Mais il continue de me questionner :

— tu angoisses pour tes examens?

— non ça va, j’ai travaillé toute l’année, je suis assez confiant.

— t’as pas confiance en toi pour tout on dirait.

Je rougis encore et ne répond pas. Merde, comment je vais m’en sortir cette fois?

Il continue sur un ton léger :

— tu sais, si tu veux quelque chose, il faut le dire.

Je reste muet tout en le fixant. Je suis perdu, il serait intéressé par moi? J’étais à 10000 lieues d’espérer ça. Je reste interdit.

— j’ai remarqué tes regards sur moi par le rétroviseur depuis un moment, et tu n’es pas tous les jours plongé dans tes fiches! C’est moi qui t’attire?

— euh….

— allez dis-moi

Son ton est doux et m’invite finalement à la confidence… Je baisse les yeux en avouant :

— je suis attiré par votre chemise entrouverte…

— qu’est-ce qui te plaît exactement ?

— voir votre torse poilu…

Je lève les yeux vers lui pour sonder sa réaction. Son regard est toujours bienveillant, son visage est relâché. Et ça finit de me rassurer, il ne va pas me traiter de PD ni me cogner.

Il tire une dernière fois sur sa cigarette et l’écrase sur le socle en béton de l’abri bus. Je suis ses gestes des yeux, interrogateur. Je sens de la timidité, une courte hésitation mais il finit par me dire :

— tu as le temps de monter avec moi ou quelqu’un vient bientôt te récupérer?

16:40 à ma montre, mais j’arrive plus à calculer sur le moment. L’envie prend le dessus, je rassemble mes affaires et je le regarde en guise d’approbation. Il comprend et remonte dans le bus. Je monte aussi et il démarre juste le temps de fermer derrière moi. Il éteint aussitôt le moteur et se lève de son siège, face à moins. Il est aussi grand que moi. On se regarde, il déboutonne un bouton de sa chemise déjà bien entrouverte et écarte largement pour bien me laisser voir son torse et ses poils. Je vois presque ses tétons. Il me dit avec un sourire naissant :

— content de voir de près? 

— oui, c’est mieux qu’au rétroviseur!

Il défait un autre bouton et me demande :

— tu aimerais toucher?

Je réponds oui mais n’ose pas agir. Il prend ma main droite, le contact m’électrise. Sa main est moite. Il dépose ma main au milieu de son torse velu. Je n’arrive pas à réaliser ce qui arrive. Je caresse, la sensation de son poil long et soyeux me plaît énormément. Il a toujours un léger sourire, il prend manifestement plaisir à ma découverte de nouvelles sensations. Je m’enhardis et mes doigts passent sous le tissu, frôlant son téton droit, il est dur. J’appuie ma caresse du téton. Un gémissement me fait comprendre qu’il aime ça. Je porte mon autre main sur son torse, et j’écarte davantage sa chemise. Les tétons sont maintenant visibles. Je ne peux m’arrêter, mes index s’attardent et insistent sur ses tétons, les gémissements se font plus francs et réguliers. Mes yeux plongent dans les siens, il me dévore littéralement du regard, satisfait de mes soins. Puis il approche son visage, je le laisse faire, ses mains se posent sur mon dos et il finit de m’attirer à lui pour poser ses lèvres sur les miennes en m’enserrant fortement. Je fonds. Il écarte son visage pour sonder mon regard. Puis il pose à nouveau ses lèvres sur les miennes. Il s’écarte à nouveau et me demande :

— ça va?

Je fais signe que oui. Il continue :

— je vais pas trop loin? Je peux arrêter si tu veux…

— non, tout va bien.

Il m’embrasse à nouveau, me serrant plus fort. Je me sens seul au monde, protégé par ses bras forts, son corps baraqué. Il me chatouille les lèvres avec le bout de sa langue pour me faire écarter les lèvres. J’obéis naturellement. Je reconnais le goût de la cigarette mais ma langue se mêle à la sienne avec douceur, puis de plus en plus de vigueur. Je dois être un peu maladroit mais ça me plaît. Lui aussi visiblement, je sens une raideur au niveau de sa braguette. Je suis raide aussi et je m’en rends compte. J’ai un mouvement de recul prenant d’un coup conscience de ce qu’il se passait.

Il me rassure :

— ne t’inquiète pas c’est normal!

Je me sens rougir.

— tu as déjà bandé?

Je deviens sûrement encore plus rouge de gêne. Je finis par dire :

— oui, je me suis même déjà branlé.

— en passant à moi j’imagine?

Et il laisse échapper un léger rire sans que j’aie besoin d’avouer. Il me reprend dans ses bras, il dépose un baiser sur ma bouche, sur ma joue, dans mon cou. Ses mains caressent mon dos, l’un descend frôler mes fesses, l’autre passe sur mon visage. Il me caresse la joue. Puis il descend sur mon torse et passe finalement sous mon t-shirt. La chair de poule me gagne, mes poils se raidissent sur tout mon corps. Il frôle ma peau du bout des doigts pour accentuer cet état. Il sait très bien ce qu’il fait. Il me caresse les seins, trouve aisément mes tétons :

— tu es sensible des tétons aussi… et déjà quelques poils sur le torse… hmm… un beau ptit mec…

Il soulève franchement mon t-shirt, approche sa bouche de mon téton et le lèche quelques fois du bout de la langue pour me soutirer un gémissement avant de le prendre à pleine bouche pour le lécher de toute sa langue. J’adore la nouvelle sensation. Il s’écarte et me dit en me regardant dans les yeux :

— tu peux pas te faire ça seul?

Et il rit à nouveau connaissant très bien la réponse. Il me serre à nouveau contre lui. Son odeur m’ennivre. Il me ramène à la réalité en disant :

— il va falloir que j’y aille, je suis désolé.

Je ne veux plus retirer mes mains de son corps. Il finit par les ôter lui-même en déposant un gros baiser sur ma joue. Il dit ensuite :

— je vais réfléchir à comment on peut faire pour se retrouver seul à nouveau… tu aimerais qu’on continue ?

— oui évidemment.

— bien… bon moi ça va être dur de conduire avec cette gaule que tu m’as mis…

Son aise à parler crûment me décontenance… Il s’en aperçoit et rigole à nouveau, attendri.

Je reprends mon sac déjà triste. 

— mais au fait c’est quoi ton prénom?

— Lionel

— et moi Jean-François

— oui je sais

— tu peux m’appeler Jeff si tu préfères et me dire "tu"…

Il m’embrasse encore. Il regagne son siège, démarre son bus et ouvre les portes. Je descends du bus, je me retourne et le salue. Il me fait un clin d’oeil et dit :

— à bientôt mon beau Lionel

Il ferme la porte et démarre. Moi je le regarde s’éloigner jusqu’au stop. Puis il tourne et me fait un signe de la main. Je suis amoureux…

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