Justine, Jérôme, Rex et la famille.
Ch8. Coco et Doudou, un régal.
« C’est décidé : ce soir, le cousin passe à la casserole. Je vais me le faire, cet aristocrate, et lui remplir le trou de balle ! » Cette pensée m’obsédait. Dans la salle de bain, j’en avais informé Justine, qui, ravie de cette idée, m’informa que Coco allait prendre un cours de broute-minou.
Avant de nous coucher, nous souhaitâmes une bonne nuit à nos parents. Maman en profita pour me mettre discrètement la langue au moment du bisou habituel. Comme nos jeux avec nos parents étaient provisoirement suspendus à cause des cousins, nous étions libres de nos mouvements, mais sans en avoir vraiment l’autorisation. Je soufflai à mon père de mettre la vidéosurveillance en marche s’ils voulaient profiter du spectacle ce soir ; il ne répondit rien.
Alors que je me retrouvais dans ma chambre avec Charles-Édouard, j’entamai la conversation :
Mon cher cousin, je voulais te dire que, normalement, je dors nu : je suis plus à l’aise. Maintenant que nous nous sommes vus nus et que nous nous connaissons un peu mieux, je pense que nous pourrions dormir ainsi, si cela ne te pose pas de problème.
Je n’ai pas l’habitude de dormir ainsi : chez nous, c’est pyjama obligatoire. Mais je veux bien tenter l’expérience.
Je me déshabillai entièrement et m’installai sur mon grand lit pour deux, assis en tailleur ; mon cousin m’imita. Assis face à face, nous engageâmes la conversation sur tout et rien, puis petit à petit je fis glisser le sujet sur le cul :
Alors, que penses-tu des deux filles ? Elles sont belles, n’est-ce pas ?
Oui, Jérôme, mais ce n’est pas pour nous. Déjà que de se mettre nus avec elles c’est un péché, nous risquons les foudres de l’enfer. Et si nos parents apprennent ça, tu imagines le désastre ?
Holà, comme tu y vas ! Les foudres de l’enfer, tu y crois à ces trucs de curés ?
Nous allons à la messe tous les dimanches ; et dans les textes, c’est interdit.
Et de regarder des belles nanas, c’est interdit ? Tu t’imagines dans les bras de Justine ?
Il ne répondit rien. Un peu gêné, il se tournait les doigts. Il commençait à bander ; à la vue de son érection montante, je renchéris :
Et puis nous sommes majeurs…
Et je lui sortis notre maintenant célèbre théorie qui dit que « Nous sommes majeurs, et donc… etc. » Il finit par admettre que nous n’avions pas tout à fait tort, alors je repris :
Ferme les yeux et imagine : elles sont là, dans la chambre d’à côté, allongées nues sur le lit ; elles s’embrassent et se caressent. Justine est en train de lécher le minou de ta sur qui joue avec les tétons de ma mienne. Waouh ! Comme elles sont belles ! Et elles font l’amour comme de gouines…
Au fur et à mesure que je lui racontais ce que devaient faire les filles au même moment, il bandait de plus en plus. J’attrapai sa bite ; il eut un mouvement de recul mais je ne la lâchai pas, il se laissa faire. Je le branlais doucement ; il prit appui sur ses bras placés en arrière. Les yeux fermés, il soupirait doucement.
Je pris sa queue en bouche.
Non, pas ça !
Pourquoi ? Tu n’aimes pas, peut-être ?
Si… non… enfin…
Alors laisse-toi faire et tais-toi !
Je repris ma fellation, puis le forçai à s’allonger sur le lit. Ainsi je pouvais lui malaxer les couilles, titiller ses tétons et le caresser comme je le faisais à Justine. Il fallait que j’aille encore plus loin. Je me plaçai au-dessus de lui en 69, saisis ma queue et la plaçai devant sa bouche. À ma grande surprise, il l’avala gloutonnement et me tailla une pipe royale.
J’avais le sentiment que derrière mon cousin avec ses airs de bourgeois coincé, cureton, hautain et maniéré se cachait un beau cochon avide de sexe ; mais qu’à cause de son éducation bourgeoise dictée par les bonnes pratiques religieuses et la bienséance, il ne pouvait pas s’exprimer et réaliser ses fantasmes les plus fous. Je décidai de lui filer un coup de main, ou plutôt de bite.
Je me tournai, le regardai droit dans les yeux et lui dis :
Mon cher cousin, je vais élargir le cercle de tes amis… En gros, je vais t’enculer. Tourne-toi, s’il te plaît !
Surpris, il ne protesta pas, se retourna, m’offrant aussi la vision de sa rondelle brunâtre. Une capote bien huilée ainsi que son rectum, je pénétrai son orifice anal. C’était serré, très serré ; sous ma poussée, il avança un peu. Je le pris par la taille pour le retenir.
Putain ! C’était la première fois que j’enculais un mec… Et un aristo, en plus ! Cela me procura une grande satisfaction ; mon bonheur n’en était que plus grand, et la jouissance qui s’ensuivit encore plus intense. Charles-Édouard appréciait visiblement, à en croire les râles qui sortaient du fond de la gorge et à la raideur de son membre : il saisit sa bite à pleine main et se branla !
Mon méfait accompli, je lui tendis une capote en lui disant :
Allez, tiens, enfile ça et viens me sodomiser à ton tour, j’en ai envie.
Justine aurait éclaté de rire si je lui avais demandé un truc pareil, car ça, elle ne me l’avait encore jamais fait.
T’as raison, espèce de gros pédé, je vais t’enculer !
Pour le coup, il m’avait cloué le bec. Je lui présentai mon cul car je voulais savoir quel effet cela faisait de se faire sodomiser par un aristo. Sans se démonter, il me saisit par la taille et m’enfonça son dard dans le trou du cul et me lima comme un forcené jusqu’à ce que je sente sa bite gonfler et éjaculer par saccades dans la capote, puis il se retira.
Eh bien, mon cochon ! Moi qui croyais que tu étais coincé du cul, je me suis trompé sur ton compte ! Je te présente mes excuses.
Non, c’est à moi de m’excuser ; je n’aurais pas dû faire ça, c’est immonde…
Mais non, c’est naturel de baiser. Ne te tracasse pas pour cela.
OK, j’ai aimé, mais n’en parle pas à ma sur.
Ta sur ? Écoute…
Je me levai du lit, entrouvris la porte de ma chambre et allai me rasseoir. Écoutant en silence, nous pouvions percevoir les gémissements étouffés des deux filles. Je lui chuchotai :
Tu entends, mec ? Ta frangine est en train de s’envoyer en l’air avec ma sur ; elle prend un cours de gouinage, alors ne te tracasse pas pour elle.
En tendant l’oreille, nous entendions très distinctement les miaulements et les sucements qu’elles étaient en train de pratiquer. En regardant mon cousin, je m’aperçus qu’il rebandait à nouveau. J’éteignis la lumière. Nous nous allongeâmes côte à côte, et tout écoutant les doux râles des filles, je le branlais négligemment et il me fit de même. Quand les filles eurent fini, je lui dis :
Mec, je vais te branler jusqu’à ce que tu éjacules trois fois. Accroche-toi, ça va chauffer !
Je me suis mis à le branler jusqu’à ce que son jus sorte et je continuai encore. Justine me l’avait fait : au bout de deux éjaculations, je n’en pouvais plus, je l’avais suppliée d’arrêter.
Je changeais régulièrement de main. Au bout d’une dizaine de minutes, il est arrivé une seconde fois. Il se tordait dans tous les sens, car éjaculer deux fois de suite, c’est une véritable souffrance : j’avais eu la queue en feu. Il n’arrivait plus à bander, alors j’ai lâché sa bite molle et baveuse.
Putain, ça fait mal ton truc ! Mais quel pied ! T’es un vrai salaud comme mec.
Je sais : avec moi, quand je pars sur le cul, je ne sais plus m’arrêter ; et c’est pas fini.
Si les parents apprennent ça, on est mal, très mal…
T’inquiète : si tu n’en parles pas, personne ne sera au courant. Donc à toi de voir.
Bon, OK. Il faudra que j’aille à confesse, alors.
Oui ; tu n’auras qu’à sucer le curé et tu seras pardonné ! lui dis-je en riant.
Comme réponse, je n’ai eu qu’un haussement d’épaules. Et tant qu’à être dans l’ambiance, je rajoutai :
Ça te dirait de te faire Justine ?
Tu es complètement fou…
Mais on s’en fout… Alors, ça te tente ?
Bah… euh… j’sais pas…
Bon, oui ou merde ? Ah, t’es encore puceau ! C’est ça, t’as jamais baisé une fille ?
Bah… oui… enfin, non…
OK, c’est pas grave, on va rattraper le temps perdu. Et pour le reste, t’inquiète : ça reste entre nous. OK ?
D’accord. Putain, j’ai la trouille !
Ne t’en fais pas : Justine est toute douce, ça va bien se passer.
Mais pourquoi tu dis ça ? Vous… vous avez fait l’amour ensemble ?
Qu’est-ce que tu crois ? Je ne vais pas laisser un si beau cul sans ne rien faire, t’es pas d’accord ? Et en plus, je te garantis qu’elle aime ça. Demain soir, tu vas dormir avec elle et je vais m’occuper de ta frangine. Je vais lui faire sauter la pastille, et elle va A-D-O-R-E-R !
Il ne dit mot, mais il bandait à nouveau ; nous nous sommes couchés.
Le lendemain, je parlai de mes intentions à Justine qui me sauta au cou de joie. Nous nous racontâmes notre soirée ; moi, mes exploits, et elle me détailla ce qu’elle avait fait avec Coco.
Une fois dans sa chambre, Justine avait caressé sa cousine avec délicatesse, de façon à l’exciter. Petit à petit, le désir est apparu. Justine, très forte en matière de séduction, a pris possession sa cousine ; toutes les parties de son corps furent explorées. Ses seins malaxés à souhait ; les tétons sucés, pincés un peu puis mordillés pointaient comme jamais.
Colombe s’est laissée envahir par le plaisir ; jamais elle n’avait connu pareil bonheur. Elle gémissait doucement, se tortillait dans tous les sens sous les coups de langue experts de ma sur et de son doigté précis. Elle a écarté les jambes, laissant le passage libre vers son écrin, qui, pour son plus grand malheur, n’avait encore jamais connu de si belles attentions.
Justine lui avait ensuite câliné l’entrée de son antre avec sa langue, à la fois agile et malicieuse, aidée par des doigts fins et curieux qui réussirent à provoquer un premier orgasme. Justine fit goûter à son amoureuse d’un soir le jus coulant du vagin tout neuf qu’elle venait de récupérer avec sa langue. Le baiser fut long et savoureux, puis elles se lancèrent dans un 69 langoureux et passionné. Ensuite, ce fut Colombe qui prit l’initiative des câlins. Répétant les bienfaits de Justine, elle avait compris très rapidement où se trouvaient les points sensibles pour donner du plaisir. Elles firent une pause, allongées face à face, yeux dans les yeux, un petit baiser par-ci et un autre par-là ; Justine lui chuchota :
Tu es encore vierge, je suppose ?
Oui, mais on n’a pas le droit. Chez nous, on se doit de rester vierge jusqu’au mariage. Mais j’ai tellement envie, tu m’as rendue folle !
Tu as envie ? Alors fais-le, laisse-toi aller. Et tant pis pour la morale, laisse tomber les préjugés à la con ! Et puis, tant que tu n’as pas fait l’amour avec un mec, tu es toujours vierge.
Tu as raison : c’est con, d’autant plus que je n’ai même pas de fiancé. Alors on le fait. Fais-moi du bien !
Tu sais que ça fait un peu mal ?
Oui, je sais ; je suis vierge, mais pas conne ! Allez, bouge, j’ai envie !
Justine a pris un de ses godes, le plus petit pour ne pas faire trop mal à la belle. Après l’avoir inondée de baisers, de léchouilles, et abondamment sucé la minette, Justine commença la défloration de ce jeune vagin pressé de connaître l’extase. La première pénétration, malgré la douceur et le faible diamètre de l’engin, fut toutefois douloureuse. Après une pause, la seconde pénétration devint sublime. Il se passait quelque chose en elle, sans savoir ni d’où, ni comment cela pouvait se produire. L’objet qui allait et venait doucement en elle commença à émettre ses premières vibrations, ce qui a déclenché comme une déferlante de décharges électriques, provoquant des contractions de son vagin et l’emportèrent dans un plaisir puissant et encore inconnu.
C’est avec un double gode enfoncé dans leur vagin et une masturbation poussée qu’elles finirent la soirée avec un dernier orgasme, commun cette fois-ci. Elles se sont endormies, main dans la main, en savourant leur plaisir.
Avec Justine, nous mîmes un plan au point : nous allions jouer avec eux deux pendant la journée et la soirée…
[À suivre]