Malgré ses incroyables yeux bleus ciels, Christine, 20 ans, est loin d’être la première à taper dans l’il des garçons de la classe durant cette année scolaire, c’est le moins que l’on puisse dire. Car Christine semble être deux personnes dissociées qui auraient été mal assemblées : de la tête à la taille, rien vous indique que cette petite rousse aux cheveux mi-longs est ronde, très ronde du bas : des cuisses comme des jambons de Bayonne surmontées d’un cul énorme. C’est dommage, car Christine est une fille agréable, pétillante, souriante et drôle.
Février 1995. Moi, Florent, 19 ans, je me retrouve associé avec elle pour effectuer un travail de recherche en cours d’histoire. Cela ne me fait plaisir de travailler avec elle, car nous nous entendons très bien. Passionnés par notre sujet, nous ne lésinons pas sur les efforts et travaillons plusieurs heures par semaine, pendant les pauses, sur notre travail. Cependant, peu à peu, il me semble que l’affection amicale que me portait Christelle se transforme. Il me semble qu’elle n’est pas indifférente, bien qu’elle sorte avec un dénommé Christophe depuis deux ans.
De mon côté, une forme d’attirance naît également. Christine est vraiment une fille bien et je m’aperçois que nous sommes très fréquemment sur la même longueur d’ondes. Les mêmes idées, les mêmes réflexions, elle me fait rire autant que je la fais rire. Et puis ses yeux sont féériques, sa bouche m’attire tout autant que ses seins ou sa peau très blanche. Et je dois bien le reconnaitre, ses fesses commencent également à m’exciter.
Début mars, même si cela n’est pas tout à fait nécessaire, je la convaincs de venir à la maison un mercredi après-midi pour consulter un volumineux ouvrage appartenant à mon grand-père, trop lourd pour que je puisse l’amener en cours. Christine parcourt attentivement les quelques pages que je lui ai indiquées comme étant intéressantes. Elle n’est pas dupe. Nous prenons quelques notes mais nous abandonnons rapidement notre travail. Nous nous asseyons par terre et écoutons de la musique en papotant et en riant.
Il ne fait désormais aucun doute que Christine est charmée. Je l’embrasse et elle répond. Je suis agréablement surpris par son baiser : elle embrasse divinement bien, sa bouche est douce et sa langue habile. Pendant que nous nous embrassons, je ne peux résister à l’envie de lui caresser les seins. Ronds et fermes, ils me plaisent immédiatement. Elle glisse les mains sous mon t-shirt et caresse mon torse, j’adore. Je commence à ouvrir son chemisier. Elle rougit, me laisse faire et je découvre un joli soutien-gorge Vichy et ses jolis seins. Christine retire mon t-shirt.
Nous nous couchons au milieu de la chambre. Je suis au-dessus d’elle et pendant que nos langues ne cessent de rouler l’une dans l’autre, elle écarte les jambes. Mon sexe frotte contre le sien au travers de nos jeans. Elle gémit doucement, ferme les yeux et des plaques rouges apparaissent sur son visage tandis que je commence à déboutonner son jeans. Elle proteste mollement et me laisse le retirer. Son string est assorti à son soutien-gorge.
Tandis qu’elle s’allonge sur mon lit, j’enlève mon jeans et la rejoins. Nous nous embrassons et nous caressons de plus belle. Je fais tomber une bretelle de son soutien-gorge, puis l’autre. Ses seins blancs apparaissent alors. Ils sont vraiment splendides : pas bien gros, mais bien ronds et fermes. Je les embrasse, elle gémit. Je lui embrasse le ventre, le nombril puis son sexe à travers le string. Lorsque je tente de le lui enlever, elle la retient et me dit qu’elle ne veut pas. Je sens l’odeur de sa chatte, son string est tâché de mouille.
Nous continuons à nous embrasser. Malgré sa réticence à aller plus loin, je lui caresse le minou à travers sa culotte. Puis je glisse ma main à l’intérieur de cette dernière. Pilosité abondante. Elle me laisse la caresser son clitoris en tenant mon bras durant quelques secondes, elle mouille beaucoup, puis me demande d’arrêter, car dit-elle, si je continue, elle ne pourra plus se contrôler. Elle m’embrasse en riant. L’odeur de sa mouille est entêtante et très excitante.
Christine glisse alors sa main dans mon caleçon et me branle quelques secondes. Elle descend ensuite mon caleçon et regarde mon engin qu’elle tient en main.
— Profites-en !, lui dis-je.
— Non, je ne peux pas, je ne peux pas faire ça ! Je suis déjà bien assez mal comme ça. Et puis je n’ai jamais fait de fellation.
Je n’ajoute rien. Je lui dis que je comprends.
Nous continuons nos baisers et nos caresses. J’aimerais qu’elle se tourne, j’aimerais voir ses fesses, mais Christine évite soigneusement que je les voie depuis que j’ai retiré son jeans. Je n’insiste pas. Nu, je reviens entre ses jambes. Je simule un pénétration en lui tenant les jambes écartées et Christine tient mon sexe qui va et vient contre le sien. Elle gémit et je me dis qu’à un moment, elle va écarter le string et me diriger à l’intérieur. Mais non. Nous "jouons" encore une dizaine de minutes comme ça. Je regrette vraiment de ne pas avoir vu ses fesses, mais comme ma mère risque de rentrer, nous nous rhabillons. Au moment de partir, nous nous embrassons et je lui dis que j’ai très envie de la revoir. Elle pose son index sur mon lèvres :
— Je ne pense pas que ça va être possible. Tu sais que j’ai un copain. J’ai adoré cet après-midi, mais je regrette tout de même de m’être laissée aller.
Le lendemain en cours, Christine ne laisse rien paraitre, tous comme les jours qui suivent. Elle agit comme s’il ne s’était rien passé entre nous. Je trouve son naturel désarmant et cela me plait.
Début mai, durant le cours d’histoire, le prof annonce que nous avons obtenu la note maximale pour notre travail. Sur le coup, Christine me saute spontanément au cou, au milieu de la classe, puis rougit comme une pivoine en constatant son "imprudence". De mon côté, je la "cherche", la provoque doucement, elle semble beaucoup apprécier que je lui cours après. Et même un peu plus.