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Ma mère aime l'argent…et le sexe… – Chapitre 5




5 ème volet de mon histoire avec ma mère.

Elle habitait maintenant chez moi et je ne m’en plaignais pas : je pouvais la baiser quand je voulais et tout ce que ma mère demandait en échange était de profiter de mon généreux train de vie.

Ce soir là en rentrant du boulot, je compris immédiatement que ce qu’elle avait à m’annoncer était grave. Elle avait la mine préoccupée, ce qui contrastait avec son habituelle nonchalance.

— Maman ? Ca va ?

— Oui et non…

J’imaginais le pire :

— Ne me dis pas que tu es…enceinte ?

— Ha ha ! non, ne t’en fais pas. Je reconnais que tu m’as bien baisée, ces derniers temps, mais j’ai un stérilet très efficace. Non, c’est au sujet de ton père…

— Quoi mon père ?

— Il vient de m’appeler. Il a gagné au loto.

— Au loto ?

— Oui. Le gros lot… 32 millions d’euros…

Je devins blême..Je savais que mon père jouait depuis toujours au loto. Mais là c’était une somme énorme.

Ma mère était préoccupée et je comprenais pourquoi : elle l’avait quitté parce qu’il était trop pauvre, et là, d’un seul coup, il devenait immensément riche. Et moi, avec mes petits investissements en bourse, même si je gagnais beaucoup d’argent, je ne gagnerai jamais autant. Avec la nouvelle richesse de mon père, tout avait changé. Elle commença à exprimer des remords vis à vis de lui.

— J’ai été dure avec ton père. Je m’en veux !

— Arrête maman, ne me prends pas pour un idiot. Ce sont ses 32 milions d’euros qui te font changer d’avis.

— C’est vrai qu’il s’agit d’une jolie somme. Mais même si je retourne avec ton père, on continuera à se voir. Je t’aime et je serai à toi quand tu voudras !

— Arrête ça, maman, je ne te crois pas. Tu ne penses qu’au fric.

— C’est pas vrai, mon chéri. Je sais que je n’ai jamais été une mère idéale. Les enfants, ça n’a jamais été trop mon truc et je t’ai peut être négligé quand tu étais petit. Mais tu as grandi, tu es devenu un homme, et ça, change tout ! Tu ne vois pas avec quel plaisir je fais l’amour avec toi ? Tu crois que je me force, pour jouir comme ça ? J’aime baiser avec toi et je veux continuer à le faire.

Cette révélation me noua le coeur. J’avais toujours tellement manqué d’affection de sa part, que je m’en foutais de la forme que prenait son amour. Que ce soit comme une mère ou comme une amante, tant qu’elle m’aimait, j’étais satisfait.

Elle s’avança vers moi, baissa mon pantalon, prit ma queue dans la main et la regarda avec tendresse. Une chose était sûre, elle l’aimait vraiment, cette queue. Lentement elle commença alors à la sucer. Il était clair qu’elle ne se forçait pas. Elle développa toute son habilité dans cette fellation. C’était délicieux, comme d’habitude.

— Alors mon chéri, rassuré ?

— Mmh. Pas tout à fait maman…

Elle afficha un large sourire. Elle avait compris mon intention. Elle releva sa robe, retira sa culotte, puis elle s’assit sur la table de la salle à manger, écartant les jambes pour m’offrir la superbe vision de sa chatte. Même si je l’avais vue plein de fois, j’étais toujours fasciné par sa beauté. Ses lèvres étaient charnues mais d’une régularité magnifique.

— C’est ça que tu veux, petit cochon, hein ? Ca tombe bien, j’en ai très envie moi aussi. Baise moi, mon chéri !

Je me positionnais devant elle, attrapant ses jambes pour la tirer un peu vers moi. Je positionnais ma queue à l’entrée de sa vulve…et je rentrais…Quel bonheur de sentir à nouveau ma queue glisser doucement dans le vagin chaud de ma mère ! Elle savait que j’étais bien, à l’intérieur d’elle et elle m’encourageait :

— Vas y mon chéri, mets la plus profond, ta grosse queue !

J’entâmais alors des vas et vients absolument délicieux, les mains aggrippées au fessier de ma mère pour la tirer contre moi, donnant des coups de rein de plus en plus énergiques, de plus en plus passionnés.

Le plaisir était intense mais je me retenais. Ma mère allait partir, retourner avec mon père, et peut être que c’était la dernière fois que je la baisais. Alors je voulais que ça dure le plus longtemps possible, jouir le plus possible de cette chatte que j’adorais.

— Maman, c’est bon ! J’adore te baiser !

— Moi aussi, mon chéri j’adore ça !

Je la baisais encore, et encore…J’étais submergé par le plaisir et les sentiments.

Elle descendit alors de la table, se retourna et me présenta son cul pour que je la prenne par derrière. J’aimais bien cette position. De temps en temps elle me permettait de passer une main par devant pour caresser son clitoris. Ma mère avait ceci de particulier, qu’elle avait un clitoris très développé, spécialement érectile, que je sentais facilement sous mes doigts. Elle adorait qu’on le stimule. Alors je m’en donnais à coeur joie, le titillant à souhait, lui arrachant des cris de plaisir.

De temps en temps j’écartais aussi ses fesses, je mouillais un doigt avec de la salive et le glissais dans son anus. Elle adorait ça aussi. Dès que j’avais mon doigt dans son cul je pouvais sentir ma queue à l’intérieur, de l’autre côté de la paroi du vagin, qui bougeait, allait et venait. C’était très excitant.

Me retenir devenait de plus en plus difficile.

— Maman, je vais…

— Oui, vas y mon chéri, lâche toi ! J’ai envie de te sentir jouir en moi !

Je me laissais aller, explosais dans la jouissance la plus complète. C’était génial…

— C’était encore délicieux, maman…

— Oui j’ai adoré.

— Tu comptes vraiment repartir chez papa ?

— Il faut que tu me comprennes, mon chéri. Il faut que je pense à mon avenir. Mais je te promets, rien ne changera entre nous.

Deux jours plus tard ma mère repartait s’installer avec mon père. Très généreusement, il avait mis ses gains au loto sur leur compte commun. Elle aurait tout l’argent auquel elle rêvait, maintenant. Quelque part je la comprenais, mais j’étais partagé entre deux sentiments. Bien sûr, avec le retour de ma mère à la maison, chez mon père, tout rentrait dans l’ordre, l’unité familiale était préservée. Mais j’aimais tellement la baiser que j’apprehendais la séparation…

Les premiers jours d’absence de ma mère furent assez difficiles à vivre. Je me retrouvais seul chez moi, après des semaines de cohabitation amoureuse. J’imaginais ses retrouvailles avec mon père. Toute mieleuse, elle avait du se faire belle pour lui, mettre ses sous-vêtements les plus sexy, ceux que je lui avais acheté. Le soir venu elle avait du les enlever devant lui et comme mon père n’avait plus baisé depuis des semaines, il devait être bien en manque, chaud comme de la braise. J’imaginais alors ma mère lui présenter son gros cul pour qu’il la prenne par derrière. Et lui tout heureux d’avoir récupéré sa femme, avait du la baiser comme une vraie cochonne …

Bien sûr tout ça m’était pénible.

Heureusement un soir ma mère m’appela.

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