Tout a commencé lorsque j’étais étudiant.
Je poursuivais des études supérieures dans le sud de la France, près de Nice. Comme tous les étudiants, et même si mes parents ont toujours pu m’aider, je manquais de revenus. Toutefois, je n’aimais pas trop l’idée de faire ’comme tout le monde’ et de prendre quelques heures dans un fast-food ou un magasin en plus des heures de cours.
La solution idéale a surgi au hasard d’une soirée d’hiver, dans un club de Nice.
Je sortais assez peu à cette époque, tout du moins dans les bars et clubs traditionnels. Je privilégiais les sorties avec les amis, chez ceux qui avaient la plus grande colocation, on ne manquait pas de place, et les boissons coûtaient moins cher. Ainsi que les soirées étudiantes organisées très régulièrement, que ce soit par mon école ou d’autres organismes je ne manquais jamais une soirée de l’école d’infirmières:).
De temps à autre, nous allions tout de même en club le vendredi ou le samedi soir.
Ce samedi là, nous étions un tout petit groupe de 4 seulement. Avec mon habituel binôme de TP, Florent, nous accompagnions ma voisine de palier, Julie, et sa copine Aurélie. J’avais fourni la voiture, et je faisais donc attention à ma consommation d’alcool.
Après quelques tournées, Julie et Aurélie s’étaient isolées dans une alcôve, et Florent et moi, après avoir trinqué, nous sommes mis en quête d’une éventuelle compagnie féminine.
A l’époque, j’étais célibataire et très satisfait de cet état. Je profitais de chaque soirée ou presque pour faire de nouvelles rencontres sans avenir à long terme, si vous voyez ce que je veux dire. Bien entendu, certaines rencontres avaient débouché sur un (voire des) autre round, mais rien de sérieux ni de suivi.
Lorsque nous allions en club, je m’intéressais moins aux étudiantes que je pouvais croiser dans les soirées habituelles, et plus aux femmes plus âgées et aux touristes de passage. J’avais notamment rencontrer deux anglaises très sympathiques, qui m’avaient donné un ’cours de langue’ particulier dans les toilettes lors d’une sortie plus tôt dans l’année.
A l’époque, je portais une barbe entretenue qui me vieillissait un peu, et je me targuais d’être plus cultivé et mature que l’étudiant moyen. J’avais de la conversation sur de nombreux sujets, un sens de l’humour affûte et une bonne écoute.Je n’étais (ne suis toujours) ni très grand, ni très musclé, mais je faisais du sport chaque semaine, ce qui me donnait une silhouette agréable. Comme je conduisais, je buvais peu et je pouvais donc avoir une conversation correcte. Tout cela me donnait une bonne côte auprès des trentenaires de sortie.
Ce soir là, je portais un pantalon en lin bleu nuit avec une chemise hawaïenne, ce qui me donnait un air à la fois classe et décontracté.
Je fis un rapide tour du club, observant rapidement les groupes sur la piste de danse, puis je me rapprochai du bar. A son extrémité, trois femmes, d’environ 30 ans, vêtues du même style de tenue tailleur serré, chemisier et jupe plissée, finissaient leur verre. Deux étaient châtains, et la troisième blonde, même si ses racines trahissaient sa coloration. La blonde et une autre partirent pour la piste de danse, où plusieurs hommes les rejoignirent rapidement. La troisième était restée au bar, avec les sacs de ses amies.
Je me glissai au comptoir à côté d’elle au moment où le barman répondait à son appel. Elle commandait un mojito, je demandai la même chose.
Nous discutâmes durant un bon quart d’heure. Elle s’appelait Danièle, travaillait comme conseillère client dans une banque du centre ville et était venue avec ses collègues. Une entorse lempêchait de danser, mais pas de s’amuser, ce qui tombait plutôt bien.
Alors que je la complimentais sur son physique, elle déboutonna le haut de son chemisier, m’offrant une vue aguichante sur sa poitrine. J’y portais discrètement la main, savourant la fermeté, et constatant que son téton commençait déjà à pointer. Elle porta alors la main à mon entrejambe, massant délicatement mon intimité, qui grossit à son contact. En réponse, je fis descendre ma main vers la sienne, me glissant sous sa jupe. Elle gémit légèrement et rapprocha sa bouche de la mienne. Nous échangeâmes un baiser timide, qui devint plus passionné rapidement.
’J’ai envie de toi’, me murmura-t-elle à l’oreille.
’Je suis à ton service’, répondis-je avec un sourire.
’Pas ici. J’habite pas loin.’
Je hochai la tête pour marquer mon accord.
Je la laissai un instant pour prévenir mes amis, et laisser les clés de la voiture. Ne trouvant pas Florent, qui devait être au milieu de la piste de danse, je retournai à l’alcôve où nous avions laissé Julie et Aurélie. Elles étaient enlacées, bercées par la musique. Les filles me firent un sourire entendu lorsque je leur expliquais la situation. Je savais qu’Aurélie buvait peu, aussi lui laissais-je les clés de la voiture en toute confiance.
De retour au bar, je vis que Danièle était en plein discussion avec le barman et une de ses amies. Je l’attendis donc près du vestiaire.
C’est à ce moment que ma vie changea.
Une femme m’aborda. Elle avait la quarantaine, vêtue de manière très suggestive et me parut très séduisante. Je l’avais aperçue au bar, derrière le bar en fait, en discussion avec le barman.
Elle fut brève, m’avouant qu’elle avait entendu une partie de ma conversation avec Danièle, et me dit qu’elle aurait une proposition à me faire. Elle me laissa sa carte et me proposa de revenir prendre le petit-déjeuner le lendemain matin. Jeus à peine le temps d’accepter qu’elle était repartie et que Danièle arrivait.
Danièle vivait dans un petit appartement, un deux pièces tout simple. Je n’eus pas réellement le temps de le visiter et je me rappelle surtout de son lit.
Elle avait commencer à se déshabiller avant de fermer la porte et ne portait déjà plus que son string et ses bas lorsque nous entrâmes dans la chambre. Un temps figé par la vue de son très joli corps, et en particulier de ses seins ronds, pas trop gros mais bien présents, avec les tétons qui pointaient clairement, jentrepris de la rejoindre dans la nudité sans attendre.
Elle ne me laissa le temps que d’enlever chemise et pantalon avant de venir chercher ma bite dans mon caleçon. Je parvins à enlever mon caleçon sans tomber alors même que Danièle commençait à me branler, faisant grossir ma bite sans difficulté et à s’accroupir devant moi. Pensant à sa cheville, je m’assis sur le bord du lit, afin qu’elle puisse poser ses deux genoux sur le sol tout en ayant le visage à la bonne hauteur pour me sucer.
Le temps d’accomplir le mouvement, ma queue était aussi raide qu’elle peut l’être et Danièle prit une seconde pour la regarder avant d’y enfiler un préservatif de la prendre en bouche.
Elle commença par lécher et sucer le gland avec lenteur et délicatesse. J’accompagnai doucement le mouvement en plaçant une main sur sa tête tout en manifestant vocalement mon plaisir.
Danièle commença à avancer sa bouche plus loin sur sa queue, accélérant aussi son mouvement, sa langue travaillant de concert. Je portai ma seconde main sur sa tête pour accompagner son mouvement.
Avalant mon membre de plus en plus loin, elle accéléra encore son mouvement, m’arrachant un gémissement prolongé. Je sentais sa salive se répandre sur la longueur de ma queue, et lorsqu’elle m’avala entièrement, s’arrêtant un instant en gorge profonde, je sentis sa langue jouer sur mes couilles. Elle ressortit pour reprendre son souffle, répandant encore plus de salive. Elle se redressa et nous échangeâmes un baiser passionné et baveux.
Elle avait envie de continuer à me sucer mais lorsque ma main s’attarda entre ses cuisses, je sentis sa chatte humide et chaude à travers le tissu de son string. J’écartai rapidement le bout de tissu et glissai deux doigts dans son antre, lui arrachant un gémissement.
Je me reculai légèrement, afin de m’allonger sur le lit, l’attirant avec moi. Elle se plaça sur moi alors que je faisais glisser son string vers ses cuisses. D’un mouvement expert, elle s’extirpa du vêtement et approcha sa chatte vers ma bite tendue. Alors que je posai mes mains sur ses fesses, elle prit ma bite en main pour la guider vers sa chatte.
En position supérieure, c’est elle qui dicta le rythme de la pénétration, bougeant ses hanches à la vitesse qu’elle souhaitait. J’accompagnais le mouvement avec mes mains sur ses fesses en en bougeant mes propres hanches en rythme. Elle commença doucement, pour s’habituer à ma bite en elle, puis accéléra rapidement le rythme.
Je sentais sa chatte vivre autour de ma bite, chaude et accueillante. Elle gémissait de plus en plus fort et je la rejoignis dans l’expression vocale de notre plaisir partagé.
Bientôt, Danièle sallongea sur moi, ses délicieux seins s’écrasant sur mes pectoraux. Nos bouches se joignirent et un baiser passionné étouffa nos gémissement alors que ses hanches accéléraient le mouvement.
Sentant que ma jouissance allait venir avant la sienne, je ralentis le mouvement et proposai un changement de position. Manuvrant délicatement son corps, je l’allongeai au bord du lit tout en me levant. Je fis reposer ses mollets sur mes épaules, en faisant attention en manipulant sa cheville blessée, et me réintroduis doucement en elle.
Les mains sur ses hanches, j’accélérai progressivement le mouvement, tout en allant de plus en plus loin, jusqu’à taper mes couilles sur ses belles fesses.
Elle porta ses mains sur ses seins, les malaxant en rythme avec mes coups. Puis elle descendit une main vers sa chatte, caressant du bout du doigt ma bite dans un premier temps. Elle se dirigea ensuite vers son clitoris, le titillant de plus en plus vite.
Le plaisir montant rapidement, j’abandonnai ses hanches et me penchai vers elle pour malaxer moi même ses seins. Ses jambes quittèrent mes épaules, et elle m’enserra la taille fermement.
Alors que je léchai avidement son téton tendu, je sentis le plaisir venir. Je ralentis le rythme, afin de ne pas venir si vite, mais elle serra encore ses jambes autour de ma taille et accéléra le mouvement à nouveau.
’Je vais jouir bébé’, susurrai-je.
’Je sais’, me répondit-elle avec un regard coquin. ’Je veux te sentir jouir en moi’.
Elle amplifia encore le mouvement et je me laissai complètement aller. Rapidement, je sentis léjaculation venir et je me bloquai totalement enfoncé en elle. J’explosai de plaisir, mes jambes tétanisées, mes mains crispées sur ses seins et poussai un râle de plaisir.
Je sentis son corps à elle répondre, ses tétons se durcirent encore, sa chatte se contracter autour de mon membre, ses jambes m’enserrant encore plus.
Je m’accordai une seconde pour souffler avant de sortir de son bas-ventre, et je me mis aussitôt à genoux devant le lit. Sans perdre un instant, je me jetai voracement sur sa chatte ouverte et trempée enfonçant ma langue à l’intérieur. Je sentis ses cuisses se refermer autour de ma tête alors que mon visage reposait contre sa chatte et que ma langue s’activait à l’intérieur. Du coin de lil, je voyais sa main s’activer sur son clitoris alors que son autre main venait sur ma tête.
Très vite, elle jouit à son tour, inondant mon visage de sa cyprine. Sans être une femme fontaine, sa jouissance était assez humide.
Le lendemain matin, je me levai relativement tôt. Je passai un instant dans la salle de bain afin de me rafraîchir et d’être un minimum présentable. Je n’allais pas avoir le temps de passer me changer, et encore moins me doucher avant de retourner au club pour discuter avec cette femme, vu que je vivais en dehors de Nice même.
Le temps que je finisse, Danièle s’était levée et se préparait un café, vêtue d’une nuisette noire très sexy. Je l’embrassai avant de partir. Nous nous quittâmes sur un ’à bientôt, peut être’, aussi vide de sens pour elle que pour moi.
Évidemment, le club était fermé. Ressortant la carte, j’y trouvai un numéro de portable. La femme répondit dès la première sonnerie. Elle me fit faire le tour du bâtiment, pour trouver la porte des coulisses. Elle m’attendait devant.
De jour, je pus mieux la détailler. Elle était assez grande, presque autant que moi, soit un peu plus d’1m75. Elle avait un visage long, aux pommettes hautes, des yeux d’un bleu perçant et des cheveux bruns assez longs qu’elle laissait détachés. Elle portait un corset rouge aux bretelles noires et un jupe noire assez longue, plus bas que le genou, sur des bas noirs, et des stilettos noirs à semelle rouge. Elle s’approcha pour me faire la bise et son parfum m’envahit les narines.
’Bonjour, merci d’être venu’, me dit-elle
’Même si je ne sais pas vraiment pourquoi’, répondis-je après lui avoir rendu ses salutations.
’Tout va devenir très clair rapidement’, me promit-elle, ’suivez moi à l’intérieur’.
Alors que je lui emboîtais le pas, je remarquai que si jupe était longue, elle était très moulante et je me surpris à admirer son cul. Assez vite, je sentis un début d’érection dans mon caleçon.
Elle me guida jusqu’à un bureau situé au dessus du bar. Une baie vitrée teintée donnait une vue sur la piste de danse, et une large fenêtre sur le mur d’en face laissait entrer la lumière du jour.
Quelques viennoiseries fraîches attendaient sur le bureau, ainsi qu’une bouteille de jus de fruit et elle me proposa du café.
’Non merci’, répondis-je, ’le jus de fruit sera suffisant.’
’Servez-vous’.
Elle prit un café pour elle et s’assit derrière le bureau, tandis que je me servais un verre de jus et prenait un croissant.
Elle commença par les présentations.
’Je suis Karen Noël, mais on m’appelle Madame N., comme vous avez pu le voir sur ma carte’.
’Je m’appelle Nicolas, mais peut être le saviez-vous déjà ?’
’Effectivement’. Elle sourit. ’J’avoue vous avoir un peu écouté. Mais j’ai également discuté avec une autre de vos connaissances.’
’Qui ?’ demandai-je, pris par surprise. Avait-elle discuté avec Julie et Aurélie ?
’Une certaine Sonia. Que vous avez rencontré chez la concurrence il y a quelques temps.’
Il ne me fallu que quelques secondes pour me souvenir de Sonia, une belle blonde longiligne que j’avais croisé dans un bar quelques mois plus tôt, et avec qui j’étais devenu intime dans les toilettes.
’Je vois’, répondis-je simplement. Je me demandais de plus en plus où cette conversation allait me mener.
’Corrigez moi si je me trompe’, continua-t-elle, ’vous êtes un jeune homme, probablement étudiant, célibataire, poli et éduqué, et qui aime faire des rencontres approfondies.’
’On peut le formuler comme ça’, répondis-je, toujours incertain. ’Vous seriez intéressée par un approfondissement de cette discussion ?’
Elle rit.
’Dans un sens, oui. Mais j’ai une proposition un peu plus , disons osée, à vous faire’.
’Faites donc’, l’encourageais-je, piqué par la curiosité.
’Voyez-vous, ce club, ainsi que le bar et le salon de thé que je possède, ne sont que des activités annexes, en quelques sortes. Mon activité principale est la direction d’une agence d’escorts.’
Je hochai la tête pour qu’elle continue.
’Depuis quelques années, j’ai une forte hausse de clientes’, dit elle en insistant sur le ’E’.
Je commençai à voir où elle voulait en venir.
’Et donc vous cherchez des escorts hommes.’
’Exactement ! Et je me demandais si ça pouvait vous intéresser.’
Je restai muet un instant. C’était inattendu.
’Dans le fond’, reprit-elle, ’ça ne change pas beaucoup de vos sorties actuelles. Sauf que vous n’avez pas à draguer les clientes et que vous êtes rémunéré.’
’Où est le piège ?’
’Il n’y en a pas. Ce travail ne vous empêche pas de poursuivre vos études sereinement, et même en travaillant que quelques nuits par mois, il vous rapportera un joli pactole.’
’Combien ?’ demandai-je.
’Ça dépend du contenu de la prestation, mais pas moins de 500 euros. Moins mes 30 pourcent de commission, bien entendu.’
Je ne fis même pas l’effort de faire le calcul.
’Ça pourrait m’intéresser’, dis-je finalement.
’Bien. Avant de parler des détails, il y a une sorte de test.’
’De test ?’
’Oui. J’ai eu quelques échos de Sonia sur vos qualités, et, de ce que j’ai entendu hier et par le contenu de cette conversation, je n’ai pas de doute sur la partie dialogue de notre métier. Mais je dois, comment dire, vérifier la marchandise moi-même.’
’ Ça me paraît correct. Comment voulez vous procéder ?’
Elle se recula dans son fauteuil avant de répondre.
’Levez vous et déshabillez vous pour commencer.’
Je me levai et commençai à déboutonner ma chemise, sans trop savoir si elle voulait un strip-tease aguicheur. Cette hésitation devait se voir sur mon visage car elle reprit la parole.
’Allez à l’essentiel, nous parlerons de vos aptitudes au strip-tease une autre fois.’
Jacquiesçai et enlevai rapidement ma chemise. J’ôtai mes mocassins avant me débarrasser de mon pantalon. J’hésitai un instant, en boxer et chaussettes.
’Nu, s’il vous plaît’, m’encouragea Madame N.
Je m’exécutai rapidement, les chaussettes d’abord, n’ayant pas envie d’être nu en chaussettes, puis mon caleçon. La situation, et Madame N. elle-même, m’excitait, aussi ma bite était-elle déjà grosse.
’Joli’, statua Madame N. avec un regard appréciateur.
Elle se leva et me tourna autour, avec un regard d’experte, comme si elle inspectait une voiture avant de la louer.
Elle s’approcha ensuite et me caressa le visage, puis le torse. Je me laissais faire, ce qui sembla lui plaire.
Elle finit par sintéresser à ma bite et la prit en main, ce qui la raidit instantanément. Elle me branla doucement deux/trois fois pour voir comment je réagissait puis la lâcha.
’Pouvez vous vous pencher ?’ me demanda-elle. ’Prenez appui sur le bureau, j’aimerais voir vos fesses et votre anus.’
J’hésitai un instant.
’Je ne vais rien lui faire, rassurez vous. Je veux juste le voir.’
Je finis par obtempérez, bien que légèrement stressé. Elle me caressa les fesses, puis passa un doigt sur la raie de mon cul et mon anus. Elle descendit jusqu’à mes couilles, qu’elle caressa légèrement.
’Bien, vous pouvez vous relever.’
Lorsque ce fut fait, elle regarda ma bite, qui était toujours raidie.
’J’aimerais la goûter’, me dit-elle finalement.
Je n’hésitai plus.
’Faites donc !’
Elle s’agenouilla devant moi et se saisit de ma bite, la branlant vigoureusement pour la raidir pour de bon. J’avais une belle vue sur la courbure de ses seins et, comme si elle avait senti mon regard, elle les sortit du corset. Ils étaient ovales et bien gros, elle devait faire un 95 C ou D, avec de belles auréoles brunes et d’épais tétons qui pointaient.
Leur vue acheva de raidir ma bite à fond et, après l’avoir glissée dans une préservatif, elle l’enfourna en bouche. Elle ne perdit pas de temps et me suça vigoureusement dès le début. Au bout de quelques mouvements, elle parvenait déjà à lécher mes couilles, qu’elle massait d’ailleurs avec deux doigts.
Rapidement, je me mis à râler de plaisir, mes mains sur sa tête, mais c’est elle qui contrôlait totalement l’action. J’avais le regard fixé sur cette bouche avide qui avalait mon sexe et lâchait, à chaque retour, un peu de bave sur ses seins magnifiques qui bougeaient en rythme.
Je sentis bientôt la jouissance arriver, et je tentai de la faire ralentir.
’La fellation suffira pour le test’, me dit-elle en s’arrêtant un instant. ’Allons jusqu’au bout.’
Elle me reprit en bouche et repartit sur un rythme encore plus effréné. Quelques secondes plus tard, la contraction des muscles de mes jambes et le volume supérieur de mon râle annoncèrent l’éjaculation. Elle maintient fermement ma bite dans sa bouche le temps que je gicle, puis la laissa sortir.
’Parfait’, me dit-elle en se relevant.
Elle m’ôta le préservatif, le porta à ses narines, hocha la tête d’un air satisfait et le jeta à la poubelle. Elle m’offrit un mouchoir de dentelle pour me nettoyer la bite, qui j’acceptai sans un mot.
Pendant que je me nettoyai, elle se rassit à son bureau, sans prendre la peine de remettre ses seins à l’intérieur de son corset. Elle m’invita à me rhabiller et me rasseoir, ce que je fis.
Durant ce temps, elle avait sorti des papiers d’un tiroir de son bureau.
’Notre contrat’, m’annonça-t-elle. ’Nous allons devoir déterminer vos horaires, ou plutôt vos plages de disponibilité.’
’Globalement, en soirée, et un peu plus le vendredi et samedi. Je n’ai pas cours le jeudi après-midi également. Ça peut varier d’une semaine à l’autre, et certains week-ends, je serai indisponible.’
Elle hocha la tête.
’J’imagine que vous pouvez difficilement recevoir chez vous ?’
’Je vis dans un studio, dans une résidence étudiante.’
’La plupart de nos clientes peuvent recevoir, et nous trouverons un hôtel si nécessaire.’
Je hochai la tête à mon tour.
’Pour commencer, je vais vous rendre disponible le vendredi ou samedi soir, un fois par semaine. Il faudra faire quelques photos pour votre dossier. La semaine prochaine, avez-vous des contre-indications pour vendredi ou samedi ?’
Je réfléchis un instant.
’Vendredi non’, répondis-je, ’je finis les cours à 15h, et après c’est bon. Pour samedi, par avant 21h.’
’Parfait. En général, je discute avec les clientes, en face à face ou, plus souvent, au téléphone, et je leur propose quelqu’un. Je leur montre le dossier et, si elles valident, je contacte l’escort pour valider la date. Je récupère le paiement en avance, donc ne me faites pas faux bond. De toute façon, vous ne serez payer qu’après la prestation.’
’Ça me paraît correct.’
’Évidemment, je prends en charge les frais de taxi pour vos déplacements.’
’Ça aussi, ça me paraît correct.’
’Un dernier point’, reprit Madame N., ’nous devons définir le contenu de votre offre.’
Je la regardai un instant sans comprendre.
’Classique, j’imagine.’
’Fellation, pénétration vaginale. Cunnilingus ? Anulingus ?’
’Oui et oui’, répondis-je.
’Pénétration anale ?’
’Elle ou moi ?’ demandais-je avec un sourire.
’Les deux, certaines clientes peuvent souhaiter vous sodomiser’.
’Sur elle, oui. Sur moi, je n’ai jamais pratiqué. Mais, ça peut se discuter.’
’Disons non pour l’instant. Il faudra tester avant de le proposer à une cliente.’
’Jeux de rôles ?’
’A priori, oui.’
’Êtes vous bissexuel ?’
’Non. Mais le triolisme est possible tant que je n’ai pas d’interaction avec l’autre homme.’
’Triolisme avec deux femmes ? J’imagine que oui.’
Je confirmai de la tête.
’Avez-vous des expériences plus … perverses. Type BDSM, ce genre de choses.’
’Non, mais ça ne rebute pas.’
’On envisagera une formation, donc’, dit Madame N. avec un sourire. ’Pour l’instant, on va partir sur du classique’, reprit-elle, ’et si tout se passe bien, nous envisagerons des prestations plus exotiques en fonction des envies de la clientèle et des vôtres.’
’Très bien.’
Nous relûmes le contrat, puis chacun de nous le signa. Madame N. me raccompagna à la sortie du bâtiment. Elle m’avait appelé un taxi et elle l’attendit avec moi devant la porte.
’Je vous recontacte bientôt’, me dit-elle lorsque le véhicule arriva, avant de disparaître dans le bâtiment.