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Je suis un jouet entre ses mains – Chapitre 9




J’avais éprouvé une légère douleur au derrière durant la soirée précédente, mais je constate avec satisfaction que je ne sens plus rien au réveil. Je me retourne dans le lit : Thomas n’est plus là. Il est déjà levé ? Ce n’est pourtant pas son genre. Je me lève avec l’intention de le retrouver pendant son petit-déjeuner, afin de poursuivre notre conversation de la veille, mais il est introuvable. Et il le restera toute la journée. J’essaye de le joindre au téléphone, du matin au soir, mais impossible. Son smartphone semble éteint. Je lui laisse plusieurs messages, là aussi, sans résultat.

Il arrive finalement le soir, vers 21 heures. J’ai déjà mangé, et je suis devant la télé, mais je l’éteins pour lui sauter au cou lorsqu’il entre :

J’ai eu tellement peur… lui dis-je.

Je suis là, répond-il seulement.

Sans dire un mot de plus, il m’attire dans la chambre par le bras avec douceur.

J’ai envie de toi, me dit-il, en commençant à me déshabiller.

Je me retrouve très rapidement nue devant lui, mais lorsque je veux lui rendre la pareille, il m’en empêche.

Attends un peu, me demande-t-il. Je voudrais faire quelque chose avant.

Je suis curieuse, mais pas en position de négocier. Je n’insiste donc pas. Il sort alors des menottes, et propose de m’attacher au lit. Je sais d’où il tient cette idée, aussi, ne puis-je guère dire non. Je le laisse donc m’attacher au montant du lit sans discuter.

Lorsque c’est fait, il me lance un sourire mauvais et ajoute :

Tu ne pensais quand même pas que t’allais t’en tirer comme ça ?

Puis, il se dirige vers la porte. Je suis sidérée, terrifiée. « Il ne va quand même pas me laisser là, nue et attachée ? » Mais si ! je l’entends ouvrir la porte d’entrée. Il s’apprête à s’en aller !

Soudain, j’entends des voix. Il ne part pas, mais quelqu’un d’autre est là. Ils se rapprochent. « Il compte vraiment inviter quelqu’un pendant que je suis comme ça ? » Je l’imagine déjà me prendre avec un de ses amis. Outre l’humiliation, j’ai aussi peur de la douleur. Je ne suis pas une bête de sexe, au départ. Et être vue ainsi, être offerte ainsi, je trouve ça horrible. « Et s’ils étaient plus de deux ? »

Je n’ai pas le temps de m’attarder davantage sur cette question puisqu’ils entrent. À ma grande surprise, c’est une fille qui l’accompagne. C’est assez logique, finalement ; je ne sais pas comment j’ai pu ne pas y penser. Je suis d’abord rassurée, puis la jalousie me submerge. Il veut que nous fassions ça à trois ? Hors de question !

Justine, je te présente Samia, me dit Thomas.

Bonjour, me lance-t-elle avec un regard supérieur.

C’est toi qui es attachée et c’est moi qui vais me taper ton copain ! Semble-t-elle dire.

Je ne participerai pas à ça ! minsurgé-je.

Qui t’a demandé de participer ? Ricane Thomas.

Sur ce, il me tourne moitié le dos et commence à caresser Samia. Cette greluche glousse bêtement et lui rend ses caresses. « Vire tes mains de là, salope ! » Mais je suis attachée, nue, et impuissante.

Ils s’embrassent langoureusement en se palpant mutuellement. Toutes les parties de leur corps y passent. Le spectacle est horrible, mais je ne peux pas en détourner les yeux. Ils se déshabillent avec passion et se retrouvent bientôt nus tous les deux. Le désir entre eux est intense, ce qui me fait de nouveau très mal. Surtout que je constate que Samia a une poitrine généreuse, ce qui n’est pas du tout mon cas. Thomas, d’ailleurs, semble beaucoup l’apprécier : il la malaxe avec ardeur, puis il la suçote.

C’est terrible, car je l’ai toujours soupçonné de ne pas réellement se contenter de ma poitrine, ce qu’il démentait. Mais je vois bien qu’il est aux anges avec celle de cette pouffiasse. D’ailleurs, elle sait en jouer : elle s’agenouille rapidement, puis après quelques bisous et coups de langue sur la bite de mon homme, elle l’introduit entre ses seins. Thomas soupire de plaisir. Elle entreprend alors de le masturber ainsi, en utilisant sa poitrine qu’elle fait aller et venir sur son sexe. Elle n’hésite pas aussi à prendre le gland en bouche dès qu’il passe à portée.

C’est trop bon… soupire Thomas.

Tu n’es pas habitué à ça ? demande-t-elle perfidement en lorgnant sur ma petite poitrine incapable de prodiguer ce genre de plaisir.

Thomas me regarde du coin de l’il, et je vois bien qu’il est gêné. Il a beau prendre son pied comme jamais, il a beau vouloir me faire mal, il a beau, même, jouir de m’humilier, je ne pense pas qu’il souhaite me blesser ainsi. D’ailleurs, il se retire bientôt du douillet fourreau dans lequel elle l’avait installé et lui donne des coups de bite sur le visage, comme s’il voulait la remettre à sa place, lui montrer que c’est lui qui commande, et qu’elle n’est là que pour me faire souffrir. « Bien fait, pétasse ! »

Évidemment, elle joue son rôle de salope à la perfection et jusqu’au bout, alors, elle fait mine d’aimer se faire traiter ainsi. « Elle est forte, la salope ! » Plus encore que je ne le crois. Elle parvient, lors d’un de ces allers-retours qui lui claquent le visage, à lui attraper le sexe au vol avec ses lèvres. Elle entreprend alors une fellation profonde et très sensuelle. « Le genre que je ne fais pas… » Thomas en oublie totalement ma présence, car il râle de plaisir en lui malaxant les seins. « Ou alors il cherche encore à me faire souffrir. »

Quoi qu’il en soit, la pulpeuse catin se caresse tout en le suçant, et elle fait bientôt mine de jouir, tant la fellation l’excite. Thomas n’y résiste pas : il crie sa jouissance à son tour, et se répand dans sa bouche. Elle avale le plus gros, mais prend bien soin de laisser un filet de sperme lui dégouliner le long du menton. « Elle est plus que forte ; c’est une vraie pro ! » Thomas se retire, mais elle finit le travail en lui léchant consciencieusement le bout du sexe pour le nettoyer, sans oublier de lui jeter au passage son plus beau regard de chienne soumise.

Je suis désolé, ça a été trop vite, s’excuse alors Thomas. Il y a pourtant tellement de choses que je voulais te faire…

Mes larmes redoublent. « Je suis là ! »

Ne t’en fais pas, répond-elle. Attendons un peu et on remet le couvert !

Thomas hoche la tête pour signifier son approbation.

« Non !!! »

Thomas, s’il te plaît, supplié-je d’une voix faible.

Il me jette un regard qu’il essaye de rendre froid, mais je me rends bien compte qu’au fond, il est désolé. Il veut me faire souffrir comme je l’ai fait souffrir, mais il n’aime pas ce qu’il fait.

Enfin, façon de parler… Ils sortent alors de la pièce en m’abandonnant là. C’est pire que tout. Je ne sais pas où ils sont ni ce qu’ils font.

Mais, ça ne dure pas longtemps : à peine dix minutes se sont-elles écoulées qu’ils reviennent, collés l’un à l’autre et s’embrassant à pleine bouche. Ils n’ont même pas pris la peine de se rhabiller, aussi, sont-ils déjà prêts pour le coït…

Samia se trémousse contre lui jusqu’à soudain s’empaler sur son sexe. Il pousse un râle, à la fois de plaisir et de surprise. Je ne suis pas loin d’en pousser un aussi. Les voir s’ébattre est atroce, bien sûr, mais l’acte sexuel proprement dit est pire. La pénétration, c’est le scellement de l’adultère. Je sais que je suis mal placée pour juger, mais tout de même…

Ils font l’amour ainsi pendant quelques secondes, debout juste devant moi, mais Thomas la repousse bientôt. Il la jette littéralement sur le lit puis la retourne pour la pénétrer par-derrière. Il la lime ainsi plusieurs minutes, jusqu’à ce que l’horreur de la situation finisse par progressivement laisser la place à de l’excitation… Je suis à deux doigts de me caresser, mais je me retiens. « Qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je suis excitée en voyant mon mec baiser avec une greluche sous mon nez ? » Ce serait vraiment le comble de l’humiliation de me donner du plaisir en les regardant consommer leur adultère…

Soudain, je sens que Thomas est prêt à venir de nouveau : ses soupirs se font plus nombreux, plus forts, plus longs, mais il se retire pour se placer juste devant moi. Pendant un moment, je pense qu’il veut que je le suce (ce que je suis d’ailleurs presque prête à faire tant est grande mon excitation), mais je comprends vite que je me trompe.

Il fait signe à Samia de le masturber, ce qu’elle fait de manière énergique, en me regardant droit dans les yeux. Je ne détourne pas le regard : hors de question de laisser cette garce gagner aussi à ce jeu-là. Sauf que soudain, Thomas pousse de longs râles de plaisir et se répand en de longs jets de sperme chaud sur moi. Certains m’atteignent au visage, d’autres à la poitrine. Je détourne la tête par réflexe, mais trop tard.

Je me retrouve donc perdante sur tous les tableaux : elle a tenu le regard plus que moi, elle a eu mon homme, et je me retrouve maintenant attachée, nue et humiliée, couverte du sperme qu’elle lui a fait répandre sur moi.

Elle m’a tout pris, jusqu’à ma dignité.

Et pour ne rien arranger, je fonds en larmes.

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