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Les douze servitudes d'Hélène – Chapitre 4




Les 12 servitudes d’Hélène : 2e servitude, la "pornaï" du port (suite)"Polypous" –

Mérion entraîna êta dans un dédale de sombres couloirs au sol sableux. Ils débouchèrent enfin dans un vaste espace rond, où un grand bassin occupait tout l’espace central. Le guerrier stoppa, tirant brutalement sur la laisse de l’esclave afin de la contraindre sans ménagement à s’arrêter elle aussi… D’une tape sur la nuque il attira son attention et un ordre fusa :

— A genoux !

Docilement êta s’agenouilla donc, n’ayant à l’esprit d’autre pensée que l’obéissance à ceux qui détenaient le pouvoir sur elle. Tels avaient été le pêcheur et ses enfants, tel était maintenant ce soldat grec. Elle ne savait pas vraiment d’où lui venait cette docilité, mais elle s’imposait si naturellement à elle qu’êta ne songeait pas à se révolter. A vrai dire, elle éprouvait même une certaine satisfaction à être ainsi dominée et dirigée. Comme elle prenait un inavouable plaisir à subir les pires avilissements. Certes la honte la submergeait parfois, mais même cette honte n’était pas un rempart, au contraire il ne faisait que repousser ses limites et suscitait en elle une profonde jouissance ! Mérion avait enlevé la corde qui lui servait de laisse et dont la rugosité avait laissé une trace rouge dans la chair pâle et fragile du cou de l’esclave. Un bruit, un frottement, quelqu’un approchait…

De sa lourde démarche, Aspasie rejoignait le duo installé dans le vaste atrium. Celle qui avait été l’une des plus séduisantes hétaires d’Athènes, celle dont les poètes avaient chanté la beauté, qui avait banqueté avec les plus illustres philosophes, donné son avis politique sur les affaires les plus complexes de la Cité n’était plus que l’ombre d’elle même. Mais quelle ombre. Grasse et large, lourde, suante irritée, Aspasie ressentait comme la pire des humiliations d’en avoir été réduite à ce rôle vulgaire de mère-maquerelle dans une auberge minable des confins de la Grèce. Elle se vengeait de ses frustrations en traitant ses "pornaï" (prostituées) comme le plus corvéable des bétails. Du bétail humain qu’elle dressait durement et cruellement afin d’en faire les jouets sexuels les plus expérimentés du monde connu. Et peu à peu, la réputation de l’établissement, dont elle partageait la gestion avec ce stupide militaire de Mérion, avait franchi les frontières de la Troade, jusqu’en Phrygie, en Bithynie et même jusqu’en Grèce ! On savait que les pornaï dressées par Aspasie étaient les plus expertes, ne reculant devant aucune pratique, prodiguant les plus savants plaisirs, s’offrant sans aucune retenue… Et cette réputation se traduisait désormais en un flot plutôt important de drachmes et autres monnaies qui pourraient un jour ou l’autre lui permettre de repartir de ce trou perdu, de regagner Athènes et d’y tenir table ouverte vers laquelle philosophes, artistes et généraux reviendraient en rampant !

Aspasie vint saluer Mérion qui lui présenta sa prise du jour :

— Vois ! Vois ce que je t’ai rapporté !

Aspasie se pencha un peu, caressa l’épaisse chevelure dorée qui dissimulait partiellement le corps parfait de l’esclave agenouillée…

— Debout ! ordonna-t-elle

Et êta se releva. Aspasie planta son regard dans les yeux de l’esclave et eut la satisfaction de voir celle-ci les baisser instinctivement. La fille était manifestement habituée à la soumission, cela lui ferait moins d’efforts à fournir pour la dresser. Même si Aspasie ne détestait pas devoir briser une femelle rétive, la voir se révolter, résister, se désespérer, pour finalement, toujours accepter humblement son destin et rejoindre celles qui durant tout le temps de leur vile existence ne seraient plus destinées qu’à satisfaire les désirs les plus pervers des clients de leur Maîtresse. D’une poigne ferme, Aspasie avait saisi la chevelure d’êta et de son autre main, elle caressait maintenant ce corps qui semblait n’avoir jamais connu le fouet, ni les excès. Tout était parfait, les seins d’albâtre, aux tétons sombres et bien durs dès qu’on les saisissait entre deux doigts, les épaules à l’arrondi parfait, le ventre plat et ferme, la croupe cambrée, le cul ferme et rond… la main de la grasse matrone s’égarait maintenant entre les cuisses de l’esclave qui n’opposait aucune résistance à ses attouchements inquisiteurs. Aspasie glissait ses doigts dans la fente déjà humide d’êta dont les lèvres tremblaient doucement… Ne cessant pas de lui enfoncer plusieurs doigts dans la chatte, Aspasie attira êta vers elle et l’embrassa goulûment ! Les deux langues de lovaient l’une en l’autre comme deux serpents impudiques. La femme obèse léchait le visage de l’esclave qui frémissait de tout son corps offert, ouvert, comme jamais une femelle ne l’avait été dès le premier contact. Aspasie éclata de rire et relâcha son étreinte pour se tourner vers Mérion qui n’avait pas quitté la scène des yeux un seul instant.

— Mais c’est une véritable chienne en chaleur ! Où l’as tu donc trouvée !?

— Chez un pêcheur. Elle servait d’esclave et donnait du plaisir à toute la famille, apparemment sans jamais rechigner à la tâche

— J’imagine ! Regarde là, elle tremble encore… de désir, la chienne ! Et je la sentais mouiller tandis que je lui enfonçais mes doigts… Nous allons la dresser rapidement, elle fera notre fortune, cest une perle rare !

Mérion eut un sourire vorace… Mais Aspasie poursuivit :

— Ne perdons pas de temps. On peut avec elle se passer des premières leçons. Passons tout de suite à Polypous…Tu veux rester ?

— Je ne raterai cela pour rien au monde ! répondit Mérion…

êta fut donc plongée dans le vaste bassin, ses poignets liés à deux piquets plantés sur le rebord du bassin, son corps entièrement immergé jusqu’aux épaules, flottant entre deux eaux… Aspasie fit fonctionner un mécanisme quelque peu grinçant, libérant une grille au fond du bassin… êta ne pouvait voir ce qui se passait, mais elle sentait du mouvement dans l’eau du bassin… elle demeurait presque immobile, agitant à peine les jambes de temps en temps pour se maintenir à flot… lorsqu’elle sentit une chose étrange, visqueuse qui lui enserrait une cheville. Malgré son abandon, elle ressentit une forme de peur… plus encore lorsque son autre cheville fut saisie à son tour. Elle s’agita un peu, pour le plus grand plaisir d’Aspasie et Mérion, désormais installés sur de confortables sièges et contemplant le spectacle en dégustant du vin grec coupé d’eau et de miel, servi par deux des filles de l’auberge, entièrement nues et disponibles pour tout ce qu’il leur plairait d’exiger. Mais les deux compères ignoraient totalement les deux beautés pour se concentrer sur êta qui se tortillait dans le bassin…

Polypous, un poulpe énorme, était maintenant collé au corps de l’esclave et ses huit tentacules exploraient en détails le corps de la jeune femme. Capturé et dressé tout petit par Aspasie lors d’une promenade sur la plage, il était aujourd’hui une formidable créature adulte, toute dévouée à sa Maîtresse qui n’avait d’ailleurs d’amour que pour lui. Elle lui avait appris à jouer sur le corps des femelles qu’elle devait dresser et, parfois, se livrait elle même aux caresses gluantes de son poulpe adoré ! Au fil du temps, Poulypous était devenu une créature étonnante qui adorait enserrer les corps de ses huit tentacules… s’immisçant partout, serrant, caressant, étouffant, mais sans jamais mettre celles et ceux qui lui étaient livrés en danger… En cet instant, il avait introduit un tentacule entre les cuisses d’êta, un autre enserrait sa taille et deux maintenaient les chevilles de la jeune esclave… Des ventouses étaient collées aux seins, un autre tentacule s’enroulait sans serrer autour du cou… êta qui avait d’abord tenté de lui échapper, succombait à son tour aux pouvoirs de la bête, qui s’insinuait au plus profond de son corps, envahissait son sexe, titillait son cul, se jouait de ses seins et de ses sens. Elle gémissait, ses lèvres tremblaient, elle jouissait sans retenue des attouchements et pénétrations diverses que lui imposait Poulypous sans répit.

Car infatigable, le poulpe énorme pouvait ainsi jouer durant des heures jusqu’à pousser ses jouets humains à l’évanouissement. Généralement, les filles qui lui étaient livrées ne cessaient de geindre et de supplier qu’on les libérât de son étreinte visqueuse. Mais il n’en était rien avec êta. Dépassée sa première répulsion furtive, elle se livrait maintenant corps et âme à la bête qui la pénétrait, la fouillait, la pressait, la possédait ! Elle se tortillait, certes, mais non pour échapper aux tentacules qui la contraignaient. Non, elle s’abandonnait au plaisir que lui procurait l’énorme animal, aux pénétrations profondes et surprenantes des membres longs et visqueux… Elle criait, mais de plaisir, se cambrait tandis que les tentacules entraient en elle, se collaient à elle, écartaient ses cuisses, pressaient ses seins… c’était un hallucinant spectacle que de contempler cette sarabande de deux corps, l’un pâle et seulement doté de quatre membres esthètes, l’autre sans beauté et aux teintes rouges et brunes, agitant frénétiquement ses huit tentacules comme autant de membres, de verges, d’instruments de plaisir et de jouissance pour l’esclave qui se donnait à lui comme en extase !

— Il suffit ! lança Aspasie d’un ton irrité qui semblait emprunt de jalousie, l’expérience est concluante, cette femelle est la plus délurée catin que j’ai jamais vue ! j’en ferai la pornaï la plus désirée de toute la Troane !

— Elle va faire notre fortune s’emportait Mérion avant d’éclater de rire, Mais tu es jalouse ! Elle a même séduit ton poulpe géant ! Tout est possible avec cette esclave ! Tout !…

Bien loin de là, bien haut, bien plus haut… Les Dieux de l’Olympe n’ignoraient rien du destin auquel avait été condamnée La Belle Hélène… dont la beauté avait heurté la fierté d’Une Déesse et qui désormais, devenue êta était vouée à subir épreuves et humiliations. Cette humaine méritait-elle de subir de tels tourments ? Les opinions étaient partagées… Mais Une Seule Déesse pouvait en décider… Et selon elle, êta devrait subir douze épreuves avant que son sort ne soit définitivement fixé. Et devenir la pornaï du port n’était que la seconde

(A suivre )

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