Je suis un pote de celui que vous connaissez sous le pseudo d’IcedSugar. C’est lui qui m’a fait connaître ce site. Il m’a convaincu de raconter ma propre expérience dont voici le récit.
J’ai récemment découvert que ma femme me trompait. J’étais sorti à un repas d’anciens élèves mais ne me sentant pas très bien, j’avais décidé de rentrer chez moi bien avant la sortie habituelle en boîte de nuit comme nous le faisions chaque année jusqu’aux aurores.
En arrivant devant la maison je suis un peu étonné car bien qu’il soit encore tôt, aucune lumière ne filtre à l’extérieur. Je me dis que ma femme, sans doute fatiguée est déjà couchée aussi, j’ouvre la porte en faisant le moins de bruit possible. A peine dans l’entrée, je sens quelque chose d’anormal. En prêtant l’oreille, je perçois de bruits étouffés qui proviennent du couloir lequel mène d’un côté aux chambres et de l’autre, au salon.
Une faible lumière semble d’ailleurs provenir de cette dernière pièce. Inquiet, j’avance dans le couloir en silence, le cur battant la chamade. Les bruits deviennent des gémissements, je reconnais sans aucune hésitation la voix de ma femme. L’air me manque, j’appréhende la scène que je vais découvrir car je suis pratiquement sûr qu’elle est avec un homme et qu’ils sont en train de faire l’amour.
Tout à coup, j’hésite, je m’arrête. L’envie de faire demi-tour et fuir rapidement pour ne revenir que quelques heures plus tard, m’étreint. Je me ravise, reprends ma progression car je préfère en avoir le cur net. Mon épouse stimule son amant en poussant des ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, encoooooooooooorre, plus fooooooooort. Je passe un il discrètement et là stupeur, je découvre un spectacle qui me laisse sans voix. J’en ai même du mal à croire ce que je vois car, la vision qui s’offre à moi est celle d’une femme à moitié dénudée à quatre pattes sur la moquette du salon ou plus exactement, ramassée sur elle-même, à genoux, les fesses surélevées pour mieux s’offrir à son amant, lequel la ceinture fermement entre ses pattes, oui, entre ses pattes antérieures car celui qui la pénètre à grands coups de reins rapides, n’est autre que notre jeune bull-mastiff.
Je suis abasourdi. Je fais marche arrière, me cache dans l’ombre du couloir puis, poussé par une curiosité malsaine, je me place discrètement de manière à mieux voir cet accouplement que je n’aurais jamais cru possible du moins avec ma femme en 1er rôle.
Je me surprends à me sentir excité par ce qui se passe à quelques mètres de moi. Notre chien est collé aux fesses d’Elise. Je vois son bassin qui s’agite à toute vitesse. Ma femme secoue la tête dans tous les sens, elle soulève ses fesses, creuse les reins pour lui permettre de mieux la perforer. Les coups de reins sont plus puissants, plus profonds, elle ne se retient plus, ne se contrôle plus. Les gémissements sont devenus des cris. Elle se met à l’invectiver :
Aahhhhhhhhhhhh, salaud, tu me l’as encore mise à fonds. C’est trop bon ta grosse bite. Ouiiiiiiiiiiiiiiiii. Encore. Plus fort. Jouis dans ma chatte, jouis mon chien.
Je sors ma queue rapidement. L’excitation a été la plus forte. Je me branle en silence et quelques va-et-vient suffisent à me faire jouir. Je sens les spasmes parcourir ma verge, mes reins tandis que ma semence gicle pour rejoindre la moquette du couloir.
Mon chien est en train de jouir. Ses membres postérieurs sont pris de tremblements, il tient tout juste sur ses pattes. Ma femme confirme d’ailleurs en ronronnant de satisfaction :
Oui c’est çà mon chien, donne tout ton jus à Maman, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Le peu de lumière me fait regretter de ne pas en voir plus. J’aurais tant aimé voir ce sexe entrer dans la vulve de mon épouse, mieux, le voir éjaculer dans son ventre. J’imagine le trop plein de semence s’échapper de la vulve, déborder, couler le long des lèvres, des cuisses. Les derniers spasmes se terminent, ma tête bourdonne d’avoir joui aussi fort. Je m’éclipse tout aussi discrètement que j’étais arrivé. Je me retrouve dans la rue, la braguette à peine refermée, partagé entre excitation et stupeur. Je saute dans la voiture et je roule, parcours les rues animées de ma ville sans but précis. Je ne reviendrais que bien plus tard, pour retrouver ma femme profondément endormie sans que rien ne laisse soupçonner de ce qui s’est passé quelques heures plus tôt. Je repense à la scène, l’excitation revient, je l’embrasse, je glisse ma main entre ses cuisses, plonge un doigt doucement dans son ventre. Elle est trempée, peut-être est-elle encore remplie du jus de notre chien. Elle ouvre les yeux, me tends ses bras et me murmure :
T’as envie mon amour, viens si tu veux.
C’est vrai j’ai envie, très envie. Je bande en pensant qu’elle a encore dans son ventre la semence de mon rival à quatre pattes. Elle se mets sur le dos, écarte les jambes pour me laisser m’installer. Ma queue est prête à exploser tant l’excitation est grande. D’un coup de reins, je m’enfonce en elle. Elle accuse le coup en poussant un petit gémissement mais ne m’empêche pas de l’embrocher jusqu’aux couilles. Je glisse comme dans du beurre, elle me souffle :
Tu bandes fort mon amour. T’avais une grosse envie!! Fais-moi jouir.
Petite salope, tu m’excite trop.
Je n’ai pas l’habitude de lui parler comme çà mais elle ne réagit pas, semble même apprécier cet écart de langage. Je m’active, le plaisir est vite là, je me dégage, la retourne pour la mettre en levrette. Mes mains glissent sur ses hanches, ses flancs. Je sens alors les griffures laissées par notre chien qui boursouflent la peau. Je me plante en elle et reprends mes aller-et-retours. Elle commence à gémir, elle me demande de la prendre plus fort :
Mets-là moi fort, plus fort, au fonds mon amour.
Je la tiens par les hanches pour mieux la tirer vers mon chibre, dur comme du bois. Elle a l’air d’aimer çà mais je suis tellement excité que je sens la jouissance à nouveau frapper à la porte de mes reins. Je sors à nouveau. Mon épouse râle :
Non, non. Reste mon amour. N’arrête pas, je vais jouir.
Je passe ma main sous son ventre mais la place est déjà prise. Une main, ses doigts s’occupe de son bouton. Je replonge en elle, reprend mon pilonnage. J’essaie de penser à autre chose mais les images reviennent au galop, des bruits excitants, obscènes même se font entendre tandis que mon sexe plonge à toute vitesse entre ses fesses qui vibrent à chaque fois que mes cuisses se plaquent avec force contre elles.
Ouiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je viens mon amour. Je vieeeeeeeeeeeeeeeeeeens.
Elle se tend comme un arc. Elle jouit. Ce n’est pas feint, je le sens. Son fourreau me serre, m’étreint. Quelques coups de reins supplémentaires suffisent à me faire exploser à mon tour. Ma semence rejoint celle de l’amant qui m’a précédé dans son ventre. Je me laisse retomber sur son dos, elle s’affaisse elle aussi.
Nous récupérons doucement.
Waouuuuuuuuuhhh. C’était trop bon. Merci mon amour. T’avais la grosse envie dis donc.
Je m’abstiens de répondre car ce n’est pas l’envie qui me manque de lui demander si elle avait aussi joui avec mon rival. Ce n’est pas encore le moment d’autant qu’il faut le reconnaître, j’aimerais beaucoup la surprendre une nouvelle fois dans ses activités extra-conjugales.
Plusieurs jours se sont passés depuis cette séance mémorable. Je n’ai pas réussi à la revoir avec notre chien. Il va falloir que je force le destin.
Je m’arrange donc pour oublier de fermer une page web spécialisée dans la zoophilie le soir en allant me coucher. Je quitte le domicile le lendemain sans toucher à l’ordi afin d’être sûr qu’elle va immanquablement la voir en s’en servant dans la journée.
Le soir quand je rentre, je suis excité car j’ai imaginé toute la journée qu’après avoir vu les vidéos cochonnes, elle n’aura pas résisté longtemps à l’envie de se faire mettre par notre brave toutou. Je l’entreprends à peine, le pas de la porte franchi, je glisse mes doigts dans sa petite culotte, lui caresse le clito et plonge mes doigts entre les lèvres de sa chatoune. Elle est trempée, je fais mine de porter mes doigts à ma bouche pour la goûter mais elle m’arrête en prétextant qu’elle doit sentir un peu fort, pour ne pas s’être douchée de toute la journée. Elle prends mes doigts dans sa bouche, me les nettoie rapidement puis fais glisser son short à ses pieds avant de s’agenouiller à même la moquette du couloir en m’adressant un sourire des plus coquins:
Tu veux me prendre maintenant mon amour. T’as vu des petites coquines qui t’ont excité, c’est çà?
C’est toi qui m’excite, ma petite salope. Racontes-moi ta journée. Tu as la chatte toute trempée.
J’ai vu une page web que tu as oublié de fermer hier soir et ça m’a excité, j’ai passé une bonne partie de l’après-midi à visionner des vidéos.
Tu t’es caressée?
Oui, un peu mais je ne savais pas que tu t’intéressais à ce genre de trucs. Ça t’excite?
Oui, énormément, d’ailleurs j’ai souvent imaginer que toi et Démon, quand je n’étais pas là, vous…
vous quoi?
Et ben, tu sais bien voyons, comme dans les vidéos.
Ah bon! Et ça t’excite d’imaginer Démon en train de me faire çà?
Oui, trop. J’suis même obligé de me faire jouir en fantasmant sur vous.
Racontes-moi ce que tu imagines mon amour.
Ça t’excite toi aussi, non?
Ce serait mentir que de le nier.
Et t’as rien fait avec Démon après avoir vu les vidéos.
Non, non mais on en parle après que tu m’ais raconté ce que tu imagines espèce de vicieux.
D’accord mais tu me diras tout?
C’est juré.
Je lui fais donc un récit des plus fidèles de ce que j’ai vu ce fameux soir où tout a commencé. Elle est très troublée, cherche dans mon regard s’il s’agit bien d’un fantasme de ma part ou d’autre chose. Le doute l’étreint tant la description est proche de la réalité. Je ne lui épargne rien de ce que j’ai vu si bien qu’elle arrive à se dégager de mon étreinte pour se retourner et me faire face. Son regard est plein d’interrogation voire d’incompréhension.
Je lui souris, l’embrasse, proteste en lui demandant ce qui lui arrive. Si elle n’aime pas mon fantasme.
Elle se reprends pour me demander:
C’est vraiment ce que tu voudrais?
Ça te fait peur? Tu ne voudrais pas?
Elle réfléchit, nous avons bien sûr cessé de faire l’amour. Elle hésite puis se lance:
J’ai un aveu à te faire mais j’ai peur de ta réaction.
Lances-toi!!!
Je préfère te montrer si tu veux bien.
J’aimerais bien effectivement.
J’ai l’impression que tu sais déjà ce que je veux te montrer.
Qui sait?
Elle est pratiquement sûre que je sais et si je ne me suis pas fâché, c’est que j’avais vraiment ce genre de fantasme à son égard. Elle appelle Démon, soulève complètement sa robe sur ses reins et s’aplatit les coudes bien calés au sol, les fesses bien offertes.
Le chien arrive, voit sa maîtresse devant lui, s’approche puis se met à lui renifler les fesses, glisse sa truffe sur son sexe puis sa langue se met à lui lécher la raie pour finalement se concentrer sur sa petite chatte. Elle est trempée de bave mais aussi de sa propre mouille. Son sexe doit dégager une odeur de chienne en rut car j’étais en train de la prendre quelques minutes plus tôt. Démon lui rentre carrément la langue dans la chatte dès qu’elle lève sa jambe pour lui faciliter l’accès à son entrecuisse. Elle me regarde cherchant dans mes yeux mon assentiment. Je lui souris. Elle a du mal à garder les yeux ouverts, visiblement, la langue canine lui fait un bien fou. Elle me souffle:
C’est trop bon! Je vais jouir si je le laisse continuer.
Laisse-le!! ça m’excite.
C’est vrai? Tu aimes?
J’adore mais..
Mais?
Mais j’en veux plus après!
Tout ce que tu voudras mon amour. Je suis trop heureuse que ça te plaise.
Elle a de plus en plus de mal à parler. Elle ouvre la bouche, laisse échapper une série de petites plaintes de plus en plus rapprochées. Elle ouvre tout à coup tout grand ses yeux:
Je vais jouir mon amour, je vais jouir, ça vient. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Elle se laisse aller sous les coups de langue qui la fouille et lui font tant de bien. Démon continue de la lécher et s’arrête en sentant la main de sa maîtresse sous sa langue. Sans hésiter, il pose une de ses pattes sur les fesses de ma femme puis, se dresse sur ses pattes arrières. Je le regarde la ceinturer aux hanches avec ses antérieurs tandis que son ventre se colle contre les fesses offertes. Il bande ferme. Je suis si près que je vois la texture du gland de l’animal, sa couleur vive, le liquide gluant qui le recouvre entièrement. Il cherche l’entrée en donnant des petits coups de reins, je me penche pour mieux voir la saillie. Le bout a trouvé l’entrée, il s’enfonce entre les lèvres, des picotements m’envahissent le bas-ventre, les reins. Il donne alors deux ou trois coups de reins en collant son ventre contre le postérieur de sa femelle. L’assaut est violent, son gros chibre s’est enfoncé dans le ventre d’Elise presque entièrement. Il est bloqué par un énorme renflement contre les lèvres intimes mais n’arrête pas pour autant de donner des coups de reins encore plus violents. Elise, s’aplatit davantage au sol pour mieux s’offrir au vit animal, elle grimace de douleur en m’annonçant:
Oh ouiiiiiiiiiii, ouiiiiiiiiiiiiii, il m’a tout mis. C’est trop bon.
Je me contorsionne pour mieux voir. La boule est passée. Il est tout entier dans la chatte dont les lèvres distendues semblent sur le point de céder. Le chien s’agite encore plus fort.
Ah le salaud, il jouit. Il me remplit la chatte, ça déborde, ça coule sur mes cuisses. Le cochon, il prend son pied.
Je n’en peux plus. J’ai envie de me branler jusqu’à me faire jouir. Je sors ma queue, ma femme l’attrape et se mets à la branler exactement comme j’aime. Je passe une de mes mains sous son ventre. En deux secondes je suis sur son bouton, je le fais rouler sous mes doigts. Elle bande aussi fort que moi c’est sûr. Ma femme exulte.
Vous allez me faire venir. C’est trop bon. N’arrêtes pas mon amour. N’arrêtes pas.
Mes doigts dérapent jusqu’à l’entrée de sa vulve, jusqu’à la barre de chair immobilisé au plus profonds des chairs intimes. C’est énorme mais ça n’a pas l’air de lui déplaire, bien au contraire. Je poursuis ma caresse au rythme qu’elle me donne avec sa main sur mon propre sexe. Elle me donne le tempo, me montre ce qu’elle veut pour avoir le maximum de plaisir jusqu’à l’orgasme. Elle accélère, ses doigts me serrent plus fortement. Elle donne maintenant des petits coups de reins à la rencontre de mon doigt. Je sens ses muscles se tendre, sa respiration s’accélérer, le souffle lui manquer. Elle va jouir et elle me le confirme dans un râle.
Oh oui mon amour, ouiiiiiiiiiiiiiii. Ça vient. Ça vient.
Je n’ai pas le temps de lui répondre qu’elle explose bruyamment.
Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
Je la regarde se tordre en poussant un long gémissement du plus profonds de sa gorge. J’aime quand elle jouit comme çà. Ça m’excite et me flatte. Je suis au bord du gouffre mais j’ai réussi à contrôler mon plaisir pour ne pas jouir aussi, trop envieux de la prendre à mon tour dès que notre chien l’aura libéré.
Une longue attente commence. Je la caresse tendrement en lui murmurant tout mon amour. Démon quand à lui est extraordinairement calme. Il s’est retourné mais ne cherche pas à se dégager. J’exerce une légère pression sur son collier juste au cas où. Lorsque nos regards se croisent, je sens chez elle une envie de parler, de s’exprimer mais elle reste silencieuse pourtant ce regard qu’elle m’adresse est un appel que je ne peux ignorer. Je couvre son visage de baisers en lui demandant de ne pas garder pour elle ce qu’elle a envie de me dire ou me demander.
Je t’aime et rien de ce que tu pourrais dire ou faire ne pourra altérer les sentiments que j’ai pour toi surtout après avoir partagé ce que nous venons de partager.
Un timide sourire prend enfin forme sur ses lèvres. Visiblement inquiète elle se décide à me demander:
C’est vrai. Ça ne te dégoûte pas? J’ai peur que tu ne vois plus de la même façon maintenant en me voyant accouplée à un chien.
Ce n’est pas un chien mon amour. C’est notre chien et puis, il fait parti de la famille, non? C’est comme un enfant pour nous.
Tu m’aimes quand même?
Non, pas quand même. Je t’aime tout simplement.
Nous parlons ainsi un bon moment jusqu’à ce qu’enfin, Démon sentant sans doute qu’il va pouvoir sortir, ne se mette à tirer sur son collier. Je pose alors une de mes mains autour de sa verge en massant et en appuyant tout doucement tout autour de la vulve qui semble être beaucoup moins dilatée. Un léger mouvement de bassin libère d’un seul coup l’énorme boule et, la totalité de la hampe. Ma femme pousse un cri de douleur tandis qu’un flot de sperme animal s’échappe aussitôt de son ventre dont l’entrée ne semble pas vouloir se refermer. Le liquide légèrement teinté, coule sur ses cuisses avant de se répandre sur la moquette en faisant une large tâche sombre. Je masse doucement l’entrée de son sexe. Elle me sourit.
Je t’aime toi. Ça me fait du bien après…
Après?
J’ai envie qu’elle se raconte. Qu’elle se livre en me racontant son plaisir, ses craintes, ses envies. Elle hésite, cherche à nouveau mon regard, réfléchit, hésite encore puis, après un long moment pendant lequel je n’ai jamais cessé de lui masser l’entrejambe, elle se lance, se livre. Je l’adore, elle m’excite. Je me place derrière elle tandis qu’elle continue de parler, elle sait ce que je veux. Elle me tends ses fesses tandis que déjà je pose mon gland dans l’entrée de son ventre. Je m’enfonce en elle d’un coup de reins. Elle me dit qu’elle m’aime, me supplie de la remplir à mon tour de ma semence. Je la besogne en la tenant fermement par les hanches, elle ronronne de satisfaction. Mon cur s’affole, mes sens aussi, je ne cherche pas à résister, je me laisse aller bien calé au fonds de sa chatte. Je jouis, ma tête explose, mon corps se tend tandis que mon sperme rejoint celui de notre chien. Le calme revient, nous nous laissons retomber sur la couche, étroitement emboîtés l’un dans l’autre.