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Transportés de plaisirs – Chapitre 5




Eprouvante promenade

La nuit a été des plus agréables. Délicieux mélange de caresses, étreintes, confidences et repos, enlacés dans les bras lun de lautre ou collés lun à lautre, suite logique de la soirée toute en sensualité passée la veille. Nous avons pu ainsi faire encore plus ample connaissance et confirmer les nombreux points dintérêts que nous partageons, complément à nos échanges par téléphone ou internet.

Après mêtre réveillé, malgré la tentation de moccuper de ma charmante compagne, jai préféré la laisser se reposer encore et, après lavoir observé tendrement, je me suis assoupi à nouveau, collée à elle.

Somnolent, je la sens bouger. Elle se lève puis revient se glisser près de moi. Elle pose sa tête sur ma poitrine et promène doucement sa main sur mon torse. Je ne bouge pas. Je la laisse faire. Je me laisse faire et je savoure. Elle frôle mes tétons pour sen amuser puis glisse sa main sur mon flanc pour le griffer légèrement. Je ne peux retenir un soupir. Je garde les yeux fermés pour ne pas quelle sarrête. Sa main vient sur mon ventre et descend vers laine puis la cuisse. En même temps, elle commence à déposer de doux baisers sur mon visage puis sur mon torse. Sa bouche vient à son tour jouer avec mes tétons. La belle est taquine et elle mordille avec délicatesse ma poitrine. Délicieuse sensation qui me fait vibrer et frissonner. Sa main continue son exploration et atteint mon pubis. Elle caresse doucement ma toison puis, lentement, vient se poser sur mon sexe que ces douces caresses ont déjà éveillé. La tête de ma brune est posée sur mon ventre. Son souffle me laisse comprendre quelle regarde ses doigts se promener, quelle les guide. Sa douce main attrape mon pénis durci et le caresse dun délicat mouvement de va et vient. Avec son pouce elle joue à taquiner mon gland découvert. Coquine et mutine elle se joue de moi et je men régale. Je soupire à nouveau, incapable de me contenir. Ses lèvres parcourent à présent mon ventre et continuent à descendre plus bas, explorant mon pubis. Elle dépose de tendres bises à la base de mon sexe, soufflant légèrement sur mes bourses. Ces doux baisers remontent vers la tête de mon pénis et elle entame un va et vient délicieux de bises appuyées. Soudain, elle pose sa bouche sur mon gland et sen amuse avec sa langue un instant. Impossible de retenir un gémissement. Mes mains se posent sur les épaules de ma brune. Ses lèvres souvrent, et, habilement, saidant de la langue elle me prend en bouche. Mes doigts se crispent légèrement et griffent un peu son dos. Ce réveil en douceur est un pur délice. Etre son jouet est un plaisir. Je mabandonne un moment à la douce caresse de sa bouche mais je ne la laisserai pas arriver à ses fins et assouvir sa faim, sa soif. Délicatement, je la repousse et échappe à sa bouche gourmande. Elle gémit sa déception. Je me coule contre elle et, tout en lembrassant tendrement et fougueusement, je lallonge sur le dos avant de me glisser sur elle et entre ses jambes. Mon sexe tendu ne tarde pas à trouver lentrée de son ventre brulant, déjà inondé par le désir, lenvie. Avec douceur je pénètre ma belle coquine en lui murmurant des paroles tendres pour apaiser sa fougue. Je lui demande de suivre mon rythme, de laccompagner. Alors, lentement, tendrement, nous faisons lamour. Pas à pas, ondulant de concert, nous approchons dun orgasme intense et profond qui nous saisit en même temps. Unis par ce plaisir attendu nous restons soudés lun à lautre. Nous profitons de la douceur du moment et laissons le calme regagner nos corps.

Après quelques minutes de répit, collés lun à lautre, ma compagne se lève, pose un baiser sur mon front et sort de la chambre. Elle revient, simplement vêtue dun peignoir et en dépose un second sur le lit, en mexpliquant que cest un simple cadeau de bienvenue qui me sera toujours utile lors de mes visites. Elle quitte la chambre en me demandant ce que je préfère pour ce petit déjeuner tardif et sen va le préparer. Je me lève, passe le peignoir qui me va parfaitement et la rejoins. Appuyé au chambranle de la porte je la regarde sactiver.

« – Tu sais ? Tu me suffirais tout à fait en guise de petit déjeuner. Mais, vu lheure avancée, je pense que tu as raison et que nous restaurer maintenant nous permettra de tenir jusquà ce soir. Pour ce qui est de nourriture tout au moins. Je vais me raser rapidement. Ne te presse pas ! »

Elle se tourne vers moi et me renvoie le sourire coquin que jaffiche.

« – Merci pour ce peignoir jolie dame ! Tu as fait un bon choix et jen suis ravi. Et il me sera effectivement très utile. »

Alors quelle finit ses préparatifs je mapproche delle, lattrape par la taille et lembrasse dans le cou. Je la relâche et lui apporte mon aide. Une fois tout installé sur la table nous nous installons en tête à tête. Nous continuons nos discussions, ne maquant pas une occasion de sourire et rire, totalement détendus. Elle me confirme quelle souhaite que nous allions nous promener en ville pour profiter du temps agréable de cette journée. Elle me précise quelle na pas de but précis mais quelle veut simplement profiter de ma présence. Je ne peux que lui répondre quune fois de plus elle a raison et que je rejoins son avis. Elle se lève pour débarrasser et quand elle passe près de moi, jattrape sa ceinture qui se dénoue et tombe. Amusée, elle rit en me traitant de vilain coquin. Je me lève pour laider. Dès que tout est rangé, je lattrape par la taille et la retourne face à moi. Je passe mes mains sous les pans ouverts du peignoir et les pose sur ses hanches. En me collant à elle, je la pousse contre le meuble de la cuisine. Je dois lui avouer quelle mattire et éveille mes envies au-delà du raisonnable. En passant ses mains autour de mon cou, elle me répond quelle est confrontée au même problème et quen plus, elle se sent particulièrement bien avec moi. Tout comme moi lui dis-je.

Je lattrape plus fermement et me plaque contre elle. Un regard échangé nous permet de nous comprendre et nos bouches se soudent dans un baiser délicieux. Rien à faire. Il semble impossible de résister aux désirs qui nous consument, qui nous embrasent. Dun geste habile elle dénoue ma ceinture et ouvre mon peignoir. Nous nous collons lun à lautre sans cesser de nous embrasser. Nos lèvres survolent nos visages pour se retrouver et sunir passionnément. Le feu du désir attisé par ces contacts sensuels nous fait perdre toute retenue. Je laisse glisser mes mains sur ses fesses et lattire un peu plus à moi afin quelle sente mon désir. Elle gémit. Je la saisis par la taille et la soulève pour lassoir sur le plan de travail. Je plonge ma tête entre ses seins et je commence à les embrasser avant de jouer avec ses tétons sensibles. Elle saccroche à mes épaules et enfouit sa tête au creux de mon cou. Je lattire au bord du meuble puis passe mes mains sous ses cuisses pour les relever. Ses jambes se referment sur mes hanches. Mon sexe effleure le sien et cela la fait frémir. Dans un souffle elle me demande : « – Viens ! » Je ne comptais pas patiente plus et me guide habilement à lentrée de sa grotte. Doucement, je pousse et mintroduis dans la chaleur de son antre. Elle referme ses bras autour de mon cou. Elle gémit, minvitant à atteindre son but. Dun coup de rein, je la possède complètement. Encouragé par ses murmures et gémissements, je lui fais dabord lamour lentement. Emporté par le plaisir qui monte en nous, je deviens sauvage et notre étreinte devient presque violente. Il ne faut guère de temps pour que lorgasme nous achève. Dans une plainte étouffée, elle seffondre contre moi, à bout de souffle. Je lui dis de bien serrer ses jambes autour de moi puis je la soulève en passant mes mains sous ses fesses. Elle colle sa tête au creux de mon cou et je la porte jusquau lit où je la dépose délicatement avant de métendre auprès delle et de la prendre dans mes bras.

« – Reprenons notre souffle ma belle ! »

Nous restons ainsi, enlacés, quelques minutes, silencieux, profitant simplement de linstant.

Je mécarte delle doucement puis minstalle sur le côté, en appui sur mon coude pour la regarder. Je lobserve, je ladmire. Elle me voit sourire et me demande ce qui me fait sourire ainsi. Je me tourne vers elle et ne peut que répondre que ce sont le bien-être, le plaisir dêtre là, invité à profiter de ses charmes et de sa douceur qui me font cet effet. Je suis bien et pourquoi le cacherais-je. Elle sourit et caresse mon visage. Jembrasse sa main au passage. Puis, je me penche pour embrasser son visage et nos bouches se retrouvent.

Après ce doux baiser, je me lève.

« – Je vais aller prendre une douche et je me préparerai. Jespère être à ton goût pour notre promenade belle dame. »

« – Je suis sure que tu me plairas bel homme. Comment veux-tu que je mhabille ? »

« – Je fais entièrement confiance à ton choix. Je sais que tu as bon goût et que tu sais me plaire. Cependant, pose tous les vêtements que tu penses porter aujourdhui et je te donnerai mon aval en sortant de la douche. Daccord ? »

Elle me regarde avec un regard à demi surpris et madresse un charmant sourire de petite fille.

« – Bien sûr Monsieur ! Comme il vous plaira. »

Avant de filer vers la salle de bain je lui lance un clin dil et un sourire.

Lorsque je sors de la douche la belle est là, mattendant, une serviette à la main.

« – Jai fait mon choix Monsieur. Tout est sur le lit pour votre approbation. Laissez-moi vous sécher puis je prendrai la place. Vous aurez le temps détudier ma tenue pendant que je me douche. »

Je me laisse faire avec délice et minterroge sur la tenue choisie par la belle. Je sais quelle sera désirable, tentatrice et raffinée. La vulgarité nest pas de mise avec elle. Je suis presque impatient de découvrir sa sélection.

Elle en a terminé.

« – Merci beaucoup de prendre si bien soin de moi ! »

« – De rien Monsieur ! Cest un plaisir pour moi de vous être agréable. Et je dois vous remercier pour les découvertes que vous moffrez. »

Elle rougit en finissant sa phrase et se cache dans la douche.

Alors que leau commence à couler je sors et me rends vers la chambre. Au pied du lit de délicats escarpins noirs à lanière sont posés. Talons aiguilles qui rendront la belle fragile en marchant et galberont dune façon délicieuse ses mollets. Sur le lit, je trouve le reste de sa tenue. Elle a choisi de simples bas noirs à couture pour gainer ses charmantes jambes. Pour retenir les bas, un porte-jarretelles serre-taille noir et rouge avec un délicat laçage. Complément à cet assemblage de dentelle et de satin, je trouve un string et un soutien-gorge pigeonnant qui me prouvent, si besoin était, que ma compagne sait me plaire. Pour dissimuler tous ces charmants atours, la dame a choisi une robe-pull rouge et noire agrémentée dune ceinture de cuir noir. Je commence à mhabiller en imaginant déjà la belle ainsi habillée. Désirable en diable.

Je termine de me préparer quand elle sort de la salle de bains. Le peignoir ouvert, appuyée contre la porte elle me regarde.

« – Tu me plais ! »

« – Je nai rien de particulier et mes vêtements sont simples et pratiques pourrais-je dire. »

« – Tu es toi. Et cela me plait ! »

Je souris devant ce compliment sincère.

« – Ai-je bien choisi ma tenue Monsieur ? »

Je mapproche du lit, observe les vêtements, puis me tourne vers elle en souriant.

« – Tu seras parfaite comme à ton habitude ma belle ! Ton choix est excellent et cela ne faisait aucun doute pour moi. »

Elle sourit et entre dans la chambre.

« – Cependant, tu as choisi de porter un string. Il est très joli. Mais tu le mettras plus tard. Tu nen as pas besoin pour le moment. »

Je me penche, ramasse le string et le glisse dans ma poche.

« – Je te le donnerai au moment voulu. »

Elle sest arrêtée à lentrée de la chambre. Elle est apparemment très surprise par mes paroles. Je lui souris pour la rassurer.

« – Naies pas peur. Fais-moi confiance. Laisse-toi encore te guider sur mes chemins! »

Elle semble réfléchir un instant puis sabandonne.

« – Daccord Monsieur ! Je vous fais confiance ! »

« – A la bonne heure ! Je te laisse te préparer. Je vais tattendre dans le salon. »

Je laisse la belle dans la chambre. Avant de sortir, je la regarde et lui souris. Elle me regarde à son tour et me semble inquiète et impatiente. Mélange démotions perceptible qui me laisse deviner son trouble. Je souris intérieurement.

Je me rends dans le salon et minstalle dans le fauteuil pour attendre que ma charmante compagne me rejoigne. Je profite de lattente pour imaginer la suite et le déroulement de notre promenade. De nombreuses idées toutes plus coquines les unes que les autres me viennent à lesprit. Et toujours un seul but : le plaisir de ma brune.

Elle arrive enfin dans le salon. Elle est superbe. Je lui fais signe de sapprocher et de tourner sur elle-même. Je lobserve. Elle me fait tourner la tête.

« – Tu es superbe et je suis flatté dêtre ton compagnon de promenade. Je ferai des jaloux, des envieux, et jen suis ravi. »

Je prends sa main et la guide à droite du fauteuil. Je pose ma main droite sur sa hanche, et, négligemment, je la laisse glisser le long de sa cuisse. Délicieuse courbe que je frôle. Ma main atteint le bas de la jupe et caresse le bas. Je glisse ma main sous la robe et commence à la remonter. Elle arrive à la douce rondeur de sa fesse et sy attarde. La belle frémit et soupire. Je redescends ma main et laventure furtivement entre ses cuisses qui sentrouvrent légèrement. Le tranchant de ma main effleure son sexe et ses cuisses se ferment. Je lève les yeux vers elle et je croise son regard. Elle sabandonne à mon désir et semble supplier, réclamer, une étreinte, des caresses. Je retire ma main de ce doux et chaud refuge. Je me lève et lattrape par la taille pour lattirer à moi. Je pose ma bouche au creux de son cou et dépose un baiser.

« – Je pense que nous pouvons y aller ma belle dame. Je te laisse conduire. Tu connais mieux ta ville que moi. »

« – Où veux-tu aller ? »

« – Allons au centre ville. Il y a un centre commercial avec un grand parking souterrain et il est à deux pas des rues piétonnes. Nous aurons ainsi lembarras du choix pour nous promener. »

Je passe ma veste et, elle, son manteau léger. Nous quittons lappartement et empruntons lascenseur. A labri de ses portes, au cours de la descente, je prends ma compagne dans les bras et lembrasse tendrement. Elle se blottit contre moi, détendue. La cabine sarrête eu niveau de son garage et nous nous dirigeons vers sa voiture. Je laide à retirer sa veste et la dépose avec ma veste sur le siège arrière. Elle sinstalle au volant et, de ma place, je me régale de promener mon regard sur ses jambes gainées de noir. Elle sen aperçoit, me regarde et sourit. Elle démarre et nous conduit hors de la résidence où elle habite. Au premier feu rouge, je ne peux résister plus longtemps et pose ma main sur sa cuisse que je caresse avec délicatesse.

« – Essaie de ne pas trop me distraire ! Ce nest pas dans un lit dhôpital que nous pourrons nous abandonner lun à lautre. »

« – Je serai prudent, je te le promets. »

Je laisse ma main sur sa jambe, caressant légèrement. A chaque feu rouge ma caresse se fait plus précise, plus sensible. Je joue et ma compagne se prête au jeu avec délice. Devant nous, un feu tricolore, plus long que les autres, a provoqué un embouteillage et nous progressons lentement. Ma main en profite pour progresser également. Pas à pas, elle se glisse et vient frôler les douces lèvres du sourire vertical de ma brune. Je nappuie pas ma caresse mais cet effleurement suffit à faire soupirer la dame. Je lobserve. Son souffle est court et elle se mord la lèvre. Je cesse cette torture et repose ma main sagement sur sa jambe. Elle reprend son souffle dans une grande inspiration. Nous continuons notre route et nous arrivons à destination. Je la laisse entrer dans le parking souterrain et lui précise que je lui dirai quand nous pourrons nous garer. Nous passons deux niveaux puis, au troisième, je la dirige vers une place libre dans un coin un peu à lécart et moins bien éclairé.

« – Gare-toi là ! Ce sera parfait ! »

Elle se range à la place de parking, met le frein à main et coupe le moteur. Elle sapprête à ouvrir la porte mais dune pression sur sa cuisse je lui fais comprendre que nous pouvons patienter. Je mapproche delle et pose ma main sur sa joue pour guider son visage vers le mien. Nos bouches se soudent. Nos langues semmêlent. Ma main caresse sa jambe et vient ségarer entre ses cuisses. Délicatement, je commence à caresser son sexe offert sans barrière de tissu. Il est déjà chaud, humide. Elle gémit légèrement. Notre baiser se fait plus profond, passionné. Ses jambes souvrent un peu plus pour me laisser le passage. Habilement, je recule son siège. Je glisse ma main sous ses fesses et lattire au bord du siège. Ainsi, ma caresse peut se faire plus précise. Ses cuisses souvrent largement et son souffle saffole alors que le bout de mes doigts explore les replis de ses lèvres à la recherche de son bouton de rose. Je glisse mon majeur à lorée de son vagin. Elle est fondante et ruisselle. Je fais pénétrer mon doigt petit à petit. Nos bouches se perdent, se cherchent, se retrouvent. Je joue avec mon doigt et je la sens se tortiller, frémir. Je retire ma main et me recule. Elle me regarde, ne comprenant pas. Je lui souris. Ma main se dirige vers ma poche et en ressort avec le string.

« – Tu voulais porter ce string ma jolie. Je vais te le mettre. Laisse-moi faire ! Laisse-toi faire ! »

« – Mais, Monsieur ! »

« – Fais-moi confiance et laisse-moi te guider dans mon univers sensuel ! Je ne veux que ton plaisir et quil soit intense et inattendu. »

« – Je vous crois monsieur ! Je mabandonne à vous ! »

Elle ferme les yeux et bascule la tête en arrière. Je place la boule de tissu entre ses cuisses et doucement, délicatement, je commence à glisser le string, petit à petit, dans son vagin offert. Je joue avec son clitoris érigé en même temps. Je veux quelle mouille suffisamment. Je ne veux pas la blesser. Elle saccroche au siège en soufflant. Jai presque achevé mon introduction. En glissant mon index et mon majeur réunis je peaufine mon uvre. Elle pousse un bref gémissement et je colle ma bouche à la sienne. Nous échangeons un baiser torride et elle sagrippe à mon bras.

« – Que me fais-tu faire ? Je ne me reconnais pas ! »

« – Je te fais explorer et découvrir tes désirs, tes possibilités. Mais tu es libre de refuser. A tout moment. »

« – Jy ai pensé mais tout me semble si naturel avec toi. Je ne comprends pas et en même temps je pense que je te comprends et je te fais confiance. Cest fou ! »

« – Je prendrai soin de ne pas te blesser dune façon ou dune autre. Seul le plaisir doit nous guider et nous unir. Allons nous promener maintenant ! Je viens touvrir »

Je sors et fais le tour de la voiture. Jouvre sa portière et lui tends la main. Je laide à sortir puis attrape nos vestes. Je laide à passer son manteau, enfile ma veste. Nous fermons la voiture et commençons à marcher. Elle saccroche à mon bras. Les talons aiguilles et le string rendent sa démarche mal assurée. Je me sens protecteur de cette manière. Nous marchons lentement vers la sortie piétonne. Nous arrivons aux escalators et entamons lascension vers le centre commercial. Nous sommes collés lun à lautre. Je la sens frémir par moment. Fragile et délicate je la tiens pour la protéger. Nous commençons à nous promener dans le centre commercial. Nous flânons, nous attardant devant certaines vitrines. Jobserve notre reflet et me rends compte quelle semble heureuse dêtre ainsi accrochée à mon bras. Je lembrasse dans le cou et lui demande si tout va bien. Elle me répond en rougissant un peu quelle se sent bien à mon bras mais aussi que son ventre sembrase peu à peu. Une sensation sourde qui grandit petit à petit. Une délicieuse torture me murmure-t-elle. Cette promenade est également pour moi un moment très agréable. Je profite de labandon de ma belle tout en la protégeant. Je lui propose de sortir prendre un café en terrasse dans un bar proche.

« – Un peu dair frais te fera du bien ma douce ! »

Nous nous installons donc à la terrasse dun bar. Nous restons collés lun à lautre. Elle ne lâche pas mon bras. Comme si cétait le seul moyen de ne pas se laisser emporter. Nous profitons de lair frais de cet après-midi. Je pose ma main sur sa cuisse et appuie un peu mon geste. Elle serre mon bras.

« – Comment vas-tu ? »

« – Je vais bien Monsieur. Je me consume pour vous. Je bouillonne, je fonds. Mon ventre maffole. Je suis encore capable de me contenir mais cest une sensation terriblement excitante. Et savoir que nous sommes les seuls à savoir en rajoute encore. »

Nous buvons en discutant tranquillement. Je lui explique que je souhaite encore voir la devanture dune boutique de chaussures dans la rue piétonne proche dici. Je pense y trouver un modèle qui lui ira à ravir. Mais si elle veut rentrer nous reviendrons. Elle soutient mon regard et me dit quelle se laissera guider jusquau bout et quil nappartient quà moi de décider. Je lembrasse pour la remercier de cet accord. Nous finissons nos boissons et nous reprenons notre marche. Je passe un bras autour de sa taille pour la soutenir un peu et elle se colle à moi. Je surprends les regards de passants qui semblent amusés en nous croisant. Je souris intérieurement en pensant à leurs réactions sils savaient se qui se passe sous leurs yeux. Nous arrivons à la boutique que je souhaitais voir. Jobserve la vitrine et montre quelques modèles à ma compagne. Il y a ici des modèles très sexy et raffinés. Elle acquiesce et je lui propose dentrer un instant. A lintérieur, une vendeuse nous accueille mais je lui indique que nous regardons pour le moment. Elle se met à lécart. Je demande à ma brune si un modèle lui plait et si elle souhaite essayer quelque chose. Elle me dit de décider pour elle. Je lui dit de sassoir un instant pendant que je vais poser une question à la vendeuse qui attend à la caisse. Cest une femme de notre âge. Blonde aux cheveux courts, elle est séduisante. Je mapproche et lui décris le modèle que je recherche pour ma compagne assise là-bas. Elle suit mon regard et quand je la regarde à nouveau je crois voir une lueur de gourmandise dans ses yeux. Hélas, le modèle qui mintéresserait devrait arriver sous peu. Nous reviendrons. La vendeuse maccompagne jusquà la chaise où patiente ma belle. Elle me surprend en tendant la main à ma compagne pour laider à se lever. Elle lui dit, directe, que jai très bon goût et que le modèle de bottes que je cherche lui ira très bien. Les yeux brillants elle ajoute quelle attendra notre visite avec impatience. Nous la remercions et elle nous conduit vers la sortie sans lâcher la main de ma brune. Nous retournons vers le centre commercial.

« – Je pense que la vendeuse a flashé sur toi ma douce. Elle te dévorait des yeux. Jai été impressionné. »

« – Quand elle a pris ma main, elle a été très douce et me caressait littéralement la paume avec son pouce. Jen ai été un peu électrisé. »

« – Cétait désagréable ? »

« – Non, pas du tout. Mais surprenant, troublant. »

« – Nous reviendrons pour les bottes que je veux toffrir. »

Nous sommes presque arrivés au centre commercial. Une dernière rue à traverser. Nous attendons au feu. Soudain, ma compagne saccroche à moi et je la sens à la limite de défaillir. Je la prends dans mes bras et la serre contre moi.

« – Que se passe-t-il ? Ça ne va pas ? »

« – Ce nest rien, rassure-toi. Juste mon ventre qui est en feu et la sensation de recevoir des décharges électriques délicieuses. Je suis au bord de lorgasme. Cest incroyable ! »

« – Accroche-toi à moi. Je te libèrerai dès que nous serons à la voiture. »

Elle me saute au cou et membrasse à pleine bouche. Le feu passe au rouge et nous pouvons traverser. Sa démarche est quelque peu chancelante et je dois la soutenir légèrement. Elle soupire fréquemment. Arrivés à lescalator je la colle à moi. Ses jambes tremblent. Moi, je suis tout aussi excité par la situation et ses réactions. Mon sexe tendu en est la preuve.

« – Cest de la folie ! Tu me rends folle ! Et jadore ça ! »

Je la guide jusquà notre place de parking. La voiture est isolée et je me félicite davoir choisi ce coin sombre. Jattire ma belle de lautre côté de la voiture, à labri déventuels regards. Jouvre la voiture, retire son manteau et ma veste que je pose dans la voiture. Je me colle derrière ma brune et la tiens serrée contre moi. Elle sent mon membre durci contre ses fesses. Elle soupire, le souffle court. Je pose ses mains sur le haut de la portière et la penche en avant. Ma main se glisse sous sa robe et va fouiller entre ses cuisses quelle ouvre. Son sexe est trempé. Elle ruisselle. Jeffleure son clitoris et elle gémit doucement. Elle me supplie de la libérer. Je glisse mes doigts en elle et attrape le string. Doucement, délicatement, je me retire. Elle se penche un peu plus en avant et gémit encore.

« – Prends-moi je ten prie ! Tant pis si tu me fais hurler mon plaisir ! »

« – Je ne peux plus attendre moi aussi ! »

Je finis de retirer le string, lui arrachant un petit cri et relève la robe. Je me déboutonne rapidement, me place derrière elle et guide mon sexe à lorée de son ventre. Je fais une boule du string et le glisse entre ses lèvres.

« – Mords-le ! Pour étouffer tes cris ! »

Dun puissant coup de rein je menfonce en elle. Elle se met à trembler de tout son être en secouant la tête. Le plaisir la prend déjà. Je maccroche à ses hanches et la besogne un instant avec damples mouvements. Son ventre est un brasier et un tourbillon de chair palpitant qui mentraine avec elle dans un orgasme fulgurant qui me foudroie en même temps quune seconde vague de plaisir limmobilise. Je retire son bâillon improvisé pour lui permettre de reprendre son souffle. Nous haletons tous les deux. Fort heureusement, personne na été témoin de notre étreinte. Je me retire doucement et avant de méloigner delle, je replace le string dans la chaleur de son vagin palpitant. Je la retourne et la prends dans mes bras en lembrassant. Jouvre la portière passager et laide à sinstaller.

« – Ne bouge plus. Savoure ! Profite ! Et reprends tes esprits. Je te reconduis et nous nous reposerons. »

Nous échangeons un baiser passionné et je vais minstaller au volant. Elle murmure un merci Monsieur.

« – Merci à toi de maccorder ta confiance et de me suivre sur ces chemins de plaisirs. »

Je démarre et nous conduis au logis de ma belle. En chemin, je pose ma main de temps en temps sur la cuisse de ma brune et la caresse légèrement. Elle a les yeux fermés et gémit. Ses jambes souvrent et se ferment, incontrôlées.

« – Jai limpression de tavoir encore au fond de moi. Cest dément. Je suis encore à la limite de lextase. Arrivons vite ! Je veux jouir librement ! »

Je gare la voiture et jaide la belle à sortir. Je la soutiens jusquà lascenseur. Elle ne cesse de gémir doucement. Dans la cabine, elle se blottit contre moi. La tête au creux de mon épaule elle murmure.

« – Fais-moi jouir encore ! Fais-moi lamour ! »

Nous arrivons à son étage et je la guide jusquà sa porte. Jouvre et nous entrons. Elle saccroche à mon cou ; pendant que je referme derrière nous. Je la pousse vers le fauteuil, la penche en appui dessus. Elle sy accroche. Je retrousse sa robe. Dune main, je caresse ses fesses avec délicatesse et de lautre jouvre mon pantalon qui tombe sur mes chevilles. Elle me supplie de la prendre. Elle ne peut plus attendre. Je retire le string qui la torturait encore. Jattrape ses hanches fermement et sans avoir besoin de me guider, je la pénètre dun coup, mon ventre venant claquer sur ses fesses. Elle pousse un premier cri de jouissance et je commence à la pilonner, emporté par lexcitation contenue. Ma belle saccroche au fauteuil comme un naufragé à une bouée et crie encore et encore à chaque déferlement de plaisir. Elle enchaine ainsi plusieurs orgasmes brefs mais ravageurs. Je la rejoins dans une extase foudroyante. Lintensité du plaisir est si forte que nous nous effondrons unis sur le fauteuil. Ma belle semble prête à défaillir. Je me retire et dans un ultime effort je la porte jusquau lit où nous tombons dans les bras lun de lautre, épuisés, et nous assoupissons. Je ne pensais pas que nous atteindrions de tels sommets. Notre relation promet encore de magnifiques moments.

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