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Qui suis-je vraiment? – Chapitre 5




Jeux deau:

Effectivement cétait lui, quallait-il vouloir de moi ?

— Inconnu : Alors cette piscine, cela ta fait du bien ?

— Moi : Oui mais je me suis sentie abjecte tout de même.

— Soit plus précise ! Quest ce que cela fait de montrer à tous les nageurs tes seins, tes fesses et ta chatte ?

— Javais chaud, je me sentais avilie mais je dois avouer que jai aimé cela.

— Oui, jai pu le constater que tu as adoré car en fait tu es une cochonne qui aime être dirigée et exhibée. Je me trompe ?

— Non vous me faites apprécier cela, jai honte de le dire, . mais oui jaime cela.

— Alors, dis-moi ce que tu es vraiment !!!

— Une allumeuse ?

— Je crois que cest bien faible au vu de ce que tu oses faire et montrer !!! Sois crue et directe tu es !!!!

— Je suis une petite cochonne qui sexhibe quand on lui ordonne.

— Voilà qui est plus juste. Mais je remplacerais le mot petite par vraie, vas-y et avec plus denthousiasme !!!

— Je suis une vraie cochonne qui sexhibe quand on lui ordonne !

— Ce qui est bien avec toi cest quil suffit de te le demander pour que tu fasses nimporte quoi ma petite soumise. Nest-ce pas ?

Sur ce point il tapait juste, car le chantage initial nétait vraiment plus de mise. Jétais devenue sa soumise, sa « petite » salope en moins de deux semaines.

— Inconnu : Rentre chez toi !!! Jai une surprise pour toi.

— Moi : Jy vais tout de suite.

— Tu as intérêt car la soirée ne fait que commencer ma petite salope, car tu en es une nest ce pas ?

— Oui, Monsieur.

— Dis le clairement et de manière à ce quon puisse tentendre.

— Oui, je suis une salope qui aime ce que vous lui demandez.

— Et bien on va voir si tu fais exactement ce que je te dis. A dans un quart dheure chez toi.

Je fis le plus vite que je pus. Arrivée chez moi je trouvai une lettre comme aux premiers jours qui disait :

« Douce amie, nous allons voir si comme tu lexprimes si facilement tu te soumets à tous mes désirs.

Tout dabord comme tu peux le voir sous cette lettre se trouve un rasoir et de la mousse à raser. Je te veux désormais lisse. En effet, pour linstant tu nas exhibé quun sexe poilu. Je veux dorénavant que tu texhibes entièrement. Tu vas donc te raser immédiatement ton minou et ensuite tu pourras lire la deuxième page. »

Jétais rouge comme une pivoine car autant nager et montrer mon intimité mavait humiliée sur le moment mais à présent on me demandait quelque chose qui resterait visible au moins plusieurs semaines. Lidée de me retrouver comme quand javais douze ans me gênait aussi.

Dun autre côté je ne pouvais pas esquiver cet obstacle ; surtout que les autres moments vécus, bien que durs sur le moment, furent tout à fait jouissifs. Et puis, jaimais décidément cela être commandée, dirigée, en bref être soumise à mon amant.

Je pris donc le rasoir la crème et partis dans la salle de bain. Après mêtre déshabillée, jécartais les jambes devant le miroir. Je commençais au préalable par me couper les poils blonds afin de faciliter le rasage. Jappliquai ensuite la mousse à raser sur mon bas-ventre puis dans mon entrejambe. Je débutai alors le rasage.

Le pubis enfin lisse, je commençai à mattaquer à mon minou. Doucement je passai les lames sur mes lèvres pour les débarrasser des poils non désirés de mon inconnu. Le feu du rasoir engendra au même moment un autre feu, mais intérieur celui-ci. Pour léteindre, mon sexe suinta ce qui favorisa derechef la fin du « nettoyage ».

Jétais imberbe désormais et pour men assurer je passais mes doigts sur mon abricot lisse. Jen profitais pour caresser plus en avant mon clitoris gonflé, et. déviais un doigt dans mon vagin. Cette vérification se fît alors de plus en plus forte et rapide. A lindex, jinsérai le majeur afin de doubler les caresses de mon puits. Le plaisir montait et se finalisa par les soubresauts de mon corps associés à des petits cris en provenance de ma bouche.

Mon esprit retrouvé, jobservais attentivement et sous plusieurs angles ma nouvelle allure. Jétais lisse et assise les jambes ouvertes on distinguait clairement mes lèvres roses entrouvertes. Je me sentais déshonorée. A cela sajouta une nouvelle sensation, Jétais nue à la vue mais aussi nue au toucher. Le passage de la serviette sur mon pubis me confirma ce fait et jeta encore plus le trouble dans mon esprit. Je me mettais à penser quen serait-il avec les vêtements que javais dû acheter ?

Sur ces réflexions mon téléphone sonna. Je répondis prestement.

— Inconnu : Que fais-tu ?

— Moi : Je finis de me raser.

— Je suis sûr que tu en as profité pour te masturber ? Dis-moi la vérité soumise !

— Euh . Oui.

— Quel nom donne ton aux personnes comme toi ?

— Je suis une salope qui est prête à tout pour vous.

Je nen revenais pas de pouvoir me qualifier ainsi. Je mavilissais devant lui et cela ne me choquait pas, non cela mémoustillait même.

— Tu aimes cela te soumettre à mes ordres ma soumise !!!

— Oui jaime cela vous obéir.

— Alors avec ton téléphone tu vas prendre une photo de ton abricot épilé et tu menvois immédiatement la photo afin que je le reconnaisse. Ensuite tu pourras commencer la lecture de la seconde feuille. Au fait, félicitations, tu te ballades à poil, « si lon peut dire », dans ton appartement à la vue de tes voisins.

Je piquai un fard immédiatement.

— Inconnu : Ne change rien et commence tout de suite ta lecture.

Cest donc nue et imberbe sans avoir pris soin de fermer les volets que je lus le texte.

— Moi : Je dois porter une minijupe avec un porte-jarretelles, des bas couleur chair, mais sans culotte. Quant au haut, je dois mettre un chemisier blanc avec les deux boutons du haut ouverts et un soutien-gorge noir, afin quil soit visible au travers. Pour finaliser mon habillement je dois me munir dun string, de la vaseline et du plug acheté quelques jours auparavant. Le lieu de rendez-vous est le restaurant ZZZ dans lequel une table est réservée à mon nom, et que je dois rejoindre par métro. Pour le métro, il mest interdit de croiser les jambes ou de les serrer complètement. Je dois même les écarter doucement à deux reprises tout en regardant sur le côté. Ainsi, tu pourras à loisir admirer mon minou rasé. Pour me couvrir une veste courte présente dans lentrée de mon appartement suffira.

— Es-tu prête ?

— Oui je le suis.

Je mhabillais comme exigé, et constatais que la minijupe couvrait à peine la lisière de mes bas. De plus, si lon observait attentivement le tissu de la jupe on pouvait constater que les attaches de mon porte-jarretelles soulevaient légèrement le tissu.

Après leffort, le réconfort:

Pour rejoindre le métro, je marchais durant cinq minutes. Suffisamment pour que je dévoile le haut de mes bas à plusieurs passants qui se retournèrent. Il y eut même une personne qui me suivit derrière moi pendant 500 mètres. Je nosai pas me retourner ou retoucher ma minijupe de peur de lui montrer que je savais ce que je dévoilais à ses yeux, mais javais bel et bien honte.

Une fois dans le métro, je dus mettre de côté à nouveau mon éducation bourgeoise et écarter mes jambes gainées. En ce mois doctobre lair nétait pas froid mais tout de même frais. Cette fraîcheur électrisa tout mon bas-ventre. Mais ce nétait que le début.

Lorsque jarrivai au dit restaurant je demandai au maître dhôtel ma table réservée. Quelle ne fût pas ma surprise de constater que la dite table se situait sur une estrade. Heureusement la chaise de devant me protégeait. Cest alors que je reçus le premier SMS dune longue série.

— Bienvenue dans le restaurant ZZZ. Comme tu peux le voir je ne suis pas seul. Tu as plein de fans ici.

Effectivement, il y avait du monde dont plusieurs hommes seuls mais connaissant mon inconnu, il serait capable de se cacher derrière ces couples voire ce groupe damis.

— Après avoir commandé tu vas défaire un troisième bouton de ton chemisier afin de montrer ta poitrine au serveur. De plus pour que le dîner ne soit pas monotone tu vas recevoir des texto auxquels tu devras répondre clairement et de façon détaillée. Mais dabord tu pousses la chaise et tu croises les jambes afin de montrer tes cuisses gainées.

Je commandais donc le menu tandis que le serveur se délectait de lentrée, cest-à-dire une vue profonde dans mon décolleté. Sur ce, je reçus ma première question :

— Qui penses tu que je suis ?

Javais essayé de voir qui pouvait bien taper des texto, mais le coup devait être bien prémédité et il lui suffisait dexpédier des SMS pré rédigés. Je répondis ainsi :

— Un homme de 40 ans, habitant dans le voisinage de chez moi, et ayant découvert mes photos de nu sur internet.

Sen suivit deux texto daffilés.

— Mauvaise réponse Laurence. Tu auras un gage pour cela

— Tu vas aller aux toilettes avec ton sac. Quand tu te lèveras tu vas lentement décroiser tes jambes afin de faire admirer ta vulve toute lisse.

Je fis comme indiqué et partis aux WC où un nouveau SMS tomba sur mon portable.

— Laurence, tu vas enlever ton soutif. Ensuite, en tant que salope tu vas désormais moffrir ton anus. Tu vas donc tenfoncer le plug dans ton sphincter .et le faire retenir avec la ficelle de ton string. Pour le chemisier je tordonne de ne pas te réajuster comme cela tout le monde pourra admirer ton changement de démarche, tes seins libres de tout mouvement et peut-être tes dessous.

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