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Panpan cucul – Chapitre 3




Les lettres de Gladys m’aident moralement, je confesse que je suis un peu perdu.

Je suis son conseil, je laisse Maman se languir, de toute façon je suis partagé entre l’envie de recommencer et la peur de reprendre cette relation hors norme.

Ce matin en marque de soutien ma belle inconnue m’a envoyé une photo de son derrière. A même la peau elle a écrit dessus au marqueur qu’il était ma propriété, j’ai hâte que l’on se voit, mais pour le moment elle estime que je ne suis pas encore prêt.

Elle veut que j’explore toutes les profondeurs de mon vice.

Je ne réponds pas aux appels de ma mère ni à ses mails et ce depuis mon départ il y a trois semaines. La distance est pesante, nous étions si proche et je ne suis pas sûr que cette nouvelle intimité à laquelle elle aspire soit une bonne chose…

Je suis plein de doutes et cela me déstabilise.

Gladys m’a dit un jour dans un mail que si je voulais avancer, il faudrait que je sois prêt à toutes éventualités. J’ai compris hier en allant au supermarché, bêtement en passant devant le rayon des animaux de compagnie. Au beau milieu des nonosses en plastiques, des colliers et des laisses il y avait suspendu des martinets.

Cela m’a rappelé des souvenirs pénibles, les corrections régulières que ma mère m’infligeait lorsque j’étais trop turbulent ou que j’avais de mauvaises notes.

Elle me disait que c’était pour mon bien et que plus tard je la remercierais… Elle avait raison, je suis rentré dans le droit chemin et à force d’étude j’ai maintenant un excellent travail.

Maman reproduisait ce qu’elle avait elle même vécu. Elle est le fruit d’une éducation rigoriste, elle aussi a été fouettée dans son enfance et je crois que son goût dolorisme vient de là.

Elle adorait pépé et pourtant ce n’était pas un tendre, juste un homme du passé, sévère et autoritaire. Papa c’est tout le contraire, douceur, gentillesse, jamais un mot plus haut que l’autre, un peu lâche aussi.

Ils se sont aimés, du mois au début, elle cherchait probablement à fuir ce père dur et elle a choisi tout son opposé. Mais quelques années après ma naissance tout s’est détérioré, les divergences éducatives sont apparues, jusqu’à leur séparation.

Les vieux démons de Maman ont dû finir par faire leur travail de sape dans son âme tourmentée et elle est revenue à ce qu’elle connaît de mieux et qu’elle peut maîtriser.

Elle aime la rigueur, les punitions et je ne le savais pas.

Je suis resté immobile dix bonnes minutes dans le magasin. Je rigolais de l’hypocrisie de ce type de ventes, maintenant ce genre d’accessoires est pour l’éducation canine et alors j’ai fait comme tout le monde, en le passant à caisse j’ai expliqué à la jeune femme que j’avais une chienne turbulente qu’il me fallait dresser.

J’ai eu un drôle de sentiment en disant cela, j’ai immédiatement pensé à Maman et j’ai été pris de honte, pourtant quelque part c’est un peu ce qu’elle est…

Troisième semaine sans ma mère, je me dis qu’elle a trouvé quelqu’un pour satisfaire sa libido déviante et j’ai un peu de mal à cette idée.

J’en ai parlé à mon anonyme de chérie et elle a juste répondu par cette phrase laconique:

« En espérant qu’elle soit heureuse… ».

Il est neuf heures du soir ce vendredi soir, on sonne à la porte, j’ouvre.

Maman est là sur le seuil et elle n’a pas bonne mine. Ses traits sont tirés, elle a des cernes, elle semble fatigué, à bout.

Je la fais rentrer, je lui propose de s’asseoir mais elle reste debout au milieu du salon.

« – J’ai été une mauvaise mère… Pardonnes moi… ».

Elle n’a rien dit de plus, elle simplement tendu le bras vers moi et à desserré son poing. Dans le creux de sa menotte il y a une clef USB que j’ai branché bien vite sur le grand écran plat et les premières images sont apparues.

Un film amateur par en juger la qualité et tout est allé très vite…

C’est une vidéo porno, une femme est attachée sur un chevalet et elle se fait copieusement corriger. Des hommes lui frappent les fesses à pleines mains, elle se prend fessées sur fessées. Son cul très vite est devenu écarlate et la séquence dure une éternité. Ils lui mettent de sacrées baffes, je les entends claquer et cela fait un bruit effroyable.

La gonzesse ne crie pas, à la sangle qui barre sa tête je suppose qu’elle est bâillonnée. Elle doit mordre à pleines dents la grosse boule de plastique rouge qu’ils lui ont enfournée dans la gueule. A chaque baffe elle se tord dans tout les sens, elle déguste.

Son popotin est de plus en plus bleu, de larges hématomes commencent à apparaître, le cadreur fait des gros plans sur sa lune malmenée et elle est en piteux état.

Un type patibulaire achève de lui envoyer de belles beignes et déjà un autre se prépare, mais cette fois le nouveau tient un chat à neuf queues.

Il n’a pas attendu, à peine l’autre s’est écarté, il la fouette avec violence. Les lanières de cuir zèbrent le derrière et le lacèrent, c’est d’une brutalité incroyable, j’en ai mal pour la fille, je l’entends geindre à travers son bâillon.

Les flagelles pleuvent sans cesse, elles écorchent tout sur leurs passages, de profondes entailles apparaissent, sur son fion mais aussi son dos.

Le cameraman tourne autour de la soumise et il zoome sur son visage, c’est Maman !

De longues larmes coulent de ses yeux, je vois toute sa souffrance, mais je ne distingue surtout aucun plaisir dans son regard. Elle n’est qu’un défouloir pour leurs instincts les plus bas, ils la fustigent sans stopper et se relayent les uns après les autres.

Ma mère se prend une raclée monumentale, elle n’est plus que plaies sanguinolentes, enflures, ecchymoses et ils poursuivent sans aucune pitié

Le fouet frappe sa raie, j’aperçois son anus boursouflé par la dégelée, les frappe incessantes déchirent maintenant sa vulve. Je suis pétrifié, comment peut elle endurer cela…

Un mec la détache, il la jette à terre, elle finit à genoux devant lui et il lui envoie des gifles bien appuyées, à chaque choc sa tête part sur le côté et comme si cela ne suffisait pas il lui crache dessus. Ma mère sous un coup plus fort a terminé sur le dos et ils continuent à la battre.

Elle prend tout sur la chatte, elle se convulse de douleur et pourtant, elle n’a vraiment pas l’air d’aimer ce qu’on lui fait.

J’assiste à son supplice durant vingt bonnes minutes, puis ils se calment un peu, du moins c’est ce que je crois… ou du moins ce que j’espère, mais non.

Un à un ils la baisent, à même le sol et je découvre le plus sordide. Les éjaculations sur son corps mutilé, les crachats, les coups de bites dans tout ses conduits et les poings entrés dans son colon…

Alors j’ai coupé, je suis incapable d’aller jusqu’au bout, je crains le pire et je ne veux pas le voir.

Elle est restée immobile, je ne l’ai pas remarqué avant, mais elle empeste le foutre et la pisse froide. Je suis KO, je me relève à grande peine, je viens de voir ma mère se faire souiller.

Elle ne dit plus rien, elle enlève les mains des poches de son Trench-coat et tout doucement elle dénoue la ceinture. L’imperméable vient de tomber par terre, mis à part ses bas et ses chaussures elle est nue.

« – Je n’ai pas joui… », lâche t-elle tout bas.

« – Il n’y a qu’avec toi que j’atteins l’orgasme…. », avoue t-elle dans un souffle.

Je tourne autour d’elle, elle pue, elle est sale, répugnante, tout son anatomie n’est que blessures, outrages et pourtant je la trouve si belle.

J’ai envie de la toucher, d’explorer son corps et je ne résiste pas.

Je pose ma paume sur sa fesse, la souffrance se réveille aussitôt, mais je devine aussi qu’il n’y a pas que cela. Elle serre les dents pour ne pas couiner trop fort, alors j’en rajoute et je tripote son cul tailladé par le fouet.

Je lui fais mal, mais c’est ce qu’elle désire par dessus tout. Je malaxe sa fesse, elle se cambre et immédiatement je sens une forte odeur musquée qui vient titiller mes narines.

Maman mouille !

C’est inespéré pour elle, je la sens maintenant rassurée sur ses aptitudes, elle se laisse faire. Je pétris son derrière à pleine pognes, je réveille sa douleur et elle aime.

Mes pognes longent son cul, glissent sur ses cuisses, puis je remonte doucement sur son ventre, ses nichons. Je ne l’effleure pas, je pétris son cuir amoché et je le fais sans complaisance et puis je continue en sens inverse.

Je relâche ses nibards après les avoir bien laminé je dévale son bidon, ses jambes, son entrejambe. Je masse son aine, mes doigts courent de part et d’autre de son sexe, mais j’évite de le toucher, je ne vais pas aller trop vite… ni trop loin…

Mes paluches retrouvent son séant, je ne résiste pas à m’enfoncer dans sa raie, elle doit être bien douloureuse, j’ai encore le souvenir de son illet balafré par le knout.

Les replis saignent un peu, son trou de balle n’est plus qu’une énorme enflure, lui aussi a pris sévère, il doit être terriblement sensible.

Je l’attrape par la base du crane, je deviens naturellement autoritaire. Je serre sa nuque et en la tenant fermement par le cou je l’entraîne vers la table. Elle a posé ses menottes bien à plat sur le plateau et je l’ai vu d’elle même se pencher et écarter ses jambes.

Elle se soumet à ma volonté, je n’en attendais pas moins. Elle garde la position, elle ne bougera pas, elle va attendre, je vais la laisser ainsi jusqu’à se qu’elle soit perclus de crampes et qu’elle sente ses jambes se dérober sous elle.

 

Je retourne m’asseoir dans le sofa, je prends la télécommande et je relance le film de ses frasques. Je vais le visionner jusqu’au bout cette fois, je veux tout voir, tout connaître de ses travers. Je vais attentivement regarder son vice, son abjection, je vais contempler avec sérénité son avilissement et enfin tout savoir d’elle.

La vidéo s’affiche, il y en a pour deux heures, cela va être long pour elle, mais pour moi cela va être particulièrement instructif.

Je la regarde un instant, elle garde la pose, elle ne remue pas une oreille et c’est exactement ce que j’attends d’elle.

Il est temps de balayer mes dernières réticences, d’avancer et de faire ce pas vers elle qu’elle a tellement espéré.

Maman m’a inexorablement corrompu, j’en ai pleinement conscience. Elle m’a façonné peu à peu pour que je devienne le maître inconditionnel de sa luxure.

Je suis bouleversé, c’est la plus grande preuve d’amour qu’une mère peut offrir à son fils.

Il lui en a fallu du courage et de la volonté pour arriver à ses fins.

Je ne reculerai pas, j’en suis à présent certain, elle va souffrir sous mon bras vengeur, mais je sais maintenant qu’elle va se réjouir, puis se délecter.

Je lance la séquence et ensuite, parfaitement serein, je prendrais alors en main cette nouvelle existence qui s’offre à moi.

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